• Alerte, vaccins ! Enfants autistes.. Un cancérologue alerte - Pétition

     

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    Petit garçon devenu autiste après avoir reçu 32 vaccins

     

    Petit garçon et ordi (1)

     

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    Comme des millions de parents avant elle, Nathalie Steffen a été confrontée au problème des vaccinations pédiatriques. Ceci est l’histoire du chemin parcouru par une maman pour exempter ses enfants de toute vaccination ultérieure.

     


    Sa petite fille Skylar est née en octobre 2004. Skylar a reçu tous les vaccins du programme officiel, à commencer par le vaccin contre l’hépatite B injecté dans les 12 heures qui ont suivi la naissance. Skylar a réagi à ses vaccins, mais ses parents ne savaient alors pas que c’était des effets secondaires des vaccins que souffrait leur fille.

     

    Voici comment le cauchemar a commencé

     

    Après son premier vaccin  contre l’hépatite B, Skylar a commencé à souffrir de coliques. Jusqu’à l’âge d’un an, elle pleurait tous les soirs à la même heure pendant environ une heure et demi avant de pouvoir s’endormir. Elle avait d’horribles terreurs nocturnes depuis l’âge de 2 ans. Ces problèmes ont duré jusqu’à ce qu’elle ait 4 ans, puis ont disparu.

     

    Quand Nathalie accoucha de Skylar, elle n’avait pas la moindre idée que les dommages dus aux vaccins étaient à ce point répandus. Elle n’avait jamais eu l’idée de se poser des questions sur ce lien. Le pédiatre de Skylar déclara que son comportement était normal et lui fit croire que tous les bébés devaient passer par là.

     

    Quatre années plus tard, Nathalie donna naissance à son second bébé, Landen. Le vaccin contre l’hépatite B lui fut administré dans les 12 heures qui suivirent la naissance, puis ce fut la série des vaccins faisant partie du programme vaccinal. A la naissance, Landen était en parfaite santé. Une fois qu’il eut reçu les vaccins prescrits par le programme, ses souffrances ont commencé à la suite des toxines qui lui avaient été administrées. Ses réactions ont été très graves. Il a successivement reçu le ROR, le vaccin contre la varicelle, le vaccin contre la grippe au cours de sa visite chez le pédiatre à 14 mois et à 18 mois, il avait tout perdu et fut diagnostiqué autiste.

     

    Nathalie décrit avec ses mots à elle ce qui est arrivé à son petit garçon qui avait alors 14 mois :

     

    * « Landen ne savait plus parler » (maintenant il fait de temps en temps le perroquet)

    * Il n’arrête pas de faire des mouvements de va-et-vient

    * Il élève souvent les bras en hurlant

    * Il croque tout ce qu’il voit, y compris le bois ; il mord dans les murs

    * Bien qu’il ait 5 ans, il n’est pas toujours propre

    * Il est passé par un stade où il étalait ses excréments sur son corps et sur les murs.

    * Il doit réapprendre à manger avec cuiller, fourchette, couteau

    * Il se bouche sans arrêt les oreilles

    * Il a eu des crises terribles pendant deux ans. Mais maintenant au lieu de s’effondrer, il éclate de rire, tombe sur le sol et continue à rire de manière tout à fait incontrôlée

    * Il fredonne quand il mange

    * Il a un niveau très élevé de tolérance à la douleur

    * La moitié du temps,  il marche sur la pointe des pieds

    * Il n’arrête pas de sauter et de se déplacer rapidement

    * Il  se promène dans la maison  sans regarder où il va en touchant toujours les  mêmes objets

    * Il casse et mange ses jouets

    * Il retourne les meubles, ses jouets à tel point que nous avons dû déplacer tous les  meubles de sa chambre à l’exception de son lit.

    * Il n’arrête pas de manger. Il mange autant que mon mari.

    * Il n’a aucun sens du danger. Il ne sait pas ce qu’est la peur.

    * Il court à tout moment sans regarder où il va.

     

    Tous ces symptômes se sont manifestés quand Landen a eu 18 mois juste après qu’il ait reçu les vaccins ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole), Varicelle,  et le vaccin contre la grippe. Au total, il a reçu 32 vaccins avant que tombe le diagnostic d’autisme quand il a eu 3 ans. C’est alors que Nathalie a enfin compris que les vaccins étaient à l’origine de la mauvaise santé de ses enfants.

     

    Comment cette courageuse mère s’y est-elle prise dans la suite ?

     

    Nathalie n’avait jamais entendu parler des vaccins, à part le fait qu’ils devaient protéger des maladies et ce, jusqu’à ce que tombe le diagnostic d’autisme pour son petit garçon. C’est alors qu’elle a commencé à faire des recherches et que le voile qui l’aveuglait est tombé. Elle a fini par apprendre la vérité sur les vaccins et leurs différents ingrédients.

     

    Dès qu’elle eût appris la vérité sur ces produits concoctés par l’homme, elle a décidé d’arrêter toute vaccination  pour ses enfants. […]

     

    Dans la suite, en 2013, Nathalie a donné naissance à une belle petite fille, Haven, en parfaite santé. Suite à ce qu’avaient dû endurer son frère et sa sœur, les parents ont bien réalisé que la meilleure façon de protéger la santé de Haven était de NE PAS la vacciner. Nathalie a donc arrêté tous les vaccins et Haven n’en a pas reçu un seul. Haven a maintenant un an et n’a reçu aucun vaccin. Son comportement a toujours été des plus normaux.

     

    A propos de Haven, Nathalie nous a confié :

     

    « Elle n’a jamais été malade ou même fait de la fièvre. Il est arrivé que son nez ait coulé de temps en temps. Toute sa nourriture est d’origine biologique (lait de coco et divers jus biologiques). Elle est heureuse et en parfaite santé. Elle suit toutes les étapes normales de son évolution. Elle commence à dire « maman », « papa » et joue régulièrement avec son frère et sa sœur. Elle n’a jamais vu le pédiatre. Elle a cependant vu une fois un chiroprator ».


    Trois-enfants-de-Nathalie--2-.jpg

     

    Deux des trois enfants de Nathalie ont eu la santé endommagée par les vaccins


    Nathalie et son mari n’ont pas été informés au sujet des vaccins, des ingrédients des vaccins et des dommages qu’ils pouvaient engendrer. IlS ne savaient pas non plus qu’un système d’information avait été mis en place pour recevoir les rapports d’effets indésirables des vaccins, le système VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) [1] C’est là une chose qui aurait dû être débattue avec le pédiatre.

     

    Nathalie et son mari ignoraient également qu’il existait un fonds destiné à dédommager les victimes en les aidant à couvrir les frais des traitements. Un dédommagement est aussi prévu pour les personnes qui ont perdu un enfant ou un être cher après des vaccinations. Le revers de ce programme est que les deux tiers des cas sont rejetés. Les parents sont alors livrés à eux-mêmes sans une aide pourtant bien nécessaire. […]

     

    Le système VAERS n’est pas venu en aide à la famille de Nathalie

     

    Comme la majorité des parents, Nathalie ne s’était jamais posé de question au sujet des vaccins. Elle avait fait totale confiance au médecin pour la prise de décision en ce qui concerne les membres de sa famille. Après avoir fait ses propres recherches, Nathalie a déposé plainte auprès du VAERS dès qu’elle eût appris que la santé de Landen avait été endommagée par les vaccins au début de 2012. Nathalie fut informée que le VAERS allait lui faire parvenir par mail un numéro de dossier. Cette information, elle ne l’a jamais reçue, même après l’avoir à nouveau réclamée il y a trois semaines en 2014. En plus de sa demande au VAERS, Nathalie avait également demandé des formulaires à remplir au VICP (Programme National de Dédommagement des Victimes de Vaccinations). De cet organisme non plus, elle n’a jamais rien reçu. [4]

     

    Il y a maintenant deux ans qu’elle a introduit sa demande et la limite de trois ans pour introduire une réclamation par rapport à des dommages vaccinaux est maintenant dépassée. C’est ainsi que Landen ne sera jamais dédommagé pour les suites des médicaments que son médecin a été conditionné à lui administrer. Si le pédiatre de Landen avait informé ses parents que ses dommages de santé étaient dus aux vaccins, au lieu de leur dire que l’état de l’enfant n’avait rien à voir avec les vaccins, ces derniers auraient pu gagner un temps précieux et introduire leur plainte dans les délais prescrits, et les dommages ultérieurs dus aux autres vaccins auraient aussi pu être évités. Malheureusement, c’est comme cela que vont les choses. Les médecins admettent rarement que les vaccins peuvent endommager la santé ou même entraîner la mort.

     

    Après avoir pris connaissance de nombreux rapports de demandes d’indemnisation qui ont été refusées, Nathalie a renoncé à l’espoir de recevoir un jour quelque dédommagement et a préféré consacrer son temps à s’occuper de sa famille. Regardez cette courte vidéo pour pouvoir mieux comprendre que la loi ne protège pas votre famille, mais a été mise en place pour protéger plutôt le programme de vaccinations. [5] […]

     

    La triste vérité sur le VAERS

     

    Un problème majeur c’est que les ingrédients des vaccins contiennent  des agents cancérigènes et des pathogènes dont on ne parle pas. Ces produits peuvent causer le cancer, des mutations, la stérilité et des maladies plus graves que les maladies sensées être évitées par les vaccins. Ces graves problèmes de santé n’apparaissent  parfois que des années plus tard. Si les parents étaient informés de la chose, ils seraient bouleversés par les taux élevés de cancer et de stérilité dans la population vaccinée. Les fabricants de vaccins évitent de faire des recherches dans ces domaines et, en ne faisant pas d’études de causalité, ils peuvent avouer ne pas avoir fait les tests et dire qu’ils ne savaient pas. Ils ne sont donc pas tenus responsables.

     

    La décision prise à la fin des années 1980 qui a exempté les fabricants de vaccins de toute poursuite judiciaire a eu comme conséquences la production de vaccins plus dangereux, ainsi que la mise en place de procédures accélérées sans tests de sécurité suffisamment appropriés. Cette décision a aussi conduit à une augmentation spectaculaire du nombre de vaccins repris dans le calendrier vaccinal.

     

    Sur les notices, on peut voir que les vaccins ne sont pas testés par rapport au cancer, à la stérilité et aux mutations possibles. Pour confirmation, il est possible de consulter la notice publiée par VacTruth.com [7]

     

    […] « Quand des parents tentent avec amour de vous avertir pour que vous puissiez protéger votre enfant, c’est parce qu’ils connaissent la vérité et qu’ils veulent votre plus grand bien. La santé de mon enfant a été endommagée, mais je me suis juré de rester à ses côtés avec tout mon amour pour pouvoir tenter de réparer le mal qui lui a été fait par ma faute. Mon petit garçon n’est pas né autiste. C’est à la suite de mes propres et misérables décisions que tout cela est arrivé. Un jour, il sera capable de vous raconter son histoire parce que sa maman n’arrêtera jamais de faire l’impossible pour que son petit Landen guérisse.

     

     

    Références

     

    1. https://vaers.hhs.gov/esub/index

    2. http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/index.html

    3. https://nvicadvocacy.org/members/Home.aspx

    4. http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/fileclaim.html

    5. http://www.youtube.com/watch?v=xv_IaLHwgAQ

    6. http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/deadlines.html

    7. http://vactruth.com/vaccine-inserts

     

    Source: Vactruth

     

     

     

    Non à la vaccination: Le Professeur Henri JOYEUX tire la sonnette d’alarme
    Non à la vaccination: Le Professeur Henri JOYEUX tire la sonnette d’alarme
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    Non à la vaccination: Le Professeur Henri JOYEUX tire la sonnette d’alarme

     

    Suite à la publication d’un rapport sur la vaccination du Haut Conseil de sécurité publique de France, le Professeur Henri JOYEUX, cancérologue et chirurgien, a réagit en publiant une vidéo d’alerte qui a été partagée plus de 120000 fois sur le réseau social Facebook.


    Selon le Professeur Henri JOYEUX, les deux vaccins actuels appelés Gardasil® et Cervix® comportent des risques d’effets indésirables graves et ne protègent pas du tout à 100%.

    Ce rapport préconise d’abord d’introduire massivement dans les écoles la vaccination contre les papillomavirus (HPV), pour essayer de lutter contre le cancer du col de l’utérus et d’autres infections sexuellement transmissibles. L’âge de la vaccination est abaisser à 9 ans, pour les filles comme pour les garçons. Car même si certains se diront « je suis vacciné donc je suis protégé », il est scientifiquement prouvé que c’est FAUX !

     

    Ce vaccin ne doit concerner que les populations à risque

    Le Professeur Henri JOYEUX insiste sur le fait que le vaccin ne devrait concerner que les populations à risque, en effet, les papillomavirus se transmettent par voie essentiellement sexuelle ! Pourquoi donc vacciner des enfants et pourquoi ses vaccins doivent-ils être imposés dans les écoles sans une information complète et transparente ? « Il est totalement prématuré et potentiellement dangereux, d’imposer une campagne de vaccination généralisée dans les écoles, surtout auprès d’enfants jeunes et très vulnérables » déclare le Professeur.

     

    Des effets indésirables aux conséquences très graves

    L’analyse des données de pharmacovigilance a fait état de 26675 effets indésirables graves (maladies auto-immunes, sclérose en plaque,…) des enfants valides vaccinés au Gardasil inutilement alors qu’ils ne faisaient pas partie des populations à risque sont devenu invalides du jour au lendemain.

    « N’acceptez pas que les Autorités appliquent à votre enfant une mesure sanitaire qui n’est pas faite pour lui » s’exclame-t-il dans cette vidéo.

    Plus de 700 médecins ont signé une pétition en mars 2014 demandant une Commission d’enquête parlementaire sur ce vaccin. Le Professeur souhaite sensibiliser les parents à l’éveil de la conscience afin qu’il n’arrive pas la même complication à votre enfant.

     

    Le Professeur Henri JOYEUX a lancé une pétition qui a récolté rapidement plus de 200000 signataires.

    Partager l’information autour de vous en faisant circuler le message du Professeur Henri JOYEUX le plus possible.

     

    Vidéo ici

    http://actumag.info/2014/10/03/vaccination-professeur-henri-joyeux-tire-sonnette-dalarme/
    Samedi 4 octobre 2014
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    Thierry Casasnovas revient sur les mécanismes du cancer et les effets de la chimiothérapie , puis explique comment, selon lui, « inverser le processus ». Verdict anxiogène si il en est , et pourtant...la prolifération tumorale n'est qu'une manifestation...
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