• Le Diabète peut se guérir

    Le diabète prélève une part toujours plus importante des budgets nationaux de la santé alors que le nombre de ceux qui en sont atteints augmente partout dans le monde. Or, en l'absence de prévention primaire, l'épidémie de diabète va continuer de s'étendre. Pire encore, d'après les projections, le diabète devrait devenir l'une des principales causes d'incapacités et de décès dans le monde d'ici les vingt-cinq prochaines années ! Il est donc Temps de rétablir la Vérité.

     

    DJAMELITO
    Dimanche 26 Septembre 2010



    Le Diabète peut se guérir
    Pour se débarrasser du Diabète, il faut :

    - Arrêter le traitement hypoglycémiant.
    - Eliminer tous les aliments raffinés (pain blanc, pâtes, riz blanc, sucre…) et tous les plats préparés industriels.
    - Manger des légumes crus dans son alimentation pour au moins 1 repas sur les 2 (par exemple une bonne salade, tomates, oignon, persil, ciboulette fraiche de votre jardin, carottes, choux rouges, radis, jeunes pousses d’épinards…).
    - Avoir une activité physique régulière.


    Pourquoi manger cru ? Lors d’une cuisson l’amidon se transforme en glucose par exemple mais il y a énormément de raisons…

    Bref retrouver un régime d’avant...


    A ceux qui veulent essayer ce retour à un régime d’avant surtout il faut arrêter le traitement hypoglycémiant sinon vous feriez des hypoglycémies.

    Ensuite quand vous apercevrez que votre taux de glycémie est stabilisé et redevenu à un taux normal vous pourrez réintroduire certains aliments mais tout en modérant !

    Il faut savoir que des études ont été conduites au sein de populations sensibles en Chine : les modifications du mode de vie (régime alimentaire approprié et augmentation de l'activité physique, avec la baisse de poids qui en résulte), accompagnées de programmes éducatifs continuels, ont permis de réduire de près des deux tiers la progression vers le diabète au cours d'une période de six ans (moi je dirai carrément éradiquer le diabète). Ces mesures de prévention auront des effets qui iront bien au-delà du diabète : l’amélioration du régime alimentaire et l’activité physique quotidienne auront également des effets sur l’obésité, les maladies cardio-vasculaires et certains cancers.

    Pour les éternels sceptiques :


    Par contre les personnes qui sont dépendantes de l’alimentation actuelle c’est-à-dire les gourmands, doivent prendre un traitement.

    Souvent beaucoup de diabétiques suivent un régime. Ensuite ils tombent dans le cercle de l’hypoglycémie. Pourquoi ? Tout simplement car les médecins ne leurs diront jamais d’arrêter le traitement hypoglycémiant.

    Pourquoi ? À cause des pépites. À qui profite le diabète ? À Big Pharma.


    Qui paye ?

    - En raison de sa chronicité, de la gravité de ses complications et des moyens qui doivent être mis en œuvre pour les combattre, le diabète est une maladie coûteuse, non seulement pour le malade et sa famille, mais aussi pour les autorités sanitaires.

    - D'après des études en Inde, une famille indienne à faible revenu dont un membre adulte souffre de diabète consacre 25% de ses ressources à la prise en charge du malade. Aux Etats-Unis d'Amérique, ce chiffre est de 10% pour les familles ayant un enfant diabétique.

    - Aux Etats-Unis d'Amérique, le total des dépenses de santé est trois fois plus élevé pour un diabétique que pour une personne qui ne souffre pas de cette maladie. On a calculé par exemple que, dans ce pays, le total des dépenses consacrées aux soins du diabète s’élevait à 44 milliards $$.

    - Dans la Région du Pacifique occidental, une analyse récente des dépenses de santé a montré que 16 % des dépenses hospitalières étaient consacrées aux diabétiques. Dans la République des Iles Marshall, le chiffre correspondant est de 25 %. Fidji consacre aux complications du diabète 20 % de ses dépenses de santé à l’étranger, lorsque les possibilités de traitement n’existent pas dans le pays et que les patients sont obligés d’aller ailleurs. Le tout représente des sommes considérables pour des pays qui n’ont guère les moyens de faire des dépenses aussi massives sur des pathologies évitables.

    - Les coûts du diabète, qui ne sont pas simplement d'ordre financier, pèsent sur tout à chacun et partout. Il y a aussi des coûts immatériels (douleur, anxiété, inconfort, diminution générale de la qualité de vie, etc.), les plus difficiles à quantifier, dont l'impact est profond sur la vie des diabétiques et de leur entourage.


    Ce Protocole est sans Danger !

    Avec ce protocole, on va être en carences en glucides ? FAUX car les glucides sont partout même dans les fruits et légumes !


    DJAMELITO
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  • Vendredi soir le journal de la Télévision Suisse Romande (TSR) a fait un résumé malicieux de l'affaire Bettencourt/Woerth, signale un @sinaute.




    La TSR remonte jusqu'aux origines de la fortune de la famille Bettencourt.

    Les aventures de Dédé, Riri et Floflo, vues par la TSR picto

    Et pour en savoir davantage sur Dédé, Riri et Floflo, retrouvez les sociologues qui les connaissent le mieux, les Pinçon-Charlot, dans notre émission de cette semaine.

     

     

    Vidéo originale et (presque) amusante (!!!), qui résume très bien  l'affaire


    http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=9070



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  • Manifestons le 2 octobre pour défendre nos retraites

    retraitesmontage

    RETRAITES: POUR GAGNER, REPRENONS IMMEDIATEMENT LE CONTROLE DE L'INFORMATION!                                 

    A Lyon, Paris, Marseille, Montpellier, Pau, Albi, Chambéry, dans les Hauts de Seine, la Creuse, le Cantal...


    Dans plusieurs raffineries, des dizaines de classes (du primaire et du secondaire), presque toutes les cantines de Marseille...


    La grève du 23 septembre a été reconduite!


    Il y a eu des centaines de grévistes le 24 septembre... Le 25...

     

    (..) Mais peu d'informations filtrent ou sont diffusées dans les médias.

    Pourtant il est essentiel pour la poursuite et l'extension du conflit que le maximum d'informations soient RAPIDEMENT communiquées et échangées.

     

    Ceci afin que le mouvement s'étende partout dans le pays.

     

    Dans ce domaine de la lutte pour sauver nos retraites, toute et tous peuvent aider en diffusant SYSTEMATIQUEMENT les informations qu'ils possèdent.


    Le site http://www.7septembre2010.fr en centralise un certain nombre, mais tout n'est pas connu.


    Vous pouvez aller chercher ces informations pour les répercuter autour de vous.


    Et surtout, faîre remonter celles qui ne sont pas connues en contactant le site (contact@7septembre2010.fr), ou mieux encore en laissant des commentaires sur les billets publiés (ils pourront être repris sous forme d'articles).


    Nous savons toutes et tous que le moral est très important pour les grévistes qui ont reconduit le mouvement.


    Vous pouvez amener UNE AIDE CRUCIALE en diffusant ces informations rapidement...

     

    LES PROCHAINS JOURS SERONT DETERMINANTS


    Informez le site et diffusez ses billets dans tous vos réseaux

     

    http://www.7septembre2010.fr


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    Dimanche 26 septembre 2010 7 26 /09 /2010 21:39

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    Tour d’horizon des principales nouveautés du budget 2011, qui sera présenté mercredi prochain en Conseil des ministres.

    Mercredi prochain,le ministre du Budget François Baroin présentera au Conseil des ministres le budget 2011. Le gouvernement, qui espère ramener le déficit public à 6% du produit intérieur brut, doit réaliser 40 milliards d’euros d’économies. Pour cela, il table sur les hypothèses économiques suivantes :


    - Croissance: +2%, après +1,5% cette année.

    - Déficit public: 6% du Produit intérieur brut (PIB), après un record «autour de 7,8%» cette année.

    - Dette publique: 86,5% du PIB, après 83,7% cette année.

    - Inflation: +1,5%, après 1,2% cette année.

    - Emploi: 160.000 créations d’emplois marchands, soit environ le double de cette année, ce qui devrait réduire le taux de chômage.


     


     

    Tour d’horizon des principales nouveautés pour 2011:

     

    MENAGES

     

    - Emploi à domicile:

    Le gouvernement veut supprimer l’abattement de 15 points sur les cotisations patronales de Sécurité sociale proposé aux ménages déclarant leur employé au salaire réel.

     

    - Immobilier:

    Le crédit d’impôt sur les intérêt d’emprunt, mesure phare du «paquet fiscal» de 2007, disparaît, remplacé par un nouveau prêt à taux zéro élargi et réservé aux primo-accédants.

     

    - Mariage:

    Le gouvernement veut mettre fin aux déclarations de revenus multiples pour les impôts l’année du mariage, du pacs et du divorce. Les mariés de l’année ne souscriront plus trois déclarations de revenus mais une ou deux. Ce qui, du coup, fera remonter le montant de l’impôt.

     

    - Hauts revenus:

    Ils sont mis à contribution dans la réforme des retraites, via le relèvement du taux marginal de la tranche supérieure d’impôt sur le revenu (à 41%), la hausse des contributions sur les stock-options, la suppression du crédit d’impôt sur les dividendes perçus par les actionnaires, ou l’augmentation des prélèvements sur les retraites chapeaux.

     

    - Coup de rabot de 10% sur 22 niches:

    Il s’agit de niches qui permettent de réduire l’impôt sur le revenu en faisant un choix d’investissement. Par exemple le crédit d’impôt sur les équipements en faveur du développement durable, la réduction d’impôt au titre de certains investissements outre-mer ou de l’investissement locatif dans le neuf (dispositif «Scellier»).

     

    - Photovoltaïque:

    Le crédit d’impôt sur les installations photovoltaïques sera réduit de moitié (de 50% à 25%).

     

    - Assurance maladie:

    Le gouvernement prépare selon Les Echos une baisse du taux de remboursement des médicaments à service médical «modéré» (de 35 à 30%) et une légère hausse du ticket modérateur (qui reste à la charge du patient ou de sa mutuelle) sur les soins courants (médecins, kinés etc.). A l’hôpital, le ticket modérateur de 20% s’appliquant sur les actes jusqu’à 91 euros pourrait être relevé d’une trentaine d’euros.

     

     

    ENTREPRISES


    - Assurance:

    Certaines niches fiscales, touchant notamment les complémentaires santé et l’assurance vie, seront réduites de 3,55 milliards d’euros. Pour certains assureurs, cela revient à enchérir le coût des complémentaires pour les ménages.

     

    - Télécoms:

    Les offres alliant télévision, téléphone, internet, comme les «box» ou certains forfaits mobiles, seront soumises à une TVA de 19,6% sur l’ensemble de la facture, contre 5,5% jusque-là sur la moitié de la note. Deux des principaux opérateurs (Orange et Free) entendent répercuter sur leurs factures cette hausse.

     

    - Epargne salariale:

    Le gouvernement portera de 4% à 6% le forfait social sur l’intéressement et la participation.

     

    - Charges:

    Dans le cadre de la réforme des retraites, le gouvernement va modifier le mode de calcul des allègements généraux de charges patronales, en l’annualisant. Cela se traduira par une réduction 2 milliards d’euros de ces allègements.

    Les cotisations des entreprises pour financer la branche accidents du travail et maladies professionnelles de la Sécurité sociale pourraient être relevées.

     

    - Taxe bancaire:

    Une taxe sur les banques visera leurs activités les plus risquées. Selon la Ministre de l’Economie, Christine Lagarde, elle rapportera 504 millions d’euros en 2011, 555 millions en 2012 et 810 millions en 2013.

     

    - Restauration:

    L’exonération des avantages en nature proposés aux restaurateurs qui nourrissent leurs employés est supprimée.

     

    - Laboratoires pharmaceutiques:

    Le relèvement de la contribution spéciale des laboratoires est envisagé, ainsi qu’une baisse des prix des médicaments.


     


     

     

    Principaux chiffres du budget 2011:


    - les niches fiscales et sociales seront réduites de 10 milliards d’euros en 2011.

    - le budget de l’Etat devrait atteindre 285,69 milliards d’euros (contre 281,11 milliards en 2010), dont 45,38 milliards pour la charge de la dette qui devient le premier poste de dépenses, devant l’Enseignement scolaire.

    - les dépenses totales -incluant les dotations aux collectivités et à l’Europe- s’élèveraient à 356,87 milliards.

    - les recettes fiscales nettes devraient être comprises entre 253,1 et 262,5 milliards.

    - réductions d’effectifs: -16.000 postes à l’Education nationale,-8250 à la Défense et -3127 au Budget. Au total, 31.411 équivalents temps plein seront supprimés l’an prochain, chiffre qui doit atteindre 100.000 d’ici 2013 pour une économie attendue de 3 milliards d’euros.

    À l’inverse, la Justice sera le seul ministère - avec les services du premier ministre (+54) - à bénéficier de créations nettes d’emplois (+400), essentiellement dans l’administration pénitentiaire, et verra ses crédits monter à 5,8 milliards l’an prochain (+2,7%) et à 5,96 milliards en 2012.

    La mission Recherche et Enseignement supérieur fonctionnera avec des effectifs stables et des crédits passant de 23,64 milliards d’euros en 2010 à 23,83 milliards en 2011 et 24,04 en 2012.

    - baisse des crédits: elle doit concerner plus de la moitié des missions de l’Etat, notamment l’Ecologie (-4,5% sur un an), les relations avec les collectivités (-4,2%), l’Outre-Mer (-3%), la Ville et le Logement (-2,6%), l’Agriculture (-2,5%) ou encore la Solidarité et l’Insertion (-1,8%).

    La mission Travail et Emploi devrait voir ses crédits encore progresser l’an prochain, avant une nette baisse à partir de 2012.

    (Avec AFP)

     

    http://www.jdf.com/societes/2010/09/25/02035-20100925ARTJDF00296-ce-qui-va-changeravec-le-budget-.php


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  • Pourquoi peut-on affirmer de manière certaine que les grands financiers prennent les populations pour des pigeons ?

    Nos impôts servent à rembourser les intérêts d’une dette publique illégitime

     

    Voir le documentaire de Paul Grignon

    (cliquer sur le lien, vidéo)

     

     

    Main mise progressive

    de la monnaie.


    Les dynasties de banquiers ont de tout temps intrigué pour accaparer et conserver le contrôle de la monnaie. Dans les jours qui suivirent le putch de brumaire (après la révolution francaise), Napoléon III fonde la banque de France qui disposera en 1803 du monopole de l’émission de la monnaie. 


    Avec la même détermination, les banquiers prirent le contrôle de la monnaie de la fédération des Etats-Unis. Pour arriver à leurs fins, tous les moyens étaient bons. Thomas Jefferson, 3ème Président des Etats-Unis affirmait : « je crois sincèrement que des institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos privilèges (étatiques) que des armées institutionnelles. Déjà, ils ont élevé au sommet une riche aristocratie qui a défié le gouvernement. »


    Revers des rentiers de la planète Cependant la lutte entre banquiers et homme d’Etats soucieux de l’intérêt général n’a pas toujours tourné à l’avantage des premiers. De 1861 à 1913, les organes représentatifs de l’Etat américain s’étaient réappropriés le contrôle de l’émission de la monnaie dans sa presque globalité. A ce propos, le Président Abraham Lincoln, mort assassiné avant le terme de son mandat dans des circonstances troubles, avait de grandes ambitions pour sa patrie. L’histoire a retenu la déclaration suivante : « Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité. »


     

    Prise de contrôle

    des créanciers de la planète


     

    En 1913, le Président Woodrow Wilson, à peine élu transféra durablement le contrôle de la réserve fédérale (chargée de l’émission monétaire), du Congrès aux grandes banques américaines.

     

    Abusé, il aurait confié un peu tard : « je suis un homme des plus malheureux ; j’ai inconsciemment ruiné mon pays, une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. »


    La France n’est pas en reste. Au sortir de la 2nde guerre mondiale, l’économie nationale a besoin d’oxygène, la classe dirigeante se saisit de l’aubaine pour nationaliser la banque de France, toujours détentrice de l’émission monétaire, la faisant glisser du même coup dans la coupe de l’Etat. Un revers pour les dynasties familiales de banquiers qui perdaient une partie de leurs privilèges. De surcroît, la maîtrise étatique des périodes de déflation et d’inflation était une perte sèche de profit pour les principaux actionnaires.


    Les grandes familles de banquiers pouvait compter sur le soutien inconditionnel de George Pompidou, un homme d’affaire brillant, à l’ascension fulgurante, nommé directeur général de la banque Rothschild.

     

    Elu à la présidence de la République, il promulgue l’article 25 de la loi 73-7 le 3 janvier 1973 cosigné par Giscard D’Estaing qui dispose : « le trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France. »

     

    A partir de ce moment, l’Etat français cède sciemment ses prérogatives aux banques.

     

    Le contrôle de la monnaie basculait de nouveau sous l’emprise directe des banques d’affaires.

     

    Cet événement mis fin aux trente glorieuses car, dès lors, la dette des collectivités territoriales, de l’Etat notamment, et les intérêts dus n’ont eu cesse de s’accroître au dépens des populations.

     

    Le traité de Maastricht défendu ardemment par la gauche au pouvoir sans qu’aucun débat public ne s’attarde sur l’article 104 du dit traité qui dessaisit tous les Etats membres de l’union européenne du pouvoir de battre monnaie.

     

    Le traité de Lisbonne enfonce le clou en l’inscrivant dans le marbre d’une « constitution » européenne.

     

    Rien d’étonnant dès lors que des banquiers ont suggéré : « Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation…. 


     

    Concentration du pouvoir monétaire

    dans le giron d’intérêts privés

    D'où vient l’argent ? 

     

    Le crédit crée la monnaie.

    Des idées reçues circulent dans l’opinion sur l’origine de la monnaie, cependant la conscience publique fait son chemin. Il se dit que l’argent prêtée serait de l’argent placée en banques, qu’il existerait une contrepartie en or, que ce serait les banques centrales nationale ou européenne qui créeraient la monnaie….En réalité il n’en est rien. 

     

     

    Monopole du crédit.

     

     

    Seules les sociétés bancaires ont prérogative pour faire crédit à un agent non financier, une entreprise, une collectivité, un organisme non lucratif ou un particulier. C’est un fait, le pouvoir de création monétaire appartient paradoxalement aux banques par le biais du crédit, évalué à plus de 90% de la masse monétaire existante en France. C


    "La création monétaire doit relever de l’Etat et de l’Etat seul. Toute création monétaire autre que la monnaie de base par la banque centrale doit être rendue impossible"

     

     

    Dogme de la croissance.

     

     

    "toute personne croyant qu’une croissance exponentielle peut continuer à jamais dans un monde fini est soit un fou, soit un économiste ». De la croissance, encore de la croissance, toujours de la croissance, est symptomatique d’un modèle économique destructeur pour l’environnement planétaire et les populations humaines, appauvrissant cadre de vie, qualité de vie et niveau de vie des peuples de tous les continents..


    Les banques usent de la planche à billets pour faire crédits, notamment aux Etats. C’est paradoxal, car il est communément admis que le prétexte invoqué à la confiscation du pouvoir régalien pour les Etats de battre monnaie s’appuie justement sur ce postulat. De la bouche de grands spécialistes de tous pays, il s’agit d’une vaste arnaque organisée à l’échelle des nations. L’économiste primé Maurice Allais ne mâche pas ses mots : « dans son essence, la création monétaire actuelle par le système bancaire est identique, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. »

     


    Endettement public irréversible.

     


    C’est une problématique taboue. Le service de la dette, c’est-à-dire la somme que la France doit verser chaque année pour « honorer » sa dette, est constitué du capital et des intérêts des emprunts.


    Pour la France, la charge des seuls intérêts de la dette a dépassé les 50 milliards d’euros depuis 2007, absorbant la totalité de l’impôt sur le revenu.

     

    L’Etat, bon prince, ne veut pas renier une once de ses engagements pris 37 ans plutôt vis-à-vis de ses créanciers. En revanche, il n’eut aucun scrupule pour renier ses engagement vis-à-vis des petits épargnants qui avaient souscrit un plan épargne logement attractif avant les années 2000 notamment.

     

    La hausse des recettes fiscales auprès des contribuables, notamment des plus prélevés à proportion de leurs revenus, ne sert plus à investir dans la recherche et le développement qui sont réduits à peau de chagrin, mais à financer de nouveaux emprunts pour faire face aux dépenses courantes. Par ce biais, les actionnaires majoritaires des banques sont assurés de percevoir sans effort et en toute discrétion une rente exorbitante. Pour André-Jacques Holbecq et Philippe Derudder, auteurs de "La dette publique, une affaire rentable". Éd Yves Michel, 2008, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’un moyen dissimulé pour détourner les ressources de la masse des contribuables vers une infime minorité de rentiers.


    Qui plus est, s’agissant d’un Etat, la solvabilité se mesure au potentiel de prélèvement sur les citoyens, qui est fonction de leur capacité contributive mais aussi de leur… volonté à contribuer. Ainsi, faute de pouvoir saigner à blanc trop brutalement les citoyens sans les inciter à protester énergiquement, il n’y a pas d’autre solution "pérenne" que de sabrer dans les dépenses. 


     

    Endettement des particuliers encouragé

     


    In fine, grâce aux intérêts perçus ex nihilo et au levier des prélèvements obligatoires, les barons de la finance ont l’assurance de transmettre des créances immuables à leur descendance.

     

    N’est-ce pas les créanciers des nations qui tirent un profit indirect de la compression des services publics, de l’augmentation des impôts de toutes sortes ? Endettement public irréversible. C’est une problématique taboue. Le service de la dette, c’est-à-dire la somme que la France doit verser chaque année pour « honorer » sa dette, est constitué du capital et des intérêts des emprunts.

     

    http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article4724


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