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    La semaine des Guignols - Semaine du 11/02/2012
    Le meilleur des Guignols de la semaine
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  • Manuel valls lance un avertissement aux ouvriers en colère © Reuters Manuel Valls, qui s'est inquiété mardi des risques "d'implosion sociale" en raison de la crise économique, a lancé jeudi un avertissement aux ouvriers en colère. Le ministre de l'Intérieur estime qu'il n'y a pas de place pour la violence.

     

    http://www.rmc.fr/editorial/346734/manuel-valls-lance-un-avertissement-aux-ouvriers-en-colere/ (Note d'eva : Catherine Nay, Editorialiste Europe 1 : "Cet homme (Valls) est inquiétant". Quelle perspicacité !


    Le gouvernement français

    prépare la répression contre les travailleurs

    Par Pierre Mabut et Antoine Lerougetel
    11 février 2013

    Le gouvernement du Parti socialiste français du président François Hollande a ordonné la mobilisation des services secrets et de la police pour mettre sous surveillance les travailleurs qui se battent contre le chômage de masse et les fermetures d'usines.


    Le ministre de l'Intérieur français, Manuel Valls, a révélé mardi dernier que sa police politique est pleinement mobilisée pour espionner la révolte grandissante des travailleurs des usines où sont prévus des licenciements ou bien qui seront fermées. Il a dit que ces mesures étaient nécessaires compte tenu du risque d'«implosions ou explosions sociales».

    Interviewé sur BFM TV, il a ajouté: «La colère sociale, avec les conséquences de la crise économique et financière, la précarité, le chômage, les plans de licenciements, elle est là, elle gronde depuis des années.»

    Les services de renseignement de la police (SDIG) ont reçu le 30 janvier l'ordre de suivre «au plus près les entreprises en difficulté.... de suivre au plus près la situation des entreprises et filières fragilisées, ou susceptibles de le devenir» et d'anticiper «les mobilisations», ainsi que les «risques d'incidents» ou d'éventuelles «menaces sur l'outil de production en cas de radicalisation d'un conflit».

    Valls a donné des instructions à la police pour qu'elle surveille les entreprises où les travailleurs sont en lutte pour défendre leur emploi tels PSA Peugeot-Citroën, Renault, Goodyear, la raffinerie Petroplus et l'aciérie d'ArcelorMittal à Florange. Il a clairement reconnu la possibilité que de telles luttes échappent au contrôle de la bureaucratie syndicale qui s'est discréditée en trahissant systématiquement les luttes contre les programmes d'austérité du gouvernement. Valls a fait remarquer qu'il y avait moins de mobilisations organisées mais que le danger «d'explosions sociales» était plus important.

    La police française ne se limite pas surveiller les protestations des travailleurs. Elle se montre aussi plus violente à leur égard.

    Mercredi dernier, 6 février, plus de 1.500 travailleurs des aciéries d'ArcelorMittal ont convergé sur le Parlement européen à Strasbourg pour protester contre les fermetures à Liège (Belgique), Schiffange (Luxembourg) et Florange (France). Leurs dirigeants syndicaux avaient rendez-vous avec le président du parlement, Martin Schulz.

    L’arrivée des 23 cars belges a été strictement filtrée. Arrêtés sur une aire d’autoroute à neuf kilomètres de Strasbourg, complètement fouillés, tout comme leurs occupants, les véhicules ont dû attendre d’être escortés par les gendarmes pour se rendre au parlement, de sorte que leur arrivée a été étalée sur plus de deux heures. «On nous traite comme des bandits,» a commenté un Liégeois en descendant du car.

    Deux cars amenant des travailleurs de Florange ont subi le même traitement. Les fouilles ont été organisées sur réquisition du procureur de la République, au vu des violences intervenues en Belgique le 29 janvier dernier où cinq policiers ont été blessés

    Quand la police a empêché les sidérurgistes d'approcher le Parlement européen, ils ont crié: «Pas de Français ici, on est tous métallos!» Selon les reportages du journal belge Le Soir, les manifestants coincés entre quatre artères obstruées par des cordons de gendarmes mobiles, à trois cents mètres du Parlement, ne pouvaient pas plus former de cortège que faire entendre leur voix. Les plus remontés ont tenté de forcer le passage mais ont été repoussés à coup de gaz lacrymogènes. Ils ont riposté en se saisissant de tout ce qui leur passait par la main comme projectile. Des œufs, des bouteilles, des fumigènes...... des blocs de pierre. Un jeune sidérurgiste belge de 25 ans, John David a perdu un oeil. Il y a eu trois arrestations.

    Les travailleurs de l'usine Renault Flins ont ressenti l'intensification du harcèlement policier ordonné par Valls. Ali Kaya, délégué CGT (Confédération générale du travail) a fait remarquer: «Il y a de plus en plus de présence policière autour de l'usine avec plusieurs voitures banalisées.... La police a contacté des délégués syndicaux».

    Bernard Thibault, Secrétaire général de la CGT, a dit que ce genre de présence policière sur le lieu des usines sensibles devrait être évité car il serait ressenti comme une «provocation». Mickaël Wamen, représentant CGT de Goodyear à Amiens a décrit la présence de la police politique comme visant à «criminaliser notre action».

    Des protestations verbales aussi timorées de la part de la CGT ne valent rien, étant donné que le syndicat n'a pas soutenu les travailleurs en lutte attaqués par la police. Un exemple particulièrement honteux est la complicité de la CGT avec la police pour casser la grève des raffineries au moment critique du mouvement de défense des retraites en 2010.

    Quatre cents travailleurs de l'usine PSA d'Aulnay près de Paris sont en grève depuis plus de 3 semaines et ont arrêté la production pour obliger l'entreprise à entrer dans des «négociations sérieuses» sur les indemnités et les reclassements après la fermeture du site.

    Les grévistes subissent l'intimidation de l'entreprise: quatre travailleurs risquent d'être renvoyés dont une mère de deux enfants en bas âge. L'entreprise a porté plainte contre huit travailleurs qu'elle accuse d'avoir physiquement attaqué un huissier à l'intérieur du site.

    Une armée de vigiles privés est positionnée autour du site pour empêcher toute action solidaire. Il y a deux semaines, des centaine de police anti-émeute ont empêché les travailleurs d'Aulnay d'organiser un piquet de soutien aux collègues de l'usine PSA de Poissy.

    Manuel Valls ne sera pas moins brutal avec les travailleurs français qu'il ne l'est pour réprimer les sans-papiers, dont 36.822 ont été expulsés en 2012 contre 32.912 en 2011 – un record dépassant de loin les chiffres de l'ex-président Sarkozy. Le gouvernement PS surpasse la politique réactionnaire du gouvernement Sarkozy dans tous les domaines.

    (Article original publié le 9 février 2013)


    http://www.wsws.org/fr/articles/2013/fev2013/vall-f11.shtml


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  • Scandale à Londres : un hôpital responsable de la mort de 1.200 patients

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    Par : Résistance.fr

    stafford deathsLa réalité dépasse parfois l’imagination. Un scandale a récemment secoué l’opinion publique britannique. On a ainsi découvert il y a quelques jours qu’à l’hôpital de Stafford, ce ne sont pas moins de 1.200 patients qui ont perdu la vie entre 2005 et 2009 par manque de soins ou d’hygiène. Une affaire qui remet brutalement en cause le système de santé publique (national health service), fruit des contre-réformes libérales des années 80 et 90. David Cameron, Premier ministre britannique, a été contraint de présenter les excuses du gouvernement aux familles des victimes.


    « Certains patients avaient tellement soif qu’ils buvaient l’eau des vases », a dit ce même Premier ministre lors d’un discours au Parlement. Les conditions infernales dans lesquelles la direction maintenait l’hôpital ont été scrupuleusement et scientifiquement reconstituées dans un rapport de près de 1.000 pages établi sous la houlette de M. Robert Francis. Ce dernier affirme qu’il s’agit « d’une histoire épouvantable qui a occasionné d’insoutenables souffrances à des centaines de personnes pendant plusieurs années ». « Le système a ignoré les signaux d’avertissement et a fait passer les intérêts de l’entreprise et la réduction des coûts avant la sécurité des patients », finit-il par ajouter.


    « Les patients âgés et vulnérables n’étaient ni lavés, ni nourris, ni désaltérés. Ils étaient privés de dignité et de respect. Certains patients devaient se soulager dans leur lit quand personne ne les aidait à aller à la salle de bain », a expliqué M. Robert Francis, qui a soulevé avec précision le manque récurrent de soins et d’hygiène. Enfin, le personnel n’était pas assez nombreux et mal (ou pas suffisamment) formé. Les membres de Stafford qui voulaient s’opposer à ces dérives faisaient l’objet de menaces ou étaient quelquefois victimes de harcèlement moral.


    Afin de faire taire le scandale, M. Cameron a annoncé son intention de créer une nouvelle figure en charge de la surveillance des hôpitaux, une sorte d’inspecteur en chef qui diligenterait des inspections dans les différents lieux de soins. Mais le tollé ne stoppera probablement pas de sitôt. Parce qu’aucun des dirigeants ou des responsables de Stafford ou de la NHS (national health service) n’a été sanctionné, suspendu ou licencié.


    Après Stafford, ce sont désormais huit autres hôpitaux qui font l’objet d’une enquête. Leur point commun ? Avoir enregistré ces dernières années un taux de décès de patients anormalement élevé. Les hôpitaux de Basildon, Thurrock, Colchester, Tameside, Blackpool et East Lancashire pourraient être sérieusement inquiétés ; trois mille personnes y seraient mortes par manque de soins ces dernières années.


    Cameron a enfin annoncé la création d’une série de consultants, parmi lesquels Ann Clwyd, pour la gestion des plaintes et réclamations relatives aux hôpitaux publics. Cette députée travailliste avait dénoncé il y a un an le traitement reçu par son mari à l’hôpital de Wales à Cardiff, « où il est mort comme un poulet de batterie ».

     

    Capitaine Martin

     


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    06/02/2013

    Seniors au volant : bon pied, bon œil ?


    Fotolia_39628493_XSC’est un fait incontestable : avec l’âge, les réflexes ne sont plus aussi bons et la conduite des seniors peut s’en ressentir. Si en France, le problème reste encore trop tabou, à l’étranger certaines mesures existent dont il serait judicieux de s’inspirer.

    Les études sur le nombre d’accidents de la route corrélé à l’âge du conducteur sont rares mais éloquentes. Aux États-Unis par exemple, il a été observé que les risques d’accident sont quasi stables de 25 à 70 ans, avant d’augmenter subitement et même de manière exponentielle l’âge avançant. Les raisons sont évidentes : vue qui baisse, capacités de réaction amoindries,… Pouvoir continuer de conduire un véhicule est pourtant très important pour l’autonomie des personnes âgées, notamment en milieu rural, et pour lutter contre l’isolement dont souffrent beaucoup d’entre elles.

    En Finlande, interdiction de conduire après 70 ans !

    Comment faire alors pour minimiser les risques d’accidents ? Une grande étude menée au Canada auprès d’un public de seniors a démontré combien la mise en garde des médecins pouvait avoir une influence sur leur décision de continuer à prendre le volant ou non.
    Les trois années suivants une consultation médicale, les accidents chutent de moitié, ce qui tend à prouver que la parole des professionnels de santé est importante et respectée. Certains pays européens l’ont bien compris, comme la Suisse, l’Irlande, le Danemark et la Suède, où la loi impose des contrôles médicaux obligatoires à partir d’un certain âge. En Allemagne et aux Pays-Bas, une remise à niveau est proposée aux seniors, pour permettre une réactualisation de leurs connaissances. Ce type de mesure permet de diminuer sensiblement le nombre d’accidents sans avoir à passer par le cas extrême de la Finlande où, sauf avis médical contraire, chaque conducteur de plus de 70 ans se voit retirer son permis de conduire…

    Quelles sont les mesures les plus justes selon vous pour limiter les accidents de voiture impliquant les seniors ?

    http://www.infos-automobile.fr/2013/02/seniors-au-volant-bon-pied-bon-%C5%93il-.html#xtor=EPR-88


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