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    http://www.leparisien.fr/economie/des-milliers-de-salaries-manifestent-a-paris-contre-le-projet-de-loi-macron-26-01-2015-4480773.php,

     

    Le patronat, dans tous les pays qui ont connu des luttes et des conquêtes sociales, et avec lui, bien entendu, la droite, mais aussi la social-démocratie, tous invoquent en toutes circonstances la nécessité de « réformes structurelles». Et, avec eux, la plupart des journalistes qui ne sont pas au service du devoir d’informer mais qui sont devenus les acteurs quotidiens de la mise en condition des peuples, les chiens de garde d’un système qui accroît les inégalités, génère de la pauvreté.


    Ce qui se cache derrière cette formule, c’est tout simplement la volonté de détruire les acquis démocratiques et sociaux qui furent le résultat de dizaines d’années de luttes quand ceux qui se réclamaient du socialisme se battaient pour cet idéal.


     Les réformes structurelles, ce sont d’abord les privatisations. C’est non seulement la liquidation d’un patrimoine acquis avec l’argent de tous, mais c’est aussi l’abandon des outils créés pour rendre accessible au plus grand nombre l’eau potable, le logement, la santé, l’éducation, la culture, les transports, les loisirs. De telle sorte que tout ce qui va dans le sens d’une plus grande égalité des droits, tout ce qui fait société, disparaisse au profit d’une société individualiste, du chacun pour soi. Une société où l’accès aux services dépend des moyens dont chacun dispose. Sous l’impulsion de l’Organisation Mondiale du Commerce, du FMI, de l’Union européenne et des gouvernements successifs, beaucoup a déjà été réalisé dans le domaine des privatisations. Il reste à faire disparaître la sécurité sociale au profit des assurances privées, l’école et l’hôpital au profit d’institutions privées. Et à faire en sorte, au-travers de traités dits de libre-échange qui sont en fait des traités de paupérisation, que tout changement en sens inverse dépende autant des pays étrangers que du nôtre.


    Les réformes structurelles, c’est aussi la remise en question radicale du droit du travail, fruit de tant de luttes acharnées. Contrairement à ce que martèlent ces nouveaux directeurs de conscience qui sévissent dans les journaux, à la radio et à la télé, le droit du travail, ce n’est pas un catalogue de privilèges. C’est un inventaire de règles pour se protéger contre la violence et la rapacité des patrons et de leurs actionnaires. Car il y a nécessité à protéger les salariés pour éviter les accidents du travail, les maladies professionnelles, les abus de pouvoir des chefs d’entreprises. Garantir des conditions de sécurité et d’hygiène aux salariés n’a pas été donné ; il a fallu des luttes innombrables pour les obtenir. Et bien souvent, chaque fois que l’occasion se présente, les patrons jamais rassasiés n’hésitent pas à violer le droit du travail.


    Les réformes structurelles, enfin, c’est livrer les salariés au bon vouloir des entreprises en remplaçant la loi par le contrat. La loi, gardienne de l’intérêt général impose les mêmes règles partout. Le contrat, typique d’une société qui a renoncé à la solidarité, laisse le salarié dans un face à face avec le patron et donc dans une relation inégalitaire puisque le primat européen de la concurrence permet aux patrons d’user du chantage à l’emploi dans un contexte où la libre circulation des personnes est devenue l’instrument du dumping social.

     

    Il y a urgence pour celles et ceux qui ne se résignent pas à affirmer haut et fort, qu’ils rejettent les réformes structurelles, nouvel instrument de la lutte des classes possédantes contre les salariés. Nous ne voulons pas de ce retour au 19e siècle qu’on est en train de nous infliger sous le prétexte de modernité, un prétexte qui était déjà, sous la République romaine, l’argument des patriciens contre les plébéiens.

    Ce qui, très concrètement, signifie le rejet des politiques du gouvernement Hollande-Valls et le rejet des principes fondamentaux à la base de l’Union européenne, car on ne rappellera jamais assez que sous le beau prétexte d’unir les peuples d’Europe, on les dresse les uns contre les autres au nom du dogme de la concurrence libre et non faussée.


    Le peuple grec vient de montrer le chemin. Soyons à la hauteur du message qu’Athènes nous envoie. Pour l’heure, levons-nous en masse contre la loi Macron, instrument voulu par le MEDEF pour avancer sur la voie des réformes structurelles ; levons-nous en masse contre le traité UE-Canada, le traité UE-USA et les accords de partenariat économique qui soumettent les peuples à la dictature des firmes transnationales.

     

    rmj

     

    http://www.jennar.fr/?p=4116

     

     

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    La Bolivie et Cuba s’unissent contre la mafia de l’industrie pharmaceutique !

    mardi 11 novembre 2014
    par  RG



    Le président Evo Morales et son homologue de Cuba, Raúl Castro, se sont donc mis d’accord pour fabriquer des médicaments dans la nation andine et cesser de dépendre des monopoles pharmaceutiques.

     

    La Bolivie importe 70 % des médicaments consommés dans le pays, pour un montant approximatif de 56,4 millions de dollars.

     

    « Faire un pas important vers l’intégration commerciale et industrielle ».

    Le président Evo Morales et son homologue de Cuba, Raúl Castro, se sont donc mis d’accord pour fabriquer des médicaments dans la nation andine et cesser de dépendre des monopoles pharmaceutiques. La Bolivie importe 70 % des médicaments consommés dans le pays, pour un montant approximatif de 56,4 millions de dollars.

    Le président Evo Morales a déclaré s’être mis d’accord avec son homologue Raúl Castro pour que la Bolivie et Cuba fabriquent conjointement des médicaments afin d’éviter une dépendance des multinationales.

    « Nous avons conclu qu’ensemble, la Bolivie et Cuba, nous allons fabriquer des médicaments en Bolivie, nous allons fabriquer nos médicaments », a affirmé le président bolivien dans une apparition publique, révélant les détails de son entretien avec Castro ce jeudi à La Havane.

    Morales, qui avait assisté un jour avant à l’investiture du nouveau président du Costa Rica, s’est ensuite rendu sur l’île pour rencontrer son homologue avec lequel il partage « quantité d’opinions politiques et idéologiques ».

    « Nous ne pouvons pas continuer à importer des médicaments, nous ne pouvons pas rester soumis aux multinationales qui fabriquent des médicaments », a déclaré Morales, affirmant que les deux présidents ont conclu un accord pour « faire un pas important vers l’intégration commerciale et industrielle ».

    La Bolivie importe 70 % des médicaments consommés dans le pays, pour un montant approximatif de 56,4 millions de dollars, selon des données officielles.

    Morales, qui a vanté les mérites du système de santé cubain, a expliqué que désormais, les ministres de la Santé des deux pays devront se réunir et travailler de concert pour progresser sur ce terrain. Le président a également ordonné à son ministère d’acheter des médicaments à l’île.

    Pendant cette rencontre, les deux mandataires ont échangés leurs points de vue sur des sujets afférant à l’actualité internationale, en particulier à la préparation du prochain sommet du Groupe des 77, qui aura lieu en Bolivie en juin prochain. Ils ont également constaté l’excellent déroulement de leurs relations bilatérales et ont analysé les mesures à prendre pour continuer à les approfondir, rapporte l’Agence Bolivienne de Presse (ABI : Agencia Boliviana de Noticias).

    Traduit de l’article de TeleSUR par Fabio Coelho de Ficientis pour Croah.fr

     

    http://s147752339.onlinehome.fr/cubacoop/spip.php?article1838

     

     

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    Sur ce site,

     

    LE New York Times SOULIGNE QUE LE BLOCUS DE Cuba OPPOSE LES Etats-Unis AU MONDE

    mardi 11 novembre 2014
    par  RG

     

    Cuba : LE New York Times SOULIGNE QUE LE BLOCUS DE Cuba OPPOSE LES Etats-Unis AU MONDE


    Washington, 29 octobre (RHC/PL).- Un article du quotidien « The New York Times » indique que les États-Unis et Israël se sont retrouvés seuls contre le monde une nouvelle fois en ce qui concerne le blocus de Cuba.

    Sous le titre « On Cuba Embargo, It’s the U.S. and Israel Against the World or « Again » (Concernant le blocus, les États-Unis et Israël contre le monde ou, « de nouveau »), le journaliste Ernesto Londoño a mis l’accent sur l’approbation à l’Assemblée Générale de l’ONU d’une résolution demandant la fin de ce siège économique, financier et commercial imposé à notre pays.

    « Sur les 193 pays membres de l’ONU, 188 ont appuyé Cuba. Les trois abstentions -Iles Marshall, Micronésie et Palau- ne sont pas considérés comme des poids lourds en matière diplomatique » a signalé Ernesto Londoño dans l’éditorial que publie le New York Times.

    « Seul Israël (le principal allié de Washington au Moyen Orient) s’est rangé du côté des États-Unis » a souligné l’éditorial en signalant qu’il vaut bien la peine d’accorder de l’attention à ce vote annuel car il a eu lieu au moment où la pression internationale grandit en faveur de la normalisation de relations avec Cuba.

    « La Maison-Blanche est en train d’étudier quelles mesures elle pourrait être capable de prendre dans cette direction pendant le temps qui reste au président Obama à son poste » souligne l’éditorial.

    Ernesto Londoño a critiqué la position d’un « ex ambassadeur des États-Unis peu connu, Ronald Godard qui, en représentation de son pays, a essayé de défendre la continuité d’une politique qui a survécu à 11 administrations tant républicaines que démocrates.

    L’éditorial a mis l’accent sur le fait que Cuba a exprimé sa disposition au dialogue avec les États-Unis et il a cité des passages de l’intervention du ministre cubain des affaires étrangères, Bruno Rodríguez lorsqu’il a présenté la résolution cubaine à l’Assemblée Générale de l’ONU au sujet d’un futur rapprochement basé sur une relation respectueuse.

    Le New York Times, qui a publié ces deux derniers jours deux éditoriaux sur la nécessité de lever le blocus et de recomposer les liens entre nos deux pays, a qualifié de draconienne la politique de Washington envers La Havane.

    « C’est une ironie qu’une politique ayant pour but d’isoler Cuba a eu l’effet contraire et que ceux qui sont restés isolés sont les États-Unis » a souligné ce quotidien.

    La veille, le New York Times avait publié un article signalant que l’Assemblée Générale de l’ONU a voté de façon écrasante, pour la 23e fois, pour condamner » un blocus qui dure depuis plus de 5 décennies et qui, de l’avis des experts, est le plus long de l’histoire.


    EDITÉ PAR REYNALDO HENQUEN

     

    http://s147752339.onlinehome.fr/cubacoop/spip.php?article1832

     

     



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    octobre 2014

     

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    Vous pouvez sauver les chiens abandonnés d’Ukraine

    © Shelter Pif



    Chèr(e) Caroline,

    Le conflit armé qui a embrasé l'Ukraine continue de menacer la vie de nombreux civils et de leurs animaux.

    Il y a quelque temps, je vous ai raconté l'histoire d'un refuge à Donetsk, dans l'est de l'Ukraine, qui s'efforce tant bien que mal de sauver des centaines de chiens victimes du conflit. Grâce à la générosité de nos donateurs, les bénévoles sur place ont pu prendre soin des rescapés, mais la sécurité de ces chiens n'est pas encore garantie et la bataille pour leur survie est loin d'être terminée.

    En juin dernier, le refuge Pif, dépassé par l'ampleur de la situation, a décidé de solliciter notre aide pour nourrir et soigner les chiens errant dans les rues. Fuyant la violence des conflits, les habitants sont en effet contraints d'abandonner leurs fidèles compagnons à leur sort. Certains chiens ont ainsi été retrouvés attachés devant les maisons, dans l'espoir que quelqu'un s'en occupe.

    Nous ne pouvions rester les bras croisés alors que des chiens meurent de faim.

    Grâce au soutien de nos sympathisants, IFAW est donc venu en aide au refuge Pif, qui subvient courageusement aux besoins d'un millier de chiens.

    Jour après jour, les bénévoles continuent de recueillir des animaux abandonnés dans les rues. Certains pensionnaires proviennent également de refuges qui ont dû fermer leurs portes, les membres du personnel ayant dû quitter la région avec leurs familles.

    Ces volontaires héroïques risquent leur vie au quotidien pour prendre soin de ces animaux abandonnés, et tentent tant bien que mal de calmer les nerfs des chiens terrifiés par le bruit des détonations qui retentissent dans la ville.

    Donetsk est en proie au chaos le plus total, et les animaux sont les victimes oubliées du conflit.

    Les bénévoles du refuge Pif ne se contentent pas de nourrir et de réconforter les chiens errants : ils leur dispensent également des soins vétérinaires et soignent même leurs propriétaires lorsqu'ils n'ont pas les moyens de payer les honoraires d'un médecin.

    Les chiens de Donetsk ont besoin de votre aide. Ne les oubliez pas.

    Les défenseurs des animaux se mobilisent pour leur venir en aide. En faisant un don dès aujourd'hui, vous pouvez aider l'équipe de sauvetage d'urgence d'IFAW à nourrir et à soigner ces chiens abandonnés.

    Dans la ville meurtrie de Donetsk, même les besoins les plus élémentaires sont difficiles à satisfaire. Les bénévoles et le personnel du refuge Pif ont bien du mal à faire face à l'ampleur de la situation, et ont besoin de 290€ par jour pour nourrir tous leurs pensionnaires.

    Ce n'est pas la première fois qu'IFAW intervient pour sauver des animaux sur le théâtre de conflits armés. Au cours des dernières années, nous avons sauvé des lions, des tigres, des ours bruns, des loups et des primates d'un zoo de Bagdad ainsi que les pensionnaires d'autres zoos en Tunisie et en Libye.

    Ces chiens ont besoin d'aide de toute urgence. Chaque don peut changer la vie des chiens malades et affamés en Ukraine et de tous les animaux auxquels nous portons secours dans le monde entier.

    Merci du fond du cœur.

    Shannon Walajtys Shannon Walajtys signature

    Shannon Walajtys
    Responsable de l'équipe d'intervention d'urgence d'IFAW

    P.S. : L'équipe de sauvetage en cas de catastrophes d'IFAW a besoin de vous. Aidez-nous à sauver ces chiens.


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    jeudi 28 août 2014

    LE MINABLE REMANIEMENT !

    Voici le dernier scoop médiatique de ce gouvernement qui n'en finit plus de s'effondrer et d 'étaler sa stupidité, son incompétence et sa lâcheté..

    Le remaniement  ministériel !

    Un remaniement qui n'aura servi qu'a nous faire subir les analyses lamentables des journalistes des différents médias tentant chacun leur tour de nous expliquer une situation que n'importe quel français doté d'un cerveau aura aisément compris
    Nous sommes gouvernés par des minables..
    Et nous pouvons ajouter que nous sommes aussi informés par des minables doublés de crétins incultes... Ça fait beaucoup.. quand même !

    Un remaniement qui permet de faire entrer à l'économie un banquier de chez Rothschild , à l’éducation nationale une détraquée de la théorie du genre et qui laisse en place le fabius aux affaires étrangères afin de le laisser continuer son travail de destruction de la diplomatie française dans le monde..

    Reste le hollande qui a passé la journée à se balader en Bretagne sous la pluie pendant que valls se démenait au téléphone notant tant bien que mal les ordres du CRIF, d’Israël et de la commission européenne... Non là c est de la politique fiction..
    Enfin notre problème n'est plus à ce niveau !
    Notre problème est de savoir que faire contre cette bande d’usurpateurs ?
    Le vote n'apporte quasiment plus rien puisque en fait, à quelques exceptions près, l'ensemble de la classe politique soutient une politique d'effondrement et de trahison en faveur de l'empire du mensonge.
    La révolte populaire est très improbable compte tenu de l'état de délabrement mental dans lequel est tenu la population de ce pays. Une seule chose ferait se révolter le bon peuple : supprimer la télé !
    Alors là, nous assisterions à des scènes de très grande violence et d’hystérie collective mais rassurez vous, les programmes de haute débilité sont déjà prévu afin de les conforter dans leur bêtise..
    La solution est, sans doute, dans le rassemblement et la lutte contre la division qui est une horreur permettant le maintien au pouvoir de toute cette élite diabolique, mais comment pourrions nous nous rassembler dés lors que nous passons notre temps à nous jeter au visage nos origines, nos confessions et nos opinions politiques.
    Pouvons nous nous permettre encore de perdre du temps devant cette offensive terrible ?
    Pourrons nous faire vraiment l' économie d'une guerre civile ou d'une émeute sanglante satisfaisant en réalité nos dirigeants et plongeant dans le bain de sang, nos voisins et amis ?
    Un autre remaniement suivra ou une dissolution qui laissera encore et toujours les mêmes au pouvoir qui ne permettra à personne d'entre nous de nous défendre, de faire valoir nos droits de citoyens.
    Et pourtant tout continuera dans l'indifférence générale et un jour, il sera trop tard..
    Les médias nous baladent et pourtant nous les écoutons, les politicards nous mentent et pourtant nous leur permettons de nous diriger.
    Si ce monde capote, ce sera de notre fait et de notre faute..
    Si nous sommes privés de liberté un jour et si nous laissons à nos enfants une société injuste, révoltante et hideuse, ce sera par notre lâcheté et notre paresse..
    Il est faux de croire que rien n'est possible car prendre conscience est déjà un pas mais cela ne suffit plus.
    Les réseaux sociaux sont devenus le terrain de tous les crétins congénitaux postant des stupidités et répondant ainsi à la demande des créateurs de ces réseaux qui est de prolonger l'abrutissement déjà diffusés par les médias traditionnels.
    Pourtant ces réseaux qui nous lient pourrait nous permettre de nous retrouver dans le réel et de nous éveiller mutuellement à une conscience différente .
    Ne soyons pas naïfs, ils n'ont bien sur pas été créés pour ça mais sachons profiter de ce système et réveillons nous !
    Abbas
    http://abbas-infos.blogspot.fr/2014/08/le-minable-remaniement.html

    dimanche 7 septembre 2014

    SORTEZ DU NOMBRE !

     

    Brassens disait «  sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons » !
    Le Georges avait raison, sans nul doute, à en croire le rassemblement de clowns à l'assemblée nationale ou le peuple en furie dans la rue défendant l'idée que les médias lui ont glissé..
    Le nombre est toujours improductif, voyez le nombre de dégénérés courant dans les librairies se procurer le livre de l'ex compagne d'un président minable, sans honneur, sans dignité et sans courage. Pensez vous qu'il soit possible qu’autant de gens se procurent un livre sur l'histoire, sur la géopolitique ou sur le système économique ?
    Non ! Définitivement les idiots sont du coté du nombre..

    La révolution attendue devrait être populaire ! En principe oui puisque la parole est au peuple mais nous savons que la parole a été confisquée depuis longtemps et que si elle était rendue , qu'en ferait ce peuple éduqué à la télé, à l'alcool et à la pornographie ?
    Les rassemblements n'atteignent jamais leurs objectifs, souvenez vous des grandes manifestations pour la retraite ou plus récemment contre le mariage homo !
    Quel est le résultat ?
    Pourquoi une telle situation ?
    Parce que dés lors qu'un certain nombre de gens se réunissent, il y aura toujours un média ou un parti politique pour récupérer cette idée, la travestir et faire accepter au nombre un consensus à partir du plus petit dénominateur commun qui ne satisfera absolument personne.
    Mais le nombre ne pense pas !
    Le nombre essaie d'adapter sa pensée à son voisin tout en sachant que la plupart du temps le voisin n'a pas de pensée et même plus de cerveau..

    Je ne conteste aucunement la force de l'unité, je dis simplement qu'avant d 'envisager une unité, il faut vous présenter avec vos armes et vos arguments et non ceux qui vous ont été soufflé par votre présentateur télé préféré ou votre star américaine dégénéré et instrumentalisé par ceux qui gèrent ce monde.
    Je dis simplement que le niveau de conscience de la population française est aujourd'hui dans un caniveau et qu'il sera bien difficile de trouver des personnages solides pour lutter contre l'élite dévoyée.

    La division est l’œuvre du système qui a réussi à faire se battre entre eux des citoyens qui habitent les mêmes quartiers sous prétexte que l'un croit en dieu et l'autre non .
    Chapeau bas !
    Cela n'a pas été très difficile ceci dit puisque les religieux ne comprennent, pour la plupart, rien à leur religion, et les autres ne savent pas vraiment pourquoi ils sont contre..
    Quelle époque formidable !

    Les uns et les autres n'ayant aucune référence historique ou géographique, hormis celles servies pas les médias crétins, il a même été possible de faire gober à cette majorité de débiles profonds qu'un nouveau califat s'était créer et qu'il fallait absolument armer toutes les populations autour de ce califat bidon pour encore et toujours faire mourir, massacrer et déplacer des populations.
    Personne n'aurait l'idée de demander qui finance et qui arme ce faux état islamique qui n'est ni un état, ni islamique , bien sur..
    Le plus drôle est que le peuple français est qualifié de peuple évolué...
    Le nombre est une erreur et d'ailleurs les responsables politiques tirent leur légitimité du nombre, n'est ce pas ?
    La démocratie est une formule basée sur le nombre d’inscrits, le nombre de votants et le gagnant est celui qui remportera le plus grand nombre de scrutins et voyez le résultat.
    Les dirigeants sont prêts à toutes les bassesses, à toutes les ignominies pour remporter une élection et faire appliquer le programme que leurs financiers leur imposeront !
    A votre déconvenue bien sur !
    Mais ne le saviez vous pas avant ?

    Si nous sommes dans ce bazar, c'est à cause de toi, mon ami
    Si nous sommes au bord du chaos, c est à cause de ta bêtise, mon cher concitoyen !
    Tu veux stopper tout ça ? Commence par réfléchir et faire réfléchir tes enfants mais je te préviens, c 'est le combat le plus dur que tu n'auras jamais mené..
    Abbas
    http://abbas-infos.blogspot.fr/2014/09/sortez-du-nombre.html

    CONTRE LA DIVISION

    DIVISER POUR MIEUX RÉGNER


    En politique et en sociologie, diviser pour régner est une stratégie visant à semer la discorde et à opposer les éléments d'un tout pour les affaiblir et à user de son pouvoir pour les influencer. Cela permet de réduire des concentrations de pouvoir en éléments qui ont moins de puissance que celui qui met en œuvre la stratégie, et permet de régner sur une population alors que cette dernière, si elle était unie, aurait les moyens de faire tomber le pouvoir en question

    RESISTANCE

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