• Sayonara, Japon

    Le Japon ne sera plus jamais le même. Il y aura dorénavant un « avant Fukushima » et un « après Fukushima ». La ruine radioactive du Japon a commencé, avec ses répercussions sur le reste de la planète avec le relâchement des démons nucléaires de Fukushima par General Electric (GE) et la Tokyo Electric Power Company (TEPCO). La cruelle réalité est que cette sombre crise va durer des mois ou peut-être même des années et possiblement de longues nombreuses années étant donné que la demi-vie du plutonium 239 est de 24 000 ans.

    « « Malheureusement, nous n’avons pas de prévision concrète en ce moment pour nous permettre de dire dans combien de mois ou d’années (que la crise se terminée), » a déclaré Sakae Muto, le vice-président de TEPCO »

    Il y a eu plus de 823 tremblements de terre qui ont suivi celui de 9.0 ayant frappé le 11 mars 2011, et ça tremble encore. La ville de Tokyo est située à environ 250 km de Fukushima et plus de 35 millions de personnes y vivent. Tokyo est l’un des trois plus importants centres financier du monde, aux côtés de Londres et New York. Avec trois coeurs nucléaires présentement en fusion, ainsi que les piscines d’entreposage de combustible irradié utilisé en danger, cumulant depuis autour de 40 ans plus de 1700 tonnes de déchets nucléaires entreposés, les retombées nucléaires ne vont que s’accentuer dans les temps à venir et se déposer sur la capitale. Déjà 25 gouvernements étrangers ont soit fermé leurs ambassades à Tokyo, ou ont évacué Tokyo et déplacé leurs ambassades à Osaka. Les banquiers internationaux sont en train de fuir en masse Tokyo et le Japon. La US Navy a annoncé le 17 mars qu’ils étaient prêts à évacuer autant que 87 000 personnes si nécessaire et la USO a annoncé deux jours plus tard, le 19 mars, que l’armée américaine a commencé l’évacuation volontaire de 200 000 militaires et leurs personnes à charge présentement au Japon.

    Pendant que tout cela se déroule, le gouvernement japonais a également exhorté plus de gens à évacuer la zone de Fukushima et il a discrètement élargi la zone d’évacuation autour de la centrale de Fukushima. En bon français, toute cette activité signifie que l’évacuation de Fukushima, du Japon et de Tokyo, a déjà commencé. Un grand nombre de personnes sont déjà « volontairement » en train de fuir le danger. Plus la crise s’éternisera, plus le nombre de personnes qui vont partir sera élevé.

    L’ensemble de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi devrait être condamné, ce qui en fait le plus important des accidents nucléaires (devant l’accident nucléaire de Tchernobyl) en termes de conséquences techniques.

    Les héros qu’on surnomme les « bio-robots », terme originellement donné aux travailleurs qui avaient sacrifié leur santé et leur vie pour contenir l’accident de Tchernobyl, en Ukraine, se sont battus pendant maintenant plus de deux semaines pour tout tenter dans le but de prévenir le pire scénario, soit une fusion incontrôlable des coeurs des réacteurs nucléaires et la combustion des déchets radioactifs contenus dans les piscines d’entreposage situées immédiatement au-dessus des réacteurs Mark 1, un design absolument génial de General Electric. Ils auront silencieusement et courageusement donné leur vie pour éviter le pire au reste des Japonais et du monde entier. Et très malheureusement, il semble que ce soit en vain. La bataille, à toute fin pratique, est perdue. Les taux de radiation sont si élevés qu’il sera bientôt simplement impossible d’envoyer quiconque sur les lieus de la centrale de Fukushima. Déjà, ces employés qui doivent payer le prix de leur santé de façon permanente et risque la mort pour les inepties, les mensonges, l’avarice, l’insouciance et la négligence criminelle de leurs patrons et de GE, ont subi des expositions à la radiation plusieurs fois la norme acceptable annuelle. Nul besoin de rappeler qu’il n’y a pas de dose sécuritaire dans le domaine de la radioactivité.

    Dose radiative

    Le principe retenu en radioprotection est de maintenir l’exposition au niveau le plus bas qu’il est raisonnablement possible d’atteindre (principe ALARA). Pour faciliter cette optimisation, les sites nucléaires français sont organisés en zones dont l’accès est plus ou moins restreint, et qui correspondent aux débits de doses suivants :

    • zone bleue : de 2,5 à 7,5 µSv⋅h-1 ;
    • zone verte : de 7,5 à 25 µSv⋅h-1 ;
    • zone jaune : de 25 µSv⋅h-1 à 2 mSv⋅h-1 ;
    • zone orange : de 2 à 100 mSv⋅h-1 ;
    • zone rouge : > 100 mSv⋅h-1.

    Le débit de dose dont on est certain qu’il produit des effets biologiques dangereux se situe à partir de 1 mSv⋅h-1, c’est-à-dire en « zone jaune ». Les effets varient selon le temps auquel on y est soumis. Les effets statistiquement observables apparaissent pour des doses cumulées supérieures à 100 mSv, soit un stationnement de plus de 50 h (une semaine à plein temps) en zone jaune. Cette exposition peut être atteinte en 1 h en « zone orange ».

    La dose cumulée d’une source radioactive artificielle devient dangereuse à partir de 500 mSv (ou 50 rem), dose à laquelle on constate les premiers symptômes d’altération sanguine. En 1992, la dose efficace (E) maximale pour une personne travaillant sous rayonnements ionisants était fixée à 15 mSv sur les 12 derniers mois en Europe (CERN et Angleterre) et à 50 mSv sur les 12 derniers mois aux États-Unis. Depuis août 2003, la dose efficace maximale est passée à 20 mSv sur les 12 derniers mois. En France, la réglementation fixe les limites annuelles de radiation à 20 mSv (2 rem) pour les travailleurs et à 1 mSv (0,1 rem) pour la population. (source)

    La dose limite pour un travailleur du nucléaire en France est de 20 millisieverts pour une année. La limite réglementaire d’exposition en circonstances exceptionnelles est de 100 millisieverts, mais cette limite réglementaire a été exceptionnellement relevée à 250 millisieverts pour permettre aux travailleurs de continuer à travailler sur le site de Fukushima, ce qui signifie quand même que ces travailleurs nagent en pleine zone rouge quotidiennement.

    Le 16 mars, aux alentours de 16 heures (heure locale), le niveau de radioactivité au-dessus de la centrale de Fukushima Daichi a atteint les 1 500 millisieverts par heure, empêchant ainsi les largages d’eau par hélicoptères[116].

    Selon l’AIEA un niveau de radiation de 400 millisieverts par heure a été observé entre les unités 3 et 4[117]. À ce taux de radiation, un travailleur du nucléaire sur le site de Fukushima Daichi est exposé en 3 minutes à la dose limite admise en France pour une année.

    Le 24 mars 2011, les équipes de l’AIEA ont enregistré des taux de 161 microsievert par heure dans les villes de Namie dans la préfecture de Fukushima, à 8 km au nord ouest de la centrale[122]. Une population exposée à ce taux pendant 5 jours accumule 20mSV, ce qui correspond à la dose autorisée en un an pour un travailleur du nucléaire en France. En 25 jours soumis à ce taux, la population exposée atteindrait la limite de 100mSV, seuil à partir duquel les risques de cancers dus à la radioactivité augmentent significativement.

    Le 13 mars 2011, à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi, la radioactivité ambiante a été mesurée à 0,1 mSv/h[126],[127], soit un taux environ 800 fois supérieur à la radioactivité ambiante moyenne par heure : cela signifie qu’à quelques kilomètres de la centrale, on se trouve déjà en zone jaune.

    Selon le Réseau Sortir du Nucléaire[128], des mesures effectuées à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi par six journalistes de l’association Japan Visual Journalist Association ont permis de constater un débit de dose s’élevant à 10 voire 100 milliröntgens par heure (soit 0,1 voire 1 millisievert par heure), débit selon eux « dramatiquement élevé ».

    Des mesures indépendantes relevées dans la journée du 12 mars indiquent des niveaux de radioactivité très élevés sur toute la zone : jusqu’à 1 mSv à deux kilomètres de la centrale[129]. (source)

    Les taux de radiation à 20 km de la centrale de Fukushima sont maintenant 1600 fois plus élevés qu’à la normale.

    Radioactivité dans le site

    Le Premier ministre japonais, Naoto Kan, a déclaré « l’état d’alerte maximale », laissant entendre que trois des réacteurs nucléaires situés à Fukushima sont présentement en fusion. Le réacteur N°3 qui fonctionnait depuis peu avec du MOX, un mélange d’uranium et de plutonium, est fissuré et donc des fuites y sont présentes. D’ailleurs, des échantillons prélevés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments ont décelé du plutonium, l’élément chimique le plus toxique connu de la science. Ils ont décelé du plutonium 238, 239 et 240. TEPCO a rapporté que des taux de radiation 100 000 plus élevés que la norme ont été mesuré dans de l’eau contaminée sous le réacteur N°2, dans des tunnels et qui se déverse maintenant dans l’océan adjacent. (source)

    De l’eau dans un tunnel à l’extérieur du réacteur N°2 a un taux de radiation excédant 1 Sievert/heure, a rapporté un porte-parole de TEPCO, un niveau si élevé qu’un employé ne peut demeurer dans la zone affectée plus de 15 minutes, selon les normes d’exposition actuelles. Une exposition à cette dose pendant 30 minutes entrainera des nausées alors que quatre heures d’exposition pourrait mener à la mort, selon la U.S. Environmental Protection Agency (EPA).

    Voici donc la situation en détail pour les six réacteurs de la centrale nucléaire de Fukushima :

    La société TEPCO a pompé de l’eau douce dans les réacteurs n°1, n°2 et n°3 , a rapporté l’Agence de la sécurité nucléaire et industrielle du Japon. L’alimentation externe a été rétabli pour les six réacteurs en date du 22 mars, selon la Tokyo Electric Power.

    Réacteur N°1 : Le réacteur est très dégradé. De l’eau contaminée s’est rendue jusque dans les salles des machines, signifiant clairement que qu’il y a absence d’étanchéité de l’enceinte de confinement ou du circuit de refroidissement. Le combustible est endommagé. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 10 000 fois le rayonnement de l’eau de refroidissement régulière, selon l’agence NHK. La société a commencé à enlever l’eau contaminée provenant du sous-sol de la salle des machines et préparera plusieurs pompes pour évacuer l’eau, a indiqué l’agence. L’appareil a été endommagé depuis l’explosion d’hydrogène survenue le 12 mars qui a détruit les murs du bâtiment. La gravité de la menace que représente le réacteur envers la sécurité est évaluée au niveau cinq sur l’échelle internationale de 1-7.

    Réacteur N°2 : Tout comme le réacteur N°1, il est excessivement endommagé et de l’eau contaminée s’infiltre aussi dans les salles des machines. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 100 000 fois plus de rayonnement que l’eau de refroidissement normale, toujours selon l’agence japonaise de nouvelles, NHK. La société prévoit retirer l’eau contaminée, mais avec de tels rayonnements, la tâche sera très ardue et quasiment impossible. La société prévoyait commencer à utiliser de l’eau douce pour remplir la piscine de combustible à partir du 28 mars, a indiqué l’agence. L’enceinte de confinement a été endommagé dans une explosion du 15 mars et un câble d’alimentation a été reconnecté à l’unité le 19 mars. Le réacteur est noté à un niveau de cinq concernant la menace qu’il pose.

    Réacteur N°3 : Réacteur lui aussi très dégradé. Les barrières de confinement ne sont certainement plus étanches et le combustible est endommagé. Le New York Times rapporte qu’il y aurait une longue fissure verticale, sur le côté et jusqu’au bas de l’enceinte de confinement, laissant s’échapper des fluides et des gaz toxiques. L’eau contaminée dans la structure de turbine contient 10 000 fois le rayonnement normal et elle s’est infiltrée dans la salle des machines. La société est en train d’examiner des moyens d’éliminer l’eau contaminée. Une explosion survenue le 14 mars a endommagé la couverture de l’unité de combustible. La menace du réacteur est noté à un niveau de cinq. L’analyse de 5 échantillons de sols prélevés indique que du plutonium s’échappe du réacteur et est un signe qu’il y a fusion du coeur, qui rappelons-le, fonctionnait au MOX. Le pire est qu’aux dernières nouvelles, une grue se serait effondrée sur les barres de combustible MOX du réacteur N°3. Il s’agit d’une massive grue interne intégrée à la structure d’acier qui déplace les barres du réacteur vers la piscine de combustible usé, ce qui signifie que les tiges qui contenaient du plutonium sont endommagées.

    Cette grue s’est effondrée il y a deux semaines. Le gouvernement japonais et TEPCO ont menti à ce sujet, sachant très bien que seul cet incident pourrait déclencher une catastrophe nucléaire aussi grave que Tchernobyl. Les gouvernements et les banquiers ne veulent pas de panique. Le Nikkei, Dow Jones, et le maintien de l’industrie de l’énergie nucléaire sont plus importants que la vie humaine et l’environnement.

    Réacteur N°4 : La société prévoit injecter de l’eau dans la piscine de refroidissement de combustible usé. L’Agence de la sécurité nucléaire et industrielle du Japon a indiqué le 17 mars qu’il n’y a peut-être plus d’eau dans la piscine. Le réacteur est évalué à trois sur le niveau de menace. Ce réacteur était en cours de maintenance lors du tremblement de terre.

    Réacteur N°5 : Cette unité était inactive et en entretien avant le séisme. Le réacteur est correctement refroidi. La pompe alimentant le circuit de refroidissement s’est abruptement arrêté le 24 mars, mais elle a été réparé et elle fonctionne.

    Réacteur N°6 : Le réacteur est atteint et correctement refroidi depuis le 20 mars à 19h27, lorsque la température est tombée en dessous de 100 degrés Celsius, a indiqué la compagnie. Un générateur de secours a été réparé le 19 mars, selon un communiqué de presse de la société. L’unité était inactive et en entretien avant le séisme.

    Ajoutant aux difficultés, l’augmentation du niveau de contamination dans la mer près de l’usine. De l’iode 131 radioactif atteignant une concentration 1850,5 fois la limite légale a été détectée dans un échantillon d’eau de mer prise samedi dernier, à environ 330 mètres au sud de l’usine, près d’un drainage à la sortie des quatre réacteurs en difficulté, par rapport à 1250,8 fois la limite qui fut mesuré la journée précédente, soit vendredi, a indiqué l’agence.

    Le danger des piscines de refroidissement des combustibles utilisés

    Après avoir été retirés du cœur d’un réacteur, les éléments combustibles usés continuent de dégager de la chaleur, et sont entreposés dans une piscine, l’eau servant à la fois pour les refroidir et de barrière aux rayonnements qu’ils émettent[69]. La température et le niveau d’eau de ces piscines doivent être constamment contrôlés ; la température de la piscine est normalement maintenue à 25 °C au maximum, ce qui demande un refroidissement constant[69].

    Le défaut de renouvellement d’eau extérieure pour le refroidissement d’une piscine d’entreposage du combustible usagé entraîne au bout d’un certain temps l’évaporation (0,4 litre par seconde et par mégawatt)[70] et l’ébullition du liquide, occasionnant alors l’échauffement puis l’éclatement (lié à l’oxydation) des crayons de combustible hors d’eau[71]. En outre, les piscines d’entreposage sont extérieures à l’enceinte de confinement résistante des réacteurs (elles sont confinées dynamiquement en service normal) et sont ainsi plus facilement exposées à l’atmosphère[72].

    Cette situation est potentiellement très grave : si l’eau des piscines s’évapore (ce qui peut prendre quelques jours), les éléments combustibles irradiés qu’elle contient peuvent fondre ou prendre feu, répandant leurs produits de fission directement dans l’atmosphère[73],[74].
    Dans un tel cas, les rejets radioactifs correspondants seraient bien supérieurs aux rejets survenus jusqu’à présent[75]. Un tel accident serait du niveau de gravité de celui de Tchernobyl. (source)

    Conclusion

    Mais ne vous en faites pas, ça va bien aller. Comme les autorités le répètent si souvent, il n’y a aucun risque pour la sécurité et la santé humaine, encore moins pour l’environnement et la chaine alimentaire.

    Source : Les 7 du Québec, Les Nouvelles Internationales et CentPapiers

     

     

    http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/sayonara-japon-91670?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+agoravox%2FgEOF+%28AgoraVox+-+le+journal+citoyen%29


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  • Sommet de Paris pour le soutien au peuple libyen (19 mars 2011) Photo : Elysée

    http://www.ambafrance-ve.org/france_venezuela/?Libye-Mise-en-oeuvre-de-la

     

     

     

    La résolution 1973 des Nations Unies, adoptée jeudi 17 mars 2011 à New York, autorisant le recours à la force contre l'armée libyenne, doit être interprétée comme étant une déclaration de guerre contre le régime de Kadhafi. On peut s'étonner, dans ces conditions, que le parlement français n'ait pas été autorisé à donner son avis sur un acte aussi grave et qui engage la France, sa sécurité et celle des Français. On peut tout autant s'étonner du silence complice qui entoure, au même moment, la répression du mouvement populaire au Barheïn ou ailleurs.


    L'intervention militaire en cours, si l'on en croit les médias et les politiques qui relaient le monde des affaires, serait motivée par des considérations humanitaires et bien sûr démocratiques. A l'instar des autres invasions qui ont précédé - Iran, Afghanistan, etc - le discours est identique et tente de faire vibrer la corde de l'émotion en martelant le mot « humanitaire ».

    En fait, cette résolution - et ce n'est pas une exception - vise à défendre et à renforcer les intérêts économiques et stratégiques des grandes puissances à la solde des transnationales et du pouvoir financier.




     

    « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage », affirmait Jean Jaurès et, en ce jour de honte pour la France et pour certains partis qui se réclament de la gauche, je fais mienne cette affirmation. Une résolution poussée par l'autoproclamé philosophe Bernard-Henri Levy et portée par Nicolas Sarkozy, Barack Obama et David Cameron aurait dû en alerter plus d'un. Ces chefs d'Etat va-t-en-guerre qui ont mis en œuvre, dans leur propre pays, une véritable machine antisociale à fabriquer des pauvres et dont le pouvoir policier n'a jamais fait dans l'humanitaire lorsqu'il s'agit de mater les révoltes et les manifestations, sont particulièrement mal placés pour mettre en avant leur capacité à « protéger des civils » ou à promouvoir la « démocratie ».


    Les révolutions qui secouent le nord de l'Afrique perturbent grandement les visées impérialistes et font peser une menace sur l'approvisionnement pétrolier de l'occident dans les prochaines années. (..)



     

    La France, jadis pays des Droits de l'Homme, aurait dû se situer au-dessus de la mêlée et ne pas hurler avec les loups, surtout quand la meute lorgne avec insistance sur les réserves pétrolières d'un pays souverain.

    Quitte à aller à contre-courant de la pensée dominante tout en prônant le dialogue, l'écoute et le renforcement de la diplomatie, j’affirme, plus que jamais, qu’il n’y a pas de guerre juste, qu’il n’y a pas de conflit noble et que l’ingérence dans les affaires d’un État souverain, et a fortiori son occupation, sont à combattre et à dénoncer, avec force. Il appartient au peuple libyen et à lui seul d'écrire son histoire et de décider de son avenir.

     

    En ce jour de commémoration de la fin de la guerre d'Algérie, osons porter une autre voix, une autre voie, celles de la paix, du désarmement, de la solidarité, de l'amitié entre les peuples et dénonçons les comportements guerriers irresponsables de la France."

    René Balme
    maire de Grigny (Rhône)
    Le 19 mars 2011 à 22h00




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  • http://im.wk.io/images/v/1ba5c2/comment-la-cia-prepare-les-revolutions-colorees.jpeg

    http://im.wk.io/images/v/1ba5c2/comment-la-cia-prepare-les-revolutions-colorees.jpeg

     

     

    Les raisons occultes de la révolution tunisienne


     

    (..) Durant les 4 années à venir, nous pouvons nous attendre à ce que le Nouvel Ordre Mondial procède à une destruction systématique de tout ce qui serait encore hors de son contrôle. L’Ordre Mondial a déjà potentiellement gagné, mais il lui faut maintenant écraser tout ceux qui pourraient encore émettre des pensées hostiles à son encontre (..). 

    Nous savons que le soulèvement artificiel des masses est l’arme préférée des élites pour provoquer un changement de régime sous couvert de «démocratie». 

     

    (..) On ne compte plus le nombre de révolutions artificielles, les dernières en date étant les révolutions en Ukraine et en Géorgie financées par l’illuminati George Soros.

    La méthode est simple: après avoir excité les masses et les avoir retournées contre leur propre gouvernement, on profite de l’espace vide ainsi laissé pour imposer un gouvernement fantoche parfaitement aligné avec l’Ordre Mondial.


    L’issue de cette nouvelle révolution est incertaine mais elle ne devrait pas être en faveur de la liberté, ou alors d’une liberté tout à fait illusoire telle que nous la connaissons partout en Occident.

    Elle plonge pour l’instant le pays dans un chaos sans précédent depuis 23 ans. Dans l’inconscient collectif de l’humanité, cela rappelle le chaos que connut Carthage lorsque Rome lui déclara la guerre avec la ferme résolution de l’anéantir. En quelque sorte, cela réveille un traumatisme afin de paralyser les éventuels résistants à travers le monde.

    À nous de nous placer, par la connaissance, au-dessus de cette peur artificielle.

     

     

    CROM, le Centre de Recherches sur l'Ordre mondial

     

    http://crom.be/actualites/les-raisons-occultes-de-la-revolution-tunisienne

     

     

     

    Sur les révolutions colorées

    (recettes pour les fabriquer)

    voici ce qu'on trouve aussi sur ce site  (eva)

     

     

    la Tunisie semble être le point de départ d'une vague révolutionnaire qui s'étend maintenant en Egypte, en Jordanie, en Syrie et au Yemen et qui pourrait même toucher l’Europe. Début de la troisième guerre mondiale?  (Pour moi, oui - via le choc de civilisations  créé artificiellement par les Occidentaux - note d'eva)

    La recette pour fabriquer une révolution est simple en cette époque où la frontière entre réel et virtuel est toujours plus floue : quelques rumeurs de fraudes électorales, des mercenaires engagés pour agiter les foules, Facebook, Twitter et des SMS pour amplifier le mouvement et puis finalement la «victoire de la démocratie» proclamée unilatéralement dans tous les médias, suivie d'un silence total alors que le nouveau gouvernement s'empresse de vendre le pays aux intérêts étrangers.

    John Laughland, dans un excellent article, liste ainsi le nombre impressionnant de «révolutions colorées» réussies ou tentées ces dernières années: Albanie (1997), Slovaquie (1998), Serbie (2000), Biélorussie (2001), Géorgie (2003), Ukraine (2004), Kirghizstan (2005), Ouzbékistan (2005), Liban (2005), Kenya (2006), Birmanie (2007), Iran (2009)... Depuis la chute de l'URSS, il s'agit donc de la méthode préférée des illuminatis pour «réaligner» les pays qui s'écartent de l'agenda mondialiste.

     

    http://crom.be

     

     

    Le Centre de Recherches sur l'Ordre Mondial (C.R.O.M.), dirigé par Joël Labruyère, tente d'identifier les groupes et individualités oeuvrant à la mise en place du gouvernement mondial, ainsi que les stratégies que ceux-ci déploient - actuellement et dans le futur - pour atteindre leurs objectifs totalitaires.

    Le C.R.O.M. agit sur trois fronts : 1) la récolte d'informations et leur vérification, 2) la synthèse des données par des groupes de réflexion, 3) la diffusion, par le biais de documents et séminaires intensifs, de ces données clarifiées aux personnes susceptibles d'en avoir usage. En savoir plus.

     

     

     

    Comment la CIA prépare les révolutions colorées

    // février 6th, 2011 // les révolutions colorées

     

     

    Documentaire très intéressant de Manon Loizeau tourné en 2005, intitulé « États-Unis : à la conquête de l’est » qui explique comment la CIA a « fabriqué »les révolutions colorées aux noms fleuris dans les pays de l’ex bloc soviétique. Un reportage plus qu’intéressant à l’heure actuelle afin de comprendre les rouages complexes, de ces manipulations de plus en plus subtiles, qui servent les plans mondialistes. L’exportation de la Démocratie Made In USA par le menu. Sur place ou à emporter ?


     

     

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    L.


    http://r-eveillez-vous.fr/2011/comment-la-cia-prepare-les-revolutions-colorees/

     

     

    Jean Jaurès

    «Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots»

     

    G. Orwell

    "Le langage politique est destiné à rendre vraisemblables les mensonges, respectables les meurtres, et à donner l'apparence de la solidité à ce qui n'est que du vent."


     

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  • Propagande
    Quelques mensonges sur la guerre de Libye
    par Thierry Meyssan*

    Thierry Meyssan, qui soutient l’insurrection contre le régime de Mouammar Kadhafi, s’oppose pourtant à la résolution 1973 et à la guerre. Dans des articles précédents, il a montré les objectifs impérialistes de cette opération. Ici, il revient sur les principaux mensonges de la propagande atlantiste.

     

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    Hillary Clinton, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé, lors du sommet de Paris pour la Libye.

    On dit que la première victime d’une guerre, c’est la vérité. Les opérations militaires en Libye et la résolution 1973 qui lui sert de base juridique ne dérogent pas à la règle. Elles sont présentées au public comme une nécessité pour protéger les populations civiles victimes de la répression aveugle du colonel Kadhafi. Elles ont en réalité des buts impérialistes classiques. Voici quelques éléments de clarification.

    Crimes contre l’humanité

    Pour noircir le tableau, la presse atlantiste a fait croire que les centaines de milliers de personnes qui fuyaient la Libye cherchaient à échapper à un massacre. Des agences de presse ont évoqué des milliers de morts et parlé de « crime contre l’humanité ». La résolution 1970 a saisi la Cour pénale internationale de possibles « attaques systématiques ou généralisées dirigées contre la population civile ».
    En réalité, le conflit libyen peut se lire à la fois en termes politiques et en termes tribaux. Les travailleurs immigrés en ont été les premières victimes. Ils ont été brutalement contraints au départ. Les combats entre loyalistes et insurgés ont été certes meurtriers, mais pas dans les proportions annoncées. Il n’y a jamais eu de répression systématique contre des populations civiles.

    Soutien au « printemps arabe »

    Lors de son discours au Conseil de sécurité, le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé a fait l’éloge du « printemps arabe » en général et de l’insurrection libyenne en particulier.


    Ce discours lyrique masquait de noires intentions : il n’a pas dit un mot sur la répression sanglante au Yémen et à Bahreïn, tandis qu’il a loué le roi Mohammed VI du Maroc comme étant un de ces militants révolutionnaires [1]. Ce faisant, il a contribué à renforcer l’image désastreuse de la France qui s’est installée dans le monde arabe avec la présidence Sarkozy.

    Soutien de l’Union africaine et de la Ligue arabe

    Depuis le début des événements, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis ne cessent d’affirmer que cette guerre n’est pas occidentale (encore que le ministre français de l’Intérieur, Claude Guéant, a évoqué une « croisade » de Nicolas Sarkozy [2]. Ils mettent donc en avant le soutien dont ils disposeraient de la part de l’Union africaine et de la Ligue arabe.


    En réalité, l’Union africaine a condamné la répression et affirmé la légitimité des revendications démocratiques, mais s’est toujours opposée à une intervention étrangère armée [3]. Quant à la Ligue arabe, elle rassemble principalement des régimes menacés de révolutions identiques. Ceux-ci ont soutenu le principe de la contre-révolution occidentale —certains y participent même à Bahreïn— , mais ils ne peuvent aller jusqu’au soutien à une véritable guerre occidentale sans accélérer les mouvements de contestation interne susceptibles de les renverser.

    Reconnaissance du CNLT

    Il existe trois zones insurgées en Libye. Un Conseil national de transition s’est constitué à Benghazi. Il a fusionné avec un Gouvernement provisoire mis en place par le ministre de la Justice de Kadhafi qui a rejoint les insurgés [4]. C’est cette personnalité qui, selon les autorités bulgares, avait organisé les tortures des infirmières bulgares et du médecin palestinien longuement détenus par le régime.
    En reconnaissant ce CNLT et en blanchissant son nouveau président, la Coalition se choisit des interlocuteurs et les impose comme dirigeants aux insurgés. Cela leur permet d’écarter les révolutionnaires nassériens, communistes ou khomeinistes.
    Il s’agit de prendre les devants et d’éviter ce qui s’est passé en Tunisie et en Égypte lorsque les Occidentaux imposèrent un gouvernement RCD sans Ben Ali, ou un gouvernement Suleiman sans Moubarak, mais que les révolutionnaires les renversèrent aussi.

    Embargo sur les armes

    Si l’objectif était de protéger les populations, un embargo aurait été institué sur les mercenaires et les armes à destination du régime de Kadhafi. Au lieu de cela, il a été étendu aux insurgés de manière à prévenir leur possible victoire. Il s’agit bien de stopper la Révolution.

    Zone d’exclusion aérienne

    Si l’objectif était de protéger les populations civiles, la zone d’exclusion aérienne se limiterait aux territoires insurgés (comme cela avait été fait avec le Kurdistan en Irak). C’est en fait le survol de tout le pays qui est interdit. De la sorte, la Coalition espère figer le rapport de forces au sol et diviser le pays en quatre (les trois zones insurgées et la zone loyaliste).
    Cette partition de facto de la Libye doit être mise en perspective avec celles du Soudan et celle de la Côte d’Ivoire, premières étapes du « remodelage de l’Afrique ».

    Gel des avoirs

    Si l’objectif était de protéger les populations civiles, seuls les avoirs personnels de la famille Kadhafi et des dignitaires du régime auraient été gelés pour les empêcher de contourner l’embargo sur les armes. Mais ce blocage a été étendu aux avoirs de l’État libyen. Or la Libye, riche État pétrolier, dispose d’un trésor considérable qu’il a partiellement placé dans la Banque du Sud, une institution de financement de projets de développement dans le Tiers-monde.


    Comme l’a fait remarquer le président vénézuélien Hugo Chavez, ce blocage ne protégera pas les civils. Il vise à rétablir le monopole de la Banque mondiale et du FMI.

    Coalition de volontaires

    Si l’objectif était de protéger les populations civiles, la résolution 1973 serait mise en œuvre par les Nations Unies. Au lieu de cela, les opérations militaires sont actuellement coordonnées par l’US Africom et devraient passer aux mains de l’OTAN [5]. C’est pourquoi la ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, s’est indigné de l’initiative française et a exigé des explications de l’OTAN.
    De manière plus abrupte, le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, a déclaré que la résolution est « viciée et inadéquate. Dès qu’on la lit, il devient évident qu'elle autorise n’importe qui à prendre des mesure contre un État souverain. Dans l’ensemble, cela me rappelle l’appel médiéval à la croisade », a t-il conclu [6].



     Thierry Meyssan

    Analyste politique français, président-fondateur du Réseau Voltaire et de la conférence Axis for Peace. Il publie chaque semaine des chroniques de politique étrangère dans la presse arabe et russe. Dernier ouvrage publié : L’Effroyable imposture 2, éd. JP Bertand (2007).


    Les articles de cet auteur
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    [1] Le lecteur trouvera le texte intégral du discours d’Alain Juppé et des débats du Conseil de sécurité après le texte de la résolution in « Résolution 1973 », Réseau Voltaire, 17 mars 2011.

    [2] « La croisade de Nicolas Sarkozy », Réseau Voltaire, 22 mars 2011.

    [3] « Communiqué de l’Union africaine sur la Libye », Réseau Voltaire, 10 mars 2011.

    [4] Pour plus de détail, on se reportera à « Proche-Orient : la contre-révolution d’Obama », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 16 mars 2011.

    [5] « Washington regarde se lever "l’aube de l’odyssée" africaine », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 19 mars 2011.

    [6] « Remarks on the situation in Libya », par Vladimir V. Poutine, Réseau Voltaire, 21 mars 2011.

     

    http://www.voltairenet.org/article169031.html

    .
    Et la cerise sur le gâteau,

    .
    Résumé  de l'excellent texte (un peu long )
    de Jean Bricmont 
    >>

    1) Droit d'ingérence ??? Incompatible avec la paix dans le monde et dessert les causes humanitaires qui sont des prétextes . L'impérialisme humanitaire ce n'est qu'un prétexte pour faire accepter l'intervention et ça légitime par la ruse le droit d'ingérence.
    >>

      2)  La Résolution de l'ONU a été votée à l'encontre des principes de la Charte des Nations Unies car il n'y a aucune menace extérieure dans le conflit libyen . Ill s'agit d'une insurrection armée et tous les gouvernements répriment ce type d'insurrection .
    >>
      3) On reproche les morts civils à Khadafi ? Mais que font les Israéliens à Gaza et les US en Irak , en Afghanistan ?
    >>

     4)Le conflit libyen n'a rien d'exceptionnel : il y en a à Gaza , à Bahrein , et au Congo il y en eut  il y a quelques années où il s'agissait pourtant  d'un conflit extérieur et l'ONU n'avait rien fait pour sauver des millions de vie .
    >>


    5) Une grande caractéristique du droit d'ingérence est donc le non -respect du droit international classique .
    >>

    6) Les pays qui sont dans la ligne de mire des US vont automatiquement renforcer leur armement . La Russie pourtant pas désarmée va renforcer son armement. Et si la Libye avait l'arme nucléaire elle n'aurait jamais été attaquée .Ex : la Corée du Nord . On créé donc des logiques de guerre  à long terme .
    >>

    7) NB   Après cette  intervention le nouveau gouvernement libyen sera évidemment prisonnier des intérêts occidentaux .
    >>

    8) Sachez qu 'en Libye Khadafi avait accepté un cessez le feu et proposé l'envoi des observateurs internationaux . Mais les fouteurs de guerre ont rejeté cette proposition et aussi celle de médiation de Chavez  pourtant suivie de nombreux pays d'Amérique du Sud ainsi que de l'OUA . Sale guerre quand tu tiens les impérialistes !!!
    >>

      9)Et ces  gens de gauche dans leur petit coin  n'ont RIEN compris et dénoncent  " l"horrible Alliance Bolivarienne " qui soutient Khadafi !!! Mais ces dirigeants latinos sont au pouvoir avec d'énormes responsabilités et l'ingérence des US c'est leur grand problème . Ils veulent s'émanciper à raison de la  tutelle US .
    >>

    10) Voyez ce scénario : les peuples européens  qui voient l'Islam comme une menace voient leurs pays se battre en Cyrenaïque pour des insurgés criant "ALLAH ACKBAR " Contradictoire tout ça !!
    >>

    11) Le FN s"oppose à raison à cette guerre
    >>

    12) La Tunisie et l'Egypte pourraient désormais être hostiles à Israel et pour protéger Tel Aviv les Occidentaux veulent se débarrasser de l'Iran , de la Syrie , de la Libye . Et  ils bombardent la Libye pour commencer.
    >>

    13) La politique d'ingérence nécessite un budget militaire et les US ont un budget militaire délirant !!
    >>

     
    Conclusion de Jean Bricmont

    Il faut une autre vision politique pas celle des guerres et des embargos avec leurs conséquences désastreuses .La meilleure alternative est la COOPERATION avec les différents pays quelque soient les régimes .Les idées circulent à travers le commerce (pas celui des armes évidemment) et les choses peuvent évoluer sans guerre
    .



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  • http://www.forumfr.com/sujet407449-apocalypse-un-livre-scelle-de-7-sceaux-tornades.html

     

     

    Publication spéciale


    Je suis aux prises avec la tempête,

    avec un logement à quelques mètres de la mer,

    et le plus dur est à venir

    (Force vent 7 à 8, intempéries, etc).

    Donc je me fais rare,

    pardonnez-moi.

    à bientôt

    cordialement eva

    .

     

    apocalypse1.jpg
    http://www.changertout.com/node/135

     

     

    Arme sismique US contre le Japon ?

     

     

    Benjamin Fulford , journaliste de renommée mondiale, depuis son passage chez Forbes, puis une interview de Rockefeller, avait annoncé dès 2008 qu'il était probable que les américains usent de l'arme sismique contre le Japon au cas où celui-ci refuserait les contraintes économiques que souhaitent lui imposer les dirigeants de Bilderberg.

         Les récents entretiens entre l'empereur du Japon et les dirigeants de Bilderberg n'ont apparemment pas donné satisfaction, et l'attaque du Japon par l'arme sismique Haarp/Pamir 3 semble en être la conséquence. C'est ce qu'affirme aujourd'hui Benjamin Fulford dans un article où il apporte une riche documentation semblant prouver que tous ces récents tremblements de terre (Sumatra, Chili, Haïti, Chine, Japon) sont bien le résultats d'opérations militaires américaines. 

         Par ailleurs, cette thèse est également soutenue par de nombreux services secrets de gouvernements. 

     

         Benjamin Fulford est aussi l'un des rares occidentaux à entretenir des contacts avec la "White Dragon Society". 

         Il y a peu, des annonces paraissaient indiquant des accords passés entre les triades chinoises et les yakusas pour s'opposer au "Nouvel Ordre Mondial". Ces accords se sont encore renforcés en 2010 après que le Vatican ait envoyé deux commandos pour assassiner des "gêneurs" au Japon qui révélaient certaines malversations financières de "très haut niveau" incluant Berlusconi, Bush, Clinton, Ban Ki-moon, Kissinger, Greenspan... (tous du Bilderberg) et Daniele Dal Bosco de la banque du Vatican (et grand-maître de la trop fameuse loge P2). L'arnaque montée porte sur plus d'un trillon de dollars !!! 

     

         La "White Dragon Society" serait l'association de plusieurs "mafias" asiatiques ayant décidé de s'unir pour protéger leurs populations contre la tentative de génocide du Nouvel Ordre Mondial. 

     

         Ce qui est "étrange" pour le citoyen moyen, est que plus internet se développe, permettant à tous de s'exprimer (journalistes, agents secrets, etc.), et plus il découvre que la véritable mafia, ce sont ceux qui le gouvernent, tandis que les "mafias", officiellement désignées ainsi par le Pouvoir, sont maintenant ceux qui s'opposent aux plans d'hégémonie du Nouvel Ordre Mondial et tentent de protéger les populations! (Ainsi, certains écrivains, journalistes ou agents secrets sont maintenant sous leur protection après avoir dévoilé certaines de ces affaires sales dans lesquelles sont impliqués comme toujours les dirigeants américains...

     

    Eric Fiorile, Démosophie


     

    50 photos saisissantes du séisme au Japon

    http://www.espacerezo.fr/

     

    Quelques liens sur le Japon :

     

     

     

    Ceinture de feu(appelée également anneau de feu)  se réveille-t-elle? Cela serait donc un simple signe qui n'augure rien de bon, bien au contraire, nous pourrions nous attendre au pire, la catastrophe s'annoncerait-elle planétaire? A vous de vous faire une idée en lisant cet article: S'il vous plaît, priez pour le Japon. Les images de [...]

    Lire la suite

     

     

    C'est une des désastreuses conséquences du méga-tremblement de terre japonais, une réaction en chaine malheureusement logique et inévitable. Le Japon est donc maintenant frappé de toutes parts, tout s'enchainant et s'accumulant, séismes, tsunami, catastrophe nucléaire, éruption volcanique, et il n'est pas sur que cela soit terminé, mais cela va-t-il finir au moins? Un volcan dans [...]

    Lire la suite

     

     

    Impressionnant, grâce à Google earth il est maintenant possible de constater sans trop de difficulté l'ampleur des dégâts, voici une série de clichés qui vont vous montrer du ciel que qu'il reste de certaines régions japonaises: Sendai Airport

    Lire la suite

     

    Se protéger :

    Dépêchez-vous d'acheter et de stocker des Algues et du Miso avant que le nuage radioactif n'arrive chez nous !
    Comme vous l'avez compris, les cataclysmes vont aller en s'amplifiant et les risques d'accidents nucléaires risquent de se multiplier dans un futur proche.
    Vous avez donc tout intérêt à faire des réserves pour quelques temps pour vous et vos enfants. Dans le bon de commande ci-dessous vous pourrez commander des flacons de 200 gélules contrairement au conditionnement des gélules d'algues que vous trouverez à beaucoup plus cher dans les pharmacies pour seulement 40 gélules par falcon.

    Bon de commande pour acheter vos algues ou vos produits naturels, en PDF :
    http://www.lepouvoirmondial.com/media/00/02/1299742412.pdf


    L'iode est un produit contingenté en France et n'est délivré que par les pharmacies sur Ordre de l'Etat. N'attendez pas qu'il soit trop tard !


    Lisez bien ce que nous disent les criminels de l'OMS. Pour le vaccin contre le virus imaginaire de la GrippeA/H1N1, ils nous ont mené une campagne médiatique terroriste durant des mois, et là, le risque de contamination radioctive est faible selon eux.

    L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
     
    Sauf que l'atome ne connaît pas de frontières et que la radioactivité se déplace avec les vents.
    La particule de Césium a une durée de vie trentenaire. Ce qui veut dire en clair, que si elle est véhiculée par les vents et rabattue sur les terres avec les pluies, nous la trouverons durant 30 ans, dans nos aliments et les nappes phréatiques.

    1 - Accident nucléaire au Japon : nouveau risque d'explosion

    le 12 mars 2011 à 23h01, mis à jour le 12 mars 2011 à 23:25

    Dossier : Le Japon après le séisme

    .

    L'opérateur d'une centrale nucléaire du nord-est du Japon a déclaré dimanche matin (heure locale) qu'un deuxième réacteur donnait des signes de problèmes, avec risque d'explosion, dans la même centrale où une explosion s'était produite la veille. Dimanche au petit matin (heure locale), la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco), propriétaire de la centrale de Fukushima, tentait de trouver d'urgence  un moyen d'acheminer de l'eau vers le troisième réacteur de sa centrale de Fukushima, son système de refroidissement étant inopinément tombé en panne. C'est dans cette même centrale qu'une explosion avait fait, la veille, s'effondrer le toit du bâtiment sur un premier réacteur.  

    L'organisation mondiale de la santé  (OMS), la référence en matière de santé publique, avait emboîté le pas samedi aux autorités japonaises et européennes en estimant peu préoccupants les risques d'émanations radioactives de la centrale de Fukushima suite au premier incident. "A l'heure actuelle, il semble que les risques pour la santé publique soient assez faibles. Nous constatons que le niveau de radiations émises par une centrale nucléaire est très bas", a déclaré Gregory Hartl, porte-parole de l'OMS.
     
    Mais les craintes d'un accident nucléaire majeur étaient vives samedi soir, notamment chez la population japonaise vivant à proximité de cette centrale, Fukushima n°1, située à 150 km de Tokyo, où est survenue une explosion samedi à la suite du très fort séisme et du tsunami. Samedi, des milliers de Japonais évacués des zones proches des installations nucléaires de Fukushima ont été passés samedi au scanner, angoissés par la crainte d'avoir été irradiés. Dans les centres d'évacuation, des secouristes, portant des masques de protection et des vêtements spéciaux, passaient les habitants de la région au scanner pour vérifier l'exposition aux radiations. "Il y a des fuites de radiation, et depuis que l'on sait que la possibilité d'avoir été exposé est grande, on est assez effrayés", confiait Masanori Ono, jeune homme de 17 ans, dans une file d'attente à Koriyama

    L'explosion, qui s'est produite à 15H36 heure locale (06H36 GMT), a fait plusieurs blessés parmi les employés. Cet accident nucléaire a été classé au niveau 4 sur l'échelle de gravité des événements nucléaires et radiologique allant de 0 à 7, selon l'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle, un niveau qui qualifie les accidents n'entraînant par de risque important hors du site, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA).

    Entre 70 et 160 personnes auraient été exposées
      
    Le chef du gouvernement a ordonné l'évacuation des habitants dans un rayon de 20 kilomètres autour de la centrale, tout en appelant la population locale à garder son calme. A propos de la situation à la centrale de Fukushima N°1, le porte-parole du gouvernement, Yukio Edano, s'est voulu rassurant : citant l'exploitant, Tokyo Electric Power (Tepco), il a souligné que le caisson du réacteur n'avait pas subi de dégâts et que les radiations avaient par la suite diminué. L'Agence japonaise de sécurité nucléaire et industrielle a jugé peu probable que le caisson eût été gravement endommagé, après avoir d'abord averti qu'une fusion pourrait être en cours dans le réacteur. Du césium radioactif a en effet été détecté aux alentours de la centrale, ce qui atteste généralement qu'un tel phénomène est en train de se produire, a noté un expert.
      
    Selon l'agence Kyodo, la radioactivité reçue en une heure par une personne se trouvant sur le site correspond à la limite de radioactivité à ne pas dépasser annuellement. Les autorités japonaises ont informé l'Agence internationale pour l'énergie  atomique (AIEA) qu'"il y avait eu une explosion près du réacteur N°1 de la centrale de Fukushima-Daiichi et qu'elles étaient en train d'évaluer l'état du réacteur". A la centrale proche de Fukushima-Daini, le rayon d'évacuation des riverains est de 10 km, a précisé l'AIEA. "Les autorités ont également indiqué qu'elles se préparaient à distribuer des comprimés d'iode aux habitants des zones proches des deux centrales", a ajouté l'agence onusienne. Dimanche matin, le nombre de personnes exposées à des radiations du fait des problèmes de la centrale de Fukushima Daiichi pouvait s'élever au bout du compte entre 70 et 160, selon l'agence nucléaire nippone. Neuf personnes ont montré d'ores et déjà des signes possibles d'exposition aux radiations selon la même source.

     

     

    (..) 

     

    Pour suivre toute l'actualité sur l'accident nucléaire en cours
    http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/alerte-nucleaire-au-japon-apres-un/

    Plus que jamais antinucléairement
    Pour le Réseau "Sortir du nucléaire"
    Laura Hameaux

     

     

    catastrophe japon image2

    http://www.espacerezo.fr/50-photos-saisissantes-du-seisme-au-japon/catastrophe_japon_image2/ 

     

     

    Catastrophe de Fukushima : 

    Les premières mesures indépendantes de radioactivité

    sont alarmantes

    Le Réseau "Sortir du nucléaire" révèle que six journalistes indépendants de l'association JVJA (Japan Visual Journalist Association), dont le directeur du magazine Days Japan, Ryuichi HIROKAWA, se sont rendus près de la mairie de Futaba, à 2 km de la centrale de Fukushima Daiichi, pour mesurer la radioactivité avec trois compteurs Geiger, ce dimanche 13 mars à 10h20. Il s'agit à notre connaissance de la première mesure faite de façon indépendante des autorités, par des journalistes japonais que nous saluons pour leur courage et les risques qu'ils ont pris pour faire leur métier.

    À la mairie de Futaba, située à 2km de la centrale de Fukushima Daiichi, la radioactivité dépasse la capacité de mesure de certains des compteurs Geiger (BEIGER COUNTR DZX2, VICTOREEN 209-SI, et MYRate PRD-10) employés par les journalistes japonais.

    À l'aide d'un compteur VICTOREEN 209-SI, le débit de dose a été mesuré à 10 milli-Röntgen/h (soit 0,1 mSv/h, ce qui signifie qu'un citoyen japonais reçoit la dose annuelle tolérée en France en l'espace de 10 heures)
    . Le journaliste ayant effectué la mesure, Ryuichi Hirokawa, déclare : "Quand j'ai fait un reportage fin février 2011 à Tchernobyl, le taux de radioactivité était de 4 milli-Röntgen/h (0,04 mSv/h) à 200 m du réacteur accidenté. Dans la ville de Pripyat, à 4 km du réacteur de Tchernobyl, le niveau était de 0,4 milli-Röntgen/h." (1)


    Les mesures relevées avec les 2 autres appareils varient dans une fourchette de 20 à 1000 micro-sievert par heure (0,02 à 1 mSv/h). Explication : 1 mSv représente le niveau de la limite annuelle autorisée en France pour l'exposition de la population aux rayonnements radioactifs artificiels en France. En seulement 1 heure, un citoyen japonais reçoit la dose annuelle.

    De telles informations accréditent un niveau de radioactivité dramatiquement élevé dans un périmètre étendu autour de la centrale, dont les conséquences sanitaires ne pourront être que très graves.

    Rappelons que la radioactivité atteignait ce matin un niveau 400 fois supérieur à la normale à la préfecture de Miyagi, distante de 80 km de la centrale de Fukushima Daiishi (2).

    Les autorités japonaises sont en train de perdre tout contrôle sur la situation. Le Réseau "Sortir du nucléaire" alerte les citoyens : le gouvernement japonais cherche à minimiser autant que possible la gravité de la catastrophe nucléaire en cours et du relâchement de radioactivité dans l'environnement. Avec la réunion ministérielle de ce samedi 12 mars et la tentative de désinformation du ministre de l'industrie Éric Besson, la machine à étouffer l'information s'est déjà mise en marche, en France aussi.

    La catastrophe nucléaire japonaise démontre s'il en était encore besoin la gravité du danger que le nucléaire fait courir aux populations. La seule décision politique responsable, pour le Japon comme pour la France, est de sortir du nucléaire.


    Notes :

    (1) http://mphoto.sblo.jp/article/43820834.html en japonais
    Contact au Japon de l'association JVJA ayant effectué les mesures : JVJA Mobile: 090-6101 -6113

    (2) http://english.kyodonews.jp/news/


    http://www.sortirdunucleaire.org/

     

     

    Réseau "Sortir du nucléaire"
    Fédération de 875 associations agréée

    pour la protection de l'environnement
    http://www.sortirdunucleaire.org/

    .

     

    ouf ! je suis rassuré tout le monde sait qu'Eric Besson n'a qu'une parole

     

    Communiqué de presse du 12 mars 2011

    Séisme et catastrophe nucléaire :

    les réacteurs français sont vulnérables !
     
    Au Japon : un accident majeur de gravité

    comparable à Three Mile Island
     
    L'agence de sûreté nucléaire japonaise a annoncé samedi qu'il y a une forte probabilité pour que la présence de césium radioactif autour du réacteur n°1 de la centrale de Fukushiwa Daiichi provienne de la fusion de crayons de combustible (1), c'est à dire d'une fusion partielle du coeur nucléaire. Les autorités japonaises s'apprêtent à distribuer de l'iode aux populations vivant à proximité des centrales nucléaires en détresse (2).
     
    Une partie des barres de combustible du réacteur n°1 de la centrale Fukushima Daiichi est exposée à l'air libre selon l'agence japonaise de sûreté nucléaire (3). Selon Tepco, l'exploitant de la centrale de Fukushima-Daiichi, un nouveau tremblement de terre a précédé l'explosion du réacteur n°1 (4).
    Le versement de l'eau de mer destiné à refroidir le réacteur n°1 a dû être suspendu à cause d'un nouveau tremblement de terre et la peur d'un nouveau tsunami (5). C'est pourtant le seul moyen restant pour empêcher une fusion totale du coeur, puisque l'opérateur n'a plus aucun moyen de contrôle sur le réacteur.
    Les deux autres réacteurs arrêtés en urgence de la centrale de Fukushiwa Daiichi sont toujours confrontés à des problèmes de refroidissement du coeur nucléaire. Dans la centrale de Fukushima Daini (située à 11 km de la centrale de Fukushiwa Daiichi), Tepco doit relâcher de la vapeur radioactive pour tenter de diminuer la température de 3 des 4 réacteurs arrêtés en urgence (6).
     
    En France : des réacteurs nucléaires exposés à un risque sismique grave, construits en dépit des normes sismiques
     
    Les réacteurs nucléaires français ne respectent pas les normes sismiques de référence. EDF est allé jusqu'à falsifier les données sismologiques pour éviter d'avoir à le reconnaître et d'investir au moins 1,9 milliard d'euros afin de mettre les réacteurs aux normes (7). La justice a rejeté mercredi dernier la demande de fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim (Alsace), la plus vieille centrale française, pourtant située dans une zone à risque sismique élevé.
     
    Mais ni les normes sismiques draconiennes du Japon ni ses technologies parasismiques avancées n'ont pu empêcher la catastrophe nucléaire majeure qui s'y produit actuellement. Le Japon est pourtant le pays le mieux équipé et le mieux préparé au monde pour faire face au risque sismique dans toutes ses dimensions. Le Japon est également une des premières économies de la planète et un pays leader en matière de technologies de pointe.
     
    Pour le Réseau « Sortir du nucléaire », le dramatique exemple japonais démontre qu'il est totalement impossible de construire des réacteurs nucléaires résistant à un séisme. La seule solution véritable pour se prémunir de ce risque gravissime est d'engager le plus rapidement possible un plan de sortie du nucléaire.
     
    La machine à étouffer l'information se met en marche
     
    Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’Écologie, et Éric Besson, ministre de l’Industrie, ont décidé de réunir cet après midi l’ensemble des acteurs français du secteur du nucléaire... dont les industriels EDF et Areva. Il apparaît d'ores et déjà évident que le secteur nucléaire français et ses soutiens au plus haut niveau de l'État se préparent à communiquer pour sauver la crédibilité de la filière nucléaire.
    Mais il ne sera pas possible cette fois de recourir au cliché usé jusqu'à la corde de l' « accident survenu sur une centrale soviétique vétuste », que l'industrie nucléaire a utilisé abondamment pour laisser croire qu'un accident nucléaire grave ne pouvait pas se produire hors d'URSS.
     
    Il faut aujourd'hui considérer avec prudence les informations provenant de Tepco, l'exploitant des réacteurs japonais en déroute. En effet, 15 réacteurs nucléaires ont été fermés au Japon pendant des mois en 2002 et 2003, par décision administrative, après que Tepco avait falsifié des documents concernant la sécurité.
     
    Notes :

    (1) "The agency said there was a strong possibility that the radioactive cesium monitors detected was from the melting of a fuel rod at the plant, adding that engineers were continuing to cool the fuel rods by pumping water around them."
    http://edition.cnn.com/2011/WORLD/asiapcf/03/12/japan.nuclear/

     
    (2) http://www.sankei.jp.msn.com/affairs/news/110312/dst11031216520245-n1.htm

    (3) "L'Agence japonaise de sûreté nucléaire annonce que certaines des barres de combustible du réacteur numéro 1 de la centrale Fukushima No 1 ont émergé à la surface de la piscine du réacteur samedi midi, parce que le niveau de l'eau a baissé." http://www3.nhk.or.jp/nhkworld/french/top/news08.html

    (4) "a vertical earthquake hit the site and big explosion has happened near the Unit 1 and smoke breaks out around 3:36PM."
    http://www.tepco.co.jp/en/press/corp-com/release/11031223-e.html

    (5) NHK à 17h35 le12.03.11

    (6) "we have decided to prepare implementing measures to reduce  the pressure of the reactor containment vessel (partial discharge of air containing radioactive materials) in order to fully secure safety. These measures are considered to be implemented in Units 1, 2 and 3
    http://www.tepco.co.jp/en/press/corp-com/release/11031223-e.html
     
    (7) Consulter les documents confidentiels d'EDF et l'analyse effectuée par le Réseau « Sortir du nucléaire » : http://www.sortirdunucleaire.org/index.php?menu=sinformer&sousmenu=themas&soussousmenu=seismes2&page=index

     

     

     

    Informations au fur et à mesure sur notre blog :
    http://groupes.sortirdunucleaire.org/blogs/alerte-nucleaire-au-japon-apres-un/

     

     

     


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