Comment les Hunza peuvent vivre jusqu’à 145 ans

Les amandes des abricots et leur protection contre le cancer

Rester jeune grâce à un état d’esprit jeune
Voici la base de ce régime:

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image: http://www.grands-meres.net/wp-content/uploads/2016/08/maladie_alzheimer.jpg
Musculation, yoga et course, danse, jardinage… Toutes ces activités réduiraient le risque de développer la maladie, études nombreuses à l’appui.
Sur les résultats d’une étude australienne de 2015, faire travailler son cerveau, à n’importe quel moment de la vie réduit le déclin cognitif et même la démence.
Les effets nocifs du tabac sur les fonctions cognitives et sur la survenue de la démence sont bien connus des scientifiques. Pour preuve, une étude galloise de 2013 montrait le tabac comme l’un des cinq facteurs principaux du déclin cognitif.
Obésité, tension, diabète jouent également un rôle néfaste sur la santé cognitive. Prenez soin de votre coeur et le cerveau suivra.
Les chocs à la tête augmentent le risque de déclin cérébral et de démence. N’oubliez pas la ceinture en voiture, et le casque à vélo. Idem pour les sports de contact.
Outre le bien-être physique, le bien-être mental vient aussi d’une alimentation saine et équilibrée. Le régime méditerranéen met par exemple l’accent sur les bonnes graisses de type huile d’olive, noix, poisson et fruits de mer, riches en oméga-3.
La mémoire souffre des insomnies et apnées du sommeil. Selon de récentes études, les cycles réguliers de sommeil de 7 h par nuit aideraient à prévenir les troubles cérébraux.
L’exercice, le contact avec les autres, voire même la méditation sont des moyens efficaces de gérer son stress qui pourrait mener à la dépression, dont certaines recherches établissent un lien avec un risque accru de déclin cognitif. En cas de symptômes de dépression ou d’anxiété accrue, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé.
Le bien-être mental découle aussi d’une bonne socialisation. La famille, les amis, les activités rendent plus heureux.
N’ayez pas peur de tester vos capacités mentales. Retournez à l’école, apprenez une langue, faites du travail manuel, artistique, mettez-vous aux jeux vidéo. Il est essentiel de travailler sa concentration et ses capacités mentales qui agiront ainsi de manière positive sur le cerveau.
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Vous mettez du temps à trouver où est garée votre voiture ? Vous ne retrouvez pas ce dossier urgent ? Tout de suite vous y pensez ! Pire, quelqu’un vous glisse à l’oreille « Attention, vous démarrez un Alzheimer ! ».
Vous êtes peut-être simplement « surbooké », agressé dans votre travail ou votre famille mais il est vrai que c’est le meilleur moyen de vous faire peur, d’autant plus si vous êtes à l’âge de la soixantaine plus ou moins approchante ou que votre papa ou maman a fini sa vie avec cette maladie.
Lors d’expériences, le Dr Claudio Soto, chercheur et directeur du Centre de recherches des maladies neurodégénératives à l’université médicale du Texas (Houston, États-Unis) a découvert que la maladie d’Alzheimer résulterait d’un processus infectieux lié à la consommation… de viande !
Ce qui pourrait expliquer les différences géographiques :
Comparativement à la France, le Japon et l’Inde ont une consommation de viande beaucoup plus faible, et d’autant plus qu’on s’éloigne des grandes villes industrielles. Or au Japon la maladie est presque 10 fois plus rare qu’en France où elle touche 2 à 4 % des adultes après 65 ans. En Inde, la maladie est nettement moins présente dans les régions rurales que dans les régions industrielles [1].
La bonne nouvelle, c’est que si la maladie d’Alzheimer est une maladie infectieuse, alors toutes les stratégies qui améliorent le fonctionnement du système immunitaire doivent être efficaces pour la prévenir. Et c’est exactement ce que montrent les recherches effectuées jusqu’à aujourd’hui.
Bien entendu, la première mesure devrait être de limiter sa consommation de viande, et plus parti-culièrement de viande issue des élevages industriels.
En effet, ces derniers utilisent à foison des antibiotiques et les animaux, entassés les uns contre les autres, se transmettent virus et bactéries.
Des filières comme l’agriculture biologique, plus respectueuses des animaux, sont à privilégier.
C’est la conclusion d’une étude toulousaine, menée 7 années durant, sur des femmes âgées de 80 ans en moyenne.
Elle a mis en évidence que celles qui ont les apports alimentaires en vitamine D les plus importants ont 4 fois moins de risques de développer la maladie d’Alzheimer que les autres.
Celles qui s’exposent régulièrement au soleil à la mi-journée (moment auquel la synthèse de vitamine D dans la peau est maximale) ont un risque de développer la maladie encore diminué de moitié [2].
Des constatations tout à fait cohérentes avec le fait que la vitamine D est le plus puissant anti-infectieux et antiviral naturel connu.
Un des acides gras les plus importants dans la structure cérébrale est le DHA, un acide gras oméga-3, retrouvé en grande quantité dans les poissons gras.
Avec l’âge, la teneur en DHA du cerveau diminue alors que les lésions dégénératives augmentent.
D’après les chercheurs de l’université Tuffs (Boston, États-Unis), les personnes qui ont le plus de DHA dans le sang ont un risque de développer la maladie d’Alzheimer plus faible de 47 % [3].
Pour avoir de bons apports en DHA, il suffit de consommer des poissons gras à raison de 3 portions par semaine en privilégiant les petits (maquereaux, sardines, anchois, etc.).
Toutefois, les récentes considérations sanitaires sur la qualité du poisson (contaminé par les PCB, dioxines, métaux lourds, etc.) peuvent également pousser à se tourner vers des compléments alimentaires en gélule.
suite à https://lead.santenatureinnovation.com/alzheimer/?sourcecode=XSW1R379
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Je ne suis en aucun cas dans le jugement de
valeur. Oui, nos anciens ont cotisé toute
leur vie et “méritent” leur retraite, il n’y a
aucun débat là-dessus. Il va en revanche
y avoir un problème sur les versements,
parce que sans banque centrale pour
imprimer tout plein de billets tout neufs,
il n’y a tout simplement pas la queue d’un
rond dans les caisses pour payer tout
ça, et c’est un phénomène mondial
touchant aussi les retraites américaines
par capitalisation par exemple qui, dans
un environnement de taux zéro ou
négatifs, ne pourront évidemment pas
capitaliser grand-chose.
Il y a donc deux solutions : la fuite
en avant dans l’impression monétaire
ou la faillite.
Charles SANNAT
D’après un rapport de Citi, les pays développés devront
faire face à un trou de 78 trillions de dollars lorsqu’il
s’agit de tenir leurs promesses en matière de retraites.
C’est ce que nous explique cet article de cnbc.com,
publié le 16 mars 2016 :
« Vos rêves de croisières interminables et de
retraite sous les cocotiers pourraient bien rester
du domaine de l’onirique alors que 20 des plus
grands pays du monde font face à un trou de 78
milliards de trillions pour tenir leurs promesses
en matière de retraites, d’après un rapport de
Citi publié ce mercredi.
« Les systèmes de sécurité sociale, de retraite et les
plans de pensions du privé ainsi que les assurances
vie individuelles ne sont pas financés ou sont
sous-financés », ont écrit dans leur rapport les
analystes spécialisés dans les pensions et les
assurances de la banque américaine.
« Les services publics, les profits des entreprises
ou les montants des retraites elles-mêmes devront
être réduits afin d’assurer la pérennité du système.
Cela représente un énorme défi pour les employeurs,
les employés et les politiciens du monde entier. »
La banque ajoute que les entreprises se
montrent également incapables de remplir de
façon consistante leurs obligations de retraite,
la plupart des plans de pension des entreprises
américaines et britanniques étant sous-financés.
Les pays disposant de systèmes lourds de
retraite en Europe semblent être les plus
problématiques. Citi rapporte que l’Allemagne,
la France, l’Italie, le Royaume-Uni, le
Portugal et l’Espagne possèdent des obligations
en termes de retraite des fonctionnaires qui
dépassent 300 % de leur PIB.
Les progrès de la médecine signifient que les retraités
doivent jouir de leurs revenus sur des
périodes prolongées. Simultanément, le
vieillissement de la population ne fait qu’augmenter
la pression sur le système public des retraites.
Plusieurs pays, dont la France, l’Italie et le
Royaume-Uni, sont en train de relever progressivement
l’âge de la retraite. Citi recommande de corréler
directement l’âge de la retraite avec l’espérance de
vie moyenne.
La banque recommande également l’adoption
de retraites ne représentant qu’un filet de sécurité
plutôt qu’une source principale de revenus. Elle
estime également que la participation aux
plans de pension des entreprises devrait être
automatique, avec la possibilité d’en sortir,
au lieu d’offrir le choix aux travailleurs,
et ce afin d’augmenter le taux de participation. »
source: http://insolentiae.com/2016/03/20/percevrez-vous-votre-retraite/
http://reseauinternational.net/percevrez-vous-votre-retraite/
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En France, l’aide personnalisée au logement (APL) a théoriquement pour but d’aider les locataires à payer leur loyer, en leur permettant d’accéder à un logement plus décent que celui qu’ils pourraient s’offrir en l’absence de cette aide.
Actuellement, l’APL est versée à ses bénéficiaires sans condition d’âge, de manière partiellement proportionnelle au loyer payé, et en se basant sur les revenus déclarés par les locataires. Au-delà d’un certain niveau de revenus, les locataires ne sont plus éligibles à cette aide.
Rappelons que les aides au logement ont représenté 17,4 milliards d’euros versés en 2013, un chiffre en progression régulière d’année en année, allant de pair avec la hausse des loyers en France. 6,3 millions de ménages ont bénéficié de cette aide en 2013.
Trois réformes à venir
Pour réaliser des économies publiques, cette aide devrait être réduite dans le courant de l’année 2016 à travers trois réformes qui en limiteraient l’octroi. Cette aide ne sera cependant pas supprimée aux étudiants, grands bénéficiaires des APL, suite à une négociation intervenue au début du mois de mars avec l’UNEF, sans que le célèbre syndicat étudiant maîtrise forcément dans son ensemble les enjeux économiques liés à ce sujet.
Première réforme : l’aide ne serait plus versée au-delà d’un certain niveau de loyer mensuel. L’idée est tout simplement qu’un locataire qui décide de prendre un logement à 1.000 euros par mois, par exemple, a clairement les moyens directs ou indirects de payer un tel loyer et ne devrait donc pas bénéficier d’une aide supplémentaire pour pouvoir se loger. Le plafond exact à partir duquel les APL ne pourraient plus être demandées n’est pas encore connu.
À noter que les Parisiens seraient clairement les plus désavantagés par la fixation d’un plafond unique à l’échelle nationale, les loyers y étant nettement plus élevés qu’en régions. Par ailleurs, la fixation d’un plafond, par exemple à 1.000 euros par mois, créera comme toujours une inégalité entre un locataire payant un loyer de 990 euros par mois et un autre payant 1.010 euros par mois.
Seconde réforme : le patrimoine du locataire devrait être pris en compte, à partir du 1er octobre 2016, pour ajuster l’aide au logement. Rien n’est encore fixé autour de ce projet, mais l’idée qui semble se dégager est la suivante : l’aide au logement deviendrait dégressive pour les locataires disposant d’un patrimoine personnel estimé à plus de 30.000 euros.
Troisième réforme : toujours à partir du 1er octobre prochain, les locataires rattachés à un foyer fiscal assujetti à l’ISF ne devraient plus pouvoir bénéficier des APL. La mesure semble de bon sens, puisqu’une telle situation implique a priori une aisance indirecte du locataire, qui rend facultative la nécessité de l’aide au logement. Le sujet reste en débat et il n’est pas impossible que cette réforme, évoquée depuis longtemps, soit encore ajournée.
La modification des APL ne manque pas de faire réagir les commentateurs politiques, qui soulignent que cette réforme est de nouveau plus inspirée d’un programme économique « de droite » que « de gauche ». La couleur du gouvernement reste en réalité peu importante face à la nécessité de mieux contrôler la dépense publique, particulièrement élevée en France où le déficit public reste à un niveau beaucoup trop élevé en l’absence de perspectives de croissance significatives.
La baisse des APL se transformera-t-elle en baisse des loyers ?
La réduction à venir des APL engendre quelques débats économiques intéressants. Les APL sont en effet désormais réputées pour avoir participé significativement à la hausse des loyers dans les grandes villes françaises depuis la fin des années 1990, notamment à Paris. À long terme en effet, les revenus supplémentaires accordés aux locataires auraient finalement été captés par les propriétaires qui ont pu augmenter le niveau des loyers en conséquence.
Il n’est cependant pas certain que la réduction des conditions d’octroi des APL puisse, en sens inverse, faire baisser le niveau des loyers. Cet effet est pourtant à espérer pour compenser en partie les éventuels excès à la hausse observés au cours des dernières années.
Si la réduction des APL ne provoque pas une baisse des loyers, elle devrait tout du moins permettre d’en limiter la hausse. Déjà depuis quelques mois, les loyers sont parfaitement stables en France et cette situation pourrait donc perdurer. L’indice de référence des loyers (IRL) calculé par l’Insee est même passé en territoire très légèrement négatif (-0,01%) au T4 2015 par rapport au T4 2014.
L’absence de hausse des loyers devrait également peser plus généralement sur la hausse des prix de l’immobilier, puisque les deux éléments sont partiellement corrélés. L’effet n’est cependant pas automatique, d’autant plus qu’on observe sur les données historiques de long terme que les prix de l’immobilier peuvent grimper beaucoup plus vite que les loyers à certaines périodes, et inversement chuter certaines années sans que le niveau des loyers évolue significativement.
À noter enfin que l’évolution des prix des loyers est également prise en compte dans le calcul de l’inflation (indice des prix à la consommation). L’absence de hausse des loyers ira donc dans le sens d’une inflation toujours faible en France, malgré les efforts de la BCE pour « reflater » l’économie de l’ensemble des pays de la zone euro.
X. Bargue (redaction@boursorama.fr)