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    Document : la liste des 74 eurodéputés français + vidéo

     

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    En reprenant les projections en sièges d’Ipsos et en les rapportant sur les listes des différentes formations, on peut commencer à dessiner la liste (provisoire) des 74 nouveaux eurodéputés français.

    Dans le Nord-Ouest (10 sièges) : Gilles Pargneaux (PS), Karima Delli (EELV), Dominique Riquet (Centre), Jérôme Lavrilleux (UMP), Tokia Saïfi (UMP), Marine Le Pen (FN), Steeve Briois (FN), Mylène Troszczynski (FN), Nicolas Bay (FN), Sylvie Goddyn (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    En Ile-de-France (15 sièges) : Patrick Le Hyaric (FdG), Pervenche Berès (PS), Guillaume Balas (PS), Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy (PS), Pascal Durand (EELV), Marielle de Sarnez (Centre), Jean-Marie Cavada (Centre), Alain Lamassoure (UMP), Rachida Dati (UMP), Philippe Juvin (UMP), Constance Le Grip (UMP), Aymeric Chauprade (FN), Marie-Christine Boutonnet (FN), Jean-Luc Schaffhauser (FN).

    Encore incertain : Eva Joly (EELV) ou Nathalie Betegnies (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

    Dans le Centre (5 sièges) : Jean-Paul Denanot (PS), Brice Hortefeux (UMP), Angélique Delahaye (UMP), Bernard Monot (FN), Jeanne Pothain (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans le Sud-Est (13 sièges) : Marie Christine Vergiat (FdG), Vincent Peillon (PS), Sylvie Guillaume (PS), Michèle Rivasi (EELV), Renaud Muselier (UMP), Françoise Grossetête (UMP), Michel Dantin (UMP), Jean-Marie Le Pen (FN), Marie-Christine Arnautu (FN), Bruno Gollnisch (FN), Mireille D’Ornano (FN), Dominique Martin (FN), Sylvie Goulard (Centre).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans le Sud-Ouest (10 sièges) : Jean-Luc Mélenchon (FdG), Virginie Rozière (PS), Eric Andrieu (PS), José Bové (EELV), Robert Rochefort (Centre), Michèle Alliot-Marie (UMP), Franck Proust (UMP), Louis Aliot (FN), Joëlle Melin (FN), Edouard Ferrand (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans l’Ouest (9 sièges) : Isabelle Thomas (PS), Emmanuel Maurel (PS), Yannick Jadot (EELV), Jean Arthuis (Centre), Alain Cadec (UMP), Elisabeth Morin-Chartier (UMP), Marc Joulaud (UMP), Gilles Lebreton (FN), Joëlle Bergeron (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans l’Est (9 sièges) : Edouard Martin (PS), Nathalie Griesbeck (Centre), Nadine Morano (UMP), Arnaud Danjean (UMP), Anne Sander (UMP), Florian Philippot (FN), Sophie Montel (FN), Jean-François Jalkh (FN), Dominique Bilde (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    L’Outre-mer (3 sièges) : Younous Omarjee (L’Union pour l’Outremer), Louis-Joseph Manscour (PS), Maurice Ponga (UMP).

    Aller plus loin

    Publié par : http://rue89.nouvelobs.com/


     

     

     

    Ils sont tous là… Tous ces hiérarques socialistes qui nous promettent "l’Europe sociale" depuis des décennies…

    Publié par : http://olivierdemeulenaere.wordpress.com

    http://www.challenges.fr/

    Et voici le nouveau Parlement européen

     

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    La vidéo 4 mn de promesses non tenues,

    cliquer ici :

    Document : la liste des 74 eurodéputés français + vidéo

     

     

    Sur ce site,

     

     

     

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    Bilan des élections Européennes du 25 mai 2014

    le 26 mai 2014 dans France

    LA BAISSE DE L’ABSTENTION CONSTITUE UN ÉCHEC CINGLANT POUR CEUX QUI AVAIENT APPELÉ À L’ABSTENTION

    Le scrutin des élections européennes du 25 mai 2014 a été marqué, à la surprise générale, par une meilleure participation qu’aux élections précédentes de 2009. L’abstention a atteint 57,57%, contre 59,37% en 2009.

    Rappelons que le MRC, le M’PEP et le PRCF avaient cru judicieux de lancer des appels à l’abstention, en tablant sur le fait que celle-ci grimperait mécaniquement de 3 à 4 points comme à presque chaque élection depuis 35 ans. Or c’est le contraire qui s’est produit !

    Cette hausse de la participation témoigne de la nullité totale de l’influence de ces mouvements – qui ne comptent plus que quelques centaines d’adhérents – sur la scène politique française.

    LES RÉSULTATS GLOBAUX DU SCRUTIN

    Les résultats globaux des élections européennes du 25 mai 2014 ont été les suivants (en % des suffrages exprimés, et après prise en compte des votes des Français de l’étranger) :

    • FN : 24,95%
    • UMP : 20,66%
    • PS : 13,88%
    • UDI/MODEM : 9,70%
    • EELV : 8,75%
    • Front de Gauche : 6,23%
    • DLR : 3,82%
    • Nouvelle Donne : 2,90%
    • Nous Citoyens : 1,41%
    • Lutte Ouvrière : 1,17%
    • Alliance écologiste indépendante : 1,13%
    • Force Vie (C. Boutin) : 0,72%
    • Europe citoyenne (C. Lepage) : 0,66%
    • Parti du vote blanc : 0,58%
    • UPR : 0,41%
    • NPA : 0,40%
    • Parti Pirate : 0,21%
    • Europe Démocratie Espéranto : 0,18%
    • Féministes pour une Europe solidaire : 0,15%
    • Parti fédéraliste européen : 0,10%
    • toutes les autres listes : en dessous de 0,10%

     

     

    suite ici :

    Bilan des élections Européennes du 25 mai 2014

     


    Entretien de François Asselineau avec La voix de la Russie, à propos des élections Européennes et du vote pour le FN

    L’UPR dénonce la multiplication des cas où des bureaux de vote ont été dépourvus de bulletins UPR, ce qui a faussé le scrutin

    L'abominable montage de France Info contre un Parti souverainiste !

     

     

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    L’ancien chef de la Coalition de l’opposition syrienne Moaz al-Khatib a qualifié les Amis de la Syrie de « menteurs et d’hypocrites » et réclamé l’édification d’un terrain d’entente entre le régime et l’opposition pour la Syrie et son avenir.


    Khatib a tenu ces propos lors d’un forum organisé en Egypte par le conseil égyptien des relations étrangères au ministère des affaires étrangères. « Nous n’avons qu’à rechercher un terrain d’entente, loin des stratégies occidentales, car chacun des Russes et des Américains ont leur propre vision sur la division de la Syrie, et je crois que ni le régime, ni l’opposition ne voudrait voir leur pays fragmenté », a-t-il dit, selon le journal égyptien al-Chorouk.


    Il a poursuivi : « la moitié de ceux qui se présentent comme étant les Amis de la Syrie ne sont que des imposteurs, des menteurs et des hypocrites. Ce sont eux qui ont poussé les évènements en Syrie à ce stade. Nous devrions revenir au berceau arabe... certains ne veulent pas que la crise syrienne soit résolue ».


    En visite en Egypte, Khatib ainsi que Aref Dalila, Walid al-Bounni et Haytham Mannaa ont rencontré le ministre égyptien des affaires étrangères Nabil Fahmi.

    Ils ont convenus tous cinq de former un pôle de l’opposition pour dialoguer avec le président syrien dans le but de former un gouvernement de salut national qui serait présidé par l’un d’entre eux, après la victoire de Bachar al-Assad dans les élections

     

    http://fr.awdnews.com/politique/5161-les-amis-de-la-syrie,-des-menteurs-et-des-hypocrites.html

     

    Ukraine : les Etats-Unis nous entraînent dans une guerre contre la Russie
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    Pourquoi tolérons-nous la menace d’une nouvelle guerre mondiale qui se mène en notre nom ? Pourquoi tolérons-nous les mensonges qui justifient ce risque ? L’état de notre endoctrinement, comme l’a écrit Harold Pinter, est « un tour d’hypnose brillant, et couronné de succès », comme si la vérité « ne s’était jamais déroulée, même au moment où elle se déroulait ».
    Chaque année l’historien américain William Blum publie son "archive actualisée du résumé de la politique étrangère des Etats-Unis" qui montre que, depuis 1945, les Etats-Unis ont tenté de renversé plus de 50 gouvernements, la plupart démocratiquement élus ; ont grossièrement interféré dans les élections de 30 pays ; bombardé la population civile de 30 pays ; utilisé des armes chimiques et biologiques ; et tenté d’assassiner des dirigeants étrangers.
    Dans bien des cas la Grande-Bretagne était complice. Le degré de souffrance humaine, et encore moins la criminalité, n’est jamais reconnu en Occident, malgré la soi-disant présence des technologies de communication les plus avancées, et du journalisme le plus libre du monde. Que les victimes les plus nombreuses du terrorisme – de notre terrorisme, soient des musulmans, est imprononçable. Que le djihadisme extrémiste, à l’origine du 11 septembre, fut créé comme arme de la politique étrangère britannique (Opération Cyclone en Afghanistan) est occulté. En avril le département d’État américain remarqua que, à la suite de la campagne de l’OTAN de 2011, « la Libye est devenue un paradis pour les terroristes ».
    Le nom de “notre” ennemi a évolué au fil des années, du communisme à l’Islamisme, mais il s’agissait généralement de n’importe quelle société indépendante du pouvoir de l’Occident et occupant des territoires stratégiques ou riches en ressources. Les leaders de ces nations gênantes sont généralement violemment mis à l’écart, comme les démocrates Muhammad Mossadegh en Iran et Salvador Allende au Chili, où ils sont assassinés comme Patrice Lumumba au Congo. Ils font tous l’objet d’une campagne médiatique de caricature et de diabolisation – pensez à Fidel Castro, Hugo Chavez, et maintenant Vladimir Poutine.
    Le rôle de Washington en Ukraine est diffèrent seulement parce que ses implications nous concernent tous. Pour la première fois depuis l’ère Reagan, les USA menacent d’entraîner le monde dans une guerre. Avec l’Europe de l’est et les Balkans devenus des bases militaires de l’OTAN, le dernier « état-tampon » frontalier de la Russie, est dévasté. Nous, les occidentaux, soutenons des Néo-nazis dans un pays ou les Ukrainiens nazis soutinrent Hitler. Ayant dirigé le coup d’état de Février contre le gouvernement démocratiquement élu à Kiev, la tentative de Washington de récupérer la base navale historiquement russe de Crimée a échouée. Les russes se sont défendus, comme ils l’ont toujours fait contre chaque invasion occidentale depuis presque un siècle.
    Mais l’encerclement militaire de l’OTAN s’est accéléré, en même temps que des attaques orchestrées par les USA sur les ethnies russes d’Ukraine. Si Poutine peut être poussé à aller les aider, son rôle préétabli de paria justifiera une guerre menée par l’OTAN qui se propagera sans doute à l’intérieur du territoire Russe.
    A la place, Poutine a embrouillé ses adversaires en cherchant un terrain d’entente avec Washington et l’Europe, en retirant ses troupes de la frontière ukrainienne et en incitant les ethnies russes d’Ukraine de l’Est d’abandonner le référendum provocant du week-end. Ces gens, russophones, bilingues – 1 tiers de la population de l’Ukraine – ont longtemps souhaité l’avènement d’une fédération qui reflète la diversité ethnique du pays et qui soit à la fois autonome et indépendante vis-à-vis de Moscou. La plupart ne sont ni des « séparatistes » ni « des rebelles » mais simplement des citoyens souhaitant vivre en sécurité dans leur pays.
    Comme les ruines d’Irak et d’Afghanistan, l’Ukraine a été transformé en un camp d’entrainement pour la CIA – dirigé par le directeur de la CIA John Brennan à Kiev, avec des “unités spéciales” de la CIA et du FBI qui mettent en place une “structure de sécurité” afin de superviser les attaques sauvages de ceux qui se sont opposé au coup d’état de Février. Regardez les vidéos, lisez les rapports des témoins du massacre d’Odessa. Des bandits fascistes amenés par bus ont brulé les sièges des syndicats, tuant 41 personnes bloquées à l’intérieur. Regardez la police laisser faire. Un docteur a décrit sa tentative d’aller aider les gens, « mais j’ai étais stoppé par des nazis pro-Ukrainiens. L’un deux m’a violemment poussé, en me promettant que bientôt ce serait mon tour à moi et aux autres Juifs d’Odessa… Je me demande pourquoi le monde entier reste silencieux. »
    Les ukrainiens russophones se battent pour leur survie. Quand Poutine a annoncé le retrait des troupes russes de la frontière, le secrétaire à la défense de la junte, à Kiev – un des membres fondateurs du parti fasciste « Svoboda », déclara que les attaques sur « les insurgés » allaient continuer. Dans un style Orwellien, la propagande occidentale a rejeté la faute sur Moscou « qui orchestre le conflit et la provocation », selon William Hague. Son cynisme peut être comparé à la grotesque félicitation d’Obama à la junte pour leur « retenue remarquable » à la suite du massacre d’Odessa. Illégal et fasciste, la junte est décrite par Obama comme « légalement élue ». Ce qui importe ce n’est pas la vérité, a un jour dit Henry Kissinger, mais « ce qui est perçu comme vrai ».
    Dans les medias Etats-Uniens les atrocités d’Odessa ont été minimisées ; une affaire « louche » et une « tragédie » dans laquelle des « nationalistes » (Néo-nazis) ont attaqué des « séparatistes » (des gens en train de collecter des signatures pour un référendum sur une Ukraine fédéral). Le Wall Street Journal de Rupert Murdoch a maudit les victimes – « Un incendie meurtrier en Ukraine probablement allumé par les rebelles, selon le gouvernement ». La propagande en Allemagne est digne de la guerre froide, avec laFrankfurter Allgemeine Zeitung (littéralement, « Journal général de Francfort ») qui met en garde ses lecteurs contre la Russie et sa « guerre non déclarée ». Pour les allemands, le fait que Poutine soit le seul leader à condamner la montée du fascisme au 21ème siècle relève de l’ironie.
    Un truisme populaire dit que “le monde a changé” à la suite du 11 septembre. Mais qu’est ce qui a changé ? Selon le fameux lanceur d’alerte Daniel Ellsberg, un coup d’état silencieux a eu lieu à Washington et un militarisme rampant dirige maintenant. Le pentagone dirige en ce moment des « opérations spéciales » – des guerres secrètes – dans 124 pays. Aux Etats-Unis, une pauvreté en augmentation et des libertés hémorragiques sont les corollaires historiques d’un état de guerre perpétuel. Ajoutez à cela le risque de guerre nucléaire, et la question qui reste est : Pourquoi tolérons-nous cela ?

     


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    dimanche 25 mai 2014

    Que vous votiez ou non : Une disposition scandaleuse approuvée en douce par le parlement Européen avant les élections

    Que vous votiez ou non, prenez 5 minutes de votre temps pour lire ce qui suit. C'est important, ce sont des faits référencés. Consultez les liens et faites vous une opinion. Demain nous en reprenons pour 5 ans avec l'Europe. Et en 5 ans, on peut en voter des lois proposées par la Commission de Bruxelles et qui nous révolteront...

     

     

    2014-05-25_01h45_31

     

     
    L'ISDS (Investor-State Dispute Settlement) est autrement dit une disposition juridique qui a pour but de donner du pouvoir aux investisseurs privés face aux États, en permettant par exemple à une multinationale américaine d'attaquer la France ou l'Union européenne devant un tribunal arbitral international, plutôt que devant la justice française ou européenne (définition Le Monde). Cette disposition est une des plus scandaleuses (connues) du TAFTA !


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    Hier 23 mai 2014 le parlement que nous pouvons remodeler demain dans les urnes, a voté à 81 %  vite fait le texte amendé (1). Une première proposition était passé aux urnes le 16 avril dernier dans le silence assourdissant des médias (2). Il s'est dépêché de faire passer cette proposition scélérate par 535 voix pour et 119 voix contre.
     
    Grâce au lien ci-dessous (3), nous ne saurions trop vous recommander de vérifier qui a voté en faveur de ce texte, et ainsi savoir quels actes se cachent derrière les discours lénifiant du candidat député européen de votre circonscription. Tous les députés européens français UMP, centriste, radicaux, divers droite, la presque intégralité des députés socialistes  et  radicaux de gauche à l'exception d'un ou deux ont voté ensemble pour.
     
    Ont voté contre : Tout le groupe vert européen, la gauche dite radicale, les députés frontistes, (bien que certains membres de partis européens populistes avec lesquels le FN projette de s'associer aient voté pour) et quelques députés des autres partis qui ne se sont pas alignés... Si vous faites les comptes, vous verrez que les députés d'opposition étaient présents et ont fait le plein de voix.
     
    Nous essayons de vous alerter, article après article, en vous expliquant les effets néfastes du Libre Échange Transatlantique pour notre vie quotidienne. Un résumé simple de ce que vote le Parlement en ce moment :
     
     • Porte ouverte aux multinationales américaines.

     • Perte de la souveraineté des États face au traité.

     • Déferlante de produits américains qui ne répondent pas aux mêmes critères de sécurité alimentaire et de protection de l'environnement que les nôtres (porte ouverte à Monsanto et cie, etc.

     • Porte ouverte également au gaz de schiste, puisque le Traité aura force de loi sur l'État.
     
    Pour quel bénéfice ? Soit disant nous ouvrir un immense marché qui rapporterait à chaque foyer européen : 50 euros par mois... dans 10 ans. Nous gagnerons dans l'histoire moins d'un plein d'essence par mois. De qui se moque-t-on ? De plus, rien de garantit que nous en voyons jamais la couleur...
     
    Où iraient donc les milliards de bénéfices escomptés de ce marché ? Mais... aux multi-nationales. Autre remarque : L'euro constamment fort par rapport au dollar ne joue pas en faveur de l'Europe. Ont voté OUI au Traité quasiment tous les groupes politiques sauf les verts, les bordeaux et une partie des gris...
     
    Ces politiques, consciemment ou non, installent et verrouillent ce que nous dénonçons à longueur de page : ultra-capitalisme, domination de la finance, épuisement de la planète, mondialisation,  manipulations du vivant, lois anti-démocratiques, ingérences et guerres... Le Nouvel Ordre Mondial est déjà en marche, nous avons là un moyen de le freiner... Agissons en nombre  !
     
    Par Galadriel - les brindherbes(link is external)
     
    Notes
     
    (1) Projet de résolution législative du parlement européen(link is external)
     
    (2) Comment le parlement européen, en douce, a anticipé Tafta(link is external)
     
    (3) Financial responsibility linked to investor-state dispute settlement tribunals established by...(link is external)

     • lesbrindherbes.org(link is external)
     • blogs.mediapart.

     

    http://www.chaos-controle.com/archives/2014/05/25/29944725.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=chaoscontrole


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    En reprenant les projections en sièges d’Ipsos et en les rapportant sur les listes des différentes formations, on peut commencer à dessiner la liste (provisoire) des 74 nouveaux eurodéputés français.

    Dans le Nord-Ouest (10 sièges) : Gilles Pargneaux (PS), Karima Delli (EELV), Dominique Riquet (Centre), Jérôme Lavrilleux (UMP), Tokia Saïfi (UMP), Marine Le Pen (FN), Steeve Briois (FN), Mylène Troszczynski (FN), Nicolas Bay (FN), Sylvie Goddyn (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    En Ile-de-France (15 sièges) : Patrick Le Hyaric (FdG), Pervenche Berès (PS), Guillaume Balas (PS), Christine Revault d’Allonnes-Bonnefoy (PS), Pascal Durand (EELV), Marielle de Sarnez (Centre), Jean-Marie Cavada (Centre), Alain Lamassoure (UMP), Rachida Dati (UMP), Philippe Juvin (UMP), Constance Le Grip (UMP), Aymeric Chauprade (FN), Marie-Christine Boutonnet (FN), Jean-Luc Schaffhauser (FN).

    Encore incertain : Eva Joly (EELV) ou Nathalie Betegnies (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

    Dans le Centre (5 sièges) : Jean-Paul Denanot (PS), Brice Hortefeux (UMP), Angélique Delahaye (UMP), Bernard Monot (FN), Jeanne Pothain (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans le Sud-Est (13 sièges) : Marie Christine Vergiat (FdG), Vincent Peillon (PS), Sylvie Guillaume (PS), Michèle Rivasi (EELV), Renaud Muselier (UMP), Françoise Grossetête (UMP), Michel Dantin (UMP), Jean-Marie Le Pen (FN), Marie-Christine Arnautu (FN), Bruno Gollnisch (FN), Mireille D’Ornano (FN), Dominique Martin (FN), Sylvie Goulard (Centre).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans le Sud-Ouest (10 sièges) : Jean-Luc Mélenchon (FdG), Virginie Rozière (PS), Eric Andrieu (PS), José Bové (EELV), Robert Rochefort (Centre), Michèle Alliot-Marie (UMP), Franck Proust (UMP), Louis Aliot (FN), Joëlle Melin (FN), Edouard Ferrand (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans l’Ouest (9 sièges) : Isabelle Thomas (PS), Emmanuel Maurel (PS), Yannick Jadot (EELV), Jean Arthuis (Centre), Alain Cadec (UMP), Elisabeth Morin-Chartier (UMP), Marc Joulaud (UMP), Gilles Lebreton (FN), Joëlle Bergeron (FN).

    Capture d’écran du site d’Ipsos

     

    Dans l’Est (9 sièges) : Edouard Martin (PS), Nathalie Griesbeck (Centre), Nadine Morano (UMP), Arnaud Danjean (UMP), Anne Sander (UMP), Florian Philippot (FN), Sophie Montel (FN), Jean-François Jalkh (FN), Dominique Bilde (FN).

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    L’Outre-mer (3 sièges) : Younous Omarjee (L’Union pour l’Outremer), Louis-Joseph Manscour (PS), Maurice Ponga (UMP).

    Aller plus loin

    Publié par : http://rue89.nouvelobs.com/

     

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    Ils sont tous là… Tous ces hiérarques socialistes qui nous promettent "l’Europe sociale" depuis des décennies…


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  • Que cachent les plans occidentaux contre le régime syrien ? par Nicolas Bourgoin

     Que cachent les plans occidentaux contre le régime syrien ? par Nicolas Bourgoin  
    IRIB-Épine dans le pied des dirigeants occidentaux,

    la Syrie de Bachar el-Assad est toujours debout malgré 3 années de terrorisme, de saccages et d’intimidations diplomatiques. Rien n’y fait, le peuple syrien soutenant très majoritairementson dirigeant et l’armée nationale reprenant l’une après l’autre les zones aux mains de l’opposition. Seule chance pour l’Empire de faire tomber le régime de Damas : passer d’une guerre menée en sous-main par les "rebelles" – des mercenaires djihadistes à la solde des monarchies du Golfe – à une intervention militaire ouverte. Celle-ci requiert l’aval du Conseil de Sécurité de l’ONU mais surtout le soutien des opinions publiques occidentales qui restent pour l’heure réticentes à cette option, échaudées par les précédents irakien et lybien. Pour lever ces obstacles, la guerre se mène préalablement sur le front médiatico-diplomatique et elle fait rage. Une question subsidiaire demeure : à qui profiterait un renversement de Bachar el-Assad ?

    Des "armes de destruction massive" aux armes chimiques

    On s’en doutait mais c’est désormais une certitude : la France et les Etats-Unis ont menti à propos des attaques chimiques en Syrie en les attribuant aux forces de Bachar el-Assad. Un rapport publié à la mi-janvier, passé sous silence par la quasi-totalité des medias officiels (à l’exception notable du Point), contredit les arguments avancés en septembre dernier par Paris et Washington pour justifier une intervention militaire en Syrie. Interrogé au sujet de ce rapport, le 4 février dernier, Laurent Fabius a décrété que celui-ci contestait l’évidence. Il est pourtant réalisé par deux experts de renommée internationale : Richard Llyod, ancien expert auprès de l’ONU spécialiste des missiles et Theodore Postol, professeur au prestigieux Massachusets Institute of Technology. Ils affirment que les missiles qui se sont abattus sur la banlieue de Damas le 21 août dernier n’ont pu être tirés des positions gouvernementales mais bien des zones tenues par les « rebelles » syriens. Pour se prononcer, les deux experts américains ont étudié des "centaines" de photos et des vidéos d’ogive, de restes de roquettes, d’impacts sur le sol, et de barils contenant le gaz sarin. Quand Laurent Fabius affirme qu’une "enquête des Nations Unies a établi de la façon la plus ferme qu’il y a eu un massacre chimique et que ce massacre chimique trouvait son origine dans les rangs du régime", il oublie au passage que l’ONU n’a jamais identifié les responsables de l’attaque, n’ayant pas de mandat pour le faire. En réalité, il semblerait que ce mediamensonge des armes chimiques ait été largement prémédité : il était déjà "dans les cartons" 7 mois auparavant, en janvier 2013.

    Mais les impérialistes occidentaux ne renoncent jamais. Après avoir balayé d’un revers de main les preuves avancées par le rapport, Fabius récidive. Lors d’un voyage officiel à Washington, mardi 13 mai, il a publiquement reproché au régime de Bachar el-Assad d’avoir continué à utiliser des armes chimiques lors des combats contre la rébellion. Il a toutefois précisé que les témoignages sont difficiles à obtenir car le gaz chloré s’évapore rapidement …. ce qui sera sans doute aussi le cas de ces accusations puisque l’arsenal chimique syrien est à ce jour entièrement détruit.

    Le syndrome de Pearl Harbour.

    Le scénario apparaît immuable et a déjà fait ses preuves : attribuer à un État voyou (comprendre "hostile aux intérêts d’Israël") des agissements criminels ou un arsenal prohibé afin de pouvoir justifier une guerre humanitaire ou préventive en bénéficiant du soutien de l’opinion publique nationale. La Serbie et l’invention du génocide commis sur les Albanais, l’Afghanistan après les attentats du 11 septembre 2001, l’Irak et ses fausses armes de destruction massive en 2003, la Lybie de Khadafi en 2011 et ses prétendues menaces de bain de sang,… avec dans le collimateur l’Iran et son arme nucléaire (pour l’instant totalement virtuelle)…, la liste est longue de tous les États victimes de ce que l’on peut appeler le « syndrome de Pearl Harbour » : inverser les rôles en faisant passer la victime pour l’agresseur et l’agression préventive pour une mesure de défense contre celui-ci.

    Dans le cas Syrien, la mécanique de cette propagande apparaît plus fragile du fait des informations disponibles sur la nature et la composition des forces d’opposition syriennes. Il est notoire que la « rébellion » syrienne est infiltrée par des djihadistes étrangers dont un certain nombre viennent de France. On sait également que les groupes armés de l’opposition ont accès aux armes chimiques et qu’ils s’en sont déjà servi plusieurs mois auparavant, d’ailleurs sans susciter la moindre réprobation de la part de la « communauté internationale », tandis que le régime de Damas n’a aucun intérêt à le faire : il est en position de force sur le terrain et sait bien que l’usage d’armes chimiques, aisément décelable, l’exposerait à une intervention extérieure qui lui serait sans doute fatale. Pour ces raisons, une majorité de citoyens français et américains sont toujours opposés à la guerre.

    Fabius dans le pas des néoconservateurs

    En réalité, cela fait belle lurette que le gouvernement baasiste est dans le collimateur des puissances occidentales et le renversement de Bachar el-Assad était dans l’agenda américain bien avant l’épisode des armes chimiques, déjà au lendemain des attentats du 11 septembre. L’administration Bush prévoyait de s’attaquer à la Syrie immédiatement après l’Irak et avant une série de pays qu’elle estimait devoir être détruits : le Liban, la Lybie, la Somalie, le Soudan et l’Iran, le tout sur 5 ans. Regrettant que les États-Unis aient "lâché" la France en renonçant à frapper la Syrie à l’automne 2013 – le Congrès s’y étant opposé -, Laurent Fabius inscrit sa diplomatie dans la continuité de celle de George Bush en copiant la posture martiale des néo-conservateurs américains : après avoir déclaré vouloir "punir" les "terroristes" au Mali, fait échouer les négociations avec l’Iran lors de la conférence de Genève, fait exclure celui-ci de la conférence sur la paix en Syrie (Genève II), soutenu sans réserves les putschistes ultra-droitiers ukrainiens, il veut "en finir" avec Bachar el-Assad et le traduire devant la Cour Pénal Internationale. Le tout sur fond d’allégeance inconditionnelle à Israël.

    Un gaz peut en cacher un autre

    Les mobiles affichés pour justifier une intervention n’étant pas crédibles, il semblerait que les motivations réelles soient une fois de plus de nature géo-stratégique et économique (voir à ce sujet la déclaration du Parti Communiste Syrien). L’enjeu pour les occidentaux est de taille :  se débarrasser du régime syrien leur permettrait d’affaiblir l’Iran en le privant d’un allié stratégique, de mettre en échec le Hezbollah libanais principal soutien des palestiniens, et de renforcer ainsi leur influence et celle de leurs alliés saoudiens, qataris, turques et israéliens dans cette région. On ne s’étonnera guère, dès lors, de l’hostilité que porte la presse dominante d’obédience sioniste au régime de Bachar el-Assad.


    Les menaces de guerre en Syrie cachent des conflits d’intérêt commerciaux entre l’Orient et l’Occident. Le transatlantisme n’est pas seulement économique, il est aussi militaire, le second étant d’ailleurs une condition de la bonne marche du premier. Dans cette compétition, la Russie est un adversaire de taille pour l’Occident car elle est un frein au contrôle des voies énergétiques qui relient l’Europe à l’Eurasie en passant par les Balkans.  La guerre en Serbie de 1999 ainsi que le coup d’État récent en Ukraine ont été des moyens radicaux pour "sécuriser" l’accès des occidentaux à l’énergie. Quid de la Syrie ? Elle se trouve sur la trajectoire d’un projet de gazoduc reliant le Qatar à l’Europe en passant par l’Arabie Saoudite et la Turquie, nouvelle version du défunt projet "Nabucco" à l’époque soutenu par les Turcs et les étasuniens mais abandonné faute de fournisseurs de gaz fiables. En renversant le régime syrien pour le remplacer par un gouvernement docile, les occidentaux feraient d’une pierre deux coups : ils accéléreraient la réalisation de ce projet destiné à réduire leur dépendance énergétique à la Russie et ils priveraient celle-ci d’un de ses partenaires économiques et énergétiques précieux – la Syrie se trouve sur une gigantesque réserve de matières premières, notamment gazières. On comprend mieux dès lors ce qui peut pousser un certain nombre de pays du bloc occidental à s’engager activement dans le soutien à l’opposition syrienne.

    Face au poids de ces enjeux géopolitiques, il aura fallu toute l’habileté de la diplomatie russe pour désamorcer les risques d’un conflit militaire aux conséquences potentiellement dévastatrices. Le veto russe et chinois imposé une nouvelle fois aux plans occidentaux de déstabilisation de la région a permis de repousser provisoirement le spectre d’une troisième guerre mondiale. Mais celle-ci est à terme rendue inéluctable par la compétition énergétique entre blocs impérialistes rivaux, clé de voûte de la suprématie militaire.

     

    http://french.irib.ir/analyses/articles/item/326121-que-cachent-les-plans-occidentaux-contre-le-r%C3%A9gime-syrien-par-nicolas-bourgoin?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter


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