• Des labos fabriquent des crèmes antirides à base de fœtus… humains

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    Chronique de Grégory Gennaro


    Robert Ménard lance un pavé dans la marre. Un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques fabriquent des crèmes antirides à base de fœtus… humains. Cette information est restée très discrète et n’a que très peu été divulguée dans les médias et dénoncée par les responsables politiques. (..)

     

    Cette société égoïste et individualiste où l’argent est roi a atteint et même franchi son plus haut niveau de barbarie. Pour autant, on peut craindre que ce ne soit que le commencement.

     

    Aux yeux de cette hyperclasse, la valeur humaine n’a aucun sens. Pour eux, l’être humain est une simple machine à consommer les produits qu’il fabrique. Aujourd’hui, c’est au stade du début de sa vie que l’être humain peut être consommé sous forme de crèmes antirides.

     

    Cette société pense en termes d’argent. Là où il y a demande, il y a espoir de rentabilité, donc production de masse, qu’importe le reste, qu’importent les valeurs. C’est la production qui guide la société, la consommation est le seul « idéal », une triste vision de l’humanité au service de l’argent.

     

    Cette vision de la société

    me rappelle le film de science-fiction

    « Le soleil vert » réalisé en 1966 p

    ar Richard Fleischer.

     

    Le scénario décrit New York, en l’an 2022 lorsque la ville est frappée par la pollution et la surpopulation : 41 millions d’habitants mènent une existence misérable. Un brouillard empoisonné recouvre la surface du globe, par conséquent la végétation à pratiquement disparue. La nourriture véritable atteint des prix si élevés que seule une minorité de privilégiés peut se l’offrir ; les autres doivent se contenter d’aliments synthétiques, rationnés par le Gouvernement et fabriqués par la « Soylent Company », qui nourrit ainsi la moitié du monde à l’aide de tablettes dérivées du plancton, baptisées selon les jours « Soylent Yellow » (jaune), « Red » (rouge) ou « Green » (vert) mais qui sont en réalité composés d’êtres humains « recyclés ».

     

    Nous devons faire en sorte que la fiction macabre du film « Le soleil vert » ne devienne réalité.


    Rassemblons-nous autour des inestimables valeurs humaines, civiques et spirituelles qui n’ont pas de prix et qui ont édifié de tout temps l’Humanité toute entière. Plus que jamais, la qualité des conditions de la Vie valent mieux que l’intérêt financier et égoïste de certains individus !

     

    http://gregorygennaro.fr/?p=169#more-169

     

     

     


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