• Le CDI en voie de disparition !

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    http://www.planetecampus.com/actu/66528-cdi-bientot-la-fin

    Le CDI en voie de disparition

    http://lesmoutonsenrages.fr/2014/01/26/le-cdi-en-voie-de-disparition/

     

     

    Une nouvelle étude publiée par le service rattaché au ministère du Travail, Dares, révèle que le taux des recrutements en Contrat à durée déterminée CDD, a augmenté de 3 points en 2012 tandis que le taux des CDI, Contrat à durée indéterminée recule.

    La « CDDisation » prend de l’ampleur

    Les résultats de Dares démontrent que presque toutes les entreprises ne recrutent plus en CDI. Par contre, le taux des CDD a atteint le record avec 81,2% des nouvelles embauches en 2012 comparativement à 2011 ; ce qui traduit une hausse de 3 points.

    A part les entreprises de 50 salariés ou plus, de la construction qui n’ont que 39,8% de taux de recrutements en CDD, tous les autres secteurs d’activités sont concernés.

    Le tertiaire englobe à lui seul 83% des embauches en CDD avec un repli considérable des CDI, la construction 61,6%, et l’industrie 68,5%.

    Tous sont concernés

    D’après Dares, le problème de la « CDDisation » ne se limite pas qu’aux jeunes.

     

    En 2012, chez les moins de 30 ans, le taux d’embauche en CDD, avait grimpé à 82,6% mais aussi chez les plus de 50 ans, ce taux était passé à 84,6%.

     

    Les femmes sont aussi plus touchées par le CDD plus que les hommes, 85 contre 76,6%.

    En vue de rehausser le taux des CDI, et de baisser celui des CDD, la contribution chômage qui était à 4% est ramenée à 7% pour les CDD de moins d’1mois, et de 5,5% entre 1 et 3mois.

    Les recrutements en CDI des moins de 26 ans ont été exonérés pendant une durée de 3 ou 4 mois de toutes cotisations.

    Toutefois, il existe encore des employés qui profitent encore d’un contrat en CDI. Vers la fin de l’année 2011, ils étaient 84,1% des effectifs du privé.

     

    Source: Radins.com via Fortune

     

    http://lesmoutonsenrages.fr/2014/01/26/le-cdi-en-voie-de-disparition

     

     

    Sur ce site,

    Manuel Valls souhaite encadrer Twitter … et la liberté d’expression

    Pour sa sixième édition, le Forum International de la Cybersécurité (FIC), organisé à Lille par la Gendarmerie Nationale, a été inauguré le 21 janvier par le ministre de l’Intérieur Manuel Valls. Dans son discours, le ministre a brièvement rappelé que l’Etat était là pour protéger la liberté d’expression sur Internet, puis il a longuement expliqué comment il allait la réduire.

    Revenant sur l’un de ses sujets de prédilection depuis des semaines, il a explicitement mentionné l’affaire Dieudonné, pour réaffirmer son « refus de la banalisation des discours de haine », et sa volonté d’intensifier la lutte contre la diffusion de messages racistes et antisémites. Devant une audience composée en bonne partie de gendarmes, il a rappelé le travail effectué par les autorités françaises en direction des réseaux sociaux, en prenant l’exemple de Twitter: « grâce à la concertation conduite avec cet opérateur, des engagements de sa part ont pu être obtenus, concernant la suppression des contenus illicites. Twitter a mis en place des techniques permettant de restreindre l’affichage de contenus prohibés dans les seuls pays où ils sont illicites – je pense aux contenus xénophobes et discriminatoires, illicites en France, mais pas aux Etats-Unis. »

    Le ministre de l’Intérieur a ajouté que le réseau social américain avait accepté de collaborer activement avec les autorités françaises en matière de surveillance : « Twitter s’engage à procéder au gel des données d’enquête sur simple courriel, sans aviser les utilisateurs si les enquêteurs demandent expressément à ce que ces mesures restent confidentielles » . Si cet accord est effectivement mis en pratique, il s’agit d’une avancée importante pour la police française, car aux Etats-Unis, Twitter s’est battu contre ce type d’injonctions, avec succès. Après un long combat judiciaire dans le cadre de l’affaire WikiLeaks, il a obtenu le droit de prévenir ses utilisateurs quand le FBI saisit leurs données personnelles, même si les policiers auraient préféré que la saisie reste secrète. Une fois prévenu, l’internaute visé peut ainsi préparer sa défense plus efficacement.

    En outre, Manuel Valls a précisé que la police française allait pouvoir obtenir ces données personnelles très facilement , « sur simple réquisition, pour les affaires (…) d’une particulière gravité, qualifiées de « serious crime » (en anglais dans le discours). Il a également annoncé que Twitter acceptait d’exercer directement une forme de censure partielle : « le déréférencement des hashtags à succès, mais illicites, quand ils apparaissent dans les « Tendances » de sa page d’accueil – l’objectif étant de « limiter leur résonance (…) De telles mesures ont déjà été prises à la demande des autorités ou d’associations françaises telles que SOS Homophobie. »

    Enfin, Manuel Valls a fait savoir que le « formulaire de signalement public » , permettant à n’importe qui de dénoncer un contenu considéré comme indésirable, serait rendu plus facile d’accès.

     

    Via Sott.net


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