• Don d'organes: Réfléchissez ! (+ formulaire de refus)

    [MàJ; rajout formulaire de refus] Don d’organes : réfléchissez-bien !..

    Un article envoyé par Graine de Piaf que je remercie. Est ce que nous allons être dépossédés de notre corps, avec cette nouvelle loi sur le don d’organes, qui n’est pas sans inquiéter, d’autant que les prélèvements pourront se faire sans l’avis des familles ? Il ne s’agira plus d’un don si nous devenons « donneurs de fait » en n’ayant pas signaler notre refus ou acceptation. Mais en allant plus loin, prenant en compte ce qui est dit dans l’article, on va devoir s’interroger sur la Mort, et sur l’appellation de « mort cérébrale », qui permettra de prélever des organes. Un organe doit être prélevé sur un corps vivant, sans ça il n’est plus utilisable. Souvenons nous de l’histoire d’Angèle Lieby, prisonnière de son corps! Son histoire a donnée un livre « Une larme m’a sauvée« . Un autre article à lire « votre coeur vous appartient!!..erreur« . Bonne réflexion métaphysique..

    Mise à jour: Rajout du formulaire de refus de prélèvement en fin d’article (Merci à Sillage78)

    Savez-vous qu’en France comme en Allemagne, et probablement d’autres pays d’Europe, il est fortement conseillé d’avoir toujours sur soi un papier interdisant le don de vos organes – si l’on ne veut pas servir de magasin de pièces détachées, suite à une mort accidentelle – car son absence serait  considérée comme une autorisation implicite de prélèvement de vos organes. Bien sûr, ceci concerne principalement un accident sur la voie publique, qui, en outre, entraîne légalement une autopsie systématique… Or, si vous lisez bien le formulaire d’autorisation, il est marqué : j’autorise le prélèvement de mes organes après ma mort. Et le piège se trouve là ! Après ma mort… mais de quelle mort parle-t-on ?

    Le docteur Paul Byrne,  spécialiste de la mort cérébrale depuis plus de 30 ans déclare : « Tout le monde (médical) sait qu’aucun organe prélevé sur un cadavre, même récent, n’est apte à la transplantation ». Le « après ma mort » est donc un mensonge et une tromperie. Afin de pouvoir tricher avec cette réalité, en 1968, la médecine a inventé le concept de «mort cérébrale» qui est devenu la nouvelle  définition de la mort.

    Traditionnellement et logiquement, la mort c’est l’arrêt du cœur et l’arrêt du souffle. Cinq minutes après, plus aucun organe n’est utilisable.
    Le docteur Byrne  nous dit : « J’avais confiance en mes confrères médecins, persuadé que les  transplanteurs étaient des gens honorables. Au fil des ans j’ai commencé à regarder de plus près ce qu’ils faisaient, et il est devenu clair pour moi que la raison pour laquelle on nous parlait de mort cérébrale était en vue de justifier la transplantation d’organes. On avait essayé de faire des transplantations de cœurs prélevés sur des personnes mortes, mais cela ne marchait pas. Il fallait pouvoir disposer d’un cœur battant prélevé sur une personne vivante.
    Les personnes dont la vie est en danger sont celles qui ont les organes les plus sains : celles qui ont entre 16 et 30 ans. Si une telle personne est blessée à la tête, on va immédiatement chercher à garder ses organes en forme, alors que les soins devraient viser à la maintenir, elle, en bonne forme. Ce n’est plus la personne qui est soignée, mais les organes ! »

    A la question : Les organes comme le cœur, les poumons, le foie peuvent-ils fonctionner en l’absence de tout fonctionnement cérébral ? La réponse est OUI. Donc, une personne dont le cœur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd’hui être déclarée en état de « mort cérébrale ».

    On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l’excrétion (évacuation des déchets), et l’équilibre des fluides. Si « le mort » a des blessures, on constatera qu’il cicatrise, et si c’est un enfant, qu’il continue à grandir. Une femme enceinte en état de « mort cérébrale » peut continuer à porter son enfant. En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés, le « donneur » d’organe devient un vrai mort.

    Très souvent, les personnes en état de « mort cérébrale » sont sensibles aux opérations chirurgicales. C’est ce que les médecins appellent  « l’effet Lazare », du nom celui qui ressortit de son tombeau. Pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent donc pratiquer l’anesthésie, ou injecter des substances paralysantes (où la douleur subsiste ?) pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d’autres réflexes protecteurs. Ces informations sont très peu connues du grand public, et  les familles à qui l’on demande d’autoriser un prélèvement d’organe ne sont malheureusement pas informées.

    Je pourrais citer de nombreux exemples où les familles ont subi des pressions pour autoriser les prélèvements d’organes sur  des personnes  comateuses ou inconscientes déclarées  en état de « mort cérébrale » ou « sans espoir de guérison ».

    Je donnerai seulement celui d’un Américain de 21 ans, en état de « mort cérébrale », qui était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux sœurs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu’il était en effet bien mort (cérébralement). Discrètement, elles enfoncèrent une pointe sous un ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction, prouvant qu’il était conscient. Il se remit ensuite complètement et déclara plus tard qu’il avait toujours été conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu’ils allaient lui prélever !

    Reste une question carton rouge d’ordre métaphysique : Tous les praticiens en réflexologie connaissent le postulat basique du vivant du «Tout est dans tout »….. (et inversement, n’est-ce pas ?) – c’est en outre le principe holographique de la mémoire universelle (tapez holographie dans Google). Un seul exemple : tout votre patrimoine génétique depuis des générations est inscrit dans chaque ovule mesdames , dans chaque «supermatozoïde » messieurs (Waouhhh !). Personne ne conteste maintenant le fait que les milliards de cellules qui composent notre organisme sont toutes interconnectées de la tête aux orteils et que la conscience est un phénomène global du corps dont le cerveau est seulement le transcripteur. Aussi, de nombreux témoignages de transplantés relatent qu’ils ont connu des altérations de leur caractère ne pouvant s’expliquer que par l’interférence du programme psychique du donneur – que hélas on ne connait pas…

    Par ailleurs, une question angoissante se pose : quand un mort a laissé une partie (holographique) vivante sur terre, donc de sa conscience, est il libéré de l’attraction terrestre ou reste t-il accroché entre deux mondes en attendant que l’emprunteur meure à son tour ??? Bon, peut-être que je réfléchis trop ! J’ai le temps, je suis en retraite……et puis les vieilles peaux comme moi, çà n’intéresse plus les transplanteurs (trop de kilométrage…).

    Maintenant, personne n’est obligé de se ranger à ma vision pour ses choix personnels, mais quand il s’agit d’un membre de votre famille, soyez fair play de ne pas l’embarquer à la légère dans une dramatique salade – l’affaire est loin d’être claire !

    Auteur Michel Dogna pour Alternative-santé

    Une autre lettre d’Alexandre Imbert d’Alternative-Santé

    Bonjour,

    J’espère pour vous que vous n’avez pas l’intention de mourir dans les prochains jours. Si c’est votre cas, n’oubliez pas de vous préoccuper de vos organes avant de passer de vie à trépas car ils ne sont désormais plus à vous. Ils appartiennent à la collectivité depuis que les députés ont voté, il y a quelques jours, la loi Touraine.

    Auparavant, avant de vous transformer en magasin de pièces détachées, on vérifiait que vous aviez donné votre accord formel à un don d’organes. Aujourd’hui, on le présumera. Finie la générosité, la grandeur d’âme, maintenant, c’est la réquisition.

    Je ne doute pas que cette loi ait été adoptée pour des raisons louables. Il y a tant de demandes d’organes et si peu d’offres que cela ouvre la porte à un marché parallèle des organes, hautement rémunérateur et bien peu moral. Mais cette appropriation du corps – même s’il est mort – par le législateur fait quand même frémir. Car si vous avez le bon profil (entre 16 et 30 ans) et que vous avez été gravement blessé à la tête, qui vous dit qu’on ne cherchera pas à préserver vos organes plutôt que de vérifier s’il n’y avait pas moyen, malgré tout, de vous sauver ?

    Dans un précédent article de cette newsletter (voir ici http://www.alternativesante.fr/coups-de-gueule/don-d-organes-reflechissez-bien)
    , nous avions soulevé la question du don d’organes et avions provoqué – comme souvent – une foule de messages indignés de nos lecteurs. Toutefois, comment ne pas s’interroger sur cette définition de la mort médicale (mort cérébrale) qui nous vaudra bientôt la dissection.

    Traditionnellement, la mort est constatée par l’arrêt du coeur et du souffle, mais, depuis 1968, c’est la mort cérébrale qui compte. Lorsque l’on sait qu’aucune transplantation cardiaque n’est possible avec un coeur qui ne bat plus, on comprend la nécessité de cette nouvelle définition de la mort, sinon, il n’y a plus de greffe du coeur possible…

    Or le cœur, les poumons, le foie peuvent fonctionner en l’absence de tout fonctionnement cérébral.
    On sait aussi que la plupart des fonctions vitales continuent malgré la mort cérébrale (digestion, excrétion…). Le « mort » cicatrise, et si c’est un enfant, il continue à grandir.

    Saviez-vous d’ailleurs que, pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent pratiquer l’anesthésie ou injecter des substances paralysantes (la douleur subsiste-t-elle ?). Cette information est très peu connue du grand public. Par ailleurs, il est arrivé maintes fois qu’un patient en état de « mort cérébrale » se réveille brusquement sous l’effet d’une douleur ou d’un choc.

    Enfin, personne ne conteste maintenant le fait que les milliards de cellules qui composent notre organisme sont toutes interconnectées de la tête aux orteils et que la conscience est un phénomène global du corps dont le cerveau est seulement le transcripteur. Dans de nombreuses traditions, la veille du corps du défunt dure plusieurs jours car c’est un moyen de lui laisser le temps de quitter son enveloppe charnelle complètement. Avec la loi Touraine, il faudra se grouiller de partir si on veut rester entier !

    Ainsi, cette affaire de don obligatoire nous oblige à nous interroger sur le passage de la vie à la mort. La médecine officielle part du principe que c’est comme un interrupteur avec un côté « ON » et un côté « OFF ». J’ai tendance à penser que c’est plus compliqué que cela et surtout, plus long et plus doux.

    Certains lecteurs m’en voudront sûrement d’aborder la mort avec une certaine froideur et même un certain cynisme. Mais n’est-ce pas pour cela que vous nous lisez ? Pour lire autre chose que ce qui se publie partout. Cette semaine, vous pourrez découvrir un des facteurs clés du vieillissement dont on parle très rarement : la glycation. C’est comme si de l’humus se développait dans vos cellules. C’est à deux doigts du diabète, mais si vous n’êtes pas diabétique, on ne vérifiera jamais si vous êtes atteint gravement par ce phénomène. Lisez notre article ci-dessous pour en savoir plus.

    Bonne lecture

    Source Alternative-Santé

     

    Note: les avis exprimés sont des réflexions personnelles des auteurs, et n’engagent qu’eux.

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    Mention devant figurer sur le formulaire de refus de prélèvement d’organes.

    I NSCRIPTION SUR LE REGISTRE NATIONAL DES REFUS
    N OM DE NAISSANCE : ……………………………………………………………………………..
    N OM USUEL : ……………………………………………………………………………………..
    P RÉNOM ( S ) ( ORDRE DE L ’ ÉTAT CIVIL ) : …………………………………………………………….
    S EXE :…… M ASCULIN …… F ÉMININ
    N É ( E ) LE ( JOUR / MOIS / ANNÉE ) : ……/……/……
    L IEU DE NAISSANCE , VILLE : …………………………………………………………………………
    C ODE P OSTAL ( SI F RANCE ) …………………………. P AYS : ………………………………………
    JE M’OPPOSE À TOUT DON D’ÉLÉMENTS DE MON CORPS, APRÈS MA MORT :
    pour soigner les malades (greffe)
    pour aider la recherche scientifique (ne correspond pas au don du corps à la science)
    pour rechercher la cause médicale du décès : autopsie (excepté les autopsies judiciaires
    auxquelles nul ne peut se soustraire)
    Je souhaite recevoir une confirmation de mon inscription OUI* NON
    C’est une demande de modification de ma précédente inscription OUI NON
    A DRESSE :
    ……………………………………………………………………………………………………………..
    ……………………………………………………………………………………………………………..
    ……………………………………………………………………………………………………………..
    V ILLE : …………………………………………………………… C ODE POSTAL : ………………………
    Date : ……/……/……
    Signature :
    *Joindre une enveloppe timbrée à vos nom et adresse
    Formulaire à retourner sous enveloppe affranchie au tarif lettre à :
    Agence de la biomédecine
    Registre national des refus
    1 avenue du Stade de France
    93212 SAINT-DENIS LA PLAINE CEDEX
    Vous devez joindre obligatoirement à votre envoi :
    – la photocopie lisible d’une pièce d’identité officielle (carte d’identité, permis de conduire,
    titre de séjour, passeport…) ;
    – une enveloppe timbrée à vos nom et adresse pour recevoir la confirmation de votre
    inscription si vous l’avez demandée.
    Tout changement d’état civil doit être signalé, pas les changements d’adresse.
    Les informations nominatives vous concernant sont enregistrées dans le système informatique du registre
    nationale des refus. Elles sont confidentielles et, conformément à la loi n°78-17 du 6 janvier 1978 modifiée
    relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés, vous disposez du droit d’accès et de rectification en
    écrivant au registre national des refus, à l’adresse ci-dessus, en joignant la copie d’une pièce d’identité.

    http://lesmoutonsenrages.fr/2015/04/17/don-dorganes-reflechissez-bien/


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