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    Demain : Plus de robots, plus de chômage ?

     

    http://www.gaullistelibre.com/2015/01/demain-plus-de-robots-plus-de-chomage.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+gaullistelibre+%28Blog+gaulliste+libre%29

     

     



     

    Les conséquences de l’automatisation

    Dans l’absolu, l’automatisation peut avoir de grands bénéfices. Elle peut épargner aux hommes des emplois durs. Elle permet aussi d’améliorer la productivité, et donc la richesse de la société, qui peut être investie dans une meilleure protection sociale, par exemple. Le patron de Roland Berger souligne qu’elle pourrait continuer à progresser du fait de progrès techniques permettant aux automates de communiquer entre eux, étendant leur champ d’action. Pour lui, « si on ne croit qu’au capitalisme pur, et donc à l’efficacité absolue, l’usine doit être sans ouvriers. Ce qui n’empêche pas d’avoir des êtres humains pour superviser le tout. Mais cela représente beaucoup moins de monde, d’où la disparition d’emplois ».

    Il pense même qu’il pourra y avoir des relocalisations. Mais il pose la question de « qu’est-ce qu’on va faire avec sept milliards de personnes ? (…) Comment va s’effectuer la redistribution ? Par l’impôt négatif (sorte de revenu de base) ? Dans l’abondance, il  va bien falloir redistribuer la richesse. Il va falloir que les ultra-riches acceptent cette redistribution, sinon on se dirige vers des troubles sociaux majeurs » du fait de la disparition d’emplois et des révolutions technologiques. Il pose la question intéressante du contrôle de notre avenir, dominé par des grandes entreprises, mais où « ni les gouvernements, ni les salariés, ni même les citoyens n’y ont trouvé leur place » et de la détermination des règles du jeu et notamment du chômage de masse. Faut-il démanteler Google, comme cela se dit en Allemagne ?
    Les dangers du laisser faire

    Cette tribune est d’autant plus intéressante que de nombreuses études indiquent que de très nombreux emplois sont menacés dans nos pays, alors même que le chômage est au plus haut. En outre, même si le phénomène s’accélère, on ne peut pas dire qu’il soit neuf. Nos sociétés sont déjà le produit de nombreuses vagues d’automatisations et si le bilan comporte des points très positifs, il y en a de très négatifs. En premier lieu, conjugué aux écarts de coûts salariaux et à la libéralisation généralisée, le maintien d’un très fort niveau de chômage, extrêmement cruel et dur pour toutes les personnes qui ne trouvent pas d’emploi et toute la société par ricochet, avec tous les effets induits qui y sont liés.


    C’est pour cette raison, parce que l’automatisation n’est qu’un moyen au service d’une fin qui la dépasse, la condition humaine, que je crois qu’il ne faut pas laisser faire les choses comme nous le faisons depuis des décennies. D’abord, il faut revoir notre fiscalité pour cesser de pénaliser l’emploi, dont nous manquons déjà et faire davantage contribuer les secteurs économiques qui y échappent. L’automatisation doit également amener à repenser notre fiscalité pour ajuster l’offre d’emplois. Et parce qu’il est probablement souhaitable que tout le monde puisse trouver un emploi, nos règles de vie et notre fiscalité doivent être ajustées pour le permettre, en pesant moins sur le travail et davantage sur le capital.

    L’automatisation peut être au service du progrès. Mais aujourd’hui, elle est principalement au service du capital car elle génère plus d’argent et surtout, elle pèse considérablement sur la société en provoquant chômage et augmentation des inégalités. Pour cette raison, elle doit être bien dévantage régulée.


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    Le cadeau de Noël du gouvernement aux internautes : la surveillance

    Le Point - Publié le 26/12/2014 à 17:45

    Le 24 décembre, Matignon a publié un décret sur une mesure très contestée permettant aux agents de l'État de surveiller le Net français. Habile.

    Manuel Valls, Premier ministre. Manuel Valls, Premier ministre. © Guerric Poncet / Creative Commons by-nc-sa 2.0 via Flickr

    Par

    C'est un cadeau de Noël dont les internautes et les opérateurs français se seraient bien passés. Le gouvernement a publié mercredi 24 décembre, à la faveur des fêtes de Noël, le décret d'application du très contesté article 20 de la loi de programmation militaire (LPM). Ce texte prévoit un accès très vaste des services de l'État aux télécommunications (téléphone, SMS, Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux.

    La mesure de surveillance, pudiquement nommée "accès administratif aux données de connexion", avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par notre excellent confrère Next INpact, qui évoque "un décret qui sent le sapin", ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

    Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d'information de plus en plus performants afin de surveiller la population.

    Qui chapeaute le système ?

    Le décret du 24 décembre présente "le groupement interministériel de contrôle [...], un service du Premier ministre chargé des interceptions de sécurité et de l'accès administratif aux données de connexion". Ce groupement est chargé de centraliser les demandes des agents et de les transmettre aux opérateurs concernés, en les épurant de toute information sensible.

    En effet, si les services de l'État doivent justifier leurs requêtes auprès du Premier ministre (qui nomme une "personnalité qualifiée"), il est hors de question de transmettre ces explications aux opérateurs. Les fournisseurs d'accès ne sauront même pas de quel service ou ministère émane une demande, ni à quelle date elle a été formulée.

    Quelles données sont concernées ?

    Sans surprise, le décret se réfère à l'article 20 de la LPM, sans vraiment le préciser. Peuvent donc être interceptés les "informations ou documents traités ou conservés par les réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l'identification des numéros d'abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l'ensemble des numéros d'abonnement ou de connexion d'une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu'aux communications d'un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications".

    On notera l'utilisation de la formule "y compris", qui n'est aucunement exhaustive : difficile de faire plus vaste.

    Un contrôle démocratique insignifiant

    Face aux critiques sur l'intrusion dans la vie privée, le gouvernement invoque la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), un organe très joli sur le papier mais qui n'a jusqu'à présent pas été doté d'un réel pouvoir. Cette commission "dispose d'un accès permanent aux traitements automatisés", et "l'autorité ayant approuvé une demande de recueil d'informations ou de documents fournit à la commission tous les éclaircissements que celle-ci sollicite", promet le décret, plein de bons sentiments.

    Néanmoins, la CNCIS n'a toujours pas le pouvoir de sanction et ne peut même pas alerter la justice en cas de manquement sur un dossier couvert par le secret de la défense nationale. Habile...

    Par ailleurs, le gouvernement se protège en supprimant ses archives en un temps record. Si l'on peut saluer la suppression des informations et des fichiers recueillis au bout de trois ans, on ne peut être que surpris par le fait que les registres mentionnant qui a autorisé telle ou telle surveillance soient eux aussi "automatiquement effacés" après trois ans. Le seul contrôle démocratique possible lorsqu'on jongle avec le secret défense, celui qui s'effectue a posteriori, est donc rendu impossible, pour la CNCIS comme pour la justice.

    À quel prix ?

    "Les coûts supportés par les opérateurs pour la transmission des informations ou des documents font l'objet d'un remboursement par l'État", précise le décret. Pas un mot sur la grille tarifaire qui sera appliquée, car ils seront définis par les ministères concernés.

    Qui peut demander les informations ?

    Trois ministères sont habilités à émettre des demandes. Le décret détaille le nombre impressionnant de services pour lesquels les vannes du Web français sont ouvertes :

    - Au ministère de l'Intérieur : la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), la Direction générale de la police nationale (unité de coordination de la lutte antiterroriste, Direction centrale de la police judiciaire, Direction centrale de la sécurité publique, Direction centrale de la police aux frontières), la Direction générale de la gendarmerie nationale (sous-direction de la police judiciaire ; sous-direction de l'anticipation opérationnelle ; service technique de recherches judiciaires et de documentation ; sections de recherches), la préfecture de police (Direction du renseignement ; direction régionale de la police judiciaire ; service transversal d'agglomération des événements ; cellule de suivi du plan de lutte contre les bandes ; sûreté régionale des transports ; sûretés territoriales).

    - Au ministère de la Défense : la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE), la Direction de la protection et de la sécurité de la défense, la Direction du renseignement militaire.

    - Au ministère des Finances et des Comptes publics : la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières, le service de traitement du renseignement et d'action contre les circuits financiers clandestins.

    Dans tous ces services, seuls les agents et officiers "dûment habilités" par leur directeur pourront réclamer des informations, assure le décret.

    Des perspectives inquiétantes

    La loi de programmation militaire a mis en place un outil de surveillance de la population française qui aurait fait pâlir d'envie les pires dictateurs de l'histoire. Si nous sommes très loin d'un régime totalitaire en France, il n'est pas exclu que des leaders extrémistes disent demain merci au gouvernement Valls pour leur avoir fourni un tel outil clé en main.

     

    http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-poncet/le-cadeau-de-noel-du-gouvernement-aux-internautes-la-surveillance-26-12-2014-1892495_506.php.
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    Voir :


    Le Système oligarchique se protège des citoyens, du peuple. Honteux décret n° 2014-1576 du 24 décembre 2014
    George ORWELL nous adresse un dernier avertissement NB Le Patriot Act se met en place en FRANCE via Valls le Franco français
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    L'Europe des Régions

    et non des Nations,

    carte sur le blog de Lucien Pons

     

    Derrière la RÉFORME TERRITORIALE, le vrai projet c’est : « SUPPRIMER LA FRANCE ». L’aveu du quotidien « Le Figaro ».

     

     

    De la réforme du territoire

    à la mort de la Nation française

    et au Nouvel Ordre Mondial

     

    par chantal dupille

     

     

    Il y a peu encore, je ne voyais pas l'utilité du Sénat. J'ai changé d'avis : Il est plus nécessaire que l'assemblée nationale, car il NOUS défend, avec ses élus de terrain et qui refusent d'être des godillots du Gouvernement !

     

    Le Sénat est indispensable. Par ex, c'est LUI qui défend nos départements, les territoires ruraux, les communes, les  villages, la proximité, la solidarité. Or le tyran Valls au service des Bilderberg, du Nouvel Ordre Mondial totalitaire, est décidé à imposer la réforme du territoire dont NUL ne veut, ni presque tous les élus, ni la population ! Mais c'est Bruxelles qui commande, et Valls exécute...

     

    Le département "Valls" sera amputé des COMPETENCES indispensables, du rôle de la SOLIDARITE avec les citoyens - donc il sera coupé de NOUS TOUS !

     

    Au sein du Département, la solidarité est à la fois sociale et territoriale. Les Sénateurs se battent pour le maintien de nos départements.

     

    La réforme territoriale ne simplifie pas, elle n'économisera rien, elle ELOIGNERA le pouvoir des citoyens. Ainsi, il faudra faire 300 ou 400 Kms pour une décision en matière de collège. Ce qui est du niveau de la commune montera à l'intercommunalité, ce qui est du département montera à la métropole géante LOIN du terrain, des citoyens.

     

    Avec la réforme territoriale, on confiera à la REGION les compétences territoriales, DONC à des urbains coupés de la réalité rurale, etc. Je rappelle que l'identité de la France, RURALE, a été tuée en 14-18, les paysans sont morts et avec eux l'autonomie (alimentaire..). Eh bien, la réforme territoriale achèvera de ruiner l'identité du pays ! Les secteurs ruraux vont souffrir, et puis il n'y aura ni parlementaires, ni conseillers territoriaux, ni pouvoir. Bref, il y aura une France de métropoles géantes, et des déserts. Pour discuter de tout (collèges, routes..), même de la MOINDRE décision, il faudra aussi faire des centaines de Kms ! TOUT sera rigidifié. C'est scandaleux !

     

    Nous n'avons pas été consultés pour cette réforme territoriale pourtant majeure, l'avis des élus locaux est piétiné. Valls est un authentique dictateur !

     

    La réforme territoriale, c'est le mépris du local, de la proximité, des élus, des citoyens. Ainsi on impose aux ALSACIENS ce qu'ils refusent. La réforme territoriale, c'est aussi le gigantisme qui écrase ce qui est à échelle humaine - comme le super-marché tue le petit commerce ! C'est à l'image de la réforme d'Emmanuel Macron, maquereau de Rothschild : les distances seront grandes avec par ex le regroupement d'avocats, de notaires..  dans les métropoles. Avec toutes ces réformes soi-disant pour des économies, en réalité pour Bruxelles, il faudra aller loin pour accoucher, divorcer, décider...

     

    La réforme territoriale, c'est aussi la fin des élus de terrain, identifiables ; ils seront remplacés par des "technocrates" coupés de la réalité et simples pions de Bruxelles.

     

    L'intercommunalité, c'est un SEUIL qui passera de 2.000 habitants à 20.000. Bref, distance et rigidité au lieu de proximité et liberté ! L'intercommunalité, c'est aussi la fusion de communes n'ayant pas les mêmes politiques, les mêmes choix, les mêmes intérêts, ayant chacune leur rythme propre, et entre communes qui sont parfois rivales. En fusionnant des communes voisines n'ayant rien de commun, fonctionnant différemment, on crée des situations artificielles, conflictuelles.

     

    Par ailleurs, en fusionnant des communes de Droite et de Gauche, on prépare la fusion Droite-Gauche, le Parti unique totalitaire cher à Valls et au Nouvel Ordre Mondial. La réforme territoriale a TOUS les défauts des réformes du NWO : Elle tue la Nation, la proximité, le social, les libertés, les traditions...

     

    Ils nous vendent ainsi la réforme : "Les communes, les départements, les Nations seront remplacées par une AUTRE FRANCE (synonyme de destruction de la France), les Métropoles, les Régions, le COUPLE Nation-Europe". Tout sera chambardé ! Pour Bruxelles, comme Bruxelles l'exige (et Rothschild), et tant pis si les Français ne veulent plus de cette Europe, ils n'ont plus leur mot à dire ! 

       

    Bon sang, réveillez-vous ! La réforme territoriale menée par Valls pion de Rothschild (comme son compère Macron) tuera la France, le département, la commune, la proximité, la solidarité ! Valls invité par les Bilderberg nous a été imposé par les meRdias laquais pour tuer TOUT ce qui fait l'IDENTITE de la France, sa spécificité. Même les timbres ne mentionnent plus, sans hasard, les mots "République française" !

     

    Prenons conscience que la réforme territoriale est imposée par l'UE tremplin du Nouvel Ordre Mondial, et Valls pion de ce NW0 est chargé de tuer notre NATION. Valls est l'ENNEMI de la France. Et c'est un hypocrite qui pour présider (détruire) la France, clame partout qu'il AIME notre pays (et d'ailleurs il "aime" aussi prioritairement le MEDEF, le grand patronat). La réforme territoriale est une réforme MAJEURE ! Ainsi, les Régions (géantes) ne se sentiront plus françaises, mais elles se feront la "guerre" ; là aussi, le maître mot sera la compétitivité, juste la compétition des territoires, et des Nations, dans le cadre de l'Europe avec le regroupement des populations dans d'IMMENSES métropoles. C'est tout simplement effrayant !

     

    Dire non à la réforme territoriale, c'est dire OUI à la France, et non au Nouvel Ordre Mondial totalitaire menant au monde unique, avec un seul système, un seul parti, une seule culture (culture "Mac Do"), une seule religion (païenne), un seul genre, etc. Nous ne devons pas accepter l'intolérable !


    Chantal Dupille (dite eva R-sistons)

    compilation de ses tweets du 9.11.2014

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    Réforme territoriale. La carte des régions ne fait pas que des heureux

    http://www.ouest-france.fr/reforme-territoriale-la-carte-des-regions-ne-fait-pas-que-des-heureux-2717447

     

       

    Après les vifs et longs débats de la semaine dernière, les députés se prononcent, aujourd'hui, sur le redécoupage territorial. Tout le monde n'y trouve pas encore son compte.

     

    Réforme territoriale d’Hollande : Non au partage euro-féodal de la France !

    Sur la réforme territoriale annoncée par François Hollande

    ils appellent ça le « big bang » territorial…

    NON AU PARTAGE EURO-FEODAL DE LA FRANCE

    affiche régionale 2010Etrange tribune que celle de François Hollande, diffusée le 3 juin par toute la presse régionale. De la manière la plus centraliste qui soit, sans s’encombrer du moindre mandat populaire, le chef de l’Etat a annoncé la mise à mort de la République une et indivisible issue de la Révolution française.

    Mensongèrement, le Président de la Rrépublique fait l’éloge des communes… tout en précisant que désormais, c’est l’Intercommunalité (à 20 000 habitants! au moins , avec recentrage sur les métropoles) qui deviendra l’échelon de proximité : lointaine proximité que voilà en vérité !


    En fait de « décentralisation », cette énorme arnaque institutionnelle dissout les municipalités – à peine élues! – dans les métropoles, les départements dans les régions et celles-ci dans d’énormes euro-régions à l’allemande, directement affiliées aux Etats-Unis d’Europe et à l’Union transatlantique en construction: fin annoncée à la fois de la Commune et de l’Etat-nation, voire de l’idée même d’un territoire national puisque plusieurs de ces régions seront « transfrontalières » et qu’elles n’auront même plus à terme le français comme langue de travail !


    Dans cet immense et très rétrograde partage euro-féodal de la France, non seulement l’intervention populaire serait très affaiblie, mais les couches populaires seraient durement frappées: par le biais du démantèlement de la fonction territoriale et des services publics de proximité, par le remplacement accéléré du français par le tout-anglais transatlantique (mâtiné de Charte européenne des langues régionales).

     

    Tout cela est d’autant plus scandaleux que ces enjeux politiques centraux ont soigneusement été cachés aux électeurs par les partis dominants lors des municipales.

     

    Plus grave encore, Hollande annonce que désormais, les euro-régions disposeront seules de la compétence économique: fin de la politique industrielle nationale, qui date en France de… Colbert, concurrence acharnée assurée entre les grandes régions pour briser le social et subventionner le grand capital sous prétexte d’attirer l’emploi. Fin également de la loi républicaine unique, les régions étant autorisées à faire varier la loi et à « expérimenter »… Qu’adviendra-t-il alors des Conventions collectives nationales, des statuts de la Fonction publiques, du SMIC, du Code du travail à l’imitation du contre-modèle allemand ?


    Dans ces conditions, le PRCF lance un appel pressant aux forces franchement communistes, franchement syndicalistes et franchement républicaines. La question n’est pas de tomber dans le panneau en réclamant un autre partage de la nation, un autre redécoupage privilégiant telle féodalité UMP ou PS plutôt que telle autre. L’heure est à REFUSER catégoriquement l’euro-dépeçage du pays, de faire le lien entre la casse territoriale et la casse sociale: « saut fédéral européen », « big bang » territorial et plan MErkel-Valls-MEDEF, Pacte transatlantique procèdent d’une seule et même stratégie de casse nationale et sociale. Il faut les rejeter ensemble par l’unité d’action des communistes, l’unité d’action des syndicalistes rouges et l’unité d’action des forces franchement républicaines et anti-UE.

     

    le secrétariat politique du PRCF

     

    http://www.initiative-communiste.fr/articles/europe-capital/reforme-territoriale-dhollande-au-partage-euro-feodal-france/

     

     

    Interview de François Asselineau (GOPE, TAFTA, réforme ... 

    www.youtube.com/watch?v=F9WkOavhPKI
    3 juil. 2014 - Ajouté par Cercle des Volontaires
    Nous sommes allés interroger François Asselineau, président de l'UPR, ... La réforme territoriale ne permet-elle ...

     

    Réforme territoriale : Allons-nous laisser détruire la France ? 

    https://www.upr.fr/conferences/reforme-territoriale-euro-regions
    8 juin 2013 - Euro-régions : Une conférence de François Asselineau sur la destruction programmée des nations par la réforme territoriale.

    François Asselineau : GOPE, TAFTA, réforme territoriale ... 

    www.agoravox.tv › Actualités › Economie
    3 juil. 2014 - La réforme territoriale ne permet-elle pas ne faire des économies nécessaires face à notre mille-feuille administratif des collectivités locales,

    lucien-pons.over-blog.com/.../derriere-la-reforme-territoriale-le-vrai-proj...
    Derrière la RÉFORME TERRITORIALE, le vrai projet c'est : « SUPPRIMER ... 23 Novembre 2014 , Rédigé par lucien-pons Publié dans #Europe supranationale
    Ce que les médias mainstreams ne relatent pas sur les tortures de la CIA à Guantanamo
    http://www.huffingtonpost.fr/2014/12/10/torture-cia-passages-terrifiants-rapport-senat-americain_n_6299652.htm
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    La belle "démocratie" américaine. Tortures, prison sans jugement, etc, et maintenant voici les camps pour sdf :

    Usa, Caroline du Nord. Les camps de concentration Fema pour les sans domicile fixe

    par Massimo Bonato

     

    10.12.14 - Nous disons souvent que, à la huitième année de crise économique, et face à d'inutiles tentatives globales de faire repartir "la croissance", il semble amplement démontré que nous naviguons dans une crise de surproduction. Nous rappelons aussi, avec la même fréquence, que cette expression classique doit être entendue exactement comme elle a été pensée par son inventeur : surproduction de capital. Soit non seulement de marchandises, mais surtout d'usines-ordinateurs-bureaux (capital fixe) et force de travail humaine (capital variable).


    Fema 

     

    Il nous arrive aussi d'écrire que le programme capitaliste pour gérer cette "surabondance" d'êtres humains est définissable comme un vous devez mourir. Il apparaît en effet évident que lorsque depuis le sommet du gouvernement ou de l'Union Européenne ou d'autres organismes supra-nationaux, on nous dit que "l'espérance de vie s'est allongée" et "donc" il faut augmenter l'âge de la retraite, couper la dépense sanitaire, flexibiliser les horaires et les roulements de travail et de repos, effacer les contrats à temps déterminé, éliminer les tutelles du travail, vendre les immeubles à loyer modéré, etc., on est en train de chercher à réduire les dimensions de la population.

     

    Naturellement il est difficile de "montrer" - à une humanité désormais habituée à regarder les images plus qu'à raisonner au moyen de concepts - quelque chose qui découle nécessairement d'une série de faits, mais qui ne "se montre" pas encore dans la réalité de tous les jours. Nous ne remercierons donc jamais assez Massimo Bonato et TgValleSusa pour avoir publié l'article qui suit, corrélé par des photos et des références documentaires.

     

    On y parle des Etats Unis, soit de l' "empire de la liberté" et de l'initiative privée, le paradis des "opportunités", des "droits humains" et d'autres mots qui ont assumé le poids de lieux communs sur lesquels il n'est plus nécessaire de raisonner ou de s'interroger. Dans ce paradis, les "sans domicile fixe" - les chômeurs qui ont perdu aussi la maison et la possibilité d'avoir un revenu pour en louer une - sont enfermés dans des camps de concentration. En tout égaux à ceux des nazis ou des camps d'enfermement des pays en guerre.

     

    Le problème est que aux Etats Unis il n'y a aucune guerre. Mais les sans domicile fixe sont - tacitement ou explicitement - encadrés en tant qu'ennemis combattants. Et enfermés. Sans infraction, sans procès, sans limite temporelle.

     

    Force de travail en excès, pour le moment inemployable, donc "stockée" en attente de temps meilleurs. S'ils viendront. Et sinon laissée à macérer sous les aléas atmosphériques comme l'une des mille ghost town qui parsèment le panorama états-unien.

     

    Il nous semble évident que le nombre imprécis d'emprisonnés dans les dizaines de camps de concentration Fema ne résultent pas parmi les chômeurs et ne "pèsent " donc pas sur les statistiques officielles (le "taux de chômage" a beaucoup diminué dans les dernières années ; un peu de quantitative easing, un peu de lager et le jeu est fait). Comme il apparaît important que beaucoup de ces lagers fédéraux (soit "publiques") soient gérés par des contractors privés. S'il faut traiter un problème sans passer par la loi ordinaire, et en dehors de toute Constitution, qu'y a-t-il de mieux qu'une belle société privée et de fait secrète ?

     

    A vous l'article de Massimo Bonato, donc.

     

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    Des camps Fema en Caroline du Nord, on n'en sort qu'en acceptant de se faire enfiler une micropuce sous la peau.

     

    Aux sans domicile fixe détenus dans le camp Fema de la Caroline du Nord, a été donné le choix si rester ou s'en aller, mais seulement à condition que leur soit implanté une puce. La Rfid (Radio-frequency identification) servirait à les mettre sous monitorage et à les maintenir sous contrôle, en échange de bénéfices de survie, nourriture, couvertures, vêtements.

     

    La nouvelle s'est répandue, pour différentes raisons : d'abord le monitorage, et de fait la limitation des libertés personnelles d'hommes et de femmes détenus sans avoir commis d'infractions, mais seulement parce que homeless, sans domicile fixe, et sans emploi. Mais elle a fait re-émerger de nouveau, aussi, la gestion du chômage aux Usa. Camps Fema. A ceux qui se souviennent du roman de John Steinbeck Les raisins de la colère et le film qui s'en inspira il n'est pas difficile de s'en faire une idée.

     

    Qu'est-ce que la Fema ?

     

    La Fema est une agence gouvernementale (Federal Emergency Management Agency) née pour la gestion d'émergences humanitaires en 1978, sous la présidence Carter (Wikipedia). Une sorte de Protection civile  sous la supervision du Département pour la sécurité nationale.

     

     

     Fema

     

    Après les Twin Towers de 2001, et précisément l'année d'après, le procureur général John Ashcroft annonça le désir d'avoir des camps pour les citoyens états-uniens qu'il considérait comme étant des 'ennemis combattants', et que son plan "lui permettrait d'ordonner la détention à temps indéterminé de citoyens états-uniens et les destituer sommairement de leurs droits constitutionnels et l'accès aux tribunaux, en les déclarant ennemis combattants" (Los Angeles Times). En peu de temps elle se transforma en ce qu'elle est actuellement, et qui fait dire à truthisscary.com que la "Fema est un gouvernement secret, qui peut suspendre la loi, la constitution américaine, les droits civils".

     

    Son parcours est tracé par la paranoïa de la prévention : auparavant pour une attaque nucléaire, puis pour des calamités naturelles, puis pour les attaques terroristes. Aujourd'hui dans ses camps elle enferme des sans domicile fixe.


    Fema-Camps_1 

     

     

    Les camps Fema

     

    La Fema a à sa disposition environ 800 camps délocalisés dans tous les Etats Unis et peut détenir jusqu'à 2 millions de personnes : des réfugiés hypothétiques, selon sa mission. Mais pas qu'eux. La relative autonomie a conduit à une gestion pas toujours uniforme de ces camps, pour la plupart maintenus vides et prêts, par exemple en Caroline du Nord dans les années 70, pour une réclusion de masse d'activistes de couleur, au cas où ils se fussent soulevés. 

     

    Escogitur.com rappelle les mots exprimés au sujet par le chef de la Fema en 1987, Alonzo Chardy, au "Miami Herald", lequel avait rédigé un ordre exécutif justement destiné à suspendre la Constitution avec la déclaration relative de la loi martiale s'il eut été nécessaire. Une Guantanamo en plus grand, prête entre autres à accueillir aussi en effet des personnes de foi islamique, après les faits du 11 septembre 2001.

     

     Fema Camps_3

     

    Les camps Fema reviennent récemment à l'honneur des chroniques, lorsque la Caroline du Nord devient l'exemple de comment seulement le vagabondage pourrait être poursuivi. En août 2013 le Columbia City Council approuve le programme de création de forces spéciales de police qui poursuivent la "quality of life". De fait, il s'agit de patrouilles qui, depuis octobre de la même année ouvrent les portes du camp Fema de Columbia. Ils poursuivent les sans domicile fixe accusés de vagabondage ou surpris dans le sommeil ou à uriner contre une plante, ils les chargent sur des véhicules et les conduisent dans le camp, à quelques kilomètres de la ville. En parlent les sites actifs sur le front des droits humains, comme trueactivist.com, mais peu d'autres sites. La ségrégation s'accompagne du secret. Du moins jusqu'à quand, aux débuts de novembre de cette année, une équipe de la Nbc se retrouve à filmer une prison abandonnée dans les environs de New York, pour un service culturel, sans y parvenir. L'opérateur n'a pas le temps de commencer le tournage que depuis la prison sort un gradé, on ne comprend pas de quelle arme, et ordonne à la Nbc de s'éloigner. C'est un contractor. La prison n'est pas abandonnée, on ne peut pas filmer, et elle n'est pas gérée par un Département d'Etat mais par une police privée (globalresearch.ca).

     

    Ce qui en fait deux avec l'histoire de la puce qu'on voudrait implanter sous la peau des sans domicile fixe de Columbia en Caroline du Nord, mais surtout commence à intéresser à ces lieux de détention les Etats-uniens, alors que le Wall Street Journal claironne un jour sur deux la diminution du chômage qui permettrait l'augmentation des taux d'intérêt aux Usa et en Angleterre. Tout en excluant le fait que les paramètres par lesquels on établit le taux de chômage restent secrets (et sous le gouvernement Thatcher en Angleterre ils changèrent jusqu'à 37 fois!), parce que plus que rendre compte d'un phénomène économique et social, ils résultent d'un dispositif d'accréditation politique, voué à instiller plus de confiance à l'étranger, et un espoir majeur et la stabilité à l'intérieur ("Tu ne vas tout de même pas faire la révolution maintenant qu'il y a du boulot!").

     

    Mais on s'interroge aussi sur combien ce sens de la "quality of life" aujourd'hui dans les mains de polices urbaines et privées, les contractors, ne soit pas généralisé. En défense non seulement de l'esthétique métropolitaine, mais aussi si ce n'est surtout, de ce gap social qui de plus en plus fait surgir des gated communities, les quartiers privés, équipés de surveillance armée, clôtures et barbelés, pour garder, celles-ci oui, les gens dehors et non pas dedans. Du monde dedans, du monde dehors, à ne pas voir, ou à voir le poins possible, ségréguer pour ne pas éveiller de malaise, pour garder les rues propres.

     

    "Mais est-ce celle-là l'Amérique que nous voulons ? " se demandent beaucoup parmi eux.

     

    source : 

    http://www.tgvallesusa.it

    http://www.tgvallesusa.it/2014/12/usa-north-carolina-campi-di-concentramento-fema-per-senza-fissa-dimora/

    (reproduction autorisée en citant la source)

     

     

    source de l'introduction :

    http://contropiano.org/internazionale/item/28010-usa-north-carolina-i-campi-di-concentramento-fema-per-i-senza-fissa-dimora

     

    lire aussi :

     

    Futurs camps de concentration ? Vol au dessus des nids de la FEMA


    par John Lloyds 


    lundi 5 janvier 2009

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/futurs-camps-de-concentration-vol-49524

     

    http://blogs.mediapart.fr/blog/segesta3756/101214/usa-caroline-du-nord-les-camps-de-concentration-fema-pour-les-sans-domicile-fixe-par-massimo-bonato

     

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    Actualité :

     

     

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    Syrie. Des victimes du conflit demandent réparation à Laurent Fabius

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    Vers une nouvelle réglementation européenne pour introduire les nanoparticules dans l’alimentation ?

    En 2011, le Parlement Européen votait contre les nanoparticules dans les nouveaux aliments. Fin 2013, la Commission Européenne soumet une nouvelle proposition pour introduire les nanoparticules dans l’alimentation sur le marché du vieux continent…


    Vers une nouvelle réglementation européenne pour introduire les nanoparticules dans l'alimentation ?

    Les nanoparticules, l’Eldorado de l’industrie agro-alimentaire

    Les nanotechnologies sont le rêve des lobbies de l’agro-alimentaire et le cauchemar des associations de défense des consommateurs, des médecins, des écologistes, des scientifiques…

    Si les industriels de l’alimentation en sont si friands, c’est que les nanoparticules permettent d’améliorer le goût, l’odeur, la couleur, la substance, la conservation des aliments… pour créer une nourriture « intelligente » adaptée aux goûts des consommateurs. Mais surtout, les nanoparticules représentent un marché de plusieurs centaines de milliards de dollars dans le monde.
    De grandes multinationales comme Nestlé, Kraft, Heinz et Unilever investissent dans les nano-aliments du futur. L’Anses indique que plus de 300 nano-aliments ont déjà été répertoriés.

    Dans son rapport « Évaluation des risques liés aux nanomatériaux », l’Anses rappelle qu’aujourd’hui peu d’études existent pour déterminer les risques de l’ingestion de nanoparticules sur la santé humaine.


    Mais selon Dominique Gombert, directeur de l’évaluation des risques à l’Anses :

    « Il existe cependant actuellement suffisamment de données scientifiques pour pointer les risques de certains d’entre eux. Dans dix ans, il sera trop tard pour se poser la question de leur encadrement. »

     

    Les nanoparticules dans l’alimentation, un risque pour la santé ?

    Le site veillenanos.fr a listé plusieurs études autour des risques et la détection des nanoparticules dans l’alimentation.

     

    Des études ont démontré que des nanomatériaux peuvent :

    • franchir la barrière intestinale et se diffuser dans l’organisme,
    • s’accumuler ensuite dans certains organes (tube digestif, foie, rate, mais aussi estomac, reins, poumons, testicules, cerveau), dans le sang et à l’intérieur des cellules,
    • y causer des perturbations voire des effets toxiques.

    Lire la suite sur le site VeilleNanos.fr : Nano et Alimentation (4/7) : Risques pour la santé : inquiétudes et incertitudes
    > Lire aussi le dossier Nano et Alimentation toujours sur le site VeilleNanos.fr

     

    Le rapport de l’Anses va dans le même sens :

    « En ce qui concerne les effets sur l’homme, ils restent encore largement méconnus en raison de l’absence d’études épidémiologiques. Ces technologies sont en effet très récentes, elles ne sont apparues sur le marché que depuis une dizaine d’années seulement. Mais si leur taille infinitésimale est un atout pour l’industrie, pour la santé de l’homme, elle pourrait plutôt représenter un danger. En effet, cette propriété leur permet de franchir les barrières physiologiques, comme la peau ou les muqueuses, qui constituent les protections naturelles du corps ou le placenta qui permet l’échange sanguin entre la mère et le fœtus. »

    L’Anses préconise donc la prudence :

    « – un encadrement réglementaire renforcé des nanomatériaux manufacturés au niveau européen,
    – d’inscrire les nanomatériaux dans le cadre du règlement européen CLP (classification, étiquetage et emballage) sur les substances chimiques dangereuses. »

    > Lire le dossier de l’Anses : Les nanoparticules, petites mais toxiques ?

     

    Vers une nouvelle réglementation européenne pour introduire les nanoparticules dans l’alimentation.

    Accélérer l’entrée des nanoparticules dans l’alimentation des Européens

    En 20011, le Parlement Européen avait voté contre l’introduction de nanoparticules dans les nouveaux aliments en Europe. En décembre 2013, la Commission Européenne a proposé une nouvelle réglementation concernant les nanoparticules dans l’alimentation pour 2015. L’objectif final est d’accélérer les autorisations sur le marché européen des nanoparticules pour un meilleur retour sur investissement.
    L’ILSI, un lobby international qui regroupe les 400 plus grandes multinationales de l’agro-industrie comme PepsiCo, Monsanto, Unilever, BASF, Bayer, Nestlé 4 ou encore Syngenta explique :

    « Il y a une potentiel énormes pour les nanotechnologies pour créer de nouveaux matériaux et de nouveaux composés dans de nombreux domaines. Des milliards de dollars sont investis dans la recherche pour comprendre les possibilités et les limites de ces nouvelles technologies ».

    > source : jose-bove.eu – Alimentation : Chassez les nanotechnologies par la porte, elles reviennent par les fenêtres

     

    Vers plus de transparence sur l’utilisation des nanoparticules

    Point positif, même si certaines entreprises crient au gouffre financier et administratif (lire l’article Nanomatériaux : les PME en quête d’information
    sur le site usinenouvelle.com), la France est le premier pays à obliger ces dernières et les laboratoires à déclarer des « substances à l’état nanoparticulaire » fabriquées, importées ou mises sur le marché français depuis le 1er janvier 2013.

    Plusieurs pays européens se sont lancés dans la même voix.
    Du mois de mai au mois d’août 2014, la Commission Européenne a lancé une consultation pour la réalisation d’un registre européen qui permettrait de connaître les produits qui contiennent des nanomatériaux.

    Les nanoparticules sont des nouvelles technologies qui font miroiter les entreprises. Elles se retrouvent dans plusieurs domaines : automobile, cosmétique, textile, alimentation…

    Malgré les efforts pour plus de transparence, aujourd’hui elles circulent déjà sur le marché européen. L’incertitude sur leur dangerosité est bien réelle. Les études sont encore trop peu nombreuses. Les consommateurs, les employés exposés aux poussières et l’environnement sont loin d’être protégés par manque d’information, de réglementation et de contrôle. Les nanoparticules sont simplement déclarées, mais il n’existe aucune autorisation de mise sur le marché faite au préalable. Leur commercialisation est donc illimitée et active.


    > Lire aussi le dossier Bonbons, guimauves et glaces au dioxyde de titane sur beurk.com
    Le dioxyde de titane est utilisé pour enrober les bonbons. Ils sont plus colorés et plus savoureux. Les enfants sont les premiers exposés.
     

     

    Extrait :

    En 2011, une étude du CEA démontre que les nanoparticules de dioxyde de titane peuvent  à forte dose traverser, la barrière hémato-encéphalique, une protection essentielle à notre cerveau.

    En 2011, le professeur Jürg Tschopp, chercheur du Département de biochimie de l’Université de Lausanne affirmait :
    « Avec le dioxyde de titane, on se retrouve dans la même situation qu’avec l’amiante il y a 40 ans.
    L’amiante et le nano-TiO2 sont vraiment similaires et ont la même puissance
    Nos données suggèrent que le nano-TiO2 devrait être utilisé avec une plus grande prudence qu’il ne l’est actuellement.
    De meilleures précautions doivent être prises pour limiter son ingestion, dans l’industrie comme dans la vie quotidienne.
    Nous disposons maintenant de données scientifiques de bonne qualité et désormais, c’est une question politique.
    Il y a déjà des commissions dans plusieurs pays qui réfléchissent à des mesures. »

     

    Sources :
    asef-asso.fr : Les nanoparticules, petites mais toxiques ?
    anses.fr: Évaluation des risques liés aux nanomatériaux
    veillenanos.fr : Dossier : Nano et Alimentation
    > veillenanos.fr : Le registre R-Nano – La déclaration annuelle des « substances à l’état nanoparticulaire » en France, obligatoire depuis 2013
    > jose-bove.eu : Alimentation : Chassez les nanotechnologies par la porte, elles reviennent par les fenêtres
    bastamag.net : Nanomatériaux : vers une nouvelle réglementation européenne ?

     

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    http://www.beurk.com/dossiers/vers-une-nouvelle-reglementation-europeenne-pour-introduire-les-nanoparticules-dans-lalimentation

     

     

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  • Le Groupe BILDERBERG, c'est quoi exactement ? (Enquête très complète)


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