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    http://honneur-patrie.com/

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    La grande colère de militaires

    Le ras-le-bol contre la France vendue

    à l'UE, aux USA, à la GB, à Israël

     

     

    Il y a comme un malaise…

     

    Je suis allé sur le site de l’Elysée http://www.elysee.fr/  et… surprise… ! Même plus de drapeau français sur le site sensé représenter la France ! Vous pouvez vérifier par vous-même ! Alors quel intérêt à conserver notre nationalité française ? Ils ont vendu notre Patrie ! Vendue à l’Europe, vendue au USA, vendue aux anglo-saxons et surtout vendue à Israël ! Nos dirigeants ne sont que des traîtres au service du Nouvel Ordre Mondial. Je comprends l’attitude de G. Depardieu d’opter pour la nationalité Russe. Nous n’avons aucune leçon à donner à ce pays, qui est devenu une grande démocratie, mais très critiqué car, refus total de s’aligner sur l’occident corrompu !


    Où est la grandeur de la France ? Désintégrée par les Sarkozy, Hollande et consort…

     

    Ce midi, pour une des rares fois que j’écoutais les infos, j’ai entendu que les réformes de l’éducation nationale se feront au niveau des 1ères années du primaire, pour apprendre aux jeunes à respecter les règles. Quelles règles, les nouvelles règles du N.O.M., les règles pour devenir de parfaits « toutous », des robots bien huilés à 500 €/mois ? De la chair à canon missiles chimiques, pour le compte d’Areva, Total, Elf, Monsanto Goldman Sachs etc

     

    La fiction devient réalité…

     

    (..)

     

    http://honneur-patrie.com/.

     

     

    Sarko-USAMême maltraitée par des usages inappropriés, la langue reste un lieu et un enjeu de  pouvoir. Le souci de la langue a longtemps été une priorité de l’Etat français, qui avait compris à quel point son efficacité et son prestige dépendaient de la maîtrise et de l’imposition d’un idiome considéré comme porteur à la fois d’un système politique et d’une vision du monde: la langue française telle qu’elle fut définie par l’Académie Française à la fin du XVIIème siècle fut l’instrument d’une reconnaissance sociale par la culture; le français de la IIIème République naissante fut la pierre de touche d’un régime qui, pour la première fois, avait uniformisé une nation aux particularismes affirmés.

     

    Le début du XXIème siècle, après les errements de la fin du XXème, semble sonner le glas de cette tradition à la fois régalienne et civilisatrice. Un exemple caricatural va le montrer. Courant novembre 2010, les militaires français se sont vu remettre un dépliant illustré sur la “mission” actuellement en cours en Afghanistan intitulé France’s commitment in Afghanistan: a comprehensive approach for the Afghan People… Ils ont sans doute pensé au départ à un canular. Le double cartouche de la dernière page, frappé d’une Marianne encore tricolore, les a ramenés à la réalité: c’est bien le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (!!!) et le Ministère de la Défense qui ont commis l’opuscule. “Impossible mais pas français”, disait paraît-il Napoléon. L’Empereur a été entendu mais on peut douter que ce soit dans le sens qu’il eût souhaité.

     

    Deux ministères français peuvent désormais s’associer pour produire dans une langue qui n’est pas choisie au hasard un opuscule à destination des Afghans (auxquels on explique, bons princes, que, grâce à la coalition, ils progressent dans leur aptitude à lire toute forme d’écrit: la guerre américaine comme vecteur de culture, il fallait y penser...). L’Etat français a donc décidé de pousser jusqu’à l’absurde sa logique de soumission à l’empire américain et au pseudo modèle qu’il incarne. On n’adopte pas la langue de l’ennemi: même Vichy rédigeait sa propagande en français. Si on l’adopte, c’est qu’on a renoncé à se définir selon son identité nationale (un thème récurrent du discours sarkozyen pourtant). Notre gouvernement, ou ce qui en tient lieu, jette le masque sur plusieurs points:

     

    - il viole la Constitution de 1958 qui, en son article 2, stipule que “le français est la langue de la République”

    - il rompt le pacte républicain, qui fait de l’Etat le garant et l’interprète de la nation, au nom de laquelle il s’exprime dans sa langue

    - il humilie son armée, réduite de façon explicite à n’être qu’un supplétif de forces onusiennes qui parlent américain, dans une guerre où elle ne défend aucun de nos intérêts fondamentaux.

     

    Tout cela a bien entendu une cohérence. La cancérisation progressive de nos sociétés par le simili-anglais “officiel” répond à un objectif. Non pas celui d’instiller une langue de culture, comme pouvait l’être le français au XVIIIème siècle: l’anglais qu’on tend à imposer dans nos écoles, nos administrations et maintenant notre armée n’a pas plus à voir avec la langue de Shakespeare que le français de Sarkozy avec celui de Racine. L’anglais qu’on promeut dans les écoles de commerce et les séminaires gouvernementaux est un vague “globish” digne du volapuk bruxellois dont se gaussait le général de Gaulle et qui vise à introduire la “world culture” la plus inepte et la plus fade dans les cultures qui résistent encore à la mondialisation capitaliste. Ce globish n’est pas par hasard à connotation anglo-saxonne: il est la langue de la puissance américaine qui, après avoir fait croire qu’elle avait gagné la Seconde Guerre Mondialepour sauver les démocraties, s’est comportée avec l’arrogance que l’on sait depuis l’effondrement du monde communiste. On pourrait rire de cette collaboration d’Etat avec l’empire des marchands yankees qui a tout de même le bon goût de s’effondrer peu à peu. On peut aussi, sans verser dans un nationalisme à la Déroulède, en être profondément révulsé.

     

    Au tribunal de l’Histoire, Nicolas Sarkozy et le “gang” dont il est l’émanation seront traduits, à n’en pas douter, pour intelligence avec une puissance étrangère et trahison de l’intérêt national. Il ne tient qu’à notre génération de les déférer devant une juridiction plus concrète….

     

     

    Davos : J'apprends à l'instant sur France24, que les 100 plus grosses fortunes ont gagné 240 milliards de dollars en 2012 ! Notre monde est tombé sur la tête.  Et les peuples comme l'avenir de l'humanité doivent être sacrifiés à la voracité de cette Oligarchie sans scrupules ? Chantal Dupille

     

    Un an de leurs revenus... éradiquerait quatre fois la pauvreté mondialewww.combourse.com/.../Un_an_de_leurs_revenus_eradiquerait_quat...

    Un an de leurs revenus... éradiquerait quatre fois la pauvreté mondiale
    D'après Oxfam, les revenus nets des 100 personnes les plus riches du monde ont atteint 240 milliards de dollars en 2012.

    http://www.forumfr.com/sujet504141-un-an-de-leurs-revenus-eradiquerait-quatre-fois-la-pauvrete-mondiale.html

     

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    Honneur et Patrie  

     

    Le blog :

    http://honneuretpatrie.over-blog.fr 

     

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    L’UPR invite les habitants d’Île de France à fêter la “Fin du Monde” made in Hollywood en procédant à une journée spéciale de militantisme à Paris.



    La “Fin du monde” prévue le 21 décembre 2012, ne nous impressionne pas, car nous savons qu’elle est tout bonnement orchestrée par toute une série d’intérêts médiatiques et commerciaux outre-Atlantique.  Elle fera psccccchhhiiittt…. comme toutes les opérations commerciales du même genre.


    C’est une excellente raison pour l’UPR de démasquer tous les bobards apocalyptiques  « made in USA » du même genre, et notamment la fin de l’euro et la sortie de l’UE. Contrairement à ce qu’assènent aux populations d’Europe les larbins de l’Empire, ces décisions ne provoqueront nullement “l’Apocalypse”, mais au contraire le début de notre Libération collective.


    Venez en discuter avec nos responsables et militants !



    Parmi les principales actions de cette journée


    • - une grande banderole déployée à l’entrée de l’un des grands axes autoroutiers d’entrée dans Paris (en tout début de matinée).
    • – une distribution de tracts avec débat avec les passants sur la place de l’Hôtel de Ville de Paris à partir de 11h00. Métro Hôtel de Ville.
    • – un stand UPR sur le Parvis Droits de l’Homme, Place du Trocadéro à Paris, de 14h00 à 17h30 (la Préfecture de Police de Paris nous en a donné l’autorisation). Métro : Trocadéro.

    Si vous voulez vous joindre à ces opérations, vous pouvez prendre CONTACT en journée avec les équipes durant ces 24 heures de militantisme :

    • Erick : 06 29 46 74 64
    • Christophe : 06 77 54 42 37
    • Ben : 06 69 03 54 33

    Il y aura une vie le 22 décembre 2012. Et il y aura une France après la sortie de l’UE, de l’euro et de l’OTAN !


    Équipe UPR

     

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    21 décembre Venez fêter la "Fin du Monde" made in en procédant à une journée spéciale militantisme à

     

     

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    Gréve Générale ...

     

     

     

    Grève générale 1411

     

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     monde-avenir.png


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    "La meilleure arme d'un résistant

    n'est pas la mitraillette

    mais l'information"

    Lucie Aubrac

     

    "A une époque où le mensonge est devenu la règle,

     

    dire la vérité devient un acte révolutionnaire "

     

    George ORWELL

     

     


     

    resister-tous-ensemble-10-novembre-2008.jpg

     

     

     

    L'information,

    la divulgation de la vérité,

    permet l'action.

     

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    Le 14 novembre, grève générale !

    Les citoyens du monde

    doivent se prendre en mains,

    pas besoin des syndicats !

    Tous unis, tous ensemble !

    Oui, l'union fait la force,

    avec la détermination !

    eva

     

     

     

    "Le verbe RÉSISTER doit toujours se conjuguer au présent" Lucie Aubrac...

     


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  • "Les Semences de Kokopelli"

    11ème édition, couleur: 848 pages, 1300 photos !

    Manuel de production
    de semences
    et
    Collection planétaire
    de variétés potagères


    Kokopelli

    kokopelli-semences.fr/

    L'Association Kokopelli se consacre, depuis 1999, à la protection de la biodiversité alimentaire, à la production de semences issues de l'agro-écologie

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    Adressée à : François Hollande

    Cette pétition sera remise à:
    François Hollande

    François Hollande:

    Faire annuler la condamnation de Kokopelli

    par jef delquignies
    lille, France
    Signez cette pétition
    3 485 personnes ont signé
    Il manque 1 515 signatures

    Kokopelli est une association à but non lucratif, fondée en 1999 qui maintient une collection planétaire unique, de plus de 2 200 variétés de plantes potagères, céréalières, médicinales, condimentaires, ornementales et une gamme de variétés très peu cultivées, peu connues, voire en voie de disparition. Elle place son action dans l’objectif solidaire de développer des projets d’aide envers les communautés démunies (183 en 2011). Kokopeli est attaquée aujourd'hui par un grainetier, Graines Baumaux.


    Cette Société par actions simplifiée au capital de 1 000 000 d’euros, dont le chiffre d’affaires 2011 s’élève à hauteur de 13 952 923 € et le bénéfice 2010 à hauteur de 2 005 251 €, commercialise 2 835 variétés de graines potagères, florales, aromatiques, médicinales, fourragères et dites engrais verts. 


    Le Tribunal de Grande Instance de Nancy et la Cour de Justice de l’Union Européenne ont condamné l’association Kokopelli, pour concurrence déloyale vis-à-vis de l’entreprise Graines Baumaux, à verser 100 000 € de dommages-intérêts à Graines Baumaux, ce qui pourrait la forcer à cesser ou modifier ses activités. 


    Il est donc demandé au Président de la République, François Hollande, la traduction du Traité International sur les Ressources Phytogénétiques pour l’Agriculture et l’Alimentation (TIRPAA) dans notre législation nationale.

     

    Ce Traité, voté par la France en 2002 et approuvé nationalement en 2005, reconnaît aux agriculteurs et aux jardiniers le droit de conserver, utiliser, échanger et vendre les semences ou le matériel de multiplication reproduits à la ferme sur son territoire. Il reconnaît la contribution des agriculteurs à la conservation de la biodiversité et stipule que rien ne peut entraver leurs droits de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences reproduites à la ferme. 


    Il est de plus réclamé de faire respecter l’autorisation d’approbation du TIRPAA votée en 2005, en interdisant tout droit de propriété intellectuelle sur le vivant et en limitant les normes commerciales et les droits des obtenteurs là où commencent ceux des agriculteurs, et l’abrogation de la Loi du 28 novembre 2011 relative aux certificats d’obtention végétale. 


    Textes repris de la lettre de Monsieur René Balme, Maire de Grigny au Président de la République 


    Pour en savoir plus : 


    http://www.legrandsoir.info/condamnation-de-kokopelli-rene-balme-s-adresse-a-francois-hollande.html 
    http://www.semencespaysannes.org/condamnation_kokopelli_etat_condamne_qui_hono_115-actu_36.php 
    http://kokopelli-semences.fr/juridique/proces_perdu_2012


    Merci de partager largement ces informations et de vous impliquer.

     

    http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/fran%C3%A7ois-hollande-faire-annuler-la-condamnation-de-kokopelli?utm_campaign=action_box&utm_medium=twitter&utm_source=share_petition

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    A lire aussi,


    Comment on empoisonne l'agriculture et les vivants. Changeons cela !

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    La révolution en cours de l’Islande

    deena stryker



    La révolution en cours de l’Islande

    On se souvient que, au début de la crise financière de 2008, l'Islande fit littéralement faillite. Les raisons ne furent mentionnées qu'en passant, et depuis lors, ce membre peu connu de l'Union Européenne a semblé s’éclipser de l’actualité.
     
    A mesure qu’un pays Européen après l'autre fait face a une quasi-faillite, mettant en péril l'euro, l'Islande devient un phare d'espoir pour avoir choisi les gens avant le profit. voici pourquoi:
     
    Cinq ans d'un régime néo-libéral ont conduit à une privatisation de toutes les banques en Islande, (320.000 habitants, pas d'armée). afin d'attirer les investisseurs étrangers, ces banques offraient des services bancaires en ligne dont les coûts minimes leur ont permis de fournir des taux de rendement relativement élevés.
     
    Ces comptes (bancaires), appelé Icesave, ont attiré de nombreux petits investisseurs anglais et néerlandais. à mesure que les investissements augmentaient, les dettes étrangères des banques augmentaient aussi. en 2003, la dette de l'Islande équivalait à 200 fois son pnb (produit national brut), et en 2007, elle était de 900 pour cent.
     
    La crise financière mondiale de 2008 devint le coup de grâce. les trois principales banques islandaises firent faillite et furent nationalisées, tandis que la couronne (monnaie de l'Islande) perdit beaucoup de sa valeur par rapport à l'euro. a la fin de cette année-là, le pays a se déclara en faillite.

     
    Les citoyens récupèrent leurs droits

     
    Contrairement aux attentes mondiales, la crise a conduit la population à prendre le pouvoir de son pays, à travers un processus de démocratie participative directe. Ceci a finalement conduit à une nouvelle constitution, mais seulement après une persévérance féroce.
     
    Geir Haarde, le premier ministre d'une coalition gouvernementale sociale-démocrate, négocia un prêt de plus de deux millions de dollars, auquel les pays nordiques ajoutèrent deux millions et demi de dollars supplémentaires. mais la communauté financière étrangère fit pression pour que l’Islande impose des mesures drastiques.
     
    Des protestations et des Émeutes s’ensuivirent, obligeant finalement le gouvernement a être remplacé par une coalition de gauche nouvellement formée.
     
    La coalition plia finalement face aux exigences provenant de l'extérieur et selon lesquelles l'Islande devait payer un total de trois millions et demi d'euros. cela aurait exigé de chaque islandais de payer 130 $ par mois pendant quinze ans, a 5,5% d'intérêt, afin de rembourser une dette contractée par des parties privées vis-a-vis d’autres parties privées. ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase.


    Ce qui s'est passé ensuite fut extraordinaire. la croyance selon laquelle les citoyens devaient payer pour les erreurs d'un monopole financier, qu'une nation entière devait être taxée afin de rembourser les dettes privées, fut brisée.
    Les relations animées entre les citoyens et leurs politiciens, habilitèrent les dirigeants de l'Islande à agir aux cotés de leurs électeurs. le chef de l'état, Olafur Ragnar Grimsson, refusa de ratifier la loi qui rendait les islandais responsables des dettes bancaires, et soutint les appels pour un referendum.

     
    La communauté internationale furieuse

     
    Le monde ne fit qu'accroître la pression. la Grande-bretagne et la Hollande mirent en garde contre des représailles terribles qui isoleraient le pays, incluant l’arrêt de l'aide du FMI  et le la gel des comptes bancaires islandais étrangers.
     
    Durant le referendum du mois de mars 2010, 93% de la population votèrent contre le remboursement de la dette. le FMI gela immédiatement son prêt. mais l'Islande n’allait pas se laisser intimider. comme Grimsson le dit: « on nous a dit que si nous refusions les conditions de la communauté internationale, nous deviendrions le Cuba du nord. Mais si nous les avions acceptées, nous serions devenus l'Haïti du nord ».
     
    Avec le soutien des citoyens furieux, le gouvernement lança des enquêtes civiles et pénales contre les personnes responsables de la crise financière. en conséquence, l'ancien ministre des finances purgea une peine de prison de deux ans, alors qu'Interpol émit des mandats d'arrêt internationaux contre les banquiers impliques dans le krach.
     
    Les islandais se mirent également d’accord sur certaines mesures de réduction budgétaire comme le démantèlement de leurs infrastructures militaires - l'Islandic Defense Agency (agence islandaise de la défense, ou IDA), cessa d'exister en janvier 2011.

     
    La nouvelle constitution de l’Islande


    Afin de libérer le pays du pouvoir exagéré de la finance internationale et de l'argent virtuel, le peuple de l'Islande décida de rédiger une nouvelle constitution

    Ils élirent 25 citoyens parmi 522 adultes n'appartenant à aucun parti politique, mais recommandés par au moins trente personnes.Les réunions des électeurs furent diffusées en ligne, et les citoyens purent envoyer leurs commentaires et suggestions, étant les témoins de ce document à mesure qu'il prenait forme. la constitution qui émergea de ce processus de démocratie participative fut soumise au parlement pour approbation cet automne.
     
    On a dit au peuple grec que la privatisation de leur secteur public est le seul moyen de garder le pays à flot. les peuples de l'Italie, de l'Espagne et du Portugal sont confrontés à des pressions similaires. eux, ainsi que le reste d'entre nous, pourrions apprendre beaucoup de l'Islande, en refusant de se plier a des intérêts etrangers et en declarant haut et fort que les gens peuvent reprendre et reprendront leur pouvoir.

    Davantage d'informations:
    www.stjornlagarad.is/english
     
    Traduit de
     
    Iceland’s On-going Revolution
    http://www.positivenewsus.org/editions/fal11/fal1105.html
    http://www.alterinfo.net/La-revolution-en-cours-de-l-Islande_a70545.html

     

     

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    Mercredi 1 février 2012

     

    La fronde hongroise de Viktor Orban

    Léon Camus
     



    La fronde hongroise de Viktor Orban
    Un procès uniquement à charge instruit par une presse servile !


    À Budapest l’actuel Premier ministre Viktor Orban - revenu aux affaires en mai 2010 après avoir dirigé le pays une première fois de 1998 à 2002 - est accusé par des procureurs médiatiques affligés pour l’éternité de strabisme divergent, d’un insupportable autoritarisme : « Orban, s’empare peu à peu de tous les leviers du pouvoir et façonne une Constitution à sa botte. Une ‘démocrature’ prend forme au sein de l’Europe » nous assène en guise d’entrée en matière l’envoyé spécial de l’Express [11 janv. 2012]… Nous administrant aussitôt une preuve imparable de l’impopularité du Chavez européen 1  : une manifestation anti-Orban, le 2 janvier à Budapest - pour s’opposer à la nouvelle Constitution entrée en vigueur la veille 1er janvier - aurait rassemblé « plus de 70 000 personnes, chiffre considérable, dans ce petit pays de 10 millions d’habitants, où les rassemblements politiques sont rares » 2 .
    Pas si rares que cela puisque le samedi 21 janvier ce sont, d’après les médias la-voix-de-son-maître quelque 100 000 Hongrois venus des coins les plus reculés du pays qui ont convergé vers la capitale hongroise pour exprimer leur soutien à leurs dirigeants. La Hongrie comptant environ dix millions d’habitants, ce chiffre représentait en conséquence 1% de la population totale, ce qui équivaudrait en France à 650 000 manifestants… en réalité d’après d’autres estimations moins restrictives, il se serait plutôt agi de 400 000 personnes, soit 4% de la Hongrie et en Hexagonie, environ 2 millions !
    Deuxième grief formulé par l’envoyé très spécieux de l’Express, Orban aurait façonné « une Constitution à sa botte… afin de donner une apparence de légalité à la ‘démocrature’ hongroise : 200 lois et près de dix modifications constitutionnelles votées en l’espace d’un an » ! Certes, mais Orban n’a certainement pas été élu pour se tourner les pouces et apparemment – voir supra – ses électeurs n’en sont pas mécontents. Telle est la loi de la démocratie, la légitimité appartient à la majorité des suffrages exprimés 3 une loi cependant applicable chez nous seulement lorsque le « peuple » se prononce conformément aux attentes des idéocrates, en accord avec les « valeurs » et du sens supposé et imposé de l’histoire.

    L’argumentaire de liquidation : le catalogue des délits

    L’Express toujours : « la nouvelle Constitution, de style baroque. Promulguée dans les derniers jours de décembre et entrée en vigueur le 1er janvier, elle grave dans le marbre le caractère nationaliste et droitier de l’État hongrois. Ainsi l’appellation “République de Hongrie“ disparaît au profit de “Hongrie“ tout court. Une référence explicite à Dieu (“Dieu bénisse les Hongrois“) figure au préambule. Le forint, la monnaie nationale, est sanctuarisé. Le taux d’imposition sur les revenus est fixé à 16%. La personne du Premier ministre est déclarée “intouchable“. L’embryon humain est considéré comme un être humain dès le premier jour de la grossesse [atroce]. Et le mariage est explicitement décrit comme une union entre un homme et une femme afin d’empêcher tout débat sur le mariage gay, [pire qu’atroce !]. De plus, la Constitution rend rétroactivement responsables les actuels dirigeants du Parti socialiste (ex communistes) des “crimes commis sous le régime communiste jusqu’en 1989“. Et elle instaure une réforme de la banque centrale, qui a perdu, de fait, son indépendance. En contradiction radicale avec les règles communautaires de l’Union européenne ».
    Un véritable compendium d’horreurs. Sans oublier la liberté de la presse qui serait remise en question tout comme le subventionnement aux sectes et associations religieuses. Orban et sa politique concentrent à eux seuls toutes les hideurs du crapaud (pardon à ce bel animal à la voix flûtée) et les nuisances de la peste (brune). Tout ce qu’il ne faut pas penser, dire et faire et bien le Fidesz - pourtant banalement situé au centre-droit sur le spectre politique - le fait, le dit et le pense. Parce qu’en Hongrie, la droite radicale existe bel et bien et occupe un place suffisamment importante pour ne pas être mentionnée autrement qu’anecdotiquement dans la libre presse de l’ancien Monde libre [l’Europe de l’ouest.] On l’a bien compris Orban et son parti membre du Parti populaire européen et ne peut être immédiatement labellisé extrême droite “fascistoïde“ à l’instar du Parti Jobbik 4 . Précisons que le PPE, groupe conservateur du Parlement européen inclut l’UMP de M. Sarkozy, lequel doit faire le grand écart entre sa fidélité aux « valeurs » européennes et sa nécessaire “alliance“ de fait avec avec Orban, lui-même vice-président du PPE.

    Le crime des crimes

    Mais laissons ici, pour l’heure, le catalogue de griefs non rédimables pour mieux nous concentrer sur les questions de divergences fondamentales par rapport aux critères de Maëstricht, celles qui créent aujourd’hui un violent contentieux entre le Portugais commissionnaire Barroso, la Secrétaire d’État américaine Clinton, la Chancelière allemande Merkel, le futur éventuel présidentiable français Juppé 5 d’une part, et Viktor Orban de l’autre.

    À commencer par le retour de la Banque centrale sous la tutelle de l’État. Car où va-t-on si les financiers perdent leur indépendance vis-à-vis des politiques auxquels leurs décisions seraient soumises ? Plus encore que l’avortement, le mariage homo, Dieu et l’Identité nationale, la transgression du tabou des tabous est d’abord la dénonciation de la dictature du fric. Aucun crime autre que celui de lèse phynances 6 n’est plus terrible ni plus punissable : Orban s’est attaqué au saint des saint, autrement dit à l’État-profond, le pouvoir indicible, celui dont on ne parle pas mais dont l’omnipotence dicte leur destin aux peuples et aux nations sur des bases et selon des critères purement métapolitiques au service exclusif des cryptarchies régnantes 7 .

    Après la séparation de l’Église et de l’État, de la justice autonome par rapport aux pouvoirs législatif et exécutif, l’administration et l’émission monétaire échappent à l’État 8 , ces fonctions étant désormais transférées à un organisme supranational, en l’occurrence la Banque centrale européenne. Or, comme, les États se voient contraints d’emprunter sur les marchés extérieurs en vertu du Traité de Maëstricht 9 leur souveraineté monétaire se trouve de facto réduite a quia. Il appert donc que l’UE évolue tendanciellement vers un modèle à l’américaine où la Réserve fédérale n’a de « fédérale » que le nom n’étant en réalité qu’un consortium de banques privées. Qu’Orban ait voulu revenir en arrière et casser cette évolution vers une fragmentation ou une segmentation toujours plus poussée de l’État et de ses fonctions régaliennes en une multiplicité d’entités institutionnelles séparées – c’est-à-dire autonome voire indépendante – est proprement impardonnable.

    Reste que la « déréglementation », la suppression insidieuse de l’État et de ses fonctions par l’abrogation de la loi, ne supprime pas – sauf dans la mythologie libéraliste, dans les phantasmes et le verbiages des économistes, des universitaires, des médiacrates et des idéologues de tous poils – l’arbitrage et la surveillance qui réapparaissent immanquablement sous la forme d’organismes prenant en charge la « régulation » d’un secteur d’activité donné ou de l’une ou l’autre des fonctions vitales du corps social. Ici la gestion monétaire, et il s’agit dans tous les cas de déshabiller Pierre pour habiller Paul : « moins d’État » signifie toujours plus de transferts de pouvoirs vers de nouvelles féodalités, certes décentralisées voire délocalisées, diffuses peut-être mais agissantes, au seul profit d’un système dominé par les oligarchies détentrices de tous les leviers financiers, politiques, militaires et industriels.
    Or qu’à voulu faire le vilain M. Orban, rendre à l’État central ce qui lui appartient, l’administration de sa monnaie et qui plus est, celle de sa Justice. Crimes inexpiables à l’heure de la déconstruction de l’État et de son dépérissement [prévus et programmés tant par le Marxisme que par l’ultra-libéralisme friedmannien et l’École de Chicago] au profit de nébuleuses bureaucratiques façon Bruxelles elles-mêmes et d’entités du type des dictatoriales Agences de notation, relais multiples et truchements tentaculaires du divin Marché et des Club terriblement élitistes des tireurs de ficelles, toujours les mêmes !

    Menaces, rétorsion et sanctions

    Sous couvert de discipline budgétaire collective, la Commission Barroso a lancé le 18 janvier sa première salve – car il s’agit de faire un exemple ! - en demandant de lourdes sanctions financières contre la Hongrie en vue de sanctionner un dérapage budgétaire « insoutenable ». Le déficit public magyar atteindrait en effet 6% du PIB en 2011 au lieu des 3% annoncés par le gouvernement de Viktor Orban. La veille, le 17, Bruxelles avait en outre adressé au Premier ministre hongrois une triple lettre comminatoire de mise en demeure lui enjoignant de réviser trois textes législatifs litigieux « d’ici un mois ». Lois qui, aux yeux avertis des juristes de Bruxelles, violent l’esprit ou la lettre des Textes européens fondateurs. En cause, l’indépendance de la Banque centrale, celle des juges hongrois et pour finir l’autonomie de l’Autorité de protection des données.

    Menacé ainsi des pires sanctions financière par la Commission de Bruxelles, M. Orban a dû venir à Canossa s’expliquer à Strasbourg où il s’est fait copieusement invectiver par le « délinquant sexuel » Cohn Bendit 10 , lequel a donné une fois de plus une image fort reluisante – et quelque peu débraillée - des nouveaux maîtres de l’Europe ! Car, quoique la Hongrie ne soit pas membre de l’Euroland, son endettement est tel qu’elle ne saurait se passer pour éviter la banqueroute des subsides de la BCE et du FMI. En substance une ligne de crédit de 10 à 20 mds d’€ pour passer le gué hivernal.

    Au demeurant, si à l’étranger et en Europe de l’Ouest la cote politique de Viktor Orban n’est pas au plus haut - à l’instar de la monnaie nationale, le Forint – la situation dans son pays est tout à fait différente avons-nous vu… Aussi est-il à prévoir que les menaces du triste sire Barroso seront davantage un coup d’épée dans l’eau qu’une mortelle estocade ! Notons que la « comparution » de Viktor Orban devant le Parlement européen a été de sa propre initiative. Une première, puisqu’aucun chef d’État n’était auparavant venu en quelque sorte « défier » l’Institution en son propre palais…
    Pourtant le Premier ministre hongrois n’aura pas d’autre choix que de composer avec les puissances extérieures - Bruxelles, Londres et Manhattan - à propos d’un inenvisageable retour de la Banque centrale hongroise dans le giron étatique. À prendre cependant en considération le fait que la marge de manœuvre de la Commission n’est pas aussi confortable qu’il y paraît de prime abord : sanctionner Budapest certes, mais en évitant de précipiter le pays dans l’abîme au moment où la Grèce et l’Eurozone partent elles-mêmes en vrille. Chacun se souviendra du fiasco de la politique de sanction adoptée en 2000 à l’encontre de l’Autriche lorsque le parti « xénophobe » de Jörg Haider fit son entrée au gouvernement. Là encore intervinrent des décisions communautaires contreproductives parce que dictées non par la raison et l’intérêt collectif mais eu égard à une dogmatique et un sectarisme idéologique révélateurs des véritables finalités de la construction dite « européenne », à savoir la destruction programmée et irréversible de peuples de l’Europe.

    C’est en travers d’un tel projet - hélas déjà bien avancé - que Viktor Orban s’est placé aujourd’hui, et c’est bien là que le bât blesse ! Le réveil des peuples d’Europe n’était pas à l’ordre du jour quand un micro État et ses dix millions d’âmes, auparavant puissant avant d’être démantelé par le Traité du Trianon du 4 juin 1920, ayant connu l’épouvantable « République socialiste » de Bela Kun 11 et la « République populaire de Hongrie » pendant laquelle la révolte des masses, en 1956, fut écrasée sous les chenilles des chars soviétiques, entend à présent reconquérir une authentique indépendance… et avec elle son identité et se nommer selon son cœur « Hongrie » en rupture avec un passé de servage et de souffrance vers lequel le « Politburo » des Commissaires politiques européens voudraient maintenant la ramener pieds et poings liés.

    Notes

    (1 ) Un « Hugo Chavez de droite » selon l’eurodéputé Cohn-Bendit en référence au non-aligné président vénézuélien, haut en couleur, celui qui dit ses quatre vérités à l’Amérique néoconservatrice et prédatrice. Deux hommes politiques logés à la même enseigne si l’on en croit le président des É-U s’exprimant le 19 Décembre 2011 dans le quotidien « El Universal » : « Le gouvernement d’Hugo Chavez restreint les droits universels du peuple vénézuélien, menace les valeurs démocratiques et met en péril la sécurité de la région ». Chavez lui répondait le même jour à l’occasion du Conseil des ministres en le traitant d’irresponsable et surtout d’imposteur, qualification assénée trois fois avec une remarquable force de conviction.
    (2 ) Unanimité de la presse : ainsi Le Progrès titrait-il le 4 janvier « Hongrie : Viktor Orban sent le vent tourner : Vertement critiqué à l’étranger, le Premier ministre hongrois Viktor Orban sent aussi la colère monter dans son pays, où il est accusé de se comporter comme un ‘dictateur’ par des manifestants de plus en plus nombreux ». Le ton était donné en totale contradiction avec la réalité des faits les plus patents.
    (3 ) 54% en faveur du Fidesz, l’Union civique hongroise, parti présidentiel
    (4 ) Jobbik Magyarországért Mozgalom, « L’Alliance des Jeunes de Droite-Mouvement pour une meilleure Hongrie » compte 47 députés nationaux et 22 européens. Le Jobbik plaide en faveur de l’identité nationale pour le retour aux valeurs chrétiennes, de la famille et de l’autorité, autrefois illustrées par le régent du royaume de Hongrie, l’amiral Miklós Horthy entre 1920 à 1944. Jobbik milite contre le libéralisme politique, le communisme et le mondialisme apatride et cosmopolite.
    (5 ) Monsieur je-me-mêle-de-tout, paladin de la Démocratie indirecte voire subversive comme en Syrie, considérait le 3 janvier sur I-télé que la Hongrie et sa nouvelle Constitution font « problème aujourd’hui ! …Il appartient à la Commission européenne de vérifier que ces nouveaux textes constitutionnels respectent ce qui fait le bien commun de tous les pays de l’Union européenne, c’est-à-dire l’État de droit et le respect des grandes valeurs démocratiques... Nous appelons la Commission européenne à prendre les initiatives nécessaires pour que ces principes fondamentaux soient respectés partout, y compris en Hongrie  ». Message reçu 5/5 puisque la menace de sanctions européennes a été immédiatement brandie à Bruxelles.
    (6 ) Alfred Jarry « Ubu roi » 1896 - Concernant la Banque centrale hongroise : l’influence du gouvernement s’y trouve renforcée ; son président ne sera plus libre de désigner ses trois adjoints ceux-ci étant nommés par le Premier ministre. Le gouvernement hongrois – qui commence bien mal – est parvenu à rapatrier dans les caisses de l’État 11 mds d’€ jusque là détenus par des Fonds de pension étrangers, tout en imposant une taxe exceptionnelle aux banques et aux grandes entreprises étrangères. Par ailleurs une loi autorise les Hongrois ayant souscrit des crédits en Francs suisses, Euros ou Yens, à travers des produits financiers complexes émis par des banques étrangères, à effectuer leur remboursement en Forints hongrois. Les particuliers auront ainsi la faculté de rembourser leurs dettes à un taux de change fixe préférentiel. Les demandeurs de fonds pourront également bénéficier de crédits en Forints pour financer leurs transactions, ceci reviennant à reconvertir ces crédits en monnaie hongroise, imposant aux établissements bancaires de couvrir la différence… Cf. Maurice Gendre « Bombarder Budapest ? » 19 janv. 2012
    (7 ) Le sénat français en adoptant ce 23 janvier 2012 la Loi pénalisant la négation de tous les génocides, et en particulier du génocide arménien de 1915, n’obéit pas, en flattant les suffrages arméniens, à la seule arithmétique électorale, ni même au-delà en visant le vote des communautés israélites. Il s’agit en vérité d’ériger un mur défensif autour du « crime contre la pensée unique et totalitaire » institué par la loi Gayssot-Fabius… archétype des dispositifs juridiques, présents et avenir, de contention de la liberté de penser blanc ou noir. Un motif idéologique – la protection des grands mythes fondateurs du monde actuel, à commencer par ceux de la démocratie et de l’autonomie de consentement dans l’adhésion aux nouvelles religions contemporaines – plus puissant que tous les intérêts économiques et moraux immédiatement en jeu dans les choix prioritaires à effectuer… au regard par exemple d’une Turquie, partenaire commercial et industriel de première importance. Ce qui en période de crise aiguë, donne la mesure du mépris de nos dirigeants vis-à-vis de l’urgence d’un sauvetage économique, humain et sociétal, lequel devrait en principe s’imposer toutes affaires cessantes. Le même raisonnement s’applique au dossier iranien entretenu au prétexte d’un programme nucléaire prétendument menaçant pour la paix du monde. Nul ne croit bien entendu à ces billevesées, mais l’embargo pétrolier européen qui vient d’être adopté ce 23 janv. 2012 – lequel pourrait entraîner par mesure de rétorsion la fermeture du Détroit d’Ormuz et partant, créer les conditions d’une conflagration régionale - condamne un peu plus la Grèce au marasme en raison de sa dépendance à hauteur de 30% du pétrole persan [pour la satisfaction de ses besoins énergétiques et 20% pour l’UE en général et en particulier l’Italie et l’Espagne, deux pays durement touchés par la crise budgétaires]. Là encore se sont des raisons métapolitiques faisant litière des intérêts, aussi impérieux qu’immédiats de l’Europe réelle, qui l’emportent sur toutes autres considérations. Retenons que la soif de puissance hégémonique et la concurrence biologique sont des paramètres surdéterminants des tensions internationales actuelles, situées bien au-delà de simples guerres pour les monopoles énergétiques ou le $ comme monnaie exclusive des transactions pétro-gazières.
    (8 ) Une indépendance théorisée, à la suite de John Locke, par Montesquieu dans L’Esprit des lois (1748) à une époque où la justice ne se mêlait pas autant de politique et n’entendait pas se placer en contrepouvoir institutionnel systématique, ou en courroie de transmission idéologique, ou pire comme instrument politique au service de tel ou tel parti.
    (9 ) En France, avec la Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, texte surnommée « Loi Pompidou-Giscard » ou « Loi Rothschild », l’État s’automutile en s’interdisant grosso modo de l’autofinancement par l’emprunt intérieur ou la création monétaire : l’État délègue ou abandonne ainsi son droit régalien de création monétaire au système bancaire privé. La loi “Pompidou-Rothschild“ a été abrogée à la date symbolique du 4 août 1993 ; elle est entrée en application le 1er janvier 1994 lors de la transcription dans nos codes du Traité de Maëstricht.
    (10 ) « Hongrie : défilé monstre pro-Orban » Figaro le 21 janv. 2012, commentaires : « Orban n’a pas de leçons à recevoir d’un délinquant sexuel ! » à propos de M. Cohn-Bendit « né en France de parents juifs allemands dix mois après le débarquement de Normandie ».
    (11 ) Sur la « République de Bela Kun » lire Jérôme et Jean Tharaud « Quand Israël est roi » Plon 1921. Téléchargeable - Université de Toronto : http://www.archive.org/details/quan...

    http://www.geopolintel.fr

     

     

    http://www.alterinfo.net/La-fronde-hongroise-de-Viktor-Orban_a70582.html


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