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    Samedi 25 septembre 2010 6 25 /09 /2010 01:38

    discours d'ahmadinejad à l'onu sept 2010
    Discours du Président Ahmadinejad lors de la soixante quatrième réunion des
    Nations Unies, à New York
    Au nom de Dieu, Clément et Miséricordieux
    Nous présentons nos remerciements à Dieu et nos salutations à notre
    Prophète Mohamad, aux membres de sa sainte famille et aux compagnons fidèles
    Monsieur le Président, chers collaborateurs, mesdames et messieurs,

    Je remercie Dieu qui m’a donné l’occasion de participer de nouveau à
    cette grande réunion internationale. Depuis quatre ans, je vous parle des
    problèmes auxquels le monde et confronté, de leurs origines et des raisons
    pour lesquelles ces problèmes demeurent, de la nécessité d’une révision de
    la pensée et de la politique des grandes puissances et de la nécessité de
    trouver de nouvelles solutions.  
    Il existe deux méthodes opposées dont l’une accorde la priorité aux
    intérêts matériels sur les autres, avec un développement inégal et un
    développement de l’injustice, de la pauvreté et des privations, le mépris
    des êtres humains, la violence, l’occupation et la ruse, pour dominer le
    monde et imposer ses volontés aux autres peuples, et pour généraliser le
    découragement et donner une sombre image de l’avenir à l’humanité.
    L’autre méthode consiste à avoir foi en Dieu, aux enseignements des
    Prophètes, à respecter la dignité humaine et à aimer les autres, pour créer
    un monde de sécurité, de liberté, de bien être et de paix, pour tous, et
    dans le respect de la justice et de la spiritualité.  
    Ce mouvement qui respecte chaque individu, chaque peuple et chaque culture
    nationales et humaine, rejette les injustices dans le monde et recherche
    l’égalité de tous devant la loi, en profitant des possibilités qui existent
    et des occasions d’enseignement, pour le développement de l’être humain et
    le progrès, et l’espoir en l’avenir.  
    J’ai parlé de la nécessité d’une nouvelle vision du monde et de
    l’être humain, et de la nécessité de créer de nouveaux systèmes de
    contrôle, justes et humains, pour construire l’avenir.  
    Chers amis et confrères
    Aujourd’hui, je voudrais présenter un point sur les dimensions du
    changement et les transformations qu’il faut entreprendre.
    Il est clair que la poursuite de la situation actuelle qui règne dans le
    monde, est impossible. Les mauvaises conditions actuelles sont contraires à la
    nature humaine et contraires à l’objectif de la création du monde et de
    l’être humain.  
    Il n’est plus possible de créer des richesses artificielles sur papier qui
    représentent des dizaines de milliards de dollars, et de les injecter dans
    l’économie mondiale ou de transférer sur les autres, les problèmes
    d’inflation, les problèmes économiques et sociaux, en occasionnant des
    déficits budgétaires gigantesques, et de transférer les richesses des autres
    pays dans l’économie de certains gouvernements.
    La machine économique du capitalisme touche à sa fin avec son système
    injuste et unilatéral qui ne peut continuer.  
    L’époque où il était possible d’imposer à la communauté
    internationale le capitalisme sans cœur et les goûts d’un groupe
    particulier, et d’imposer leur pouvoir au nom de la mondialisation et de leur
    empire, est révolue. Le temps d’une morale et de critères à géométrie
    variable, et du mépris des peuples est terminé.  
    Il est illégal que les résultats voulus par certains gouvernements soient
    imposés et que leur seul critère d’existence ou non d’une démocratie et
    de liberté, sous une apparence de recherche de justice qui cache les pires
    menaces et les pires ruses, soit présenté comme démocratique, et que la
    dictature soit présentée comme démocrate.  
    Le temps est révolu où certains définissaient eux-mêmes la démocratie et
    la liberté, et se considéraient comme des modèles dans ces domaines, alors
    qu’ils sont les premiers à en violer les règles, se placent en tant que
    juges et exécuteur des peines, et luttent contre les gouvernements qui sont
    vraiment fondés sur elle.  
    Le développement des libertés dans le monde et la prise de conscience des
    peuples ne permettent plus ces accès de mauvaise humeur et c’est pour cette
    raison que la majorité des peuples et entre autre le peuple américain,
    attendent des changements, profonds et authentiques, et accueillent à bras
    ouverts les slogans de réforme.  
    Qui pense qu’il est possible de poursuivre ces politiques inhumaines en
    Palestine ?  
    Le fait qu’un peuple, contrairement à tous les critères humains, soit
    victime d’une propagande trompeuse depuis soixante ans, d’attaques
    militaires, de bombardements et même d’armes prohibées, et expulsé de chez
    lui, et en échange n’ait même pas le droit de se défendre alors que les
    envahisseurs et les occupants sont présentés à la communauté internationale
    stupéfaite, comme des « partisans de la paix » qui agissent de leur plein
    droit, et les opprimés comme des terroristes, est inacceptable.  
    Comment est-il possible que des occupants qui massacrent les femmes et les
    enfants, détruisent les maisons, les champs, les écoles, les hôpitaux,
    profitent du soutien inconditionnel de certains gouvernements. Un peuple sans
    défense, pour avoir défendu sa patrie et ses biens, est assiégé et privé de
    nourriture, d’eau, de médicaments, et victime d’un véritable génocide. On
    les empêche même de reconstruire à l’approche de l’hiver, les maisons
    détruites pendant les vingt deux jours de l’attaque sauvage des soldats
    sionistes. Et voilà que les occupants et leurs complices lancent des slogans
    sur les Droits de l’homme et se permettent de donner des leçons et
    d’exercer des pressions sur les autres pays.  
    Il est inacceptable qu’un groupe minoritaire, grâce à un réseau complexe
    et des projets inhumains, dirige une partie importante de l’économie, de la
    politique et de la culture mondiale, lance une nouvelle forme d’esclavage et
    détruise la réputation des peuples même de l’Europe et des Etats-Unis, pour
    la réalisation de ses objectifs racistes.  
    Il est inacceptable qu’un groupe, à plusieurs milliers de kilomètres de la
    région du Moyen Orient, lance une actions militaire et apporte avec lui, le
    massacre, la guerre, le terrorisme, les menaces et l’oppression, alors que le
    souci des peuples de la région pour leur destin et leur sécurité, leurs cris
    et leurs condamnations des injustices, et leur soutien à leurs compatriotes et
    leur coreligionnaires, sont considérés comme des actes contraires à la paix
    et des ingérences dans les affaires d’autrui.  
    Voyez ce qui se passe en Afghanistan et en irak.  
    Il n’est plus possible, en prétextant une lutte contre le terrorisme et le
    trafic de drogue, d’occuper militairement un pays, et qu’en même temps, la
    production de drogue et le terrorisme augmentent, et que des milliers
    d’innocents soient tuées, blessées ou déplacés, que les infrastructures
    soient détruites, que la sécurité de la régions soit menacée, tandis que
    les responsables de cette situation accusent sans cesse les autres.  
    On ne peut pas parler d’amitié et de coopération avec les autres peuples,
    et en même temps augmenter ses bases militaires dans le monde entier et en
    Amérique latine. Cette situation ne peut pas durer. Il est inacceptable de
    poursuivre une politique d’expansion militaire et inhumaine, car le langage de
    la force et de la menace a des conséquences très graves et ne fait
    qu’augmenter les difficultés.  
    Il est inacceptable que le budget militaire de certains pays dépasse le
    budget militaire total de tous les autres pays, que chaque année des centaines
    de milliards de dollars soit consacrées aux ventes d’armes, que des stocks
    d’armes chimiques, biologiques et atomiques soient constitués, que leurs
    bases militaires se multiplient partout dans le monde et en même temps,
    qu’ils se permettent d’accuser les autres de militarisme et d’empêcher,
    au nom d’une lutte contre la prolifération des armements et en surexploitant
    les possibilités qui existent dans le monde, les autres pays de progresser au
    niveau scientifique.
    Il est inacceptable que les Nations Unies et le Conseil de sécurité qui
    doivent être les représentants de tous les peuples et de tous les
    gouvernements, soient à leur service et au service de leurs intérêts et de
    leurs diktats. Dans un monde où la culture, la pensée et l’opinion publique
    sont des agents déterminants, la poursuite de cette situation est impossible et
    des changements importants sont indispensables.  
    Nous souhaitons l’instauration d’un nouvel ordre dans le monde.  
    Le deuxième point est que les changements doivent se faire au niveau
    idéologique et au niveau pratique dans les institutions et les méthodes, et de
    façon fondamentale. Il est impossible de créer un monde acceptable et de faire
    des changements en gardant les bases idéologiques qui sont elles-mêmes
    responsables de tous ces problèmes. Le libéralisme et le capitalisme qui ont
    coupé l’être humain de la morale et de Dieu, non seulement ne peuvent pas
    apporter le bonheur mais sont à l’origine des malheurs, des guerres, de la
    pauvreté, des injustices et de la misère. Tout le monde a vu comment les
    courants économiques influencés par des tendances politiques, ont sacrifié
    les intérêts des peuples au profit de quelques capitalistes sans morale.  
    Ces structures ne peuvent pas être à l’origine de réformes.  
    Les structures politiques et économiques qui sont apparues après la seconde
    guerre mondiale et qui répondaient à une volonté de contrôle sur le monde,
    n’ont pas pu assurer une justice et une sécurité durable. Les dirigeants qui
    n’ont aucun souci pour les gens et qui ont détruit en eux-mêmes leur sens de
    la justice, ne peuvent pas apporter la paix et la justice au monde.  
    Grâce à Dieu, de la même façon que le marxisme est devenu une simple
    étape historique, le capitalisme boulimique aussi disparaitra de la scène. Car
    la volonté divine comme le dit le Coran, veut que le mal soit comme l’écume
    vouée à disparaitre, et seules les choses dont la société peut profiter sont
    destinées à demeurer. Nous devons tous faire attention et empêcher que les
    objectifs de l’arrogance, entachés d’injustices et de manque d’humanité,
    se réalisent par des changements de slogans et d’emballages.  
    Le monde a besoin de changements fondamentaux et tout le monde doit aider et
    coopérer pour que ces changements se réalisent dans la bonne direction et pour
    que personne et aucun gouvernement ne puissent s’estimer supérieur et
    dispensé de réformes, et en prétendant être le maitre du monde, veuille
    imposer ses idées à tout le monde.  
    Troisième point : les raisons principales des problèmes qui existent dans le
    monde, sont le rejet chez les dirigeants des règles de morale, des valeurs
    humaines et des enseignements des Prophètes. Malheureusement dans la majorité
    des réunions internationales, nous ne voyons aucun souci ni volonté de
    sacrifice pour sauver les autres et assurer leur bien être, ou pour la justice
    et le respect de la dignité humaine qui ont laissé la place à l’égoïsme,
    aux exigences démesurées et au plaisir personnel. Le monothéisme a laissé la
    place à l’adoration du moi et certains se sont assis à la place de Dieu et
    sans aucune qualification, veulent à tout prix imposer leurs diktats au monde.

    Le mensonge a pris la place de la vérité, l’hypocrisie celle de la
    sincérité et l’égoïsme celle du sacrifice pour autrui. La ruse s’appelle
    désormais politique et intelligence, et le vol des richesses d’autrui
    s’appelle construction et développement. L’occupation des territoires des
    autres se fait au nom de la démocratie et de la liberté et la répression des
    peuples sans défense s’appelle maintenant défense des Droits de l’homme.  

    Chers amis et confrères,  
    La solution des problèmes mondiaux et l’instauration de la justice et de la
    paix, ne peuvent se faire sans mobilisation générale et la coopération de
    tous les peuples et de tous les gouvernements. La politique des pôles qui
    était celle de quelques gouvernements qui voulaient dominer le monde, est
    révolue.  
    Aujourd’hui, nous devons réagir à la situation actuelle, tous ensemble,
    prendre au sérieux les changements et essayer tous ensemble, de revenir aux
    valeurs et morales, humaines et naturelles. Les prophètes et les justes sont
    venus pour montrer aux êtres humains leur vérité et leurs responsabilités
    individuelles et sociales.  
    La pureté, la foi limpide au Dieu unique, au jugement dernier et à la
    justice dans les deux mondes, la recherche du bonheur véritable dans le bonheur
    des autres, du bien être et de la sécurité dans le bien être et la
    sécurité des autres, le respect des être humains et les efforts pour le
    développement de bonnes relations au lieu de la rancune, de l’égoïsme, et
    le développement du service des autres au lieu de la domination des autres,
    font partie des enseignements des Prophètes (AS) depuis Noé jusqu’au
    Prophète Mohamad (Que les salutations divines l’accompagnent), en passant par
    Abraham (AS), Moïse (AS) et Jésus (AS). Tous sont venus pour qu’il n’y ait
    plus de guerre, de privilèges, de pauvreté et d’ignorance, et pour que tous
    les peuples et les sociétés vivent heureux. Les Prophètes sont le meilleur
    cadeau de Dieu à l’humanité.  
    Quatrième point : A mon avis, nous avons tous des décisions à prendre et le
    secrétaire des Nations Unies peut prendre des mesures en fonctions de ces
    nécessités, et prendre la direction des affaires avec :  
    1-    La révision des structures des Nations Unies et leur transformation en une
    organisation actualisée et populaire, libre, juste et influente dans les
    questions mondiales. La réforme des structures du Conseil de sécurité, la
    suppression du droit de véto qui est un privilège injuste, le respect
    immédiat et complet des droits du peuple de Palestine, avec l’organisation
    d’un référendum libre pour une cohabitation pacifique des musulmans, des
    chrétiens et des juifs palestiniens, et l’arrêt des ingérences en Irak, en
    Afghanistan, en Afrique, en Amérique latine, en Asie et en Europe.  
    « Un gouvernement athée peur survivre mais pas un gouvernement qui se rend
    coupable d’oppression », c’est une parole du Prophète suprême (AS).
    L’oppression et le viol des droits des Palestiniens, la poursuite de l’exil
    des véritables propriétaires de la Palestine et de la terre sainte, la
    destruction des maisons par les occupants de Qods, les bombardements des civils
    au Pakistan en Afghanistan, ainsi que la situation dans la prison de Guantanamo
    qui n’a pas encore été fermée malheureusement et dans d’autres prisons
    secrètes en Europe, se poursuivent. La poursuite de cette situation contribue
    au développement de la rancune et des violences. Il faut empêcher ces
    oppressions. Malheureusement les rapports officiels sur les activités des
    sionistes dans la Bande de Gaza, n’ont pas été publiés intégralement. Le
    secrétaire des Nations Unies a une lourde responsabilité dans ce domaine
    qu’il doit respecter. La communauté internationale attend avec impatience une
    juste punition de ceux qui ont attaqué Gaza et massacré les gens sans défense
    de cette région.  
    2-    La réforme des structures économiques en fonction des règles d’une
    économie morale et humaine, au service de tous et dans le respect de la
    véritable justice. Il faut rechercher des relations économiques qui tiennent
    compte des possibilités et des aptitudes des peuples, et leur permettent de se
    développer et d’offrir le bien être aux prochaines générations.  
    3-    La réforme des relations politiques au niveau international qui doivent
    être fondées sur une paix et une amitié durables, avec la fin de la course
    aux armements et des politiques destructrices, et la destruction des armes
    atomiques, chimiques, et biologiques, pour le développement de l’utilisation
    des énergies modernes et civiles, et les progrès de l’humanité.  
    4-     La révision des modèles culturels, dans le respect des coutumes des
    peuples, avec le développement de la morale et de la spiritualité, et le
    développement de familles heureuses et épanouies, capables de jouer leur rôle
    de colonne vertébrale d’une société heureuse  
    5-     Un effort général pour la protection de l’environnement et le respect
    des conventions internationales pour empêche la destruction des ressources
    naturelles limitées.  

    Le peuple iranien après des élections grandioses et libres, a ouvert une
    nouvelle page de son développement national et de ses relations
    internationales, et dans un vote décisif, m’a remis ces responsabilités. Je
    déclare que le grand peuple iranien et le régime de la République islamique
    dont le gouvernement est un des plus populaires au monde, sont prêts en
    utilisant toutes ses possibilités culturelles, politiques et économiques, à
    participer de façon active et influente, pour l’élaboration de solutions
    humaines dans un programme juste et reconnu par tous, pour faire disparaitre les
    inquiétudes et les problèmes de la société humaine.
    Le peuple iranien qui a une très grande civilisation, a été la plus grande
    victime du terrorisme et pendant les dix premières années de ses trente ans de
    Révolution, a subi les pires violences et répondu aux pires attaques
    militaires.  
    Nous sommes victimes de l’inimitié et de la colère de ceux qui à
    l’époque de la guerre imposée, ont soutenu de toutes leurs forces, les
    agressions de Saddam et son utilisation des armes chimiques, et qui, pour mettre
    un terme à la malfaisance de ce même Saddam, ont envahi ensuite l’Irak.
    Aujourd’hui, notre peuple souhaite un monde de beauté et d’amitié pour
    tous, et annonce que tout en défendant ses droits légitimes, il défendra
    aussi la paix et la sécurité des peuples, la justice, la spiritualité et le
    respect de la dignité humaine.  
    Notre peuple est prêt pour cela, à serrer les mains qui se tendent avec
    sincérité. Aucun peuple s’il veut progresser, ne doit se sentir dispensé
    des réformes et des changements. Nous accueillons de façon positive, les
    changements authentiques et humains, et sommes prêts à coopérer activement à
    une réforme fondamentale du monde.  
    Pour cette raison nous insistons sur le fait que la seule issue est le retour
    au monothéisme et à la justice.  
    C’est le plus grand espoir et la meilleure occasion pour toutes les époques
    et les générations. Sans foi en Dieu, sans désir de justice et sans volonté
    de lutter contre les injustices et les privilèges, le monde ne pourra pas se
    construire. Les êtres humains sont l’axe de la création, le privilège de
    l’être humain est son humanité qui est à la recherche de la justice, de la
    pureté, de l’amour, de la connaissance et de toutes les autres perfections.
    Tous les êtres humains doivent pouvoir avoir accès à ces perfections. La
    suppression de l’une d’entre elles est la suppression d’une des dimensions
    humaines. Ce sont des points communs qui relient toutes les sociétés et
    constituent les bases de la paix et de la sécurité.  
    Les religions divines ont prêté attention aux différentes dimensions de la
    vie humaine, comme le monothéisme, la morale, la justice, la lutte contre
    l’oppression et les efforts pour instaurer des gouvernements justes et
    honnêtes.  
    Abraham a lancé l’appel au monothéisme à Nemroud, Moïse au pharaon,
    Jésus et Mohamad (AS) se sont opposés aux oppresseurs de leur époque et ont
    été menacés de mort et expulsés de leur terre natale.  
    Sans résistance et sans revendications, l’injustice ne sera pas éliminée
    dans le monde.  

    Chers amis et confrères,

    Quant au sixième point, je dirai que le monde est en pleine évolution. Les
    promesses divines à l’humanité sur une vie idéale et humaine, sont en train
    de se réaliser, viendra un jour où la justice remplira le monde et où chaque
    être humain sera respecté.  
    C’est alors que s’ouvrira la voie de la spiritualité et du mouvement vers
    Dieu, avec la manifestation des Noms divins. L’être humain doit arriver à un
    stade où il sera la manifestation des attributs divins, de la science et de la
    sagesse, de la bonté et de la mansuétude, de la justice, du pouvoir et de la
    créativité, et de la générosité et de la bienfaisance.  
    Tout cela se réalisera à l’ombre du gouvernement de l’Etre parfait, du
    dernier Bienfait de Dieu, un des descendants du Prophète de l’islam (AS),
    Hazrate Mahdi (AS) accompagné par Jésus (AS) et les justes, dans cette mission
    mondiale, comme nous l’a appris la philosophie de l’Attente.  
    L’Attente de la victoire du bien et des justes, qui est la manifestation de
    cet espoir de réforme et de cet espoir qui existe dans le monde et dans la
    nature humaine. Ils viendront et, avec les croyants et les gens de bien,
    réaliseront les espoirs de l’humanité, les espoirs liberté, de perfection,
    de croissance, de sécurité, de calme et de beauté, en finiront avec les
    guerres et offriront à l’humanité la spiritualité et l’amitié.   
    Oui, un avenir clair s’ouvre à l’humanité
    Chers amis, venez et en attendant ces beaux jours, prenons part à la
    préparation de cet avenir.  
    Vive l’amour et la spiritualité
    Vive la paix et la sécurité
    Vive la justice et la liberté
    Avec mes salutations et que la grâce divine vous accompagne



    Vendredi 24 Septembre 2010

    http://www.alterinfo.net/discours-d-ahmadinejad-a-l-onu-sept-2010_a50141.htm


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    Chapitre 49 — L'histoire  du contrôle
    bancaire aux Etats-Unis

     

     

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    (Article d'Alain Pilote, paru dans Vers Demain de juillet-août 1985.)

    La dictature des banquiers et leur système d'argent-dette ne se limite pas seulement au Canada, mais s'étend dans tous les pays du monde. En effet, il suffirait qu'un seul pays se libère de cette dictature et donne l'exemple de ce que pourrait être un système d'argent honnête, émis sans intérêt et sans dette par le gouvernement souverain de la nation, pour que le système d'argent-dette des banquiers s'écroule dans le monde entier.

    Cette lutte des Financiers internationaux pour installer leur système frauduleux d'argent-dette a été particulièrement virulente aux Etats-Unis depuis le tout début de leur existence, où les faits montrent que plusieurs hommes d'Etat américains étaient bien au courant du système d'argent malhonnête que les Financiers voulaient imposer et de tous les malheurs qu'il entraînerait pour l'Amérique. Ces hommes d'Etat étaient de véritables patriotes, qui ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour conserver aux Etats-Unis un système d'argent honnête, libre du contrôle des Financiers. Les Financiers font tout pour tenir cachée cette facette de l'histoire des Etats-Unis, de peur que l'exemple de ces patriotes ne soit suivi encore aujourd'hui. Voici ces faits que les Financiers voudraient que la population ignore:

     

    La population la plus heureuse

    Benjamin Franklin

    Nous sommes en 1750. Les Etats-Unis d'Amérique n'existent pas encore; ce sont les 13 colonies sur le continent américain qui forment la «Nouvelle-Angleterre», possession de la mère-patrie, l'Angleterre. Benjamin Franklin écrivait de la population de ce temps: «Impossible de trouver de population plus heureuse et plus prospère sur toute la surface du globe.» Faisant rapport en Angleterre, on lui demanda le secret de cette prospérité dans les colonies, alors que la misère régnait dans la mère-patrie:

    «C'est bien simple, répondit Franklin. Dans les colonies, nous émettons notre propre papier-monnaie, nous l'appelons Colonial Script, et nous en émettons assez pour faire passer facilement tous les produits des producteurs aux consommateurs. Créant ainsi notre propre papier-monnaie, nous contrôlons notre pouvoir d'achat et nous n'avons au- cun intérêt à payer à personne.»

    Les banquiers anglais, mis au courant, firent adopter par le Parlement anglais une loi défendant aux colonies de se servir de leur monnaie script et leur ordonnant de se servir uniquement de la monnaie-dette d'or et d'argent des banquiers qui était fournie en quantité insuffisante. La circulation monétaire dans les colonies se trouva ainsi diminuée de moitié.

    «En un an, dit Franklin, les conditions changèrent tellement que l'ère de prospérité se termina, et une dépression s'installa, à tel point que les rues des colonies étaient remplies de chômeurs.»

    Alors advint la guerre contre l'Angleterre et la déclaration d'indépendance des Etats-Unis, en 1776. Les manuels d'histoire enseignent faussement que la Révolution Américaine était due à la taxe sur le thé. Mais Franklin déclara: «Les colonies auraient volontiers supporté l'insignifiante taxe sur le thé et autres articles, sans la pauvreté causée par la mauvaise influence des banquiers anglais sur le Parlement: ce qui a créé dans les colonies la haine de l'Angleterre et causé la guerre de la Révolution.»

    Les Pères Fondateurs des Etats-Unis, ayant tous ces faits en mémoire, et pour se protéger de l'exploitation des banquiers internationaux, prirent bien soin de stipuler clairement dans la Constitution américai-ne, signée à Philadelphie en 1787, dans l'article 1, section 8, paragraphe 5: «C'est au Congrès qu'appartiendra le droit de frapper l'argent et d'en régler la valeur.»

     

    La banque des banquiers

    Mais les banquiers ne lâchèrent pas le morceau. Leur représentant, Alexander Hamilton, fut nommé Secrétaire du Trésor (l'équivalent de notre ministre des Finan- ces) dans le cabinet de George Washington, et se fit l'avocat d'une banque nationale privée et de la création d'un argent-dette avec de faux arguments, tels que: «Une dette nationale, pourvu qu'elle ne soit pas excessive, est une bénédiction nationale... Le gouvernement se montrera sage en renonçant à l'usage d'un expédient aussi séduisant et dangereux, soit d'émettre son propre papier-monnaie.» Hamilton leur fit aussi accroire que seul l'argent-dette des banques privées était valable pour les transactions avec les pays étrangers.

    Thomas Jefferson, le Secrétaire d'Etat, était fortement opposé à ce projet, mais le président Washington se laissa finalement convaincre par les arguments d'Hamilton. Une banque nationale fut donc créée en 1791, la «Bank of the United States», avec une charte d'une durée de 20 ans. Quoique nommée «Banque des Etats-Unis», elle était plus véritablement la «banque des banquiers», puisqu'elle n'appartenait pas du tout à la nation, au gouvernement américain, mais aux individus détenteurs des actions de la banque, les banquiers privés. Le nom de «banque des Etats-Unis» fut délibérément choisi dans le but de laisser croire à la population américaine qu'elle était propriétaire de la banque, ce qui n'était pas du tout le cas. La charte expira en 1811 et le Congrès vota contre son renouvellement, grâce à l'influence de Jefferson et d'Andrew Jackson:

    «Si le Congrès, dit Jackson, a le droit d'après la Constitution d'émettre du papier-monnaie, ce droit leur a été donné pour être utilisé par eux seuls, non pas pour être délégué à des individus ou des compagnies privées.»

    Ainsi se terminait l'histoire de la première Banque des Etats-Unis, mais les banquiers n'avaient pas dit leur dernier mot.

     

    Les banquiers déclenchent la guerre

    Nathan Rothschild, de la Banque d'Angleterre, lança un ultimatum: «Ou bien le renouvellement de la charte est accordé, ou bien les Etats-Unis sont impliqués dans une guerre très désastreuse.» Jackson et les patriotes américains ne se doutaient pas que le pouvoir des banquiers pouvait s'étendre jusque-là. «Vous êtes un repaire de voleurs, de vipères, leur dit le président Jackson. J'ai l'intention de vous déloger, et par le Dieu Eternel, je le ferai!» Nathan Rothschild émit des ordres: «Donnez une leçon à ces impudents Américains. Ramenez-les au statut de colonie.»

    Le gouvernement anglais déclencha la guerre de 1812 contre les Etats-Unis. Le plan de Rothschild était d'appauvrir les Américains par la guerre à un tel point qu'ils seraient obligés de demander de l'aide financière... qui bien sûr ne serait accordée qu'en retour du renouvellement de la charte de la «Bank of the United States». Il y eut des milliers de morts, mais qu'importe à Rothschild? Il avait atteint son but: la charte fut renouvelée en 1816.

     

    On assassine Abraham Lincoln

    Abraham Lincoln

    Abraham Lincoln fut élu Président des Etats-Unis en 1860 avec la promesse d'abolir l'esclavage des Noirs. 11 Etats du Sud, favorables à l'esclavage des Noirs, décidèrent donc de quitter l'Union, de se séparer des Etats-Unis: ce fut le début de la Guerre de Sécession, ou Guerre Civile Américaine (1861-65). Lincoln, étant à court d'argent pour financer les armées du Nord, partit voir les banquiers de new-York, qui lui offrirent de l'argent à des taux allant de 24 à 36%. Lincoln refusa, sachant parfaitement que c'était de l'usure et que cela mènerait les Etats-Unis à la ruine. Mais son problème d'argent n'était pas réglé pour autant.

    Son ami de Chicago, le Colonel Dick Taylor, vint à la rescousse et lui suggéra la solution: «Que le Congrès passe une loi autorisant l'émission de billets du Trésor ayant plein cours légal, payez vos soldats avec ces billets, allez de l'avant et gagnez votre guerrre.»

    C'est ce que Lincoln fit, et il gagna la guerre: de 1862 à 1863, Lincoln fit émettre 450 millions $ de «greenbacks» (appelés ainsi par la population parce qu'ils étaient imprimés avec de l'encre verte au verso).

    Lincoln appela ces greenbacks «la plus grande bénédiction que le peuple américain ait jamais eue.» Bénédiction pour tous, sauf pour les banquiers, puisque cela mettait fin à leur «racket» du vol du crédit de la nation et de création d'argent avec intérêt. Ils mirent donc tout en oeuvre pour saboter l'oeuvre de Lincoln. Lord Goschen, porte-parole des Financiers, écrivit dans le London Times (citation tirée de Who Rules America, par C. K. Howe, et reproduite dans Lincoln Money Martyred, par R. E. Search):

    «Si cette malveillante politique financière provenant de la République nord-américaine devait s'installer pour de bon, alors, ce gouvernement fournira sa propre monnaie sans frais. Il s'acquittera de ses dettes et sera sans aucune dette. Il aura tout l'argent néces saire pour mener son commerce. Il deviendra prospère à un niveau sans précédent dans toute l'histoire de la civilisation. Ce gouvernement doit être détruit, ou il détruira toute monarchie sur ce globe.» (La monarchie des contrôleurs du crédit.)

    Tout d'abord, dans le but de discréditer les greenbacks, les banquiers persuadèrent le Congrès de voter , en février 1862, la «Clause d'Exception», qui stipulait que les greenbacks ne pouvaient être utilisés pour payer l'intérêt sur la dette nationale. Ensuite, ayant financé l'élection d'assez de sénateurs et de députés, les banquiers firent voter par le Congrès en 1863 le retrait de la loi des Greenbacks et son remplacement par le National Banking Act (Loi des Banques Nationales, où l'argent serait créé avec intérêt par des compagnies privées).

    Cette loi stipulait aussi que les greenbacks seraient immédiatement retirés de la circulation aussitôt leur retour au Trésor pour paiement des taxes. Lincoln protesta énergiquement, mais son objectif le plus pressant était de gagner la guerre et de sauver l'Union, ce qui l'obligea à remettre après la guerre le veto qu'il projetait contre cette loi et l'action qu'il entendait prendre contre les banquiers. Lincoln déclara tout de même:

    «J'ai deux grands ennemis: l'armée du Sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis.»

    Lincoln fut réélu Président en 1864 et fit clairement savoir qu'il s'attaquerait au pouvoir des banquiers une fois la guerre terminée. La guerre se termina le 9 avril 1865, mais Lincoln fut assassiné cinq jours plus tard, le 14 avril. Une formidable restriction du crédit s'ensuivit, organisée par les banques. L'argent en circulation dans le pays, qui était de 1907 millions $ en 1866, soit 50,46 $ pour chaque Américain, tomba à 605 millions $ en 1876, soit 14,60 $ par Américain. Résultat: en dix ans, 54 446 faillites, pertes de 2 milliards $. Cela ne suffisant pas, on alla jusqu'à réduire la circulation d'argent à 6,67 $ par tête en 1867!

     

    William Jennings Bryan: «Les banques doivent se retirer»

    William Jennings Bryan

    L'exemple de Lincoln demeurait néanmoins dans plusieurs esprits, même jusqu'en 1896. Cette année-là, le candidat démocrate à la présidence était William Jennings Bryan, et encore une fois, les livres d'histoire nous disent que ce fut une bonne chose qu'il ne fut pas élu président, car il était contre la monnaie «saine» des banquiers, l'argent créé sous forme de dette, et contre l'étalon-or:

    «Nous disons dans notre programme que nous croyons que le droit de frapper et d'émettre la monnaie est une fonction du gouvernement. Nous le croyons. Et ceux qui y sont opposés nous disent que l'émission de papier-monnaie est une fonction de la banque, et que le gouvernement doit se retirer des affaires de la banque. Eh bien! moi je leur dis que l'émission de l'argent est une fonction du gouvernement, et que les banques doivent se retirer des affaires du gouvernement... Lorsque nous aurons rétabli la monnaie de la Constitution, toutes les autres réformes nécessaires seront possibles, mais avant que cela ne soit fait, aucune autre réforme ne peut être accomplie.»

     

    Le plus gigantesque trust

    Charles A. Lindbergh

    Et finalement, le 23 décembre 1913, le Congrès américain votait la loi de la Réserve Fédérale, qui enlevait au Congrès lui-même le pouvoir de créer l'argent, et remettait ce pouvoir à la «Federal Reserve Corporation». Un des rares membres du Congrès qui avait compris tout l'enjeu de cette loi, Charles A. Lindbergh (le père du célèbre aviateur), déclara:

    «Cette loi établit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le Président (Wilson) signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du Pouvoir Monétaire sera légalisé... le pire crime législatif de tous les temps est perpétré par cette loi sur la banque et le numéraire.»

     

    L'éducation du peuple

    Qu'est-ce qui a permis aux banquiers d'obtenir finalement le monopole complet du contrôle du crédit aux Etats-Unis? L'ignorance de la population sur la question monétaire. John Adams écrivait à Thomas Jefferson, en 1787:

    «Toutes les perplexités, désordres et misères ne proviennent pas tant de défauts de la Constitution, du manque d'honneur ou de vertu, que d'une ignorance complète de la nature de la monnaie, du crédit et de la circulation.»

    Salmon P. Chase, Secrétaire du Trésor sous Lincoln, déclara publiquement, peu après le passage de la loi des Banques Nationales:

    «Ma contribution au passage de la loi des Banques Nationales fut la plus grande erreur financière de ma vie. Cette loi a établi un monopole qui affecte chaque intérêt du pays. Cette loi doit être révoquée, mais avant que cela puisse être accompli, le peuple devra se ranger d'un côté, et les banques de l'autre, dans une lutte telle que nous n'avons jamais vue dans ce pays.»

    Et l'industriel Henry Ford a dit:

    «Si la population comprenait le système bancaire, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin.»

    L'éducation du peuple, voilà la solution. Et c'est justement la formule de Vers Demain. Ah! si tous les créditistes comprenaient leur responsabilité de répandre Vers Demain! Le Crédit Social, qui établirait une économie où tout est ordonné au service de la personne humaine, a justement pour but de développer la responsabilité personnelle, de créer des hommes responsables. Chaque conquête d'un esprit au Crédit Social est une avance. Chaque personne formée par le Crédit Social est une force, et chaque acquisition de force est un pas de plus vers la victoire. Et depuis 69 ans, que de forces acquises!... Et si elles étaient toutes actives, le Crédit Social, c'est réellement avant demain matin qu'on l'aurait!

    Comme l'écrivait Louis Even en 1960: «L'obstacle n'est ni le financier, ni le politicien, ni aucun adversaire déclaré. L'obstacle est seulement dans la passivité d'un trop grand nombre de créditistes qui souhaitent bien voir venir le triomphe de la cause, mais qui laissent à d'autres le soin de la promouvoir.»

    En somme, c'est le refus d'endosser notre responsabilité. «A ceux qui ont beaucoup reçu, il sera beaucoup demandé.» (Luc 12, 48.) Examen de conscience, chers créditistes, con- version personnelle, un petit coup de coeur et endossons nos responsabilités. Nous n'avons jamais été aussi près de la victoire! Notre responsabilité, c'est de faire connaître le Crédit Social aux autres, en les faisant s'abonner à Vers Demain, le seul journal qui fait connaître cette brillante solution.

     

     

    http://www.michaeljournal.org/sign49.htm

     


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    Chili1973P.jpg

     

    11 septembre:

     

    .

    Ne commémorons pas

    l'imposture de l'ignoble mise en scène

    pour nous faire accepter les guerres impériales

    et les lois liberticides ! Souvenons-nous plutôt

    du complot de la CIA (les Services secrets américains),

    au Chili contre le Président socialiste

    élu démocratiquement, Salvador Allende, le 11/9 1973 !

     

    Eva R-sistons

     

     


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    mercredi 8 novembre 2006
    par Administrateur
    Général Pierre Marie GALLOIS

    Biographie du Général GALLOIS

    http://www.forumpourlafrance.org/spip/-General-Pierre-Marie-GALLOIS-.html

     

     

    Le général Galois remet les pendules à l’heure.

    L’Allemagne l’a voulu, les USA l’ont fait en utilisant l’OTAN.

    Il nous parle des mensonges et de la désinformation

    pratiqués par les USA au sujet de l’ex Yougoslavie

    et de l’ex Tchécoslovaquie.

     

    La vidéo :

     

    Entretien sur le Kosovo avec le général Pierre Gallois

     

    En mémoire du général Gallois décédé en août 2010.

    Il était géopoliticien et père de la doctrine de la dissuasion nucléaire.

     

     

    http://www.geopolintel.fr/article302.html

     



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  • Une invitation à l'apéritif républicain qui doit se tenir dans plusieurs grandes villes de France le 4 septembre 2010.

     

     

    Le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples réclame à Brice Hortefeux d’interdire les apéritifs républicains prévus samedi à Paris et dans cinq autres villes. Pour le mouvement, ces rassemblements sont à «caractère raciste» et s’inscrivent dans la lignée de l’apéritif géant «saucisson et pinard» qu'avaient tenté d'organiser plusieurs mouvements, dont celui d'extrême droite

     

    (..)

     

    Le Mrap estime que «derrière un nom en apparence beau», «une entreprise autrement plus critiquable, voire odieuse». Et le mouvement de prévenir: «Il faut s'attendre à ce que des extrémistes de droite, des militants fascistes et racistes potentiellement violents participent à ces activités».

     

    http://www.20minutes.fr/article/593052/societe-le-mrap-reclame-l-interdiction-de-l-apero-republicain


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