• Mon opinion : Les USA n'accepteront pas une défaite de leur pion. Si Mme Rousseff l'emporte de peu, ils contesteront le résultat et ils provoqueront le chaos jusqu'à ce que le Gouvernement élu saute ; C'est le scénario habituel. Grâce au soutien populaire très organisé, le Vénézuela y a échappé. Attendons-nous à des turbulences au Brésil ! L'enjeu est la sortie du Brésil des BRICS pour affaiblir cette organisation (non alignée) et la Russie ! Eva R-sistons

    Les USA veulent à tout prix imposer un changement de régime au Brésil

    logo_tlaxcalaBis1Pour les USA, il est devenu vital  d’empêcher que ne se développe au Brésil, ainsi que dans les pays d’Amérique Latine se considérant comme ses alliés, des forces politiques suffisantes pour provoquer une réorganisation stratégique globale, dont Washington serait exclu.  On fera rapidement le lien avec le rapprochement entre la Chine et la Russie, exposé en détail dans l’article Le cauchemar de Washington se précise : le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine s’étend [1], que nous venons de publier aujourd’hui-même.


    Marina-Silva

    Marina Silva


    Dans un précédent article [2], nous avions indiqué  que, derrière la candidature de Marina Silva à la présidence du Brésil lors des élections d’octobre 2014, les USA engageaient toutes leurs forces pour provoquer la chute de l’actuelle présidente Dilma Rousseff et pour ainsi replacer le Brésil sous leur influence directe.


    Dans l’immédiat, il s’agirait d’empêcher que ne se renforce, sous l’influence du Brésil et sans doute aussi de l’Argentine, une zone de libre échange et de coopération dite Unasur (Unión de Naciones Suramericanas) rassemblant les deux unions douanières existantes, la Communauté des Nations andines et le Mercosur (Mercado Común del Sur, comprenant l’Argentine, le Brésil, le Paraguay, l’Uruguay et le Venezuela avec 5 membres associés, le Chili, la Bolivie, la Colombie, l’Equateur et le Pérou). L’Unasur s’opposerait de fait à l’OAS (Organization of American States), que Washington promeut en vue de rassembler les gouvernements sous son influence.


    A moyen terme, il s’agit d’affaiblir la constitution dES BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), en les privant du soutien d’un Brésil redevenu hostile. Nous avons plusieurs fois exposé le rôle essentiel que joueront les BRICS pour contester le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et à terme le dollar. Les BRICS pourront fonctionner sans le Brésil, mais ce dernier, sous l’action énergique de Dilma Rousseff, serait un acteur majeur, représentatif de tous les pays latino-américains désirant s’émanciper de Washington, de ses interventions politiques et économiques permanentes, ainsi que de l’espionnage électronique permanent, dont Dilma Rousseff se déclare une adversaire résolue.


    Or, dans cette guerre aujourd’hui déclarée contre Dilma Rousseff, Washington met toute ses forces, officielles comme occultes, dans la balance. Il s’agit d’abord de faire élire une Marina Silva soutenue par les milieux brésiliens les plus rétrogrades, notamment les églises évangéliques. Mais il s’agit surtout de provoquer un véritable regime change, dont Washington s’est toujours faite le champion à travers le monde, que ce soit en Amérique latine, en Afrique et maintenant en Eurasie. Pour cela, tous les moyens sont bons, notamment le recours à la CIA et à des organisations ad hoc promues par elle avec force dollars à l’appui.


    Un article de Nil Nikandrov, dans Strategic Culture, donne de ces interventions US une description détaillée / Marina Silva – élément d’un plan pour déstabiliser le Brésil [3]. Le site comme l’auteur s’efforcent de résister à la propagande incessante des grands médias dits « Occidentaux », mais cela ne retire rien, au contraire à la pertinence de leurs analyses.


    Les optimistes pensent que le nouveau plan US échouera, comme d’autres dernièrement à travers le monde. Mais ceci n’est pas sûr, compte tenu de l’enjeu que représentera pour l’US-Amérique un Brésil redevenu docile.


    Notes 

    [1] Le cauchemar de Washington se précise : le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine s’étend (vineyardsaker, français, 23-09-2014)

    [1] De Dilma Rousseff à Marina Silva, le Brésil en voie de ré-américanisation ? (vineyardsaker, français, 14-09-2014)

    [2] Marina Silva, part of plan to destabilize Brazil (strategic-culture.org, anglais, 23-09-2014)

    Jean-Paul Baquiast


    Traductions disponibles : Português  English 


    Source : Tlaxcala, le 1 septembre 2014


     A lire sur La Pluma:

    Brésil : Lettre ouverte à Marina Silva

    Les femmes au Brésil, une majorité non représentée  

    Brésil : la candidate Marina Silva ne laisse aucun doute sur son projet

    Un silence assourdissant : l'avortement, un thème tabou dans la campagne électorale brésilienne

    13 raisons de réélire Dilma

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    Brésil : la candidate Marina Silva ne laisse aucun doute sur son projet

    http://nblo.gs/10lr9k

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     Emir Sader Marina Silva, issue d'une famille de seringueiros - collecteurs de latex - de l'État occidental d'Acre,  est la première femme noire candidate à la présidence de la République de l'histoire du Brésil. Membre du Parti des travailleurs (PT) de 1985 à 2009, elle a été sénatrice puis ministre de l'Environnement du gouvernement Lula de 2003 à 2008.

     

    Candidate à l'élection présidentielle de 2010 pour le Parti Vert du Brésil, elle arrive en troisième position avec près de 20% des voix. Après avoir échoué à créer son propre parti, elle rejoint en 2013 le Parti socialiste brésilien (PSB). Elle aurait occupé le poste de vice-présidente en cas de victoire du candidat Eduardo Campos pour l'élection présidentielle de 2014. Après la mort de ce dernier dans un accident d'avion le 13 août 2014, elle est désignée comme candidate du PSB. Elle est la principale concurrente de Dilma Rousseff dans l'élection présidentielle du 5 octobre prochain, avec un programme nettement néolibéral/néoconservateur, habillé aux couleurs de la défense de l'environnement.  Fidèle de l'Assemblée de Dieu, l'Église pentecôtiste la plus puissante du Brésil, elle a des positions conservatrices sur les questions de société, étant notamment hostile à une dépénalisation de l'avortement, au mariage pour tous et à l'utilisation des cellules souches. Emir Sader revient sur le noyau dur de son programme, la politique économique qu'elle entend mener.


    Après quelques semaines, Marina Silva a lancé sa candidature à la présidence du Brésil. Trois points se distinguent par leur importance: l’indépendance de la Banque centrale, une importance moindre donnée au Pré-sal* et au Mercosur, ce dernier étant remplacé par des accords bilatéraux. Ces trois points ne sauraient être plus plus significatifs, car ils entrent directement en conflit avec les orientations des gouvernements de Lula et de Dilma. Les trois, ensemble, pointent sur un projet d'orientation nettement néolibérale.


     

    http://tlaxcala-int.org/upload/gal_9004.jpg

     

    L'autonomie de la Banque centrale est l'une des thèses les plus préconisées par les recettes néolibérales. Elle provoque l'affaiblissement de l'État et le renforcement du centralisme du marché, alors que cette indépendance de la politique monétaire est normalement l’oeuvre du gouvernement, qu’il applique à un modèle de développement économique inextricablement lié à la répartition du revenu. Retirer au gouvernement son contrôle de la politique monétaire et la laisser soumise à l'influence directe des acteurs du marché – en particulier du système bancaire privé –  revient à déplacer la capacité de ce modèle à soumettre l'équilibre budgétaire à des politiques distributives, en se soumettant, au contraire, à la centralité de l'ajustement fiscal, recherché par le néolibéralisme.


    Diminuer l’exploration du Pré-sal revient à jeter par-dessus bord la capacité du Brésil à s’affranchir en termes de politique énergétique, de disposer d'une grande quantité de ressources provenant de l'exportation, ainsi que de consacrer 7,5 % de ces ressources à l'éducation et 2,5% à la santé, conformément à une décision déjà adoptée par le Congrès.


    Ce serait aussi une politique suicidaire en termes de développement technologique du Brésil, et diminuerait l’impulsion économique obtenue par les immenses demandes exigées par l'exploration du Pré-sal.


    Ces positions se complètent – et gagnent leur plein sens – lorsqu'on examine ce que peut vouloir dire diminuer l’importance du Mercosur et développer des accords bilatéraux. Le MERCOSUR a signifié jusqu’ici la politique de priorité des accords régionaux face au Traité de libre-échange avec les USA, prêché par le gouvernement de Fernando Henrique Cardoso et bloqué par la victoire de Lula en 2002.


    Minimiser l'importance du Mercosur, en réalité, signifierait nier l'importance de toute la gamme des instances d'intégration développées et créées ces dernières années: la Banque du Sud, le Conseil sud-américain de la défense, l’Unasur, la Celac, ainsi que les Brics et leurs accords nouvellement établis, qui comprennent la Banque de développement et le Fonds de réserves de soutien aux pays ayant des problèmes de devises.


    Le programme ne dit pas clairement de quel type d'accord bilatéral il s’agit, mais il est à craindre que ce soient, surtout, des accords avec les USA et les pays centraux du capitalisme. Il sera alors impossible au Brésil de continuer dans le Mercosur, et cela aboutira, peut-être, à une rupture totale du Brésil avec tous ces organismes et une réinsertion radicale et subordonnée à la sphère des USA, avec toutes les conséquences régionales et mondiales que cela suppose.


    Il ne fait aucun doute que la forme de l'affrontement électoral a changé, avec la polarisation autour de Marina Silva et de Dilma Rousseff, mais le contenu reste le même: continuité du gouvernement postnéoliberal du PT ou retour à un projet néolibéral, maintenant déguisé de quelques – assez rares– oripeaux et déclarations écolos (Marina a déjà déclaré qu’elle n'a jamais été contre les cultures transgéniques) ou un prétendu renouvellement de la politique, au-dessus des partis et de la polarisation gauche-droite, tout en regroupant à droite toute derrière elle.


    C’est un vrai cadeau pour la droite brésilienne et pour les USA, qui étaient près de voir leurs candidats et leurs thèses éliminées une fois de plus. Le monopole privé des moyens de communication – le véritable parti de la droite – sans doute obtiendrait une grande victoire, dans le cas où sa nouvelle candidate parviendrait à vaincre le gouvernement du PT – objectif unique, par n’importe quel moyen, de la droite brésilienne et de Washington. C'est ce qui est en jeu maintenant au Brésil


    Marina indique clairement la nature de son projet par ses positions, mais également en regroupant dans la coordination de sa campagne électorale des noms connus du néolibéralisme: Andre Lara Resenda, ancien ministre des gouvernements Collor de Melo et Cardoso; Giannetti da Fonseca,  idéologue néolibéral notoire, et Neca Setubal, héritière de la Banque Itaú, l'une des plus grandes banques privées brésiliennes. Avec ces positions et cette équipe, l'ex-leader écologiste Marina Silva se convertit pleinement au néolibéralisme.


    Note du traducteur


    * Il y a quelques années furent découvertes d’énormes réserves de pétrole et de gaz profondément enfouies (à environ 6.000 mètres, sous une couche de sel, d’où son nom) au large des côtes des États de São Paulo, Espírito Santo et Rio de Janeiro. Ces réserves sont difficiles et coûteuses à exploiter, mais elles placent le Brésil au 6ème rang des pays détenteurs potentiels de pétrole.

     


    Emir Sader

    Marina deja en claro a qué vino  

    Traduit par Lucien

    Fausto Giudice Фаусто Джудиче فاوستو جيوديشي

     

     

    Source : Tlaxcala, le 22 septembre 2014

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    Un débat intéressant, d'actualité

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    Alain Minc-Eric Zemmour: «La société française est en voie d'implosion»

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    FIGAROVOX/EXTRAITS-Dans Le Figaro les deux essayistes débattent avec talent et franchise de l'avenir de la société française. Morceaux choisis.

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     1/5 

    Alain Minc publie «Le mal français n'est plus ce qu'il était» (Grasset) (en librairie le 8 octobre)

    Eric Zemmour publie «Le suicide français» (Albin Michel)


     

    LE FIGARO. - Vos deux livres montrent un point d'accord entre vous:la disparition du politique tel que nous l'avons connu jusqu'aux années 1970.Qui gouverne aujourd'hui?


    Alain MINC. - La réponse est paradoxale: les États gouvernent encore sur l'essentiel. Et l'exemple le plus éloquent est la construction de l'euro. Il n'y a pas de création plus politique que la monnaie unique. Mais si l'on revient au sentiment d'impuissance que peuvent parfois donner ceux qui nous gouvernent, il faut reconnaître une constante de notre pays: en France, réformer, c'est donner un coup de bistouri brutal et laisser ensuite la société s'adapter. Ça commence avec le traité de libre-échange de Napoléon III, qu'il fait clandestinement, ça continue avec le traité de Rome, que de Gaulle confirme, et ça s'achève avec la monnaie unique. À chaque fois, vous imposez au pays une contrainte internationale pour l'obliger à se moderniser.

     

     

    Éric ZEMMOUR. - À mon sens, il y a un fil rouge de l'histoire de la France et de l'Europe depuis la Révolution de 1789: les élites n'ont jamais digéré la souveraineté populaire. L'Europe a été le moyen de s'en débarrasser. Quand Philippe Séguin en 1992 explique que Maastricht sera l'anti-1789, il a raison. Qui gouverne aujourd'hui? Une oligarchie européenne façonnée par l'oligarchie française. Il y a derrière toute une élite. Il faut lire à ce sujet l'analyse de Rawi Abdelal de la Harvard Business School, qui explique que ce sont des Français, MM. Lamy, Delors, Camdessus, qui ont inventé cette libéralisation du mouvement des capitaux. Lawrence Summers, conseiller de Bill Clinton, décrit ce mouvement en des termes très clairs: «Ces élites sans patrie qui ont fait allégeance à la mondialisation économique et à leur propre prospérité plutôt qu'aux intérêts de la Nation.» À partir de là, les gouvernements ne peuvent plus gouverner. Ils n'ont plus la souveraineté monétaire et n'ont plus le moyen de contrôler le capitalisme libéralisé. Ils sont donc devenus des pantins. Donc quand on leur dit qu'il faut réformer, ils ne réforment que dans les intérêts de cette oligarchie.

    De Gaulle le disait : « On ne fait pas d'omelette avec des œufs durs. » Les œufs durs, ce sont les nations ; l'omelette, c'est l'Europe. L'Europe est une négation de l'histoire, qui sera balayée par l'histoire.

    A. M. - Éric Zemmour oublie, comme disait Raymond Aron, que l'histoire est tragique. La construction européenne est avant tout une réponse à cette dimension tragique. Un exemple: avec la chute du Mur, Mitterrand a eu l'extrême intelligence avec Kohl d'imposer aux Allemands la ceinture monétaire pour les lier à l'Europe de l'Ouest. Quant à la libéralisation des mouvements de capitaux, ce n'est pas une oligarchie qui l'a imposée, c'est un état de fait que la technologie aurait de toute façon entraîné. Le monde a changé parce que nous avons vécu à la fois la chute du communisme, la libéralisation des mouvements des capitaux, le tout chevauché par la révolution technologique du Net. Une révolution de cette ampleur réduit effectivement les marges de manœuvre.

     

    E. Z. - Ce n'est pas l'Europe qui a fait la paix, mais la paix qui a fait l'Europe! Autrement dit, l'épuisement des impérialismes français, anglais et allemand a permis aux États-Unis avec l'aide de Jean Monnet (que de Gaulle tenait quasiment pour un agent de la CIA!) de faire la construction européenne. De Gaulle le disait: «On ne fait pas d'omelette avec des œufs durs.» Les œufs durs, ce sont les nations ; l'omelette, c'est l'Europe. L'Europe est une négation de l'histoire, qui sera balayée par l'histoire.

     

     

    A. M. - De Gaulle dit aussi: «L'Europe est le levier d'Archimède de la France.» Un exemple concret pour rappeler la vertu pacificatrice de l'Europe: après la chute du Mur, sans l'Europe, les Allemands seraient partis dans une politique procroate, et les Français dans une politique proserbe. Ce qui les arrête, c'est qu'à l'intérieur de l'Union européenne, ces nations doivent se mettre d'accord.

     

    Lisez l'integralité de l'entretien ici ou dans Le Figaro du 4 octobre

     

     

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/10/03/31003-20141003ARTFIG00331-alain-minc-eric-zemmour-la-societe-francaise-est-en-voie-d-implosion.php

     

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    Ce que vous devez savoir sur l'Ukraine ! (2 vidéos)

     

     

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    Édifiant ! Crise en Ukraine:

    Ce que l'on vous cache !

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    Giulietto Chiesa sur l'Ukraine:

    la désinformation est totale

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    Merci à :

    Berlusconi accuse l'Occident d’avoir une attitude irresponsable envers la Russie

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    Sur ce site,

     

     

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     La sale guerre de Kiev au Donbass.. Atroce !



     


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    Le sionisme est l'ennemi de tous, même des Juifs !


    http://www.planetenonviolence.org/photo/art/default/1653960-2228506.jpg

     

    (..) "il faut rappeler que même quand les médias n’en parlent pas, la puissance occupante tue en moyenne deux civils palestiniens chaque jour (..)  Les victimes civiles, au mépris de toutes les règles du droit international, des codes militaires et des usages de la guerre, sont redevenues le véritable objectif des guerres. On est revenu à la destruction "structurelle" de la Seconde guerre mondiale, avec ses tapis de bombes, et du Vietnam avec le napalm" (..)

    http://mcpalestine.canalblog.com/archives/2014/07/18/30272255.html

     

     

     

    La vraie menace,

    c'est le sionisme !

    Par Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

     

    Jamais on n'entend prononcer le mot "sionisme" dans les médias, pas plus d'ailleurs que les mots "sayan, sayanim" ou "goy, goyim" (1). Pourtant ils recouvrent des réalités incontournables.


     

    La principale menace n'est pas l'Islam, qui n'a ni les moyens financiers ni les moyens militaires des sionistes. Dans le Coran, le "djihad" est la guerre contre ses mauvais penchants, et les guerres de conquête sont exclues (seules sont tolérées, évidemment, les défensives). Tandis que dans la doctrine juive, la guerre est d'agression, de conquête. Le djihad aujourd'hui, mis en avant par nos médias tous sionistes, est une guerre orchestrée par les Services Secrets de l'Occident comme le Mossad et la CIA, pour diviser les peuples et ensuite, régner en contrôlant les gens comme les ressources. Les Musulmans radicaux sont utilisés après avoir été fanatisés, armés, formés, et même drogués pour être plus sanguinaires, comme en Syrie, Libye, Afghanistan, Irak, au Caucase etc. L'Occident est un pompier pyromane, puisqu'il suscite lui-même le terrorisme qu'ensuite il prétend combattre.


     

    La vraie menace pour le monde, c'est le sionisme, qui est une perversion du judaïsme. Ainsi, une femme rabbin anti sioniste écrit : "Le Sionistan, c'est un État qui s'est construit sur le mensonge, la falsification, la violence, la colonisation et le chantage à la Shoah".


    croah.fr
      zionismisnazism1
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    Pourquoi le sionisme, très discret, est-il si dangereux ? J'avais récemment écrit un tweet très éloquent : "Gaza, pardon, c'est le "hors-d'oeuvre" ; le plat de subsistance, c'est le Nouvel Ordre Mondial à venir, inspiré par les sionistes". Je vais résumer en quelques mots tout ce qu'il y a derrière le sionisme, aujourd'hui.

    D'abord, il y a des individus tous puissants comme Rothschild, qui peu à peu accapare les terres du monde entier (pour ensuite tout y contrôler), ou Bill Gates (eugéniste notoire), ou Goldman Sachs, le banquier le plus influent de la planète, "maître du monde", dit-on. Ensuite, il y a à la tête d'Israël des dirigeants fascistes, fanatiques, liés aux colons extrémistes, comme Netanyahu annonçant avec cynisme que les Etats-Unis lui sont soumis (ne serait-ce qu'à l'ONU, Israël votant par procuration et bloquant toute résolution à son encontre), ou Liberman qui rêve de détruire l'Iran avec une bombe Hiroshima. Et c'est l'Iran (n'ayant jamais attaqué personne) qui veut rayer Israël de la carte ? Bah voyons ! Notons d'ailleurs que le nouveau Président d'Israël est un radical, partisan du "Grand Israël", et opposé à la création d'un Etat palestinien ; le ton est donné ! Un ton qui présage le pire...

    Ensuite, il y a aussi derrière le sionisme le plus fanatique, messianique, biblique, une certaine doctrine,"talmudo-sioniste", avec en gros cinq idées haineuses et racistes, "un peuple élu, une race supérieure, tout dominer, et éliminer ou assujettir les Goyim". Comparons avec la charité chrétienne, ou avec les cinq grands préceptes de l'islam comme "se prosterner cinq fois par jour devant Dieu, faire l'aumône aux pauvres"...

    Et il y a les faits. Gaza est la partie visible de l'iceberg. Israël veut récupérer la terre et voler le gaz offshore, en éliminant les habitants par tous les moyens : Bombardements, massacres, morts, blessés, handicapés, enterrés vivants, malades (cancer, malformations à la naissance, etc), et puis il y a les traumatisés, la destruction des infrastructures, du commerce, des vergers, des oliveraies, de la Centrale électrique, des routes, des maisons, des écoles, des hôpitaux, des radios, etc. Au nom des tunnels, qui avaient fait zéro mort en Israël, mais qui assuraient la survie des Gazaouis. Il s'agit d'un cas unique, du crime le plus monstrueux de l'Histoire, d'une punition collective de tout un peuple innocent (de la Shoah), via une prison à ciel ouvert, un ghetto, un cimetière gigantesque... bref d'une Shoah qui ne dit pas son nom, le plus cruel génocide de l'humanité, mais pas perçu comme tel car lent et sournois.

    Mais il ne faudrait pas se limiter à Gaza. Car par exemple, les pires conflits, chaos, attaques, guerres civiles, assassinat ciblés, attentats, guerres... sont orchestrés par les sionistes. Ainsi, c'est pour Israël que Bush a entrepris la destruction de l'Irak, que BHL a mandaté la France détruire la Libye, que des adversaires du laïc et progressiste Assad ont attaqué la Syrie sous de faux prétextes, et c'est aussi pour l'entité sioniste que le Liban a été hier désintégré, que des néo-nazis orchestrent un génocide en Ukraine Est, que l'Afrique est désormais en plein chaos, que des groupes terroristes ont été suscités comme Boko Haram, Al Nosra, EIIL... Le monde souffre mille maux à cause des sionistes et de ses alliés américains, anglais et français, désormais. C'est tout simplement effrayant ! Et les meRdias français tous sionisés osent répandre l'idée qu'Israël "démocrate" est l'antidote au terrorisme ! Une sorte de pompier-pyromane, donc... Or celui qui aujourd'hui résiste réellement au terrorisme, c'est Assad, eh oui !

    Quoi d'autre ? Les sionistes sont les plus grands menteurs, depuis la création d'Israël "une terre SANS peuple pour un peuple sans terre". Et si on les écoute, ils n'ont pas d'armes de destruction massive, alors qu'ils les utilisent sans cesse et qu'ils possèdent la bombe atomique. Un historien sioniste a d'ailleurs dit que si Israël n'est plus en état de se défendre, il enverrait ses armes atomiques au quatre coins du globe pour se venger ! La vengeance, une idée très sioniste, qu'un Meyer-Habib tente d'introduire à l'UDI et même au Parlement. Et puis, ce sont aussi de grands voleurs, décidés à conquérir par tous les moyens ce qu'ils convoitent. Quant à l'hypocrisie et à la cruauté mentale, n'en parlons pas ! Illustration ici :

    Des israéliens chantent: "Il n'y aura pas d'école demain, on a tué tous les enfants"
    Mais encore ? L'usure, vous connaissez ? C'est un précepte du Judaïsme. Sauf qu'au bout de cinquante ans, les dettes devraient être remises... Nos sionistes rackettent la planète entière avec leurs Banques centrales, réduisant l'humanité à la misère, comme en Grèce où pour satisfaire la voracité insatiable des banksters, le pays est condamné à vendre son patrimoine, à  priver les habitants de leurs droits humains... Tiens, ce 31 juillet 2014, j'ai vu un reportage sur les prisons grecques où l'on enferme ceux qui n'ont pu payer leurs "dettes", et lorsqu'ils tombent malades, s'ils deviennent par ex diabétiques, on les ampute des deux jambes. Les malades du sida meurent au milieu des détenus, et j'en passe, de pires. Mais les usuriers sont satisfaits !  
    ..
    Est-ce tout ? Pas du tout, le pire est à venir. Qui conçoit les plans monstrueux du Nouvel Ordre Mondial, avec à la clef dictature, uniformisation du monde, genre neutre, asservissement, etc ? Les sionistes, encore eux. Petits par le nombre, mais gigantesques par le pouvoir, l'influence, et la nocivité.
    .
    Il est temps de se débarrasser de cette vermine, en lui octroyant la seule place qu'elle mérite : La prison. C'est ELLE, ou nous TOUS ! 
    .
    Et en attendant, la meilleure arme, celle qui a vaincu l'Afrique du Sud coloniale, c'est le boycott. L'arme économique est très efficace, et elle ne fait pas de morts, elle...
    .
    Chantal Dupille (eva R-sistons)

    (1) Sayan, agent d'Israël en France, il y en a partout. Pluriel sayanim - Goy, non Juif, pluriel goyim
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    Elle est belle, la démocratie européenne ! Ils ont voulu l'Ukraine Est, elle devient comme la Libye ! (eva)

     

    Ukraine - Donbass, le nouveau safari occidental!

    Le safari sanglant : les étrangers abattent les Ukrainiens comme des animaux

    12.07.2014
    Auteur : Dmitry Melnikov
    Les combattants de la République populaire de Donetsk ont signalé le démantèlement de deux avant-postes de l'armée de Kiev près de Donetsk. Selon le ministre de la Défense de RPD Igor Strelkov, l'un des blocs-poste était tenu par des hommes en camouflage de l'OTAN et avec des passeports étrangers, probablement, des mercenaires. Mais ces derniers mois parmi les bourreaux il y en a qui ne reçoivent pas d'argent de Kiev au contraire, sont prêts à payer pour la possibilité de tirer sur des gens en toute impunité. Les Autorités ukrainiennes transforment la zone de combat en parc de divertissement, parc extrême pour les touristes étrangers.
    Une journée d’entraînement du bataillon "Azov" sur l'une des bases à Berdyansk. L’homme aux cheveux bruns, plus très jeune, affublé d’un gilet pare-balles, avec un fusil d'assaut Kalachnikov, dans le bataillon il a été surnommé « Don ». Francesco Fontana est un parmi plusieurs centaines d'aventuriers occidentaux, qui est arrivé dans l’Ukraine en guerre, comme un vautour attiré par l'odeur du sang. Un italien de 53 ans franc-tireur de la "Légion étrangère" - parle avec enthousiasme comment il a pulvérisé les barricades des combattants lors de son baptême du feu près de Marioupol.
    « Je suis volontaire, je ne reçois pas d'argent ici. J’ai payé moi-même le billet d’avion pour venir en Ukraine. J’ai rêvé d’une telle expérience toute ma vie, dans mes rêves et en réalité. Ici, il n’y a pas de place pour les sentiments. C'est la guerre, je suis ici pour tuer » - reconnait Fontana.
    Un tatouage sur son avant-bras -un requin noir. L’écorcheur italien dans sa jeunesse était membre des milieux radicaux. Sur ses vieux jours, Fontana a abandonné sa carrière comme manager d’un établissement de vente de voiture et est allé à Kiev, sur le Maïdan. Là, il a rejoint le Pravy Sektor, et est devenu ensuite membre de la "Légion étrangère" du bataillon "Azov", que les autorités de Kiev ont formé selon l’idée soumise par des conseillers de Washington.
    « Ces gens ne dissimulent même pas le fait qu’ils tuent des innocents et qu’ils considèrent des Ukrainiens comme des Papous, comme une espèce d’animaux, dont vous pouvez acheter une licence pour les abattre, » - a déclaré Vladimir Rogov, le chef de la Garde des Slaves, coprésident du « Front populaire » de Novorossia.
    Le fait est que des étrangers vont vraiment en Ukraine pour tuer pour le plaisir de tuer et sont prêts eux-mêmes à payer pour cela, raconte un ancien employé de Blackwater, le citoyen américain Stan Patton. Sur son compte Twitter, il partage un barème de prix : un tir d'obusier - 100 $, un tir de char - 200 $, la frappe d’un village est estimée au prix de 350 $ US.
      
    Un autre membre éclatant de la clique de brigands internationaux au service de Kiev le Suédois Mikael Skiltt (lien) âgé de 37 ans. Il a été décoré par le commandement du bataillon "Azov", qui relève du ministre de l'Intérieur Avakov en personne, pour assassinats de combattants. Le tireur d’élite suédois ne cache pas son visage
    « C'est un sentiment particulier quand ton cœur s'emballe et que tu entends les balles siffler près de toi, de voir comment elles frappent le sol. J'ai entendu dire qu'ils sont prêts à payer 80 000 pour ma tête, allez, attrapez-moi ! » - se réjouit Skiltt.

    Derrière lui, une expérience de service dans l'armée suédoise et dans la Garde nationale. En Ukraine depuis Maïdan. Il a également rejoint le « Pravy Sektor » et avec ses membres il était allé pour mener des opérations à Kharkov. Maintenant il est tireur d’élite dans le même bataillon "Azov".
    La racaille internationale vient en Ukraine grâce à un habile recruteur français - Gaston Besson, âgé de 46 ans. Il publie des annonces sur Internet avec une proposition de participer aux "safaris" sanglants en Ukraine. « Nous vous invitons à rejoindre le bataillon "Azov". Pas de payement. Nous sommes prêts à vous accueillir à Kiev. J'ai besoin de votre part des informations sur votre situation familiale et sociale. Indiquez, si vous êtes prêt à prendre part aux batailles personnellement, ou bien, vous allez entraîner de jeunes soldats. Dès votre arrivée à Kiev vous obtiendrez un numéro de contact de notre employé anglophone. L’hébergement et la nourriture - dans notre base dans le Sud-Est, » - informe l'annonce.
    Originaire du Mexique, il a servi dans les commandos français et les forces spéciales en Asie du Sud-Est. Acteur de trois coups d'État et de deux guerres. Le Laos, la Birmanie, le Suriname... En 1991, toujours comme mercenaire il tuait des Serbes en Croatie, puis - en Bosnie.

    « Dans l'ex-Yougoslavie, son unité se distinguait par la cruauté et la brutalité la plus féroce à l’égard des Serbes, y compris la population civile » - a souligné Vladimir Rogov.
    « Ces gens viennent de différents pays. Finlande, Norvège, Suède, Angleterre, France, Italie... Nous n’engageons pas des fanatiques ni des extrémistes. Nous avons besoin des personnes ayant une expérience militaire, des professionnels. Nous ne sommes pas pour l'OTAN ni pour l'Union européenne, la politique ne nous intéresse pas. Tous les jours je reçois environ 15 lettres de ceux qui veulent se battre en Ukraine, nous comprenons tous que c’est la guerre ici et que chaque jour vous pouvez être blessé ou tué » - a dit Gaston Besson.
    C’est à ces maîtres du sale boulot que fait appel l’administration des États-Unis pour tous les points chauds – l’Afghanistan, l'Irak, la Syrie. On sait que pour les 9 premiers mois de la présidence d'Obama le nombre de mercenaires dans les opérations étrangères des États-Unis a augmenté de deux fois et demie. La stratégie des conseillers américains, que mettent en œuvre les autorités ukrainiennes, implique l’augmentation du nombre de mercenaires étrangers et la direction du Sud-Est de l'Ukraine également.
    Source : www.vesti.ru : Кровавое сафари: иностранцы отстреливают украинцев, как животных
    Traduction : GalCha

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    "Tuez, mais loin d’ici !"

    ..
    Par R. Mahmoudi 

    La foudroyante découverte du parcours terroriste du tueur du Musée juif de Bruxelles est venue à point nommé pour faire avancer le débat sur les périls que constitue – non seulement pour l’Europe, mais pour tous les pays de la région, dont l’Algérie – le retour des djihadistes partis combattre en Syrie. Des rapports en cascade foisonnent, depuis quelques semaines, de mises en garde et d’alertes contre le phénomène d’autoradicalisation des jeunes issus des banlieues. Tous les gouvernements ont, de concert, réagi en annonçant de nouvelles mesures de lutte contre les réseaux de recrutement et de soutien aux groupes terroristes étrangers. Ils reconnaissent tous indirectement le laxisme des autorités dans la chasse aux djihadistes potentiels et, plus directement, la défaillance de leur système d’insertion sociale. Mais nous n’avons entendu aucun mea culpa, aucune déclaration avouant une complicité indirecte de ces mêmes gouvernements qui n’ont pas cessé, depuis plus de trois ans, d’appeler ouvertement à armer la «rébellion» en Syrie et de l’assurer de son soutien moral et diplomatique.


    Comment expliquer, aujourd’hui, les jérémiades d’un Fabius ou d’un Brown, alors que, il y a seulement une semaine, ils ont été à l’origine d’une résolution au Conseil de sécurité des Nations unies, demandant à présenter la Syrie devant la Cour pénale internationale pour «crimes contre l’humanité» ? Comment ces meneurs de la diplomatie occidentale encouragent-il des djihadistes, partis d’Europe ou d’ailleurs, à tuer, à commettre des massacres les plus atroces dans un pays comme la Syrie, et trouvent effroyable et hautement préoccupant que ces mêmes criminels commettent des attentats ou sèment la terreur dans leur pays ? Il est aussi curieux de constater que, dans le débat actuel, les éditorialistes et autres commentateurs des médias dominants, en France et dans d’autres pays d’Europe, ne posent jamais ces questions. De deux choses l’une : soit Paris, Londres et Washington arment les islamistes pour ternir l’image de l’islam en tuant sans foi ni loi – mais le plus loin possible de l’Europe et des Etats-Unis –, et qu’ils subissent un retour de flamme ; soit ils ont intégré ces crimes contre la communauté juive en Occident pour accentuer la haine anti-musulmane.

    Dans le premier cas comme dans le second, les dirigeants occidentaux sont autant coupables que les auteurs de ces crimes eux-mêmes. Seront-ils jugés un jour ? Dans un autre siècle peut-être.

    Source : (Algérie patriotique)

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