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    La Barbarie, le nouveau visage de la "Pax Ukraina"
    par Karine Bechet-Golovko

    mercredi 10 septembre 2014, par Comité Valmy



     

     

    Voici ce que les mères de combattants de Donetsk viennent de recevoir. Pour l’instant, les autorités de la République de Donetsk ne savent pas, en tout, combien de boîtes en bois contenant la tête coupée de leur fils ont été envoyées par les autorités ukrainiennes.


    La seule certitude est que toutes ces têtes identifiées correspondent à des combattants s’étant battus dans les alentours de Donetsk. Selon les sources, ils auraient été fait prisonniers par Secteur Droit ou simplement tombés entre les mains des militaires ukrainiens. Et rendus ainsi.


    A l’heure où l’on s’acharne à parler de paix, où les échanges de prisonniers traînent en raison du pouvoir ukranien, ces images font froid dans le dos. Est-ce la manière dont Kiev interprète "l’échange" de prisonniers ?


    C’est de la barbarie, à l’état pur. Mais il faut regarder cette image, car elle correspond à une réalité aux portes de l’Europe. Voulons-nous en faire le nouveau visage de l’Europe ? C’est ce qui se passera si le traitement politique de la question ukrainienne ne change pas.

     

    Karine Bechet-Golovko
    mercredi 10 septembre 2014

     

    Russie politics

    1 Message

    • Horrible, oui, absolument horrible. Ces Barbares que l’on présente chez nous, ici, en France et par extension, en Occident, comme des démocrates car pro-européens, sont les cousins "germains" avec et sans jeu de mots si l’on songe à leur allégeance à Bandéra, sont cousins germains, donc, de lointains barbares qui sévissent au Proche-Orient et dont cet Occident et singulièrement, cette France, patrie des Lumières et des Droits de L’homme, feint de découvrir, le véritable visage, celui de la Barbarie à visage inhumain. Là-bas aussi, il y a des têtes coupées, des corps mutilés du vivant de leur propriétaire.
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    • Il s’agit donc bien des mêmes intérêts en jeu, du même agenda mis en place par les mêmes, en costumes cravattes ceux-là, afin de faire plier les peuples désireux de conserver ou sauvegarder leur indépendance dans tous les domaines.

    • L’ennemi est bien le même. Qu’il soit instrumentalisé en Ukraine ou en Syrie ou en Irak. Le marionnettiste lui fréquente les salons aux lambris dorés. H Sadki.

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  • http://fsuaixmarseille.blogspot.fr/2013/09/suicide-dun-professeur-du-lycee-artyaud.html

     

    Pierre Jacque pointe la responsabilité du ministère

     

    En complément de l’article paru hier concernant la rentrée scolaire (voir Rentrée scolaire : Peillon a initié des changements, pas sur l'essentiel - 10 septembre 2013), il faut reproduire le texte laissé par l’enseignant marseillais, Pierre Jacque, qui s’est suicidé la veille de la prérentrée. Il explique sa décision par le fait qu’il ne croyait plus dans son métier. Il a souhaité que sa lettre soit lue au maximum, comme l’indique Eric Conan, sur le site de Marianne, le 7 septembre 2013, sous le titre :


    Mourir de ne pas enseigner


    Voilà pourquoi il faut lire la dernière lettre de Pierre Jacque, enseignant de 55 ans au lycée Artaud de Marseille, qui vient de se suicider.

    Cette semaine de rentrée des classes a été marquée par le suicide d’un enseignant de 55 ans, mais, curieusement, la presse, qui est toujours à la recherche de sujets et d’angles pour traiter de cette actualité scolaire aussi prévisible que répétitive s’est peu penchée sur ce geste tragique.

    On se dit que c’est peut être un sage réflexe, car on le sait, on le répète, un
    «suicide-reste-toujours-un-mystère-humain-aux-facteurs-multiples-difficile-à-interpréter».
    En l’occurrence ce n’est pas le cas, puisque certains médias nous ont précisé de façon macabre que l’intéressé avait évoqué l’idée de s’immoler devant son établissement ou indiqué qu’il avait laissé une lettre expliquant qu’il ne supportait plus les conditions de son métier, mais sans nous en dire beaucoup plus.  


    C’est bien dommage. Car Pierre Jacque (c’est le nom de ce professeur de technologie et d’électronique en STI2G au Lycée Artaud de Marseille) a clairement décidé de son dernier acte et laissé un texte mûrement réfléchi qui constitue un véritable document sur le calvaire de professeurs motivés et conscients de l’état de délabrement de l’institution éducative.

    La lecture intégrale de ce long texte kafkaïen vaut beaucoup d’enquêtes et de reportages sur le quotidien des enseignants. En effet, tout y est du naufrage d’une institution: réformes absurdes, improvisées, contradictoires et inapplicables; ravages de l’idéologie des pédagogistes fous, qui ne sévissent pas qu’en Français ou en Maths mais en Electronique également; niveau de plus en plus faible d’élèves de moins en moins maîtrisables; conditions de travail concrètes (salles, matériels) impossibles; programmes technologiques inadaptés au monde économique et à la fameuse «compétitivité», cynisme de la hiérarchie et des inspections qui savent tout mais font tout pour ne pas voir et ne pas faire savoir; trucages des examens pour cacher le désastre; etc.

    Dans son bilan, Pierre Jacque n’épargne pas les syndicats dont il dénonce l’inutilité et les complicités et il faut donc rendre hommage à la section du SNES-Aix-Marseille qui a quand même décidé de mettre en ligne sur son site cette lettre adressée à tous ses collègues enseignants. 

    Pierre Jacque ayant fait l’effort de réfléchir à cette lettre et à la rédiger pour «
    tous ceux que (son) témoignage intéressera», avec peut-être un dernier espoir d’être encore un peu utile, la moindre des choses est de la faire lire au maximum.

     

      A ma famille, à mes proches et à tous ceux que mon témoignage intéressera. 
     
    Objet : Evolution du métier d'enseignant. 
     
        Je vous fais part de ma décision de ne pas faire la rentrée scolaire 2013. En effet le métier tel qu'il est devenu au moins dans ma spécialité ne m'est plus acceptable en conscience. Pour éclairer ma décision je vous décris succinctement mon parcours personnel. Je suis devenu ingénieur en électronique en 1982 à l'âge de 24 ans. Ma formation initiale et surtout mon parcours professionnel m'ont amené à exercer dans la double compétence "hard" et "soft". Le métier prenant et difficile m'a toujours convenu tant que j'avais le sentiment de faire œuvre utile et d'être légitime dans mon travail. Passé la quarantaine la sollicitation de plus en plus pressente d'évoluer vers des tâches d'encadrement et le sort réservé à mes ainés dans mon entreprise m'ont incité à changer d'activité. En 1999 j'ai passé le concours du Capet externe de Génie électrique et j'ai enseigné en section SSI et STI électronique. Le choc pour moi fut brutal de constater la baisse de niveau des sections techniques en 18 ans passé dans l'industrie notamment pour la spécialité agent technique (niveau BTS ou DUT suivant les cas). Même si le niveau enseigné était bien bas de mon point de vue, ma compétence était au service des élèves et je me sentais à ma place. Une difficulté était quand même le référentiel applicable (le programme) datant des années 80, ambitieux pour l'époque et en total décalage avec le niveau réel des élèves des années 2000. Une réforme semblait souhaitable pour officialiser des objectifs réalistes et orientés en fonction des besoins du marché du travail.  

        Puis vint la réforme de 2010 mise en place par Luc Chatel et applicable à la rentrée 2011. Pour le coup, le terme réforme est faible pour décrire tous les changements mis en place dans une précipitation totale. L'enseignement des métiers est réduit à peu de choses dans le référentiel de 4 spécialités seulement qui constitue des "teintures" sur un tronc commun généraliste d'une section unique appelée STI2D qui rentre bizarrement en concurrence avec la section SSI. L'électronique disparait purement et simplement. En lieu et place il apparait la spécialité "Systèmes Informatiques et Numériques" (SIN). Cela ne me pose pas de problème personnel, je maitrise bien le domaine et je l'enseigne même plus volontiers que les classiques problèmes de courant de diode ou de montages amplificateurs.  

          Je me pose quand même la question de la compétitivité de notre pays dans le domaine industriel avec un pareil abandon de compétence. La mise en place de la réforme est faite à la hussarde dans un état d'affolement que l'inspection a du mal à dissimuler. Entre temps le gouvernement a changé sans que les objectifs soient infléchis le moins du monde ou qu'un moratoire soit décidé, ne serait-ce qu'à cause du coût astronomique de cette réforme. En effet il aura fallu réorganiser l'implantation de tous les ateliers de tous les lycées techniques de France, abattre des cloisons, en remonter d'autres à coté, refaire tous les faux plafonds, les peintures et renouveler les mobiliers. Ceci est fait à l'échelle du pays sans que la réforme ait été testée préalablement dans une académie pilote.  

        Début 2011, l'inspection nous convoque en séminaire pour nous expliquer le sens et les modalités de la réforme; il apparait la volonté de supprimer toute activité de type cours ce qui est la radicalisation d'une tendance déjà bien marquée. On nous assène en insistant bien que l'élève est acteur de son propre savoir, qu'il en est le moteur. Pour les spécialités, donc la mienne SIN entre autre, cela signifie qu'une partie conséquente de l'activité sera de type projet. A l'époque les chiffres restent vagues, il est question de 50% du temps au moins. La nature des projets, la façon de les conduire, la façon de les évaluer, ne sont pas évoquées et les questions que posent les enseignants à ce sujet restent sans réponses, nous serons mis au courant après la rentrée de septembre.  

        En attendant l'inspection nous fait entièrement confiance pour continuer comme d'habitude. Je fais remarquer qu'il ne faudra pas tarder car nous préparons les élèves au bac en deux ans et que la connaissance des modalités d'examens est incontournable rapidement après la rentrée pour un travail efficace, c'est-à-dire sans perte de temps. Lors de la réunion suivante, après la rentrée 2011, l'inspecteur répond un peu agacé à la même question «que notre travail c'est d'enseigner et que l'évaluation verra après» (sic). En attendant le travail devant élève est commencé et moi et mes collègues travaillons à l'estime. Le manque de matériel se fait cruellement sentir dans mon lycée, les travaux nécessaires ne seront faits qu'à l'été 2012. Lors d'une réunion aux alentours de février il nous est demandé pour la prochaine réunion d'exposer l'état d'avancement de la réforme et si possible les projets envisagés ou mieux déjà mis en œuvre.  

       A ce moment je viens juste de recevoir un premier lot de matériel et je ne dispose du logiciel correspondant que depuis novembre. La pression amicale mais réelle pour commencer les projets va aller augmentant. J'ai un groupe de 16 élèves et un autre de 15 dans une salle qui est déjà trop étroite pour recevoir proprement 14 élèves en travaux pratiques et avec un matériel réduit qui ne me permet qu'un choix très restreint de sujets. La phase passée en projet sera cauchemardesque pour l'enseignant et la fraction d'élèves sérieux. Le dernier mois de cette année de première sera passé en activités plus classiques. A la rentrée 2012 les élèves sont maintenant en terminale, j'ai les tables de travail prévues dans une salle provisoire de 80 m2 au lieu des 140 m2 prévus. Il est difficile de bouger, le travail en travaux pratiques reste possible et je couvre ainsi la partie communication réseau de référentiel au moyen d'un logiciel de simulation. Je ne dispose pas du matériel support. On me bricole une salle de 150 m2 à partir de deux salles de cours séparées par un couloir et j'attaque les projets dans ces conditions. Le couloir sera abattu aux vacances de février. 

         Pendant ce temps nous avons appris que la note du bac porterait uniquement sur le projet final est que la note serait constituée de deux parties égales, une attribuée par un jury en fin d'année suite à une soutenance orale avec support informatique, l'autre attribuée par l'enseignant de l'année au vu du travail fourni par les élèves. Les critères d'évaluation portent principalement sur la gestion de projet et la démarche de développement durable. Il est explicitement exclu de juger les élèves sur les performances et la réussite du projet. Ceci appelle deux remarques. La première est que les critères sont inadaptés, les élèves sont incapables de concevoir et même de gérer un projet par eux-mêmes. De plus la démarche de développement durable est une plaisanterie en spécialité SIN où l'obsolescence programmée est la règle.

    Comment note-t-on alors les élèves ? A l'estime, en fonction de critères autres, l'inspection le sait mais ne veut surtout pas que la chose soit dite. Du coup cette note relève "du grand n'importe quoi" et ne respecte aucune règle d'équité. Elle est attribuée par un enseignant seul qui connait ses élèves depuis au moins un an et compte coefficient 6 ce qui écrase les autres matières. Cela viole l'esprit du baccalauréat dans les grandes largeurs. Je considère que ceci est une infamie et je me refuse à recommencer. L'ensemble du corps inspectoral est criminel ou lâche ou les deux d'avoir laissé faire une chose pareille. Cette mécanique est conçue dans une idée de concurrence entre les enseignants mais aussi entre les établissements pour créer une dynamique de très bonnes notes à l'examen y compris et surtout si elles n'ont aucun sens. Vous avez l'explication des excellents résultats du millésime 2013 du baccalauréat au moins pour la filière technologique. Cela fait plus d'un an que je me plains à mon syndicat de cet état de fait. Pas un seul compte-rendu ni localement sur Marseille ni à un plus haut niveau n'en fait mention. Je suis tout seul à avoir des problèmes de conscience. Ou alors le syndicat est activement complice de l'état de fait, le responsable local me dis : «Mais non Pierre tu n'es pas tout seul». En attendant je ne vois aucune réaction et ce chez aucun syndicat.  

        Que penser ? Soit nous sommes muselés, soit je suis le dernier idiot dans son coin. De toute façon je n'accepte pas cette situation. Je pense au niveau toujours plus problématique des élèves, autrefois on savait parler et écrire un français très convenable après 5 ans d'étude primaire. Aujourd'hui les élèves bacheliers maitrisent mal la langue ne savent plus estimer des chiffres après 12 ans d'études. Cherchez l'erreur. La réponse de l'institution est: «Oui mais les élèves savent faire d'autres choses». Je suis bien placé dans ma spécialité pour savoir que cela n'est pas vrai ! Les élèves ne maitrisent rien ou presque des techniques numériques d'aujourd'hui. Tout ce qu'ils savent faire est jouer et surfer sur internet. Cela ne fait pas une compétence professionnelle.  

       Les médias nous rabattent les oreilles sur la perte de compétitivité du pays en laissant entendre que le coût du travail est trop élevé. Cette présentation pèche par une omission grave. La réalité est que le travail en France est trop cher pour ce que les travailleurs sont capables de faire véritablement. Et là la responsabilité de l'Education nationale est écrasante. Qui osera le dire ? J'essaye mais je me sens bien petit. J'essaye de créer un maximum d'émoi sur la question.  

       J'aurais pu m'immoler par le feu au milieu de la cour le jour de la rentrée des élèves, cela aurait eu plus d'allure mais je ne suis pas assez vertueux pour cela. Quand vous lirez ce texte je serai déjà mort. 
     
    Pierre Jacque  
    Enseignant du lycée Antonin Artaud à Marseille

     

    http://mrc53.over-blog.com/article-il-ne-comprenait-pas-l-evolution-du-metier-un-enseignant-s-est-suicide-120003930.html

     

    Blog de Michel Sorin

     



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    MSF

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    Médecins Sans Frontières : l’ONG directement impliquée dans la guerre menée par les groupes terroristes en Syrie
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    http://www.silviacattori.net/article4739.html

    Nous publions ici des passages d’un article d’Al Manar titré : « MSF donne un coup de pouce à l’opposition syrienne armée » et dont les arguments nous paraissent tout à fait pertinents (*). [Silvia Cattori]

     


    25 août 2013

    L’ONG Médecins Sans Frontières est intervenue dans l’affaire de l’attaque chimique perpétrée en Syrie mardi dernier pour soutenir la version défendue par l’opposition armée syrienne qui a accusé les autorités syriennes de l’avoir perpétrée.

     

    Cela au moment où cette version, ou certains de ses aspects, est de plus en plus suspectée, aussi bien en raison des révélations et découvertes russes et syriennes que par les témoignages de médecins experts en la matière interrogés par la BBC.

     

     

    Dans un communiqué, MSF assure que quelque 355 patients "présentant des symptômes neurotoxiques" sont morts en Syrie dans trois des hôpitaux aidés par Médecins sans frontières dans le gouvernorat de Damas et où, selon MSF, 355 personnes sont décédées et près de 3.600 personnes sont traitées depuis le 21 août.

     

    Or il s’agit d’hôpitaux de fortune tenus par les rebelles et les miliciens, auxquels MSF fournit des médicaments, du matériel médical et un appui technique, et cette ONG ne se trouve pas sur place pour que les chiffres qu’elle avance puissent être crédibles : elle dit elle-même les tenir du personnel médical des hôpitaux [clandestins, Ndlr] qui ont accueilli les victimes.

     

    Et l’ONG française d’ajouter que les patients ont été soignés avec de l’atropine, un médicament qu’elle a fourni de longue date pour traiter les symptômes neurotoxiques. « MSF s’efforce maintenant de reconstituer les stocks épuisés des hôpitaux » [en zone rebelle exclusivement, Ndlr], précise l’ONG.

    (…)

     

    Symptômes d’un gaz sans nom

     

    De plus, MSF reprend à son compte les allégations [des groupes armés ; Ndlr] selon lesquelles les personnes infectées présentent les symptômes d’une contamination au gaz sarin, sans le nommer.

     

    « Les symptômes qui ont été rapportés, tels que les convulsions, l’hyper salivation, les pupilles contractées, la vision trouble et la détresse respiratoire, le schéma épidémiologique de cet événement - caractérisé par l’afflux massif de patients dans un laps de temps très court, la provenance des patients et la contamination des secouristes et du personnel ayant fourni les premiers soins [toutes choses que MSF ne peut pas vérifier, n’étant pas sur place, Ndlr] - suggèrent fortement l’exposition massive à un agent neurotoxique », dit Bart Janssens, son directeur des opérations.


    Force est de constater que ce dernier évite de signaler de quel agent neurotoxique il s’agit. Contrairement aux différentes sources de l’opposition syrienne armée. Selon les experts en armes chimiques, c’est seulement cet agent que les autorités syriennes posséderaient.

     

    On constate aussi que M. Janssens prend soin de parler, soudainement, d’une contamination des secouristes, celle-là même dont l’absence avait été constatée par de nombreux observateurs avisés, suscitant des doutes quant à la véracité des assertions de l’opposition armée. (…)

     

    Un douteux timing

     

    Le soutien de MSF intervient juste au moment où les autorités syriennes ont apporté la preuve [en entrant en zone rebelle, Ndlr] que ce sont les rebelles qui auraient mené ces attaques chimiques en montrant les produits chimiques découverts dans les tunnels des rebelles à Jobar, dans la Ghouta orientale, pouvant servir à des armes.


    Alors que la Russie aussi a présenté des preuves aux membres du Conseil de sécurité de l’ONU, dont des photographies satellitaires qui attestent que les missiles chimiques avaient été tirés de la ville de Douma, fief des insurgés dans la Ghouta orientale (…) où la bataille fait rage ces heures-ci au cœur de Jobar !

     

    Al-Manar - 24 août 2013


     

    (*) Voir également :

     

    "L’ingérence de Médecins Sans Frontières en Syrie aux côtés de bandes terroristes est criminelle".
    http://www.silviacattori.net/article4300.html

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    TWEETS :
    L'accusation d'utilisation d'armes chimiques portée contre le gvt syrien n'a qu'un objectif : attaquer la Syrie sans le feu vert de l'ONU.
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    Tweets d'eva:
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    VIDEO montrant ce que les rebelles font SUBIR au quotidien au peuple syrien. Le VRAI visage des opposants =
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    Le Dr Kouchner quitte MSF (à cause de divergences) pour fonder Médecins du monde. Je pensais MSF + sincère que Médecins du Monde, mais non, incroyable !
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    SCOOP !
    Comment tout a commencé en mai 68,
    le 3 mai à la Sorbonne.
    J'ai été un témoin DIRECT
    et je raconte. Inédit !
    En 5 mn, et dans la bonne humeur !
    Enregistré le 6 4 2013 à 20 h
    ..



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