DSS

 

 

Le 24 juillet dernier disparaissait le Dr David Servan-Schreiber victime d'une grave rechute d'un cancer du cerveau détecté en 1991.


"Mon frère s'est éteint entouré de ses trois frères et de sa mère à l'hôpital des Hautes Falaises, à Fécamp. Il est parti en douceur. Il s'est éteint en paix et sereinement", a déclaré son frère Franklin.

David Servan-Schreiber a publié le best-seller "anticancer" vendu dans le monde à plus d'1 million d'exemplaires.


Ce livre avait pour objectif de faire passer chacun d'entre nous du statut de victime potentielle du cancer à celui d'acteur capable de se protéger à l'aide d'informations nutritionnelles étayées par des études scientifiques. En particulier, il largement contribué à faire connaitre les travaux du Dr Beliveau, l'un des rares scientifiques à qui l'on donne des moyens (*) pour étudier les substances phytochimiques anticancer, ces dernières sont contenues à l'état naturel dans certains aliments.


(*) Ces études n'intéressent pas l'industrie pharmaceutique car les molécules naturelles ne peuvent pas être brevetées.


Pour mémoire, rappelons qu'en 2011 (source INVS), 365 000 nouveaux cas de cancer seront diagnostiqués en France et que chaque année depuis des décennies l'incidence de cette maladie augmente de 3%.


Curieusement, ce chiffre colossal ne semble inquiéter outre mesure ni les médias ni l'état au vu du faible écho que l'on constate.


David, tu as remplis ta mission ici-bas en diffusant largement une information ignorée par paresse intellectuelle de la majorité du monde médical sous contrôle des lobbies.


Tu es parti bien trop tôt, RIP...

 

 David Servan-Schreiber, 1961 - 2011.

 

 

 

Vaccins, voir ici :

 

Vaccins toxiques "Initiative Citoyenne" (informations de janvier à juillet 2011)

 

 

Par ailleurs, psychiâtrie :

 

 1er Août, la loi sur l’internement psychiatrique est entrée en vigueur

 

 

 

Nucléaire :

 

La grande leçon de Fukushima pour la France

 

 

http://sciencepourvousetmoi.blogs.sciencesetavenir.fr/archive/2011/08/03/fukushima-suite-41-la-grande-lecon-de-fukushima-pour-la-fran.html

 

http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/435x290/201103/14/304537-centrale-fukushima-vue-airs.jpg

http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/435x290/201103/14/304537-centrale-fukushima-vue-airs.jpg

03.08.2011

FUKUSHIMA (suite 41) "La grande leçon de Fukushima pour la France"

 

 

 

 

Mercredi 3 août. Cinq mois après les débuts de la catastrophe de Fukushima, et à l'heure où les centrales nucléaires de très nombreux pays - dont la France - sont soumises à de nouveaux examens de sûreté, j'ai demandé à deux physiciens bien connus du GSIEN (groupement de scientifiques pour l'information sur l'énergie nucléaire), Monique et Raymond Sené, de se joindre à moi sur ce blog pour essayer de tirer ce que nous avons voulu appeler "La grande leçon de Fukushima pour la France" (le titre de cette note).  

 

 

Par Monique Sené, physicienne, directrice de recherches honoraire au CNRS , membre du Haut comité à la transparence et présidente du GSIEN (groupement de scientifiques pour l’information sur l’énergie nucléaire)

Raymond Sené, physicien nucléaire, membre du GSIEN

Dominique Leglu, physicienne, directrice de la rédaction de Sciences et Avenir

 

Oui, Fukushima n’est pas Hiroshima. Des réacteurs ne peuvent pas exploser comme une bombe atomique. Il n’empêche, la catastrophe qui a eu lieu dans la centrale de Fukushima-Daiichi sur 4 de ses 6 unités est pire que Hiroshima et Nagasaki réunis, en termes de radioactivité relâchée. C’est mille fois plus (1), en ordre de grandeur.


Oui, l’impensable est arrivé. Après le séisme du 11 mars, suivi du tsunami, la centrale a perdu toutes ses sources électriques et ses moyens de refroidissement, qui ont conduit à une situation incontrôlable.

 

Quels enseignements en tirer ?


. Le séisme (..)

 

suite ici :

 

La grande leçon de Fukushima pour la France

 

Voir aussi :

 

Les autorités japonaises face à la colère des habitants de Fukushima (vidéo)

 

 

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