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    Nicolas Sarkozy ou l'anti Charles de Gaulle (billet invité)

     

    Nicolas Sarkozy ou l'anti Charles de Gaulle (billet invité)

    Posted: 27 Sep 2014 10:55 PM PDT

     

    Billet invité de l’œil de Brutus. 

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    Le candidat de l’UMP aime à se présenter comme l’héritier du gaullisme. Si cela l’amuse. Mais ce qui est surprenant c’est, qu’en dépit des faits, un nombre important de militants du parti présidentiel semble y croire, reniant sans même s’en rendre compte ce qui fut un temps, au moins en apparence, le socle des convictions de l’ancien RPR. Pourtant n’importe quel raisonnement un temps soit peu argumenté suffit à constater qu’entre le sarkozysme et le gaullisme il existe un gouffre.
     

    Nicolas Sarkozy est libéral. Il croit aux forces du marché, à l’individualisation de la performance, à la politique du chiffre et à l’Etat réduit à sa plus simple expression. Il tend à considérer les lourdeurs de ce dernier comme l’expression de son inefficacité et se méfie de la fonction publique qu’il juge avec hauteur comme un ramassis  de profiteurs[i]car elle n’a pas été éduquée au dynamisme du privé (alors qu’il n’a lui-même quasiment jamais travaillé dans le privé).


    Charles de Gaulle était interventionniste et dirigiste. Il n’a sans doute jamais prononcé le mot mais sa politique était d’inspiration keynésienne. Sans pour autant négliger les vertus de l’initiative privée, il estimait que l’Etat devait donner l’impulsion à l’économie. D’où ses grands projets tels qu’Ariane, le Concorde, Airbus, le TGV ou le nucléaire (Quel grand projet a initié Nicolas Sarkozy ?). D’où sa dévaluation du franc pour restaurer la compétitivité nationale (malgré ses incantations de la campagne de 2007 sur l’euro – qu’il ose réitérer aujourd’hui – Nicolas Sarkozy n’a jamais demandé à dévaluer l’euro ni sérieusement exigé de l’Allemagne une réforme de la BCE). Charles de Gaulle estimait que le capitalisme devait être régulé – sa fameuse « troisième voie » et se méfiait des milieux financiers. Nicolas Sarkozy, comme François Hollande, en a fait ses meilleurs amis.
    Nicolas Sarkozy est atlantiste comme l’ont prouvé la réintégration des structures militaires de l’OTAN, le suivisme des Américains en Afghanistan ou encore sa proximité avec Georges W. Bush.
    Sans pour autant renier l’amitié franco-américaine (comme, par exemple, pendant la crise des missiles de Cuba), Charles de Gaulle se méfiait des tendances à l’hégémon des Etats-Unis et préservait jalousement l’indépendance de la France vis-à-vis de son puissant allié comme l’ont prouvé le retrait des structures militaires de l’OTAN, sa critique virulente de la guerre du Vietnam (discours de Phnom Pen) ou encore son voyage au Québec. Charles de Gaulle concevait la France comme un allié des Etats-Unis, non comme un vassal.
    Nicolas Sarkozy est communautariste.
    Charles de Gaulle défendait une République une et indivisible. Il n’aurait jamais fait d’instances communautaires des institutions soi-disant représentatives et ne se serait jamais compromis à assister au repas de l’une d’entre elles.
    Charles de Gaulle avait un haut mépris de l’argent et ne supportait pas les compromissions et les conflits d’intérêts.
    Nicolas Sarkozy a fait de l’argent l’une de ses références majeures et laisse ses collaborateurs se noyer allègrement dans les conflits d’intérêts lorsqu’il n’y patauge pas lui-même en conservant les parts de son cabinet d’avocat pendant son mandat.
    Charles de Gaulle croyait au temps long et à la réflexion. En disciple de Bergson, il savait qu’il faut « penser en homme d’action et agir en homme de pensée ».
    Nicolas Sarkozy se fourvoie en agitation permanente et stérile sans ligne directrice et sans vision de l’avenir[ii].
    Charles de Gaulle savait pardonner pour rassembler.
    Nicolas Sarkozy s’acharne sur ses ennemis[iii].
    Charles de Gaulle a laissé la France avec des comptes publics à l’équilibre.
    Charles de Gaulles estimait l’apprentissage de la culture et de l’histoire comme des éléments indispensables à la compréhension du monde. En cohérence avec son libéralisme, Nicolas Sarkozy a une vision utilitariste de l’éducation : pour lui l’élève se résume à un futur travailleur. Et c’est bien pour cela qu’il a, entre autres mesures, fait supprimer l’enseignement de l’histoire en terminale scientifique.
    Charles de Gaulle concevait l’Europe comme une Europe des Nations dont la coopération de ses membres souverains ferait la force de l’ensemble.
    Européiste, Nicolas Sarkozy a bafoué la volonté du peuple souverain exprimé par référendum en 2005 pour faire passer en catimini parlementaire le traité de Lisbonne. Et il réclame aujourd’hui encore plus de transfert de souveraineté après avoir élaboré et signé un traité qui mettrait les finances de la France sous la tutelle des technocrates de la Commission européenne.
    Humaniste, Charles de Gaulle croyait en la capacité de l’homme de s’élever par l’effort, la connaissance et l’éducation.
    Nicolas Sarkozy est foncièrement déterministe comme l’attestent ses propos sur les pédophiles ou les futurs délinquants de Maternelle.
    Enfin, Charles de Gaulle avait une haute idée de sa fonction présidentielle qu’il croyait au-dessus des partis et des basses querelles pour réunir Français.
    Nicolas Sarkozy attise les clivages et les corporatismes. « Divide e impera » pourrait être sa devise. Mais ne s’arrêtant pas à cela, il copine avec le « club des grands donateurs » et la clique du Fouquet’s.
    Charles de Gaulle était la France dans ce qu’elle a de plus grand.
    Nicolas Sarkozy est la France dans ce qu’elle de plus petit et médiocre : les divisions, les querelles de clans et les bassesses.


    [i] Tout comme les chômeurs, lire Les chômeurs ces profiteurs.
    [ii] Lire Franz-Oliver Giesbert, M. Le Président, Flammarion 2011. Ma fiche sur cet ouvrage : http://loeildebrutus.over-blog.com/article-m-le-president-84550987.html
    [iii] Lire Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Sarko m’a tuer, Stock 2011. Ma fiche sur cet ouvrage : http://loeildebrutus.over-blog.com/article-sarko-m-a-tuer-89380964.html

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    Un député britannique qualifie Hollande et Cameron de « caniches » des USA

    Un député britannique qualifie Hollande et Cameron de « caniches » des USA

    Par La Voix de la Russie | Selon RIA Novosti, le député britannique, George Galloway, a qualifié de « caniches » des Etats-Unis le président français, François Hollande, ainsi que le Premier ministre britannique, David Cameron, pour leur adoption péremptoire des sanctions antirusses proposées par les Etats-Unis.

    Selon Galloway, les événements en Ukraine ont été façonnés par les Américains, quant à l’Union européenne, elle a suivi volontairement, ou sous pression, la politique des Etats-Unis.

    En 2012, c’était l’ancien président de la France, Nicolas Sarkozy, qui avait hérité du surnom de « caniche de Washington » pour avoir fait la promotion de la politique américaine en France et en Europe.

     

    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_10_03/Un-depute-britannique-qualifie-Hollande-et-Cameron-de-caniches-des-USA-6655/

     

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    Mensonge honteux: quand Hollande fustigeait la droite et exigeait le retrait d'Afghanistan!

     

    Trois guerres en deux ans!
     

    Pour la troisième fois en deux ans seulement, en engageant militairement la France en Irak, François Hollande confirme son rôle de Président le plus guerrier de l'histoire de la Ve République en un temps si court. 

    À chaque fois, c'est le même argument bushiste qui est avancé : lutter contre le terrorisme, que ce soit au Mali et en Centrafrique depuis 2013, aujourd’hui en Irak ou demain, probablement, en Syrie et en Libye. À tel point que le président français François Hollande est régulièrement taxé (à juste titre) de néoconservateur en s’alignant ainsi sur les États-Unis.

    Lundi, à l’occasion de la conférence sur la paix et la sécurité en Irak, organisée à Paris avec une trentaine d’États représentés, le chef de l’État français a de nouveau défendu la nécessité de frapper militairement l’État islamique (EI), que les autorités françaises n’appellent plus désormais que par son acronyme en arabe, Daech, pour lui dénier le droit de constituer un État. « Les États-Unis ont agi pour former une large coalition. La France y prendra sa part », a-t-il expliqué.


     

    Un peu plus tôt, Jean-Yves Le Drian avait indiqué dans un discours devant les forces françaises positionnées aux Émirats arabes unis : « Soyez donc prêts à devoir intervenir. » Il a également précisé que « dès ce matin (lundi, ndlr), de premiers vols de reconnaissance auront lieu avec l’accord des autorités irakiennes et émiriennes ». Depuis le mois d’août, la France a également « livré plus de 60 tonnes de matériel » dans le cadre de son opération humanitaire en Irak. Elle devrait prochainement fournir du matériel militaire aux combattants irakiens, notamment kurdes, qui luttent contre l’État islamique.


    Sans surprise, François Hollande a surtout insisté lundi sur la nécessité de la lutte contre le terrorisme, qualifiée de « menace globale ». Même si la référence est involontaire, la rhétorique rappelle évidemment celle de George W. Bush et sa guerre globale contre le terrorisme. « Telle est la menace, elle est globale, la réponse doit donc être globale », a expliqué lundi François Hollande qui a rebaptisé la conférence « sur la paix et la sécurité en Irak, et contre le terrorisme ».

    Il faut « punir tous ceux qui sont associés de près ou de loin » à l’EI, a-t-il également déclaré, avant de redire sa volonté de « punir les responsables ». « Punir », c’était déjà le terme, très contesté à l’époque, que le président français avait utilisé pour appeler à des frappes militaires contre le régime de Bachar al-Assad. Et comme il y a un an, Hollande est prêt à intervenir militairement sans mandat de l’Onu. Quant aux procédures françaises, il n’a, cette fois, même pas évoqué l’organisation d’un débat parlementaire.


    Surtout, François Hollande a fait le lien entre l’intervention militaire en Irak et le risque terroriste qui pèse sur la France. « Alors que la France se tient prête dans ces moments décisifs pour sa sécurité, car c’est bien aussi la sécurité de la France que menace Daech, ce pseudo-État islamique », avait déjà déclaré depuis Abou Dhabi le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian. Une rhétorique déjà abondamment utilisée par le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve, qui défend à l’Assemblée son projet de loi antiterroriste. « Nous faisons face à une menace inédite, par sa nature et par son ampleur. (…) Face à ce phénomène inédit, notre riposte est globale : nous combattons les terroristes à l'intérieur et à l'extérieur »a-t-il expliqué au JDD.

    Selon Cazeneuve, la France fait face à un risque d’attentat : « Cette menace est diffuse. Et d'autant plus dangereuse. » « Nous sommes obligés de nous défendre parce que nous sommes au bout du fusil »juge également Laurent Fabius, ministre des affaires étrangères. Un des principaux responsables de la lutte antiterroriste en France, Loïc Garnier, à la tête de l'Unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat), a même affirmé lundi « Aujourd'hui, nous n'en sommes plus à nous demander s'il y aura un attentat en France, mais quand. » À tel point que certains médias en sont à dresser un pseudo-portrait-robot du « prochain attentat terroriste en France ».

    Là encore, le parallèle avec les États-Unis interroge. Bush avait résumé le pilier de sa doctrine par la phrase suivante : « Mener le combat contre l’ennemi chez lui avant qu’il ne puisse nous attaquer chez nous. » Cela a mené les États-Unis durant les années 2000 à développer le concept des « frappes préventives », les interventions dans des pays qui ne représentaient pas une menace immédiate (Irak, Pakistan) et, d’une manière générale, la permanence d’actions militaires aux quatre coins de la planète, de la Somalie au Waziristan.

    L’Élysée et le Quai d’Orsay réfutent de façon virulente tout parallèle entre leur politique et celle de Bush. Si les États-Unis ont attaqué l’Irak sous prétexte d’une menace imaginaire (les armes chimiques), il s’agit cette fois, a expliqué en privé Laurent Fabius, de frapper à la demande de l’État irakien une menace avérée. Pour le chef de la diplomatie française, on assiste actuellement à un changement de paradigme international dans un monde qui se décompose.

    Reste que la France est déjà engagée sur de nombreux terrains, au maximum sur ses capacités militaires, avec des résultats très contestés. Au Mali, l’opération Serval est devenue l’opération Barkhane. Le changement n’est pas uniquement sémantique puisque le théâtre d’opération des militaires français n’est plus le seul Mali, mais aussi les pays alentour : Mauritanie, Niger, Burkina Faso et Tchad. Si la logique antiterroriste est évidente, les djihadistes et les trafiquants de tous acabits qui leur sont associés passant aisément d’un territoire à l’autre, la question du mandat est confuse et la question politique assez faiblarde.
    Contrairement à l’intervention malienne de janvier 2013 (officiellement à la demande du président de l’époque et sous la menace des combattants venus du Nord), les soldats français de Barkhane opèrent au nom d’accords bilatéraux avec les cinq pays concernés et donc avec des règles d’intervention qui changent d’une nation à l’autre. Quant à la gestion politique de cette crise qui affecte le Sahel, elle semble toujours au point mort.

    « La crise politique malienne, à l’origine de l’affaissement de l’État qui a suscité l’intervention française, n’est absolument pas résolue, soupire un diplomate européen en poste à Bamako. Le président Ibrahim Boubacar Keita s’est coulé dans les habits de ses prédécesseurs et il traîne des pieds pour entreprendre les réformes ou renouer le dialogue avec les Touaregs. Quant à la formation de l’armée malienne par les Européens, on nous dit que cela va durer des années… »

     

    Sur France Info, le général Palasset, en charge de l’opération Barkhane, parle d’une durée minimum de trois ou quatre ans. Connaissant les prévisions généralement optimistes des militaires dans ce domaine, il faut admettre que la France est réengagée lourdement et pour très longtemps dans cette partie du Sahel.
    De plus, le ministre de la défense Jean-Yves Le Drian a récemment appelé à « agir en Libye », estimant que Barkhane pourrait être amené à « monter vers la frontière libyenne ». La Libye est pourtant l’exemple d’une intervention militaire décidée sans réel accompagnement sur le long terme, qui finit par se retourner contre ses initiateurs. À la dictature libyenne a succédé un état de chaos qui menace de basculer dans une « beyrouthisation » de la capitale Tripoli.
    Depuis le début de son mandat, François Hollande donne en tout cas le sentiment de céder aux sirènes néoconservatrices, du moins de se laisser aller à l’air du temps (lire notre enquête). Ou à un « interventionnisme libéral » assez désidéologisé, comme l’estime le chercheur Christian Lequesneauteur d’un article récent sur la politique extérieure de la France« Il y a aujourd’hui un assez grand consensus chez les diplomates français, de gauche comme de droite, pour dire que la coercition militaire fait partie des outils de la diplomatie. Depuis Nicolas Sarkozy, et aujourd’hui avec François Hollande, le vieux paradigme gaullo-mitterrandien n’est plus l’état d’esprit », explique-t-il à Mediapart.

     

    Un dernier diagnostic partagé par Yves Aubin de la Messuzière, ancien ambassadeur. « On est dans la gestion de crise, sans donner de perspectives plus lointaines. Et on n’est plus du tout dans la tradition gaullo-mitterrandienne. Il s’agit plutôt d’une tendance occidentaliste, celle d’un Occident qui devrait affirmer ses valeurs, comme sous Nicolas Sarkozy », décrypte-t-il. Selon lui, une partie de l’opinion publique des pays arabes risque de percevoir la France comme étant à la remorque des États-Unis, dans une coalition où elle n’aurait que peu d’indépendance. D’autant plus que, selon Aubin de la Messuzière, la France a abdiqué tout rôle dans le conflit israélo-palestinien.  

    En Irak, et peut-être même en Syrie, « notre rôle sera modeste, il s’agit d’un rôle d’appoint par rapport aux États-Unis », dit aussi François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France en Iran. Mais, insiste l’ex-diplomate, la France fait tout « pour se poser dans le champ médiatique comme une puissance motrice, à l’initiative ».
    Selon plusieurs sources, Paris a demandé à Washington de conserver un minimum de marge de manœuvre. « Il y a deux choses qui inquiètent l’Élysée : la légitimité de l’intervention et le souci de ne pas trop dépendre des Américains », analyse un diplomate du Quai d’Orsay. Avant d’ajouter : « Pour la première, c’est réglé grâce à l’appel à l’aide du premier ministre irakien. Pour le deuxième, c’est plus compliqué : les Américains ont des moyens et des renseignements que nous n’avons pas. Il est donc délicat d’être complètement autonomes à leur égard, et en même temps, on ne veut pas se retrouver embarqué dans une guerre qu’on ne maîtrise pas» Une frappe française qui ferait des victimes civiles sur la base d’un renseignement américain aurait un effet dévastateur.

    Mais sur le fond, précise encore ce diplomate qui se dit plus proche de l’UMP que du PS, « Hollande fait partie de cette génération de socialistes, comme Fabius, qui se veulent réalistes et décidés à dépasser ce qu’ils estiment être un vieux tropisme de gauche : le non-interventionnisme et le pacifisme ».


    Si Barack Obama est apparu comme un « guerrier réticent », selon une expression que l’on retrouve de plus en plus dans la presse américaine, refusant de bombarder la Syrie en 2013 et se mobilisant contre l’État islamique sous la pression de la droite américaine, François Hollande semble même aimer se draper dans des habits martiaux. Il avait ainsi déclaré, peut-être submergé par l’émotion lors de sa visite au Mali en février 2013 : « Je viens sans doute de vivre la journée la plus importante de ma vie politique, parce qu'à un moment une décision doit être prise, elle est grave, elle engage la vie d'hommes et de femmes. »

    « Hollande est comme tous les présidents de la Ve République qui arrivent à l’Élysée », confiait il y a quelques semaines un général en retraite à qui l’on demandait si l’actuel président ne se précipitait pas un peu trop pour intervenir à l’étranger. « Il découvre que l’armée est une institution qui fonctionne au quart de tour et sans poser de questions. Il suffit de prendre une décision et, 48 heures plus tard, des centaines de soldats français interviennent à l’autre bout du monde avec généralement la plus grande efficacité. C’est très grisant d’appuyer sur un bouton et d’obtenir un résultat immédiat. »


    Le président français espère aussi que son interventionnisme à l’étranger lui permette de conserver ce qui lui reste de popularité en France. Il sert en outre à exercer une pression supplémentaire sur les députés rétifs, qui hésitent à voter la confiance que demandera mardi à l’Assemblée le premier ministre Manuel Valls.
    Plusieurs responsables de la majorité expliquent aussi depuis plusieurs jours que les débats sur la politique économique ne sont pas à la hauteur, alors que la France est sous la menace d’un attentat terroriste et qu’elle s’engage en Irak.« Il faut sortir de l’hémicycle : la France s’engage en Irak ; le président a besoin d’appuis sur la scène européenne et le FN est le troisième parti de France. L’enjeu du vote de confiance est à cette hauteur-là », affirmait récemment un proche de François Hollande. Pas sûr que la ficelle, grossière, soit non plus à la hauteur.

    BOITE NOIREUn vif débat sémantique fait rage sur le nom de l’État islamique (EI), d’abord appelé État islamique en Irak et au Levant (EIIL) et que les autorités françaises refusent désormais de désigner autrement que par l’acronyme en arabe Daech (ou Daesh, ou Da’ech). Quant au ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, il ne parle plus que des « égorgeurs de Daech ».

    « Vous avez parlé d'un prétendu “État islamique” : permettez-moi de revenir, un instant seulement, sur cette expression. Le groupe terroriste dont il s'agit n'est pas un État. Il voudrait l'être, il ne l'est pas, et c'est lui faire un cadeau que l'appeler “État”. De la même façon, je recommande de ne pas utiliser l'expression “État islamique”, car cela occasionne une confusion entre l'islam, l'islamisme et les musulmans. Il s'agit de ce que les Arabes appellent “Daech”, et que j'appellerai pour ma part “les égorgeurs de Daech” ! », a justifié Laurent Fabius devant le Parlement, comme l’a relevé Marianne.


    Mais ce choix sémantique – récent de la part de la France – est contesté, y compris par des chercheurs spécialistes de la région. C’est par exemple le cas de Romain Caillet, qui considère que « l’acronyme Daech est un terme impropre et péjoratif, utilisé par les opposants à l’État islamique ». « Si en langue arabe il peut y avoir une légitimité à l’employer, son utilisation en français est clairement idéologique »explique-t-il.

    À Mediapart, nous continuons à parler d’État islamique (EI), évidemment pas en signe de soutien avec ce groupe terroriste, mais par souci de cohérence dans notre couverture journalistique.

     

    source : Mali, Centrafrique, Irak: Hollande, le président qui aime faire la guerre - Autoblog du flux complet de Mediapart - France

     

     

    Lire aussi.....

    Intervention Française En Irak Et En Syrie : L'incroyable Soumission De François Hollande!

    Publié par : http://zebuzzeo.blogspot.fr

     

     

    Mali Centrafrique Irak Syrie (Demain LIbye?) : François Hollande Le Président Le Plus Guerrier De La Ve République!

     

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    Voir aussi :


    Une Guerre Par An ! François Hollande Et Le Complexe De Napoleon III + lien

    Les USA ont bombardé sept pays en six ans et la France cinq pays en quatre ans


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    Syrie : Les Israéliens jouent avec le feu et l’ONU se contente d’observer !

    Analyses:
    http://www.mondialisation.ca/syrie-les-israeliens-jouent-avec-le-feu-et-lonu-se-contente-dobserver/5402910
    Bachar al-Jaafari

     

    Le 15 septembre, l’ONU, par la voix de son porte parole, M. Stéphane Dujarric, confirmait le retrait des forces de l’UNDOF [ou FNUOD : Force des Nations Unies chargée d’Observer le Désengagement ; résolution 350/1974] du Golan syrien occupé [1].

    Pour mémoire, voici le communiqué du Dr Bachar al-Jaafari, représentant permanent de la Syrie auprès des Nations Unies, lors d’un point de presse à New York.


    Bonjour à vous tous,

    Je ne commenterai pas le rapport de M. Serry adressé aux membres du Conseil de Sécurité sur la situation au Moyen Orient, je me concentrerai plutôt sur les récentes évolutions très alarmantes dans le Golan syrien occupé.

    Comme vous le savez, le Conseil de Sécurité tiendra demain ses consultations sur le problème des forces de l’UNDOF déployées dans le Golan syrien, avant d’en rendre compte aux États membres.

    Comme vous le savez, les combattants terroristes de Jabhat al-Nosra -une organisation affiliée à Al-Qaïda et reconnue comme une organisation terroriste par une résolution du Conseil de sécurité- ont réussi, avec l’aide d’Israël et l’intervention, l’assistance, et l’implication du Qatar, à occuper presque la totalité de la ligne de démarcation, du côté syrien.

    Autrement dit, les terroristes ont actuellement remplacé les forces de l’UNDOF déployées sur le côté syrien de la ligne de démarcation !

    Pratiquement toutes les forces de l’UNDOF qui étaient déployées du côté syrien se sont maintenant regroupées du côté israélien, réduisant le mandat qui leur a été confié par le Conseil de sécurité, en 1974, à la simple observation de ce qui se passe du côté syrien de la ligne de démarcation, à partir du côté israélien.

    Malheureusement, les Forces de l’UNDOF ont évacué soudainement leurs postions syriennes, en violation de leur mandat et sans consultations préalables avec le gouvernement syrien.

    Ce comportement a offert aux terroristes l’opportunité de se saisir du matériel et des équipements des forces de l’UNDOF et leur a permis de créer une sorte de « zone de sécurité » [Safe zone], dans la zone réservée à l’UNDOF, à partir de laquelle ils lancent des opérations contre l’Armée nationale syrienne.

    Or, à chaque fois que l’Armée syrienne est intervenue pour chasser ces terroristes hors de cette ligne de démarcation, nous avons été appelés par le DPKO [Department for PeaceKeeping Operations] pour nous entendre dire que nous violions l’accord concernant les forces de désengagement. Mais, maintenant que ces terroristes l’ont occupée en totalité, le DPKO n’a ni appelé le côté israélien, ni appelé le côté qatari, ni appelé le côté jordanien, pour leur demander d’arrêter d’intervenir et de permettre à ces terroristes de s’infiltrer dans cette zone !

    Des terroristes qui, comme j’ai commencé par vous le dire, appartiennent tous à l’organisation de Jabhat al-Nosra, une entité terroriste oubliée par ceux-là qui à Paris et ailleurs, comme à Jeddah, organisent des conférences internationales pour déclarer leur volonté de combattre l’EIIL [Daech] uniquement. Ils ont oublié la résolution N°2170 [2] qui parle à la fois de l’EIIL et de Jabhat al-Nosra, non seulement de l’EIIL !

    Par conséquent, c’est là une sorte de comportement hypocrite, inacceptable et très dangereux pour la sécurité du territoire syrien, de la population syrienne, et de l’Armée syrienne.

    C’est pourquoi, je voudrais attirer votre aimable attention sur cette situation alarmante. Je m’en entretiendrai avec certains membres du Conseil de sécurité et avec le Secrétaire général. J’ai déjà adressé, au nom de mon gouvernement, une lettre en double exemplaire, l’un au Secrétaire général en personne, l’autre au Président du Conseil de sécurité -l’ambassadeur US- leur demandant à tous les deux de faire circuler cette lettre en tant que « document officiel » des Nations Unies.

    Le dernier point sur lequel je voudrais attirer votre attention est qu’une telle occupation par les combattants terroristes de Jabhat al-Nosra, menée avec l’aide et l’assistance directe d’Israël et les Services de renseignement qataris, comme je viens de le dire, créera, automatiquement, une situation similaire à celle que nous avons connue après l’invasion du Sud du Liban par Israël en 1978. Les Israéliens sont donc en train de jouer avec le feu et de pousser à l’escalade !

    Il y a ici, une action inacceptable de la part du DPKO. Le Secrétaire général est aux abonnés absents. Le Conseil de sécurité ne réagit pas en dépit de l’enlèvement des soldats fidgiens par les groupes terroristes et des menaces qui pèsent sur la vie des Philippins opérant avec l’UNDOF dans le Golan syrien occupé. Il ne s’agit même plus de politiques de doubles standards. C’est encore pire !

    C’est l’inaction totale de la part de tous ceux qui sont responsables de la vie des soldats des forces de l’UNDOF et de l’exécution de son mandat conformément à l’accord de désengagement de 1974.

    Si j’insiste sur ce point précis c’est parce qu’une fois que ces terroristes auront réussi à établir cette « safe zone » au Golan, en lieu et place de l’UNDOF, nous serons devant un « fait accompli » qui offrira aux Israéliens l’opportunité de s’infiltrer encore plus loin à l’intérieur du territoire syrien, pour soutenir encore plus de groupes terroristes, dans le but de créer une nouvelle situation du côté syrien et, à partir de là, enclencher une « guerre d’usure » contre l’Armée syrienne en l’absence de tout témoin international. L’UNDOF n’étant plus présente, théoriquement, personne ne pourra plus renseigner le Conseil de sécurité et le DPKO sur ce qui se passe au Golan !

    C’est un énorme complot impliquant les Israéliens, les Qataris, les Jordaniens et tous ces gouvernements devraient être tenus pour responsables par le Conseil de sécurité pour que nous puissions éviter le pire !

    Docteur Bachar al-Jaafari

    Représentant permanent de la Syrie auprès des Nations Unies

    16/09 /2014

     

    Source : Vidéo Nizar Abboud

    http://www.youtube.com/watch?v=mE5QVcoD4tQ&feature=youtu.be

    Transcription et traduction par Mouna Alno-Nakhal pour Mondialisation.ca

     

    Notes :


    [1] UN troops withdraw from Syrian Golan

    http://www.rappler.com/world/regions/middle-east/69197-un-troops-withdraw-syrian-golan

    [2] La résolution 2170, agissant en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies et adoptée le 15 août 2014

    http://www.un.org/News/Press/docs/2014/sc11520.doc.htm

    “18.  Observes that ISIL is a splinter group of Al-Qaida, recalls that ISIL [Islamic State in Iraq and the Levant] and ANF [Al Nusrah Front] are included on the Al-Qaida sanctions list and in this regard, expresses its readiness to consider listing individuals, groups, undertakings and entities providing support to ISIL or to ANF, including those who are financing, arming, planning or recruiting for ISIL or ANF and all other individuals, groups, undertakings and entities associated with Al-Qaida through information and communications technologies including the internet and social media or through any other means…”

     


    Sur ce site,

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    Raids US en coordination avec la Syrie…
    mensonges et secrets !

     

    International, voir aussi :

     


    Crimes néonazis ukrainiens : Que fera la CPI, ou à quand un nouveau Nuremberg ? + lien

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    .

    La vérité sur Kadhafi

     

    voir mon article complet

    Libye : Le vrai Kadhafi, un grand réformateur sauvagement assassiné

    Et sur mon compte twitter,

    j'avais ensuite abordé la question

    des énormes réserves d'or de la Libye

    (que sont-elles devenues ?)

    ainsi que la question de la dette,

    c'était un pays sans dette,

    et désormais il sera endetté comme en Occident

    eva R-sistons

     


     

     

     


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    http://santecool.net/matinale-speciale-ebola/

    santecool

     

    La Lettre Santé Nature Innovation par Jean-Marc Dupuis
    est un service d'information gratuit sur la santé, la nutrition et le bien-être.

    i.

     

     

    Ebola : la catastrophe

    Chère lectrice, cher lecteur,

    J'aurais préféré ne pas avoir à l'annoncer un jour.

    Mais, malheureusement, il se confirme que j'ai eu raison au sujet d'Ebola.

    Une étude réalisée par des chercheurs de Harvard vient de tomber dans la grande revue médicale Plos One. Elle confirme ce que je vous disais le 27 août dernier [1], à savoir que les mesures de mise en quarantaine des populations en Afrique pour, en principe, éviter la propagation du virus Ebola, sont en train de créer une catastrophe, avec une « hausse exponentielle des cas détectés » [2]. C'est donc pire encore que ce que je craignais.

    Confinées chez elles par la répression gouvernementale, plus mal nourries encore que d'habitude et victimes de l'hygiène qui se dégrade, des milliers de personnes ont attrapé le virus Ebola par la faute de mesures absurdes prises sous la pression de la « communauté internationale » :

    « Les chercheurs notent une hausse exponentielle des cas détectés au Libéria et en Guinée pendant le mois d’août, alors même que ces pays mettaient en place des mesures drastiques de mise en quarantaine de la population.

    Selon l’étude, le confinement de la population à domicile aurait en réalité aggravé la situation. Dans les zones concernées, les conditions de vie et l’hygiène se seraient très fortement dégradées, accélérant la transmission du virus entre les habitants
    . [3] »


    Et encore ne comptent-ils pas tous les décès dûs aux maladies « habituelles » en Afrique, à savoir le choléra, le paludisme, la malnutrition, qui se sont forcément aggravées elles aussi.

    Bref, cette fois, elle a du sang sur les mains, cette communauté internationale qui, des auditoriums cinq étoiles de New York, Genève et Paris, lance sans cesse des appels à faire « quelque chose » – en l'occurrence n'importe quoi. Des milliers de personnes ont déjà attrapé Ebola à cause d'elle.

    Si vous avez le cœur bien accroché

    Si vous avez le cœur bien accroché, vous pouvez regarder ce diaporama du photojournaliste John Moore qui permet de réaliser quelles sont les conditions de vie dans les centres de quarantaine :

    Et le pire, c'est que ces mesures criminelles, loin d'être remises en cause, sont actuellement en train d'être généralisées !!!

    Hier, la Sierra Leone a annoncé la mise en quarantaine de ses 6 millions d’habitants – exactement l'inverse de ce qu'il faut faire !!

    Mais qui ose le dire ???

    Une voix crie dans le désert

    On note tout de même qu'une organisation (une) a enfin repris les mises en garde que nous avons formulées il y a un mois : il s'agit de l'association Action Contre la Faim (ACF) qui a diffusé un communiqué dans lequel elle rappelle :

    « Par le passé, pour d'autres crises épidémiques comme celles du choléra ou de la peste, l'expérience a montré que les mesures de quarantaine et les embargos pour empêcher la circulation des personnes et des marchandises étaient non seulement inutiles mais créaient des conditions favorables à des crises socio-économiques majeures [4] ».

    Explosion de l'épidémie ?

    Si les organisations internationales continuent leurs stupidités (le mot est gentil), des centaines de milliers de personnes pourraient à terme être touchées par Ebola, et non plus 20 000 comme le prédisait l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) il y a à peine un mois.

    Selon un article publié début septembre dans Science par le physicien Alessandro Vespignani, le nombre de malades pourrait atteindre les 10 000 avant le 24 septembre, et des centaines de milliers dans les mois suivants, prédisait-il [5].

    Personnellement, je suis de plus en plus inquiet.

    Bien à vous,

    Jean-Marc Dupuis

    PS : La lettre sur Ebola et le chlorure de magnésium écrite par notre chroniqueur Pierre Lance d'Alternatif Bien-Être (et que je vous ai transmise jeudi dernier) a fait bondir au plafond l'expert en nutrition Thierry Souccar, qui constitue chaque mois pour nous un précieux  « Dossier de Santé & Nutrition ». 

    Thierry Souccar n'a pas perdu de temps pour lui répondre vigoureusement (voir lien ci-dessous).

    Le nœud du problème est l'absence d'études médicales fiables et de grande ampleur sur le chlorure de magnésium, comme le notent Thierry Souccar et Pierre Lance.

    Mais vous ? Avez-vous déjà pris du chlorure de magnésium pour soigner une infection virale ? Si oui, dites le moi ! Et surtout, cela a-t-il été efficace ? Vous pouvez répondre directement à ce message. C'est aussi pour ce partage d'expériences que Santé Nature Innovation existe !

    Bien à vous,

    Jean-Marc Dupuis

    Lien vers la réponse de Thierry Souccar.

     

    .

    Le ministère de la Santé est fin prêt.

    http://www.tananews.com/2014/08/ebola-un-budget-de-300-000-dollars-pour-la-prevention/

    Ébola: Le gouvernement américain via son Centre pour le Contrôle des Maladies, possède le brevet du virus et des vaccins…

    On ne peut pas "patenter, breveter" la nature… Si le virus est breveté, c’est que le virus a été créé artificiellement… Une crise sanitaire mondiale rapporterait très gros à certains, tuerait beaucoup de gens et permettrait d’imposer loi martiale, quarantaine, inoculations et grille de contrôle. L’occasion d’imposer la dictature mondiale ? Le rêve pour certains élitistes eugénistes comme le professeur de biologie de l’université d’Austin, Texas, Eric Pianka.

    Une chose est certaine, plus on cherche et plus on trouve de convergence d’intérêt chez les psychopathes du haut de la pyramide du système.

    – Résistance 71 –

     

    Le Centre de Contrôle des Maladies (CCM ou CDC en anglais), l’Institut National de la Santé (NIH) et Bill Gates sont propriétaires des patentes, brevets sur tout vaccin pour ébola et affiliés… La vaccination obligatoire n’est plus bien loin.

     

    Dave Hodges

     

    17 Septembre 2014

     

    url de l’article original:

    http://www.thecommonsenseshow.com/2014/09/17/the-cdc-nih-bill-gates-own-the-patents-on-existing-ebola-related-vaccines-mandatory-vaccinations-are-near/

     

    ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

     

    J’ai rapporté précédemment que Monsanto, ou Monsatan comme certains aiment à l’appeler, était entré en partenariat avec le ministère de la défense pour utiliser une tierce partie par procuration pour développer le vaccin contre le virus ébola. Les fonds de départ étaient de 1,5 million de dollars. La valeur de l’accord pourrait s’accroître jusqu’à une estimation de 86 millions de dollars. Le nom de l’entreprise est Tekmira Pharmaceuticals Corporation (TKMR) (TKM.TO), un développant majeur de thérapies ARN interférence ou ARNi.


    . “TKM-Ebola, une thérapie ARNi anti-virus Ébola est en train d’être développée sous contrat de 140 millions de dollars avec le Medical Countermeasure Systems BioDefense Therapeutics (MCS-BDTX) Joint Product Management Office du ministère de la défense US.” Aussi choquante que puisse potentiellement être cette nouvelle, la véritable info est que ceci ne constitue pas la partie la plus importante de la menace ébola qui a envahie les Etats-Unis. La vérité est que ces assocations auxquelles on ne peut faire nulle confiance lorsqu’on en vient à la lutte contre un virus comme l’ébola, ne représentent que la partie émergée de l’iceberg.

    Plus on creuse pour savoir qui est derrière la création et le développement des vaccins pour traiter l’Ébola et plus les réseaux de conspiration s’élargissent. La chose la plus incroyable est de voir comment il est facile de localiser toutes ces informations. Je veux être clair sur ce point: Ébola fut inventé, un vaccin contre Ébola a existé depuis 8-10 ans, Quelques institutions sponsorisées par le gouvernement ainsi que quelques personnes de l’élite globaliste se sont positionnées pour profiter énormément de la dissémination du virus et du développement et de la dissémination de vaccins anti-Ébola qui deviendront obligatoires et l’imposition de la loi martiale dans le processus. En voici la preuve.


    Les espèces de virus Ébola humain et les compositions et méthodes de celui-ci CA 2741523 A1


    De manière incroyable le Centre pour le Contrôle des Maladies (CCM ou CDC pour l’acronyme anglais) est propriétaire de “la” patente sur le virus Ébola et toutes ses futures variations.

    La section “Summary of the Invention” du document de patente/brevet affirme aussi clairement que le gouvernement américain clâme la “propriété” sur tous les virus Ébola dont certains partagent aussi peu que 70% de similitudes avec le virus Ébola qu’il a “inventé”:

    Pourquoi est-ce qu’une organisation gouvernementale clâmerait-elle d’avoir “inventé” cette maladie infectieuse et ensuite affirmerait un monopole sur son exploitation à des fins commerciales ? Il est très clair que le CCM planifie de demander des droits d’auteur/inventeur sur les vaccins contre Ébola. Ceci certainement augmente les chances pour que le(s) vaccin(s) deviennent obligatoires, augmentant ainsi le profit potentiel pour les détenteurs du brevet.


    Publication number CA2741523 A1
    Publication type Application
    Application number CA 2741523
    PCT number PCT/US2009/062079
    Publication date Apr 29, 2010
    Filing date Oct 26, 2009
    Priority date Oct 24, 2008
    Also published as EP2350270A2, 4 More »
    Inventors Jonathan S. TownerStuart T. NicholJames A. ComerThomas G. KsiazekPierre E. Rollin
    Applicant Jonathan S. Towner, 5 More »
    Export Citation BiBTeXEndNoteRefMan
    Classifications (21), Legal Events (1)
    External Links: CIPOEspacenet

     

    De manière très claire, Ébola a été fabriqué par l’homme et ce brevet prouve cette affirmation. Pourquoi le CCM a t’il besoin de posséder un brevet/patente sur Ébola ? Peut-être devrions-nous demander à Bill Gates qui a donné 50 millions de dollars à l’ONU et au CCM pour lutter contre le virus Ébola (voir la vidéo sur l’article original, en anglais). Le CCM s’est associé dans sa lutte contre Ébola avec Crucell, l’Institut National de la Santé (NIH) et l’ Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) et bien sûr, la fondation Bill & Melinda Gates.

    Depuis quand Bill Gates ne voudraient-ils pas un retour sur investissement (RI) ? Gates and Michael Bloomberg ont déjà contribué à de larges sommes d’argent pour de multiples causes de vaccinations comme la Global Polio Eradication Initiative lancée originellement en 1988 par l’OMS, le Rotary, le CCM et l’UNICEF. Le RI a été impressionnant…

    Gates a annoncé qu’il planifie de faire vacciner chaque enfant du tiers monde avec de multiples vaccins, et selon ses dires, cela pourrait résulter en une dramatique réduction de la population de l’ordre de 10 à 15%. Réalisez-vous les profits colossaux qui peuvent être réalisés en vaccinant chaque enfant du tiers monde ? Si nous appliquons le penchant de Gates à investir dans des causes qui produisent une très bon RI, on peut raisonnablement penser que Gates est en train de se positionner pour bien profiter des 50 millions qu’il a investi dans la cause Ébola, qui de manière très convéniente inclue également le CCM, le propriétaire du brevet déposé sur Ébola.


    Le NIH détient présentement toutes les patentes/brevets sur les vaccins contre Ébola Crucell est plus comme Tekirama et Monsanto car ce sont eux qui gèrent la science pour les patentes des traitements par vaccins ébola.

    Ce qu’on ne vous dit pas. Info prises depuis le site internet de Crucell: Crucell’s Website

    • Crucell développe un vaccin contre Ébola en collaboration avec la Vaccine Research Center ou Centre de Recherche Vaccinal (VRC) de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID). Le vaccin a prouvé protéger les singes cobayes complètement avec une simple dose du vaccin.
    • Dans les termes de l’accord avec le VRC, Crucell a une option pour les droits de commercialisations dans le monde entier du vaccin anti-Ébola.
    • Le vaccin anti-ébola de Crucell est entré dans la phase 1 des essais cliniques dans le 3ème quart de 2006. Deux groupes de 16 volontaires se sont enrôlés et ont été vaccinés. L’étude a montré une sécurité et une immunogénécité aux doses évaluées.
    • En Octobre 2008, Crucelle a sécurisé une récompense NIAID/NIH pour faire avancer le développement des vaccins Ébola et Marburg avec pour but ultime le développement d’un vaccin polyvalent filovirus.
    • La récompense fournit des fonds jusqu’à 30 millions de dollars, avec des options additionnelles valant plus de 40 millions de dollars.

    Comprenez-vous à quel point les médias nous mentent sur ce sujet ? Le travail sur le virus Ébola, sanctionné par le détenteur du brevet pour le vaccin, le NIH, s’est effectué depuis au moins 2004 avec des essais cliniques du vaccin en 2006. Ceci explique également pourquoi le CCM et le NIH amène des patients Ébola aux Etats-Unis pour les traiter. Le moment où un patient atteint du virus Ebola passe la frontière américaine, il devient la propriété intellectuelle du CCM, du NIH et de la Fondation Bill & Melinda Gates ! Comment ne pourrions nous pas croire que ceci est les dialectique hégélienne du problème, réaction, solution portée à son comble ? L’implication de l’armée et de son USAMRIID est importante à noter parce que l’armée est sujette à de vieilles rumeurs d’avoir créé le virus Ébola et, à des fins expérimentales, d’avoir implanté le virus artificiel au Zaïre en 1977.

    Quand un public insouciant va finalement être mis au courant d’un vaccin contre Ébola, le Global Fund sera mis en charge de sa distribution. De manière également intéressante, Bill Gates a donné 560 millions de dollars au Global Fund. Le Global Fund s’est aussi positionné pour être en charge de la distribution des vaccins “nouvelleemnt développés” mais pas encore annoncés contre la tuberculose et le VIH. Comme le but est la vaccination de tout être humain sur terre, hommes, femmes et enfants, avec des vaccins multiples, la contribution de 560 millions de Dollars des Gates à Global Fund ne sont que menue monnaie comparés à ce qui en est attendu en retour d’investissement. Quoi qu’il en soit, pour l’heure place au virus Ebola.


    La direction politique de la crise


    J’ai mentionné dans la première partie de cette série ( Part One ) que ma meilleure source d’information au sein de l’armée m’a dit que le Ministère de la Sécurité de la Patrie (NdT: DHS, la Stasi du pays du goulag levant) a pris en compte les plans pour la vaccination obligatoire contre le virus Ebola et l’imposition de la loi martiale. J’ai aussi mentionné dans ma première partie que très peu de policiers et de militaires se rendront en fait compte qu’ils mettent en application une loi martiale, puisqu’ils agiront essentiellement dans le cadre d’une “crise sanitaire”, même contrainte et imposée, qui impliquera plusieurs niveaux de restrictions des déplacements, de mesures de mise en quarantaine pour des segments entiers de la population du pays. Si quelqu’un veut vraiment se rendre compte de la profondeur de cette conspiration et les joueurs qui y sont impliqués, je recommande de visiter le site de Crucell dont j’ai mis le lien ci-dessus.

    Les détails opérationnels du programme de vaccination obligatoire seront exposés dans un article à venir.


    ..

    http://resistance71.wordpress.com/2014/09/25/ebola-le-gouvernement-americain-via-son-centre-pour-le-controle-des-maladies-possede-le-brevet-du-virus-et-des-vaccins/

    .

    ..

    Ebola, le Pentagone s’installe en Afrique : Washington annonce la naissance d’un centre de commandement militaire au Libéria:

    Ebola Obma 2

    Face à l’« épidémie sans précédent d’Ebola, qui se répand de façon exponentielle en Afrique occidentale », le président Obama a annoncé que « à la demande du gouvernement libérien », les Etats-Unis établiront « un centre de commandement militaire au Liberia ». Il s’agit d’un « quartier général de commandement de la force conjointe » spécifie le Commandement Africa des Etats-Unis (dont l’ « aire de responsabilité » couvre tout le continent, sauf l’Egypte). Le quartier général, aux ordres du général Darryl Williams (déjà sur le terrain au Libéria) disposera d’au moins 3000 militaires étasuniens, d’un pont aérien et d’un centre de tri au Sénégal. C’est ce quartier général qui exercera la fonction de « commandement et contrôle » de l’opération internationale anti-Ebola, qui prévoit l’envoi de personnel médical et d’hôpitaux de campagne. Selon Obama, c’est « un exemple de ce qui se passe quand l’Amérique prend le leadership pour affronter les plus grands défis mondiaux ». Qu’il a listés dans son récent discours urbi et orbi, affirmant que seule l’Amérique a « la capacité et la volonté de mobiliser le monde contre les terroristes de l’Isis », de « battre le rappel mondial contre l’agression russe », et de «contenir et anéantir l’épidémie d’Ebola ».

    Même si la possibilité qu’Ebola se diffuse aux Etats-Unis est extrêmement basse, a souligné Obama dans le discours qu’il a prononcé au Centre de contrôle et de prévention des maladies[1] à Atlanta (Georgie), en Afrique occidentale il a provoqué la mort de « plus de 2400 hommes, femmes et enfants ». Evénement certes tragique, mais limité si on le rapporte au fait que l’Afrique occidentale a une population d’environ 350 millions d’habitants et toute la région sub-saharienne presque 950 millions. Si l’on pense que chaque année meurent dans la région à cause du sida plus d’un million d’adultes et d’enfants ; que la malaria provoque chaque année plus de 600 mille morts, en majorité chez les enfants africains ; que dans l’Afrique sub-saharienne et dans l’Asie méridionale la diarrhée tue chaque année environ 600 mille enfants (plus de 1600 par jour) de moins de cinq ans. Ces maladies et quelques autres, toutes « maladies de la pauvreté », qui provoquent chaque année en Afrique sub-saharienne des millions de morts prématurées et de cas d’invalidité, sont dues à la sous-alimentation et à la malnutrition, au manque d’eau potable, aux mauvaises conditions hygiéniques-sanitaires dans lesquelles vit la population pauvre, qui (selon les données de la Banque mondiale elle-même) constitue 70% de la population totale, dont 49% se trouve en conditions de pauvreté extrême. La campagne d’Obama contre l’Ebola semble donc instrumentale.

    L’Afrique occidentale, où le Pentagone installe son propre quartier général avec la motivation officielle de lutter contre l’Ebola, est très riche en matières premières : pétrole au Nigéria et Bénin, diamants en Sierra Leone et Côte d’Ivoire, phosphates au Sénégal et Togo, caoutchouc, or et diamants au Libéria, or et diamants en Guinée et Ghana, bauxite en Guinée. Les terres les plus fertiles sont réservées aux monocultures de cacao, ananas, arachides et coton, destinées à l’exportation. La Côte d’Ivoire est le plus grand producteur mondial de cacao. De l’exploitation de ces grandes ressources quasiment rien n’arrive à la population, car les revenus sont partagés entre multinationales et élites locales, qui s’enrichissent aussi grâce à l’exportation des bois précieux avec de graves conséquences environnementales dues à la déforestation.

    Les intérêts des multinationales étasuniennes et européennes sont cependant mis en danger par les rebellions populaires (comme celle du delta du Niger, provoquée par les conséquences environnementales et sociales de l’exploitation pétrolifère) et par la concurrence de la Chine, dont les investissements sont pour les pays africains beaucoup plus utiles et avantageux. Pour conserver sa propre influence dans le continent les Usa ont constitué en 2007 le Commandement Africa qui, derrière le paravent des opérations humanitaires, recrute et forme dans les pays africains des officiers et des forces spéciales locales par l’intermédiaire de centaines d’activités militaires. Une base importante pour ces opérations est celle de Sigonella (Sicile), où a été déployée la Task force du Corps des marine qui, dotée d’avions hybride Ospreys, envoie en rotation des escadrons en Afrique, notamment occidentale.

    Là où commence la campagne d’Obama « contre le virus Ebola ».

     

    Edition de jeudi 18 septembre 2014 de il manifesto 

    http://ilmanifesto.info/ebola-il-pentagono-si-sistema-in-africa/

    Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

    Selon http://fr.wikipedia.org/wiki/Centres_pour_le_contr%C3%B4le_et_la_pr%C3%A9vention_des_maladies

    « L’origine des CDC (Centre pour le Contrôle et la Prévention des maladies) est d’abord militaire. Aux États-Unis, les institutions militaires, pour la protection de l’US Army ont joué un rôle important en matière de santé et surtout d’épidémiologie, via d’abord le suivi et l’étude de la santé des soldats, puis par l’étude des épidémies en tant que pouvant être utilisées par le bioterrorisme ou comme arme de destruction massive » (Note -et italiques- de la traductrice pour la version française).

      


    [1] Center for Disease Control and Prevention http://www.cdc.gov/

     

    http://www.mondialisation.ca/ebola-le-pentagone-sinstalle-en-afrique/5402607

    .

     

     

    Voir aussi :

     

    Tuer les africains expressément ? Lé sérum qui guérit Ebola existe depuis 1976 Et si l'on nous mentait, encore une fois... Voyez cette vidéo d'un JT en date des années 80, alors, Ebola sévissait au Zaïre... Interview du médecin militaire Gilbert RAFFIER...
    Lire la suite

     

    Comment l'Europe empoisonne sa propre population

     

     

    Les Etats-Unis accusés d’avoir déclenché l’épidémie d’Ebola

    Un docteur, directeur de recherches en phytopathologie, accuse les Etats-Unis de faire des tests bactériologiques sur la population en Afrique de l’ouest.

     

      .


    DOSSIER

    Cuba enverra 461 médecins et infirmières en Afrique de l'Ouest pour aider à combattre l'épidémie d'Ebola

    Cuba enverra 461 médecins et infirmières en Afrique de l'Ouest pour aider à combattre l'épidémie d'Ebola, ont rapporté vendredi les médias locaux. Un premier...

     

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    Le coup de gueule d’une médecin spécialiste du cancer

     

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    Gordel-algerie-otage.jpg

     

    L’enlèvement de Pierre-Hervé Gourdel

    a-t-il été organisé par les services secrets français ?

     

     

    Publié le septembre 25, 2014 par admin

    Pierre_Herv_GourdelAli Zaoui, ancien militaire, expert en questions sécuritaires et lutte antiterroriste, ne croit pas à la version donnée par les autorités françaises sur l’enlèvement du touriste français en Algérie. Il a indiqué que le rapt du ressortissant français Pierre-Hervé Gourdel à Bouira est monté de toute pièce par les services secrets français afin d’entraîner l’Algérie dans la lutte contre Daech.

    Le Temps d’Algérie — Quelle analyse faites-vous du rapt du ressortissant français Pierre-Hervé Gourdel à Bouira ?

    Ali Zaoui — Pour moi, cet enlèvement est monté de toute pièce par les services secrets français. La France veut forcer l’Algérie à s’ingérer militairement dans la région, et notamment en Libye. C’est le même scénario que Pierre Camatt. On se souvient encore de son affaire. Les Français veulent resserrer l’étau sur l’Algérie et lui forcer la main pour entrer dans ces conflits, surtout après la création de la coalition pour lutter contre l’État Islamique (EI), et la participation de 10 pays arabes, comme déclaré par le président américain, Barack Obama.

    L’Algérie est une puissance régionale à ne pas négliger. La France ainsi que d’autres pays ont besoin de cette force pour les aider à combattre le terrorisme qu’ils ont eux-mêmes soutenu et financé. Alors que l’un des principes indéfectibles du pays est celui de ne jamais s’ingérer dans les affaires internes des autres pays et encore moins de sortir son armée hors de ses frontières.

    Pourquoi pensez-vous que ce rapt est un scénario monté par les parties citées ? Disposez-vous de preuves ?

    Tous les indices indiquent que ce rapt, combien même revendiqué par le groupuscule Djound al khilafa a été déjà planifié. Comment se fait-il que Pierre-Hervé Gourdel soit enlevé le lendemain de son arrivée en Algérie ? Pourquoi ne s’est-il pas conformé aux consignes de sécurité ? Le ressortissant français faisait de la randonnée dans cette région, connue pour son insécurité. Pourquoi a-t-il donc choisi cet endroit ?

    Le kidnappé avait loué un chalet au nom de son ami algérien afin d’éviter d’être identifié par les services de sécurité algériens. Et puis, dans son dernier tweet, on pouvait lire : « Quand je rentrerai d’Algérie après le 1er octobre, si je rentre ». Cela indique qu’il était certainement destiné à mener une mission précise en Algérie. Les deux premiers ressortissants français enlevés en Algérie ont déjà été identifiés comme étant des agents d’espionnage français. Pour moi, il n’y a pas de doute : Gourdel est un agent français bien rusé.

    Mais le groupe dit Djound al khilafa a revendiqué ce rapt…

    Le groupe terroriste actif dans cette région, baptisé Djound al khilafa, qui a porté allégeance il y a quelques jours à l’organisation terroriste Daech, est composé de 12 membres. Il serait vrai qu’ils ont pu enlever ce ressortissant français. Le chef de ce groupe, de son vrai nom Djamel Aissaoui (Abou Djahada), a cherché par cet acte un nouveau coup médiatique. Mais je pense que cet enlèvement est de la pure propagande médiatique dans la région et au niveau international. Les médias servent de trait d’union entre Djound al khilafa et Daech.

    En réalité, ce groupe terroriste n’a pas de contact direct avec cette organisation et utilise les médias pour atteindre ce but. Ces dissidences ne sont, dans le fond, qu’une guerre de leadership entre eux. Le but d’une telle annonce est d’attirer le plus grand nombre de jeunes et de les enrôler dans leurs rangs. Mais ce n’est pas sans compter sur la volonté de l’ANP, qui est de combattre sans relâche le terrorisme et son financement. Qu’il s’agisse d’AQMI ou de Djound el khilafa, c’est juste les noms qui changent mais la détermination de l’armée reste la même.


    Lire sur Le temps d’Algérie

    Vu sur :

    http://croah.fr/revue-de-presse/lenlevement-de-pierre-herve-gourdel-a-t-il-ete-monte-de-toutes-pieces-par-les-services-secrets-francais/

     

    .

     

    Voir aussi :

     

    L'étrange affaire de Hervé Gourdel :

     

     

     

     

     

    .

    Actualité :

     

    .

     

     


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