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    Percevrez-vous

    votre retraite ?

    Percevrez-vous votre retraite ?

    Voici la traduction d’un article de CNBC

    au sujet des retraites, et les retraités actuels

    et futurs ont bien du soucis à se faire tant

    le montant des pensions qu’ils devraient

    percevoir n’est tout simplement pas financé !

    Je ne suis en aucun cas dans le jugement de

    valeur. Oui, nos anciens ont cotisé toute

    leur vie et “méritent” leur retraite, il n’y a

    aucun débat là-dessus. Il va en revanche

    y avoir un problème sur les versements,

    parce que sans banque centrale pour

    imprimer tout plein de billets tout neufs,

    il n’y a tout simplement pas la queue d’un

    rond dans les caisses pour payer tout

    ça, et c’est un phénomène mondial

    touchant aussi les retraites américaines

    par capitalisation par exemple qui, dans

    un environnement de taux zéro ou

    négatifs, ne pourront évidemment pas

    capitaliser grand-chose.

    Il y a donc deux solutions : la fuite

    en avant dans l’impression monétaire

    ou la faillite.

    Charles SANNAT

    retraite-eurosRien n’est moins sûr.

    D’après un rapport de Citi, les pays développés devront

    faire face à un trou de 78 trillions de dollars lorsqu’il

    s’agit de tenir leurs promesses en matière de retraites.

    C’est ce que nous explique cet article de cnbc.com,

    publié le 16 mars 2016 :

    « Vos rêves de croisières interminables et de

    retraite sous les cocotiers pourraient bien rester

    du domaine de l’onirique alors que 20 des plus

    grands pays du monde font face à un trou de 78

    milliards de trillions pour tenir leurs promesses

    en matière de retraites, d’après un rapport de

    Citi publié ce mercredi.

    « Les systèmes de sécurité sociale, de retraite et les

    plans de pensions du privé ainsi que les assurances

    vie individuelles ne sont pas financés ou sont

    sous-financés », ont écrit dans leur rapport les

    analystes spécialisés dans les pensions et les

    assurances de la banque américaine.

    « Les services publics, les profits des entreprises

    ou les montants des retraites elles-mêmes devront

    être réduits afin d’assurer la pérennité du système.

    Cela représente un énorme défi pour les employeurs,

    les employés et les politiciens du monde entier. »

    La valeur totale des engagements du gouvernement,
     en matière de retraites, qui ne sont pas financés ou
    sous-financés de 20 pays membres de l’OCDE,
    des nations majoritairement riches, s’élève à 78
    trillions de dollars, d’après Citi. Dans ces pays on
    trouve la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni,
    les États-Unis, le Japon, le Canada, l’Australie
    et d’autres pays d’Europe occidentale et centrale.
     

    La banque ajoute que les entreprises se

    montrent également incapables de remplir de

    façon consistante leurs obligations de retraite,

    la plupart des plans de pension des entreprises

    américaines et britanniques étant sous-financés.

    Les pays disposant de systèmes lourds de

    retraite en Europe semblent être les plus

    problématiques. Citi rapporte que l’Allemagne,

    la France, l’Italie, le Royaume-Uni, le

    Portugal et l’Espagne possèdent des obligations

    en termes de retraite des fonctionnaires qui

    dépassent 300 % de leur PIB.

    Les progrès de la médecine signifient que les retraités

    doivent jouir de leurs revenus sur des

    périodes prolongées. Simultanément, le

    vieillissement de la population ne fait qu’augmenter

    la pression sur le système public des retraites.

    Plusieurs pays, dont la France, l’Italie et le

    Royaume-Uni, sont en train de relever progressivement

    l’âge de la retraite. Citi recommande de corréler

    directement l’âge de la retraite avec l’espérance de

    vie moyenne.

    La banque recommande également l’adoption

    de retraites ne représentant qu’un filet de sécurité

    plutôt qu’une source principale de revenus. Elle

    estime également que la participation aux

    plans de pension des entreprises devrait être

    automatique, avec la possibilité d’en sortir,

    au lieu d’offrir le choix aux travailleurs,

    et ce afin d’augmenter le taux de participation. »

    source: http://insolentiae.com/2016/03/20/percevrez-vous-votre-retraite/

    http://reseauinternational.net/percevrez-vous-votre-retraite/

     

     


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    FRANCE :…vers une réduction du nombre des bénéficiaires A.P.L. dès cet été

    FRANCE :…vers une réduction du nombre des bénéficiaires A.P.L. dès cet été

    Aides au logement (APL) : les règles d’octroi vont changer

    Sujet récurrent depuis un an et demi, une révision des règles d’octroi des aides au logement (APL) devrait être appliquée à partir de l’été 2016. Tout n’est pas encore défini mais une chose est sûre : les bénéficiaires potentiels de cette aide vont être moins nombreux à l’avenir.

    En France, l’aide personnalisée au logement (APL) a théoriquement pour but d’aider les locataires à payer leur loyer, en leur permettant d’accéder à un logement plus décent que celui qu’ils pourraient s’offrir en l’absence de cette aide.

    Actuellement, l’APL est versée à ses bénéficiaires sans condition d’âge, de manière partiellement proportionnelle au loyer payé, et en se basant sur les revenus déclarés par les locataires. Au-delà d’un certain niveau de revenus, les locataires ne sont plus éligibles à cette aide.

    Rappelons que les aides au logement ont représenté 17,4 milliards d’euros versés en 2013, un chiffre en progression régulière d’année en année, allant de pair avec la hausse des loyers en France. 6,3 millions de ménages ont bénéficié de cette aide en 2013.

    Trois réformes à venir

    Pour réaliser des économies publiques, cette aide devrait être réduite dans le courant de l’année 2016 à travers trois réformes qui en limiteraient l’octroi. Cette aide ne sera cependant pas supprimée aux étudiants, grands bénéficiaires des APL, suite à une négociation intervenue au début du mois de mars avec l’UNEF, sans que le célèbre syndicat étudiant maîtrise forcément dans son ensemble les enjeux économiques liés à ce sujet.

    Première réforme : l’aide ne serait plus versée au-delà d’un certain niveau de loyer mensuel. L’idée est tout simplement qu’un locataire qui décide de prendre un logement à 1.000 euros par mois, par exemple, a clairement les moyens directs ou indirects de payer un tel loyer et ne devrait donc pas bénéficier d’une aide supplémentaire pour pouvoir se loger. Le plafond exact à partir duquel les APL ne pourraient plus être demandées n’est pas encore connu.

    À noter que les Parisiens seraient clairement les plus désavantagés par la fixation d’un plafond unique à l’échelle nationale, les loyers y étant nettement plus élevés qu’en régions. Par ailleurs, la fixation d’un plafond, par exemple à 1.000 euros par mois, créera comme toujours une inégalité entre un locataire payant un loyer de 990 euros par mois et un autre payant 1.010 euros par mois.

    Seconde réforme : le patrimoine du locataire devrait être pris en compte, à partir du 1er octobre 2016, pour ajuster l’aide au logement. Rien n’est encore fixé autour de ce projet, mais l’idée qui semble se dégager est la suivante : l’aide au logement deviendrait dégressive pour les locataires disposant d’un patrimoine personnel estimé à plus de 30.000 euros.

    Troisième réforme : toujours à partir du 1er octobre prochain, les locataires rattachés à un foyer fiscal assujetti à l’ISF ne devraient plus pouvoir bénéficier des APL. La mesure semble de bon sens, puisqu’une telle situation implique a priori une aisance indirecte du locataire, qui rend facultative la nécessité de l’aide au logement. Le sujet reste en débat et il n’est pas impossible que cette réforme, évoquée depuis longtemps, soit encore ajournée.

    La modification des APL ne manque pas de faire réagir les commentateurs politiques, qui soulignent que cette réforme est de nouveau plus inspirée d’un programme économique « de droite » que « de gauche ». La couleur du gouvernement reste en réalité peu importante face à la nécessité de mieux contrôler la dépense publique, particulièrement élevée en France où le déficit public reste à un niveau beaucoup trop élevé en l’absence de perspectives de croissance significatives.

    La baisse des APL se transformera-t-elle en baisse des loyers ?

    La réduction à venir des APL engendre quelques débats économiques intéressants. Les APL sont en effet désormais réputées pour avoir participé significativement à la hausse des loyers dans les grandes villes françaises depuis la fin des années 1990, notamment à Paris. À long terme en effet, les revenus supplémentaires accordés aux locataires auraient finalement été captés par les propriétaires qui ont pu augmenter le niveau des loyers en conséquence.

    Il n’est cependant pas certain que la réduction des conditions d’octroi des APL puisse, en sens inverse, faire baisser le niveau des loyers. Cet effet est pourtant à espérer pour compenser en partie les éventuels excès à la hausse observés au cours des dernières années.

    Si la réduction des APL ne provoque pas une baisse des loyers, elle devrait tout du moins permettre d’en limiter la hausse. Déjà depuis quelques mois, les loyers sont parfaitement stables en France et cette situation pourrait donc perdurer. L’indice de référence des loyers (IRL) calculé par l’Insee est même passé en territoire très légèrement négatif (-0,01%) au T4 2015 par rapport au T4 2014.

    L’absence de hausse des loyers devrait également peser plus généralement sur la hausse des prix de l’immobilier, puisque les deux éléments sont partiellement corrélés. L’effet n’est cependant pas automatique, d’autant plus qu’on observe sur les données historiques de long terme que les prix de l’immobilier peuvent grimper beaucoup plus vite que les loyers à certaines périodes, et inversement chuter certaines années sans que le niveau des loyers évolue significativement.

    À noter enfin que l’évolution des prix des loyers est également prise en compte dans le calcul de l’inflation (indice des prix à la consommation). L’absence de hausse des loyers ira donc dans le sens d’une inflation toujours faible en France, malgré les efforts de la BCE pour « reflater » l’économie de l’ensemble des pays de la zone euro.

    X. Bargue (redaction@boursorama.fr)

    source: http://www.brujitafr.fr/2016/03/france-vers-une-reduction-du-nombre-des-beneficiaires-a-p-l-des-cet-ete.html?utm_source=flux&utm_medium=flux-rss&utm_campaign=politics

    http://reseauinternational.net/france-vers-une-reduction-du-nombre-des-beneficiaires-a-p-l-des-cet-ete/

     

     


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    Menace de l’abolition de l’argent liquide : les vrais arrière-plans

    Menace de l’abolition de l’argent liquide : les vrais arrière-plans

    Depuis des mois au travers des médias, les politiciens expliquent avec insistance au grand public à quel point l’utilisation des pièces de monnaie et des billets de banque est démodée et incommode et à quel point par contre l’utilisation de cartes de crédit et de cartes à puces serait moderne et efficace. De plus, on répète comme un moulin à prière que l’utilisation de l’argent liquide favorise le blanchiment d’argent, qu’il avantage le détournement d’impôts, qu’il soutient la corruption et facilite aux terroristes l’approvisionnement en argent. Nous en avons déjà parlé sur KlaTV.

    L’observateur impartial s’étonne et pose la question suivante : Pourquoi ces sujets sont-ils de plus en plus soulevés justement maintenant ? Car le blanchiment d’argent, le détournement d’impôt, la corruption et aussi le terrorisme existent depuis toujours. Et de toute façon les vraies grandes affaires financières crapuleuses ne passent pas par l’argent liquide.

    Ces quatre raisons ne semblent être qu’un prétexte. C’est pourquoi les experts financiers formulent de manière un peu exagérée les véritables motifs qui se cachent derrière les campagnes actuelles contre l’argent liquide : On veut leur argent !

    Alors cela vaut la peine de regarder d’un peu plus près derrière les coulisses et de se faire une idée de ce à quoi tout cela est relié : Lors du krach financier en 2008 le système financier global n’a pu être sauvé que par un « bail-out ». Cela veut dire qu’à cette époque, les Etats ont apporté de l’aide avec l’argent du contribuable en injectant artificiellement des capitaux et sauvé de nombreuses entreprises financières et banques vouées au déclin, avec la justification qu’elles seraient « too big to fail » ce qui veut dire « trop grandes pour échouer ».

    Mais par la suite celles-ci n’ont pas saisi ce traitement préférentiel comme une occasion pour endiguer leurs propres risques. Tout au contraire, elles se sont exposées à des risques encore plus grands et ont accumulé encore plus de dettes. Comme aujourd’hui les Etats ne sont tout simplement plus en mesure de sauver de nouveau les banques en cas de crise, un autre « bail-out », c’est-à-dire une autre aide financière venant de l’Etat ne sera plus possible dans un prochain cas d’urgence.

    C’est pour cette raison que le « bail-in » a été introduit en Europe début 2016. Cela veut dire qu’à l’avenir les entreprises financières seront sauvées tout d’abord en ayant recours aux avoirs des actionnaires, des propriétaires d’obligations et des épargnants. Cela a déjà été mis en œuvre à Chypre et en Italie, mais avec des conséquences : beaucoup de gens essayent actuellement de se protéger en fermant leurs comptes et en entassant leur fortune sous forme d’argent liquide. Pour retirer aux gens cette possibilité de retrait, l’argent liquide doit être supprimé ou du moins endigué. Car si l’argent liquide n’existe plus, les gens seront obligés de laisser leur argent dans les établissements de crédit ou bien de changer pour un autre établissement de crédit prétendument plus sûr. En cas de crise, l’Etat et le secteur financier pourraient sans problème par ce biais avoir recours à ces dépôts privés.

    Mais il existe encore une autre raison pour l’abolition forcée de l’argent liquide. Actuellement, les intérêts des banques sont à zéro, ou bien même ils sont arrivés dans le négatif (en Suisse par exemple, au Japon et dans quelques pays de l’UE). La conséquence de l’intérêt négatif est la suivante : A la fin de l’année, au lieu de payer au déposant des intérêts sur son avoir économisé, dans un avenir proche on lui prendra même encore un pourcentage de son argent comme intérêt négatif. Mais là aussi, la population n’accepte pas tout simplement cette forme d’expropriation insidieuse. Comme l’exemple de la Suisse nous le montre, la majorité de la population retire son argent des banques après l’introduction d’intérêts négatifs et l’entasse à la maison. C’est exactement ce développement que l’Etat et l’industrie financière essayent d’empêcher maintenant en présentant comme bonnes la limitation et l’abolition immédiates de l’argent liquide, en les exigeant et en les faisant avancer.

    Mais l’abolition de l’argent liquide entraîne des pertes de liberté bien plus profondes encore : Nous reviendrons sur le sujet de « l’abolition de l’argent liquide » dans d’autres émissions. Restez avec nous, étudiez nos émissions déjà publiées sur ce sujet et partagez nos informations avec votre entourage. Merci beaucoup !

    Karl-Heinz Christ

     
     
     
     
    Société sans cash : devenez un hors-la-loi ! Rédigé le 18 février 2016 par Bill Bonner | Article, Bill Bonner, Indices, marchés actions, stratégies ▪ L’économiste Larry Summers est une source fiable de sottises. Et un porte-parole régulier du Deep State — l’Etat profond. Un petit rappel pour les nouveaux lecteurs : les électeurs n’ont pas leur mot à dire sur qui régit un pays. C’est plutôt un "gouvernement de l’ombre", constitué de l’élite, de compères, de lobbyistes, de bureaucrates, de politiciens et de zombies — c’est-à-dire le Deep State — qui est en permanence au pouvoir. Dit plus simplement, peu importe le parti au pouvoir ; c’est le Deep State qui règne. Et à quoi est-il occupé en ce moment ? Larry Summers le sait. "Il est temps de tuer le billet de 100 $", écrit-il dans le Washington Post (une autre source fiable de sottises). ▪ Contrôler, taxer, confisquer Le Deep State veut que vous utilisiez de l’argent qu’il peut facilement contrôler, taxer et confisquer. Or la devise papier contrarie ses plans… La France a déjà interdit les transactions en cash de plus de 1 000 euros. Les plus grandes banques de Suède et de Norvège militent pour l’abolition pure et simple du cash. Il y a des plans aux plus hauts niveaux du gouvernement en Israël, en Inde et en Chine pour supprimer le cash de la circulation. Le PDG de la Deutsche Bank, John Cryan, prédit que le cash "n’existera probablement plus" d’ici 10 ans. Et voilà M. Summers dans le Washington Post : "Les activités illicites sont facilitées lorsqu’un million de dollars pèse 1,1 kg, comme dans le cas des billets de 500 euros, plutôt que 25 kg ou plus comme ce serait le cas si le billet de 20 $ était la dénomination la plus élevée". Il propose "un accord mondial pour cesser d’émettre des billets valant plus de 50 $ ou 100 $, par exemple. Un tel accord serait aussi significatif que tout ce que le G7 ou le G20 a fait depuis des années". Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Un article de recherche présenté par Peter Sands, ancien PDG de la banque britannique Standard Chartered, et publié pour la Harvard Kennedy School of Government. ▪ Des idées idiotes "Les billets à dénomination élevée", dit la publication, "ne jouent pas un grand rôle dans le fonctionnement de l’économie légitime, mais un rôle crucial pour l’économie souterraine". M. Sands sait sans doute de quoi il parle, en matière de dissimulation. Lorsqu’il était PDG, le plus grand régulateur financier de New York a menacé de retirer sa licence bancaire à Standard Chartered. Selon l’organisation, la banque avait "conspiré" avec le gouvernement iranien pour dissimuler au moins 60 000 transactions illégales — représentant au moins 250 milliards de dollars. A la Chronique Agora, nous ne prétendons pas savoir comment améliorer le monde. Nous savons simplement ce que nous aimons. Et nous n’aimons pas que d’autres nous disent quoi faire. Les gens qui insistent pour appliquer leurs idées au monde entier sont généralement les gens dont les idées sont idiotes. "Il faut toujours faire le contraire de ce qu’on vous dit de faire", nous a conseillé un ami en France dont le père était maire d’une petite ville durant la Deuxième guerre mondiale. Il continua : "Il y avait eu un ‘incident’. Je crois que la Résistance avait tué un soldat allemand dans la région. C’était vers la fin de la guerre, quand les nazis menaient des actions de représailles contre les civils. Ils dirent donc à mon père de rassembler toute la population sur la place du village. Au lieu de ça, mon père dit à tout le monde d’aller se cacher dans les bois environnants, ce qu’ils firent. Ils ont eu de la chance — ils ont survécu à la guerre". Les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village ▪ Monnaie électronique Aujourd’hui, les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village. Au lieu de billets, ils veulent nous forcer à utiliser des notations électroniques fidèlement enregistrées dans une banque réglementée par le gouvernement. Avez-vous déjà vu un de ces "billets électroniques", cher lecteur ? Nous non. Nous ne savons pas de quoi ils ont l’air. Et nous nous méfions profondément de toute cette histoire. La Banque centrale européenne et la Banque du Japon — tout comme les banques centrales du Danemark, de la Suède et de la Suisse — ont déjà imposé une "taxe" sous forme de taux d’intérêt négatifs sur les comptes que leurs confient les banques commerciales. Ces banques centrales espèrent que les banques commerciales répercuteront cette nouvelle taxe à leurs clients. C’est déjà arrivé en Suisse… Selon notre collègue Chris Lowe, Alternative Bank Schweiz (ABS) commencera à facturer des taux négatifs sur les dépôts de ses clients cette année. ABS prélèvera une pénalité annuelle de 0,125% sur les dépôts de moins de 100 000 francs suisses et une pénalité annuelle de 0,75% sur les dépôts de plus de 100 000 francs suisses. Dans les faits, ABS fait payer ses clients pour déposer leur argent chez elle. Si on met un million d’euros en banque, avec un taux négatif de 0,75%, on revient un an plus tard et il reste 992 500 euros. La banque a confisqué les 7 500 euros manquants. A un taux négatif de 3%, disons… vous payez 30 000 euros par an juste pour laisser votre argent en banque. Voilà qui ressemble à une escroquerie. Les gouvernements abolissent le cash. Vous n’avez pas d’autre choix que de laisser votre épargne en banque. Et vous êtes forcé de payer la banque pour stocker votre argent. ▪ Le cash hors la loi Mais attendez… Les banques ne stockent pas du tout "votre" argent. Un dépôt bancaire, c’est une reconnaissance de dette de la part de votre banque. Il n’y a pas de billets dans un coffre-fort… juste des 1 et des 0 dans une banque de données quelque part. Si la banque décide de ne pas vous rendre "votre" argent, pas de chance. C’est comme si quelqu’un vous proposait de garder votre tarte aux cerises. Il mange ensuite la tarte, en promettant de vous en rendre une identique quand vous le voudrez. Et il a le culot de vous demander de l’argent chaque mois pour le "stockage" de la tarte. Et puis le jour où vous la voulez… il n’est pas en mesure de vous la donner. "Je n’ai plus de farine. Il faudra revenir demain", dit-il. Ou bien : "je suis désolé, mais le gouvernement a déclaré que les cerises sont une espèce en danger. Il m’est interdit de vous rendre votre tarte. Elle était très bonne, ceci dit". Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Imaginez avoir une automobile… et devoir payer des gens pour la conduire. Ou un appartement… et devoir payer des gens pour qu’ils veuillent bien y vivre. Quand on doit payer quelqu’un pour se débarrasser de quelque chose, vous imaginez combien votre argent vaut vraiment. Et quand votre banque — ou le Deep State — voudra confisquer votre argent, qui l’en empêchera ? Au moins, si vous possédez votre argent en espèces sonnantes et trébuchantes, ils doivent venir s’en emparer physiquement. Lorsqu’il est "à la banque" — n’existant sous aucune autre forme que des soldes bancaires électroniques — tout ce qu’ils ont à faire, c’est appuyer sur un bouton. C’est ce qui est arrivé à Chypre. Les banques allaient dans le mur… et les dépôts ont été confisqués pour les remettre à flot. Qui empêchera que la même chose se produise ailleurs ? Les juges nommés par le Deep State ? La police payée par le Deep State ? Les politiciens achetés par le Deep State ? Lorsque le cash sera hors la loi… seuls les hors-la-loi auront du cash. Et nous avons l’intention d’en faire partie.

    Plus d'infos sur : http://la-chronique-agora.com/societe-sans-cash/
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    Guerre au cash : devenez un hors-la-loi

     

    ob_7f60a5_cash-criminalL’économiste Larry Summers est une source fiable de sottises. Et un porte-parole régulier du Deep State — l’État profond. Un petit rappel pour les nouveaux lecteurs : les électeurs n’ont pas leur mot à dire sur qui régit un pays. C’est plutôt un « gouvernement de l’ombre », constitué de l’élite, de compères, de lobbyistes, de bureaucrates, de politiciens et de zombies — c’est-à-dire le Deep State — qui est en permanence au pouvoir. Dit plus simplement, peu importe le parti au pouvoir ; c’est le Deep State qui règne. Et à quoi est-il occupé en ce moment ? Larry Summers le sait.

    « Il est temps de tuer le billet de 100 $ », écrit-il dans le Washington Post (une autre source fiable de sottises).

    Contrôler, taxer, confisquer

    Le Deep State veut que vous utilisiez de l’argent qu’il peut facilement contrôler, taxer et confisquer. Or la devise papier contrarie ses plans… La France a déjà interdit les transactions en cash de plus de 1 000 euros. Les plus grandes banques de Suède et de Norvège militent pour l’abolition pure et simple du cash. Il y a des plans aux plus hauts niveaux du gouvernement en Israël, en Inde et en Chine pour supprimer le cash de la circulation. Le PDG de la Deutsche Bank, John Cryan, prédit que le cash « n’existera probablement plus » d’ici 10 ans. Et voilà M. Summers dans le Washington Post :

    « Les activités illicites sont facilitées lorsqu’un million de dollars pèse 1,1 kg, comme dans le cas des billets de 500 euros, plutôt que 25 kg ou plus comme ce serait le cas si le billet de 20 $ était la dénomination la plus élevée ».

    Il propose « un accord mondial pour cesser d’émettre des billets valant plus de 50 $ ou 100 $, par exemple. Un tel accord serait aussi significatif que tout ce que le G7 ou le G20 a fait depuis des années ». Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Un article de recherche présenté par Peter Sands, ancien PDG de la banque britannique Standard Chartered, et publié pour la Harvard Kennedy School of Government.

    Des idées idiotes 

    « Les billets à dénomination élevée », dit la publication, « ne jouent pas un grand rôle dans le fonctionnement de l’économie légitime, mais un rôle crucial pour l’économie souterraine ». M. Sands sait sans doute de quoi il parle, en matière de dissimulation. Lorsqu’il était PDG, le plus grand régulateur financier de New York a menacé de retirer sa licence bancaire à Standard Chartered. Selon l’organisation, la banque avait « conspiré » avec le gouvernement iranien pour dissimuler au moins 60 000 transactions illégales — représentant au moins 250 milliards de dollars. A la Chronique Agora, nous ne prétendons pas savoir comment améliorer le monde. Nous savons simplement ce que nous aimons. Et nous n’aimons pas que d’autres nous disent quoi faire. Les gens qui insistent pour appliquer leurs idées au monde entier sont généralement les gens dont les idées sont idiotes.

    « Il faut toujours faire le contraire de ce qu’on vous dit de faire », nous a conseillé un ami en France dont le père était maire d’une petite ville durant la Deuxième guerre mondiale. Il continua :

    « Il y avait eu un ‘incident’. Je crois que la Résistance avait tué un soldat allemand dans la région. C’était vers la fin de la guerre, quand les nazis menaient des actions de représailles contre les civils. Ils dirent donc à mon père de rassembler toute la population sur la place du village. Au lieu de ça, mon père dit à tout le monde d’aller se cacher dans les bois environnants, ce qu’ils firent. Ils ont eu de la chance — ils ont survécu à la guerre ».

     

    Monnaie électronique 

    Aujourd’hui, les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village. Au lieu de billets, ils veulent nous forcer à utiliser des notations électroniques fidèlement enregistrées dans une banque réglementée par le gouvernement. Avez-vous déjà vu un de ces « billets électroniques », cher lecteur ? Nous non. Nous ne savons pas de quoi ils ont l’air. Et nous nous méfions profondément de toute cette histoire.

    La Banque centrale européenne et la Banque du Japon — tout comme les banques centrales du Danemark, de la Suède et de la Suisse — ont déjà imposé une « taxe » sous forme de taux d’intérêt négatifs sur les comptes que leurs confient les banques commerciales. Ces banques centrales espèrent que les banques commerciales répercuteront cette nouvelle taxe à leurs clients. C’est déjà arrivé en Suisse… Selon notre collègue Chris Lowe, Alternative Bank Schweiz (ABS) commencera à facturer des taux négatifs sur les dépôts de ses clients cette année. ABS prélèvera une pénalité annuelle de 0,125% sur les dépôts de moins de 100 000 francs suisses et une pénalité annuelle de 0,75% sur les dépôts de plus de 100 000 francs suisses. Dans les faits, ABSfait payer ses clients pour déposer leur argent chez elle.

    Si on met un million d’euros en banque, avec un taux négatif de 0,75%, on revient un an plus tard et il reste 992 500 euros. La banque a confisqué les 7 500 euros manquants. A un taux négatif de 3%, disons… vous payez 30 000 euros par an juste pour laisser votre argent en banque. Voilà qui ressemble à une escroquerie. Les gouvernements abolissent le cash. Vous n’avez pas d’autre choix que de laisser votre épargne en banque. Et vous êtes forcé de payer la banque pour stocker votre argent.

    Le cash hors la loi 

    Mais attendez… Les banques ne stockent pas du tout « votre » argent. Un dépôt bancaire, c’est une reconnaissance de dette de la part de votre banque. Il n’y a pas de billets dans un coffre-fort… juste des 1 et des 0 dans une banque de données quelque part. Si la banque décide de ne pas vous rendre « votre » argent, pas de chance.

    C’est comme si quelqu’un vous proposait de garder votre tarte aux cerises. Il mange ensuite la tarte, en promettant de vous en rendre une identique quand vous le voudrez. Et il a le culot de vous demander de l’argent chaque mois pour le « stockage » de la tarte. Et puis le jour où vous la voulez… il n’est pas en mesure de vous la donner. « Je n’ai plus de farine. Il faudra revenir demain », dit-il. Ou bien : « je suis désolé, mais le gouvernement a déclaré que les cerises sont une espèce en danger. Il m’est interdit de vous rendre votre tarte. Elle était très bonne, ceci dit ».

    Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Imaginez avoir une automobile… et devoir payer des gens pour la conduire. Ou un appartement… et devoir payer des gens pour qu’ils veuillent bien y vivre. Quand on doit payer quelqu’un pour se débarrasser de quelque chose, vous imaginez combien votre argent vaut vraiment. Et quand votre banque — ou le Deep State — voudra confisquer votre argent, qui l’en empêchera ? Au moins, si vous possédez votre argent en espèces sonnantes et trébuchantes, ils doivent venir s’en emparer physiquement. Lorsqu’il est « à la banque » — n’existant sous aucune autre forme que des soldes bancaires électroniques — tout ce qu’ils ont à faire, c’est appuyer sur un bouton. C’est ce qui est arrivé à Chypre. Les banques allaient dans le mur… et les dépôts ont été confisqués pour les remettre à flot. Qui empêchera que la même chose se produise ailleurs ? Les juges nommés par le Deep State ? La police payée par le Deep State ? Les politiciens achetés par le Deep State ? Lorsque le cash sera hors la loi… seuls les hors-la-loi auront du cash. Et nous avons l’intention d’en faire partie.

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    http://www.onsaitcequonveutquonsache.com/guerre-au-cash-devenez-un-hors-la-loi/

    Société sans cash : devenez un hors-la-loi ! Rédigé le 18 février 2016 par Bill Bonner | Article, Bill Bonner, Indices, marchés actions, stratégies ▪ L’économiste Larry Summers est une source fiable de sottises. Et un porte-parole régulier du Deep State — l’Etat profond. Un petit rappel pour les nouveaux lecteurs : les électeurs n’ont pas leur mot à dire sur qui régit un pays. C’est plutôt un "gouvernement de l’ombre", constitué de l’élite, de compères, de lobbyistes, de bureaucrates, de politiciens et de zombies — c’est-à-dire le Deep State — qui est en permanence au pouvoir. Dit plus simplement, peu importe le parti au pouvoir ; c’est le Deep State qui règne. Et à quoi est-il occupé en ce moment ? Larry Summers le sait. "Il est temps de tuer le billet de 100 $", écrit-il dans le Washington Post (une autre source fiable de sottises). ▪ Contrôler, taxer, confisquer Le Deep State veut que vous utilisiez de l’argent qu’il peut facilement contrôler, taxer et confisquer. Or la devise papier contrarie ses plans… La France a déjà interdit les transactions en cash de plus de 1 000 euros. Les plus grandes banques de Suède et de Norvège militent pour l’abolition pure et simple du cash. Il y a des plans aux plus hauts niveaux du gouvernement en Israël, en Inde et en Chine pour supprimer le cash de la circulation. Le PDG de la Deutsche Bank, John Cryan, prédit que le cash "n’existera probablement plus" d’ici 10 ans. Et voilà M. Summers dans le Washington Post : "Les activités illicites sont facilitées lorsqu’un million de dollars pèse 1,1 kg, comme dans le cas des billets de 500 euros, plutôt que 25 kg ou plus comme ce serait le cas si le billet de 20 $ était la dénomination la plus élevée". Il propose "un accord mondial pour cesser d’émettre des billets valant plus de 50 $ ou 100 $, par exemple. Un tel accord serait aussi significatif que tout ce que le G7 ou le G20 a fait depuis des années". Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Un article de recherche présenté par Peter Sands, ancien PDG de la banque britannique Standard Chartered, et publié pour la Harvard Kennedy School of Government. ▪ Des idées idiotes "Les billets à dénomination élevée", dit la publication, "ne jouent pas un grand rôle dans le fonctionnement de l’économie légitime, mais un rôle crucial pour l’économie souterraine". M. Sands sait sans doute de quoi il parle, en matière de dissimulation. Lorsqu’il était PDG, le plus grand régulateur financier de New York a menacé de retirer sa licence bancaire à Standard Chartered. Selon l’organisation, la banque avait "conspiré" avec le gouvernement iranien pour dissimuler au moins 60 000 transactions illégales — représentant au moins 250 milliards de dollars. A la Chronique Agora, nous ne prétendons pas savoir comment améliorer le monde. Nous savons simplement ce que nous aimons. Et nous n’aimons pas que d’autres nous disent quoi faire. Les gens qui insistent pour appliquer leurs idées au monde entier sont généralement les gens dont les idées sont idiotes. "Il faut toujours faire le contraire de ce qu’on vous dit de faire", nous a conseillé un ami en France dont le père était maire d’une petite ville durant la Deuxième guerre mondiale. Il continua : "Il y avait eu un ‘incident’. Je crois que la Résistance avait tué un soldat allemand dans la région. C’était vers la fin de la guerre, quand les nazis menaient des actions de représailles contre les civils. Ils dirent donc à mon père de rassembler toute la population sur la place du village. Au lieu de ça, mon père dit à tout le monde d’aller se cacher dans les bois environnants, ce qu’ils firent. Ils ont eu de la chance — ils ont survécu à la guerre". Les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village ▪ Monnaie électronique Aujourd’hui, les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village. Au lieu de billets, ils veulent nous forcer à utiliser des notations électroniques fidèlement enregistrées dans une banque réglementée par le gouvernement. Avez-vous déjà vu un de ces "billets électroniques", cher lecteur ? Nous non. Nous ne savons pas de quoi ils ont l’air. Et nous nous méfions profondément de toute cette histoire. La Banque centrale européenne et la Banque du Japon — tout comme les banques centrales du Danemark, de la Suède et de la Suisse — ont déjà imposé une "taxe" sous forme de taux d’intérêt négatifs sur les comptes que leurs confient les banques commerciales. Ces banques centrales espèrent que les banques commerciales répercuteront cette nouvelle taxe à leurs clients. C’est déjà arrivé en Suisse… Selon notre collègue Chris Lowe, Alternative Bank Schweiz (ABS) commencera à facturer des taux négatifs sur les dépôts de ses clients cette année. ABS prélèvera une pénalité annuelle de 0,125% sur les dépôts de moins de 100 000 francs suisses et une pénalité annuelle de 0,75% sur les dépôts de plus de 100 000 francs suisses. Dans les faits, ABS fait payer ses clients pour déposer leur argent chez elle. Si on met un million d’euros en banque, avec un taux négatif de 0,75%, on revient un an plus tard et il reste 992 500 euros. La banque a confisqué les 7 500 euros manquants. A un taux négatif de 3%, disons… vous payez 30 000 euros par an juste pour laisser votre argent en banque. Voilà qui ressemble à une escroquerie. Les gouvernements abolissent le cash. Vous n’avez pas d’autre choix que de laisser votre épargne en banque. Et vous êtes forcé de payer la banque pour stocker votre argent. ▪ Le cash hors la loi Mais attendez… Les banques ne stockent pas du tout "votre" argent. Un dépôt bancaire, c’est une reconnaissance de dette de la part de votre banque. Il n’y a pas de billets dans un coffre-fort… juste des 1 et des 0 dans une banque de données quelque part. Si la banque décide de ne pas vous rendre "votre" argent, pas de chance. C’est comme si quelqu’un vous proposait de garder votre tarte aux cerises. Il mange ensuite la tarte, en promettant de vous en rendre une identique quand vous le voudrez. Et il a le culot de vous demander de l’argent chaque mois pour le "stockage" de la tarte. Et puis le jour où vous la voulez… il n’est pas en mesure de vous la donner. "Je n’ai plus de farine. Il faudra revenir demain", dit-il. Ou bien : "je suis désolé, mais le gouvernement a déclaré que les cerises sont une espèce en danger. Il m’est interdit de vous rendre votre tarte. Elle était très bonne, ceci dit". Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Imaginez avoir une automobile… et devoir payer des gens pour la conduire. Ou un appartement… et devoir payer des gens pour qu’ils veuillent bien y vivre. Quand on doit payer quelqu’un pour se débarrasser de quelque chose, vous imaginez combien votre argent vaut vraiment. Et quand votre banque — ou le Deep State — voudra confisquer votre argent, qui l’en empêchera ? Au moins, si vous possédez votre argent en espèces sonnantes et trébuchantes, ils doivent venir s’en emparer physiquement. Lorsqu’il est "à la banque" — n’existant sous aucune autre forme que des soldes bancaires électroniques — tout ce qu’ils ont à faire, c’est appuyer sur un bouton. C’est ce qui est arrivé à Chypre. Les banques allaient dans le mur… et les dépôts ont été confisqués pour les remettre à flot. Qui empêchera que la même chose se produise ailleurs ? Les juges nommés par le Deep State ? La police payée par le Deep State ? Les politiciens achetés par le Deep State ? Lorsque le cash sera hors la loi… seuls les hors-la-loi auront du cash. Et nous avons l’intention d’en faire partie.

    Plus d'infos sur : http://la-chronique-agora.com/societe-sans-cash/
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    Société sans cash : devenez un hors-la-loi ! Rédigé le 18 février 2016 par Bill Bonner | Article, Bill Bonner, Indices, marchés actions, stratégies ▪ L’économiste Larry Summers est une source fiable de sottises. Et un porte-parole régulier du Deep State — l’Etat profond. Un petit rappel pour les nouveaux lecteurs : les électeurs n’ont pas leur mot à dire sur qui régit un pays. C’est plutôt un "gouvernement de l’ombre", constitué de l’élite, de compères, de lobbyistes, de bureaucrates, de politiciens et de zombies — c’est-à-dire le Deep State — qui est en permanence au pouvoir. Dit plus simplement, peu importe le parti au pouvoir ; c’est le Deep State qui règne. Et à quoi est-il occupé en ce moment ? Larry Summers le sait. "Il est temps de tuer le billet de 100 $", écrit-il dans le Washington Post (une autre source fiable de sottises). ▪ Contrôler, taxer, confisquer Le Deep State veut que vous utilisiez de l’argent qu’il peut facilement contrôler, taxer et confisquer. Or la devise papier contrarie ses plans… La France a déjà interdit les transactions en cash de plus de 1 000 euros. Les plus grandes banques de Suède et de Norvège militent pour l’abolition pure et simple du cash. Il y a des plans aux plus hauts niveaux du gouvernement en Israël, en Inde et en Chine pour supprimer le cash de la circulation. Le PDG de la Deutsche Bank, John Cryan, prédit que le cash "n’existera probablement plus" d’ici 10 ans. Et voilà M. Summers dans le Washington Post : "Les activités illicites sont facilitées lorsqu’un million de dollars pèse 1,1 kg, comme dans le cas des billets de 500 euros, plutôt que 25 kg ou plus comme ce serait le cas si le billet de 20 $ était la dénomination la plus élevée". Il propose "un accord mondial pour cesser d’émettre des billets valant plus de 50 $ ou 100 $, par exemple. Un tel accord serait aussi significatif que tout ce que le G7 ou le G20 a fait depuis des années". Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Qu’est-ce qui fait croire à M. Summers qu’interdire ces billets serait une bonne chose ? Un article de recherche présenté par Peter Sands, ancien PDG de la banque britannique Standard Chartered, et publié pour la Harvard Kennedy School of Government. ▪ Des idées idiotes "Les billets à dénomination élevée", dit la publication, "ne jouent pas un grand rôle dans le fonctionnement de l’économie légitime, mais un rôle crucial pour l’économie souterraine". M. Sands sait sans doute de quoi il parle, en matière de dissimulation. Lorsqu’il était PDG, le plus grand régulateur financier de New York a menacé de retirer sa licence bancaire à Standard Chartered. Selon l’organisation, la banque avait "conspiré" avec le gouvernement iranien pour dissimuler au moins 60 000 transactions illégales — représentant au moins 250 milliards de dollars. A la Chronique Agora, nous ne prétendons pas savoir comment améliorer le monde. Nous savons simplement ce que nous aimons. Et nous n’aimons pas que d’autres nous disent quoi faire. Les gens qui insistent pour appliquer leurs idées au monde entier sont généralement les gens dont les idées sont idiotes. "Il faut toujours faire le contraire de ce qu’on vous dit de faire", nous a conseillé un ami en France dont le père était maire d’une petite ville durant la Deuxième guerre mondiale. Il continua : "Il y avait eu un ‘incident’. Je crois que la Résistance avait tué un soldat allemand dans la région. C’était vers la fin de la guerre, quand les nazis menaient des actions de représailles contre les civils. Ils dirent donc à mon père de rassembler toute la population sur la place du village. Au lieu de ça, mon père dit à tout le monde d’aller se cacher dans les bois environnants, ce qu’ils firent. Ils ont eu de la chance — ils ont survécu à la guerre". Les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village ▪ Monnaie électronique Aujourd’hui, les autorités en général et M. Summers en particulier veulent que nous rassemblions notre cash sur la place du village. Au lieu de billets, ils veulent nous forcer à utiliser des notations électroniques fidèlement enregistrées dans une banque réglementée par le gouvernement. Avez-vous déjà vu un de ces "billets électroniques", cher lecteur ? Nous non. Nous ne savons pas de quoi ils ont l’air. Et nous nous méfions profondément de toute cette histoire. La Banque centrale européenne et la Banque du Japon — tout comme les banques centrales du Danemark, de la Suède et de la Suisse — ont déjà imposé une "taxe" sous forme de taux d’intérêt négatifs sur les comptes que leurs confient les banques commerciales. Ces banques centrales espèrent que les banques commerciales répercuteront cette nouvelle taxe à leurs clients. C’est déjà arrivé en Suisse… Selon notre collègue Chris Lowe, Alternative Bank Schweiz (ABS) commencera à facturer des taux négatifs sur les dépôts de ses clients cette année. ABS prélèvera une pénalité annuelle de 0,125% sur les dépôts de moins de 100 000 francs suisses et une pénalité annuelle de 0,75% sur les dépôts de plus de 100 000 francs suisses. Dans les faits, ABS fait payer ses clients pour déposer leur argent chez elle. Si on met un million d’euros en banque, avec un taux négatif de 0,75%, on revient un an plus tard et il reste 992 500 euros. La banque a confisqué les 7 500 euros manquants. A un taux négatif de 3%, disons… vous payez 30 000 euros par an juste pour laisser votre argent en banque. Voilà qui ressemble à une escroquerie. Les gouvernements abolissent le cash. Vous n’avez pas d’autre choix que de laisser votre épargne en banque. Et vous êtes forcé de payer la banque pour stocker votre argent. ▪ Le cash hors la loi Mais attendez… Les banques ne stockent pas du tout "votre" argent. Un dépôt bancaire, c’est une reconnaissance de dette de la part de votre banque. Il n’y a pas de billets dans un coffre-fort… juste des 1 et des 0 dans une banque de données quelque part. Si la banque décide de ne pas vous rendre "votre" argent, pas de chance. C’est comme si quelqu’un vous proposait de garder votre tarte aux cerises. Il mange ensuite la tarte, en promettant de vous en rendre une identique quand vous le voudrez. Et il a le culot de vous demander de l’argent chaque mois pour le "stockage" de la tarte. Et puis le jour où vous la voulez… il n’est pas en mesure de vous la donner. "Je n’ai plus de farine. Il faudra revenir demain", dit-il. Ou bien : "je suis désolé, mais le gouvernement a déclaré que les cerises sont une espèce en danger. Il m’est interdit de vous rendre votre tarte. Elle était très bonne, ceci dit". Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Combien vaut cette tarte électronique, de toute façon… s’il faut payer quelqu’un pour la manger à votre place ? Imaginez avoir une automobile… et devoir payer des gens pour la conduire. Ou un appartement… et devoir payer des gens pour qu’ils veuillent bien y vivre. Quand on doit payer quelqu’un pour se débarrasser de quelque chose, vous imaginez combien votre argent vaut vraiment. Et quand votre banque — ou le Deep State — voudra confisquer votre argent, qui l’en empêchera ? Au moins, si vous possédez votre argent en espèces sonnantes et trébuchantes, ils doivent venir s’en emparer physiquement. Lorsqu’il est "à la banque" — n’existant sous aucune autre forme que des soldes bancaires électroniques — tout ce qu’ils ont à faire, c’est appuyer sur un bouton. C’est ce qui est arrivé à Chypre. Les banques allaient dans le mur… et les dépôts ont été confisqués pour les remettre à flot. Qui empêchera que la même chose se produise ailleurs ? Les juges nommés par le Deep State ? La police payée par le Deep State ? Les politiciens achetés par le Deep State ? Lorsque le cash sera hors la loi… seuls les hors-la-loi auront du cash. Et nous avons l’intention d’en faire partie.

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