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    La révolte qui gronde dans les campagnes

    © Inconnu
    "Y a le feu dans nos campagnes" est le slogan qui a été lancé mercredi, durant la grande journée de mobilisation nationale des agriculteurs.

    Les agriculteurs français ont décidé de réagir ; ils en ont assez du diktat de la mondialisation libérale, ils en ont assez d'être laissés à l'abandon. « Y a le feu dans nos campagnes » est le slogan qui a été lancé mercredi, durant la grande journée de mobilisation nationale des agriculteurs.

    Nos paysans sont le cœur battant de la France, les garants de notre souveraineté alimentaire. Dans un monde en mutation, plus que jamais l'État doit leur témoigner son soutien profond et entier. Pourtant, celui-ci ne donne pas l'exemple. Les agriculteurs demandent que les produits issus de l'agriculture française soient valorisés et, pour ce faire, souhaiteraient que deux repas sur trois, en restauration collective publique, soient confectionnés à partir de produits français.

    Ce n'est malheureusement pas le cas ; est-ce à dire que les démonstrations tapageuses d'Arnaud Montebourg sur le « made in France » (notez l'anglomanie coupable de l'expression) n'étaient que des paroles en l'air ? Si l'État n'achète pas en France, il sera difficile d'encourager les Français dans le besoin à le faire.
    Des agriculteurs militants sont allés contrôler les camions alimentant les cantines de Bercy. Ce qu'ils ont vu ne laisse pas de place au doute et attriste. Samuel Vandaele, secrétaire général adjoint des Jeunes agriculteurs, peiné, déclarait notamment : « Tomates du Maroc, pommes d'Italie, produits sans étiquette, le ministère de l'Économie devrait être exemplaire dans le made in France et ce n'est pas le cas. On est un peu exaspérés. ». Et ils ont raison de l'être car c'est inadmissible.

    Le gouvernement cède face aux pressions et soumet nos agriculteurs à la concurrence déloyale des pays du Sud et, bientôt peut-être, de TAFTA. Rendez-vous compte que TAFTA se donne pour objectif d'ouvrir largement les marchés publics, c'est-à-dire que les collectivités locales pourront lancer des appels d'offres internationaux dont le seul critère sera le prix ! On est loin du patriotisme économique, on est encore plus loin du protectionnisme intelligent. Les agriculteurs français seront livrés à la prédation de pays dont les critères de production (écologiques et sociaux) sont très inférieurs aux nôtres.

    Le scandale est immense, le risque majeur. Osons le dire, il s'agit d'une trahison qui pourrait, à terme, empêcher toutes les tentatives de relocalisation de l'économie, et, surtout, un coup fatidique porté à nos agriculteurs. Lesquels souffrent déjà de normes européennes terriblement contraignantes et d'un manque de protection. Sans compter que l'embargo stupide à l'encontre de la Russie, imposé par Bruxelles et Washington, constitue un manque à gagner important.

    Alors, oui, nous devons soutenir nos paysans car il en va de l'avenir de la France. D'abord de sa capacité à l'autosuffisance, ensuite de la santé des français les plus modestes qui n'auront plus accès aux produits de qualité, bientôt réservés aux plus riches. Les mêmes qui encouragent ces mesures anti-patriotiques.
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    http://fr.sott.net/article/23796-La-revolte-qui-gronde-dans-les-campagnes
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    Commentaire :

     
    Le paysans perds tout, avant il élevait ses moutons, se fabriquait sa laine, avait sa viande de mouton, et vivait à la campagne, maintenant il est payé pour seulement tisser de la laine toute la journée, et avec son salaire il pourra s'acheter des fois de la viande de mouton, mais ce n'est pas lui qui décide. Puis lorsqu'il aura un peu plus de salaire il pourra voir la campagne et les moutons, en vacance, très rarement (ce qu'il voyait tous les jours avant)
    https://www.youtube.com/watch?annotation_id=annotation_837661701&feature=iv&src_vid=N4fbleAOl_I&v=qfNGERtUygc

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  • France : Faire du feu dans sa cheminée sera bientôt interdit !

    http://metatv.org/france-faire-du-feu-dans-sa-cheminee-sera-bientot-interdit

    Soumis par admin le mar, 24/12/2013 

     

    Et hop, encore un droit qui saute et qui va directement impacter les plus pauvres sous des prétextes fallacieux ! Les nombreux foyers munis d’une cheminée, et qui pouvaient jusqu’ici court-circuiter le réseau électrique (dont les tarifs ne cessent d’augmenter) pour se chauffer, seront bientôt hors la loi. Une nouvelle preuve s’il en est besoin, pour constater l’établissement d’un état totalitaire ou les moins riches n’ont plus leur place…


    feu-de-cheminéeUn whisky pur malt. Un cigare. Le chat qui ronronne. Un bon livre. Un disque de jazz aux cuivres bien moelleux. Un vieux fauteuil, fatigué juste ce qu’il faut. Et le feu qui crépite dans la cheminée. Une certaine idée du bonheur, non ? Et encore, on vous passe la peau de bête, le seau à Champagne et la sublime créature dont le seul costume se résume à une vertu promise à chanceler ; autant dire que la réchauffer participe de la plus élémentaires des charités chrétiennes.

    Bon, c’est le moment d’y penser bien fort : au moins, ça vous fera des souvenirs pour plus tard. Car tout ça est désormais bien fini. Déjà, whisky, cigarettes et petites pépées, c’était bon du temps d’Eddie Constantine. Aujourd’hui, l’État a pris en charge foie et poumons ; et même le reste, lutte antisexiste oblige. La brigade du calbut ne connaît pas le repos ; fût-il celui du guerrier. Le feu de cheminée, on ne nous l’avait pas encore retiré. Rassurez-vous, ce sera chose faite d’ici 2015.

    Pour Paris, c’est plié. Au nom de la lutte contre la pollution et ces particules fines dont on nous rebat les oreilles depuis maintenant des mois. Dans le seul département des Yvelines, cinquante municipalités ont devancé l’appel. Ce qui signifie que dans la vallée de Chevreuse ou aux proches abords de la forêt de Rambouillet, là où se chauffer au bois évite au moins aux pauvres d’avoir trop froid, les seules bûches autorisées seront celles de Noël.

    La loi, pourquoi pas, mais la faire appliquer, c’est une autre paire de manches. On imagine le tableau. Nos pauvres gendarmes, déjà bien débordés par l’exubérance culturelle des gens du voyage, vont devoir se coltiner la tournée des popotes.

    « Bonjour monsieur, c’est bien chez vous ?
    - Jusqu’à preuve du contraire, oui. Mais par les temps qui courent, on ne sait plus trop…
    - Elle est à vous, cette cheminée ?
    - Ben oui, elle était là quand j’ai acheté la maison…
    - Et ce bois qui brûle dans votre cheminée, il est à vous aussi ?
    - Plus pour longtemps, vu la flambée. Mais du bois qui brûle dans une cheminée, vous m’accorderez, cher ami de la maréchaussée, que le concept n’a rien de révolutionnaire et que même les plus lointains de nos ancêtres le maîtrisaient déjà… »
    Après, on vous passe le coup de la commission rogatoire signée par un juge et permettant aux argousins de pénétrer indûment chez le clampin ; bref, les magistrats ne vont pas chômer.

    Dans ce même registre d’acharnement bestial, consistant à pourrir la vie du citoyen, on notera encore que brûler les restes d’une haie après taille de printemps est déjà prohibé depuis belle lurette. Il semblerait que le rite barbare du barbecue dominical soit prochainement dans la ligne de mire. On tient déjà la teneur du slogan gouvernemental à venir : faire rôtir une merguez ne serait-il pas un acte raciste métaphorique ? Eh oui, c’est la bataille d’Alger qui recommence et Jamel Debbouze qu’on assassine.

    Après, il est toujours licite de fuir. Mais pas trop vite et surtout pas en direction de Paris. Là où, sur le périphérique, la vitesse devrait bientôt être limitée à 70. Pour le coup, c’est mesquin. 15 kilomètres à l’heure sur le périph’ et 30 sur autoroute, là, au moins, les statistiques de la mortalité routière baisseraient pour de bon.

    Tout cela étant écrit de la campagne, là où, ces temps derniers, on se les pèle velu, je m’en vais allumer le feu, comme dirait Jean-Philippe Smet, notre poète national, dont le nom rime avec allumette, ce qui tombe bien. Et tout en m’acquittant de ces tâches ancillaires qui ne sont pas sans noblesse, j’aurai encore le temps de méditer sur le monde de demain, pas vraiment parti pour nous forger une nation de samouraïs.

    Provenance bvoltaire.fr (confirmé)


    Ce qui va changer à partir du 1er janvier 2015

     

    A Paris :

    La combustion du bois sera strictement interdite dans la capitale, même pour l’appoint et l’agrément. C’est ce que stipule l’article 31 de l’Arrêté inter-préfectoral du 25 mars 2013, No 2013-084 0002, reproduit ci-dessous :

    « Article 31

    A Paris, l’utilisation de biomasse comme combustible dans des appareils de combustion est interdite. »
     

     

    En-dehors de Paris, dans la « zone sensible » :

    Les feux de cheminée seront aussi interdits en-dehors de Paris, même pour l’appoint ou l’agrément, sur l’ensemble d’une « zone sensible pour la qualité de l’air », comprenant 435 communes, listées dans l’annexe 2 de l’arrêté. Ces communes sont situées en Seine-et-Marne, dans les Yvelines, l’Essonne, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis, le Val-de-Marne et le Val-d’Oise. Voici ce que dit l’article 30 :

    « Article 30

    A l’intérieur de la zone sensible pour la qualité de l’air, hors Paris :

    • à partir du 1er janvier 2015, l’utilisation des foyers ouverts est interdite, même en cas de chauffage d’appoint ou de flambée d’agrément ;

    • tout nouvel appareil individuel de combustion du bois installé doit être performant. »
    Un appareil « performant » dispose soit d’un rendement supérieur ou égal à 70% et d’un taux de CO inférieur ou égal à 0,12% ; soit du label Flamme verte 5 étoiles. Une cheminée à foyer fermé par un insert peut, dans ces conditions, en faire partie. L’installation d’un insert dans un foyer ouvert coûte environ 2500 euros.

    En-dehors de Paris et de la « zone sensible » :

    Sur cette partie du territoire de l’Île-de-France, qui comporte 865 communes, il sera aussi interdit de faire flamber du bois, sauf pour le chauffage d’appoint ou d’agrément :

    « Article 32

    Sur le territoire de la région d’Île-de-France située hors de la zone sensible pour la qualité de l’air, l’utilisation de la biomasse comme combustible dans des installations de combustion à foyer ouvert est interdite, sauf dans des cheminées uniquement utilisées en appoint ou à des fins d’agrément et dans les installations de combustion à foyer ouvert d’une puissance thermique nominale inférieure ou égale à 100 kW utilisées dans l’artisanat, lorsque cette combustion est liée au respect de certaines qualités de production. »


     Document officiel (pdf – prefecturedepolice.interieur.gouv.fr)

    _________________________________________________________
    (Source(s): le-veilleur / ​sosconsowikibusterz / Par JeanBon, le 21.12.2013 / Relayé par MetaTV )

     

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    La médecine du Travail aussi ?

     

    http://www.jennar.fr/?p=3989

     

     

     
    09 nov 2014

    Par Fanny Doumayrou

    L’Humanité , vendredi, 7 Novembre, 2014

    http://www.humanite.fr/revelation-comment-le-patronat-prescrit-valls-la-suppression-de-la-medecine-du-travail-556996

     

    Dans son choc de simplification, le gouvernement s’est laissé dicter une réforme de la médecine du travail par le Cisme, lobby patronal des services de santé au travail. l’Humanité publie l’intégralité du document qui a servi à la dictée.

    Un projet, une réforme, une politique du gouvernement « dictés par le patronat » : le propos peut parfois paraître caricatural. Las, 
la réalité confirme, jour après jour, que la caricature est bien du côté d’un gouvernement « de gauche » qui s’est engagé, bras dessus, bras dessous avec les employeurs, dans une campagne de destruction des acquis sociaux. 
La preuve, cette fois, avec le projet de 
réforme, en forme de laminage, des services de médecine du travail, annoncé dans 
le cadre du « choc de simplification » la semaine dernière. Jeudi 30 octobre, très précisément, les médecins du travail ont découvert de manière totalement brutale, dans le chapeau des 50 mesures de simplification, deux items les concernant. L’un prévoyant de mettre fin à la visite périodique obligatoire pour chaque salarié chez le médecin du travail. L’autre suggérant de supprimer la possibilité pour ce médecin de demander l’aménagement d’un poste de travail pour un salarié ayant des problèmes de santé (voir notre édition du 4 novembre).  Or, le contenu et la formulation de ces mesures s’avèrent directement inspirés d’un document patronal rédigé le 23 octobre, soit sept jours plus tôt, revendiquant cette réforme et appelant les employeurs à la « mobilisation », afin de saisir « l’opportunité » du choc de simplification pour obtenir satisfaction. Pari réussi. De quel patronat s’agit-il ? Du Cisme, pour Centre interservices de santé et de médecine du travail en entreprise, association qui regroupe et représente la majorité des services de médecine du travail en France, eux-mêmes associations à but non lucratif.

     

    Il s’agit en fait d’un syndicat patronal puisque, depuis leur création en 1942, les services de médecine du travail, financés par les entreprises à hauteur de 1,2 milliard d’euros par an aujourd’hui, sont dirigés et gérés par des employeurs. La réforme de 2011 prévoyait de rendre leur gestion paritaire – à 50-50 avec des représentants de syndicats de salariés –, mais un lobbying patronal intense a permis que la présidence du conseil d’administration, qui devait être alternée, soit réservée aux employeurs, qui gardent ainsi le gouvernail financier, mais aussi politique sur la question de plus en plus sensible des risques professionnels. Le Cisme, lié au Medef et à l’UIMM – le patronat de la métallurgie – est connu pour ses interventions régulières auprès des pouvoirs publics. Il milite depuis les années 1970 au moins pour réduire la place des médecins du travail dans les services, afin de lui substituer une panoplie d’intervenants (ergonomes, infirmiers, techniciens) à la fois moins coûteux, ne bénéficiant pas d’un statut protecteur, et de beaucoup moins de poids face aux employeurs. À la faveur d’une pénurie largement fabriquée de médecins du travail, cette évolution s’est déjà imposée à l’occasion des réformes de 2002 et 2011.

     

    Des chiffres largement fantaisistes

     

    Le 23 octobre dernier, donc, le Cisme prend la plume, et le porte-voix. Son président, Serge Lesimple, ainsi que 21 représentants régionaux de l’association signent un « appel » intitulé « Mobiliser pour traiter les difficultés des entreprises à mettre en œuvre un suivi individuel de l’état de santé des salariés adapté et conforme aux textes ». Ce document de quatre pages (à télécharger ci-dessous), transmis à l’Humanité par l’association Santé et médecine du travail, est aussi décliné sous forme d’un document « Powerpoint », reprenant le même argumentaire sous forme simplifiée. 
Il dramatise la situation de la médecine du travail pour exiger sa refonte. L’alerte consiste à dire que la pénurie de médecins du travail rend impossible le respect de la visite périodique obligatoire. Selon le Cisme, le Code du travail implique la réalisation de 30 millions de visites par an, alors que les capacités actuelles sont de 8 millions, et qu’en 2020, elles seront de 4 millions (soit 13,3 %, nous y reviendrons), compte tenu des départs en retraite massifs des médecins du travail. Des chiffres largement fantaisistes, puisqu’ils ignorent les recrutements à venir de médecins.

     

    Et parce que la loi de 2011 a justement assoupli sans limites la périodicité des visites médicales. Une mesure néfaste évidemment aux salariés, mais qui rend impossible le type de calcul sur les « besoins » avancé par le Cisme. Mise en scène, donc, dont les motivations éclatent lorsque le document pointe « des risques juridiques pour les entreprises, que la jurisprudence étend progressivement aux services de santé interentreprises ». Deux jurisprudences concernant des condamnations d’employeurs pour défaut de visite médicale illustrent l’insécurité juridique. Une situation qui, selon le Cisme, « milite pour une modification des textes » : « Le mouvement de simplification pour les entreprises, initié dans notre pays, constitue une opportunité pour faire évoluer le Code du travail dans ce domaine. La première étape consiste à inscrire ce thème à la liste des sujets devant bénéficier d’une simplification. Des arbitrages sur cette liste pourraient intervenir dans les prochaines semaines », soulignent les auteurs, bien informés de l’actualité gouvernementale. Et d’ajouter que la « mobilisation des employeurs au niveau territorial est essentielle pour engager un travail d’élaboration des solutions en prise avec les réalités de terrain ». Avant d’inviter les employeurs à « s’adresser à leurs instances nationales et à leur environnement institutionnel (Direccte – directions régionales du travail, préfets, parlementaires) ». Le reste du texte souligne aussi que cette réforme serait « l’occasion de repenser les modalités de déclaration d’inaptitude, également source de difficultés dans l’entreprise ». Le 30 octobre, le message a visiblement été reçu par le gouvernement. La mesure 21 de son « choc », présenté en grande pompe, prévoit de « simplifier la visite médicale » et reprend l’argumentaire et les calculs du Cisme, prétendant qu’« aujourd’hui, la visite médicale n’est réalisée que dans 15 % des cas ». « C’est un chiffre bidon, d’où sort-il ? » se demandait, lundi, Bernard Salengro, médecin du travail CFE-CGC, pour qui le chiffre réel est de 70 % de visites honorées… Le document du gouvernement qualifie ces visites de « formalité impossible », un terme utilisé dans une brochure du Medef sur les services de santé au travail consultable sur le site du Cisme. Et il insiste aussi sur la « forte insécurité juridique » dans laquelle sont placés les employeurs. La mesure 22 vise aussi à « sécuriser l’employeur » en cas de salarié déclaré « apte avec réserves » par le médecin. Il s’agirait donc de supprimer cette possibilité, afin que l’employeur n’ait plus à s’embarrasser avec des aménagements de postes pour salariés abîmés par le travail. Mais, là encore, le document sent la rédaction sur un coin de table puisque la terminologie exacte est « apte avec restrictions » ou « avec aménagement de poste », pointe, agacé, Bernard Salengro.

     

    Des arguments sur un plateau


    « On aurait pu croire que ce gouvernement aurait un projet pour la médecine du travail, mais non, dénonce Dominique Huez, vice-président de l’association Santé et médecine du travail. Ce sont les employeurs qui font les mesures, à travers plein de groupes de pression. En l’occurrence, le Cisme a apporté l’argumentation sur un plateau au gouvernement, qui a repris son analyse et ses mots mêmes. C’est la première fois qu’un gouvernement de gauche considère la protection de la santé des salariés comme une insécurité juridique. » Hier, le cabinet du secrétaire d’État à la Simplification, Thierry Mandon, n’a pas donné suite à nos sollicitations. De son côté, le service de presse du Cisme n’a pas confirmé l’authenticité du document et affirme que l’association « n’a pas participé à la rédaction » du projet gouvernemental. Mais il développe l’argumentaire contenu dans le document, avec les mêmes chiffres…

     

    Lire aussi : Vers une offre de services aux entreprises


    Document à télécharger: 2014-10-23-appel-presidents-sst.pdf

     

    http://www.jennar.fr/?p=3989


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    clochard-visage.jpg

     

    Chantal Dupille lance l'opération " Noël des sdf ",

    à relayer pour donner des idées !

     

     

     

    Mes ami(e)s,

     

    bientôt Noël ! Pas pour tous... et dans ce nouvel ordre mondial si égoïste et inégalitaire, il y en a de plus malheureux que les autres ; ne les oublions pas ! Et ils peuvent être source de nos plus grandes joies ! "Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir...".

     

    Or donc, à Noël soit je servais la soupe aux clochards sur une péniche à Pars avec par exemple un Secours Populaire, soit je co-organisais un repas de Noël pour les sdf, vous savez, les sans toit si chers à l'Abbé Pierre... et puis j'ai toujours eu mon sans domicile attitré, auquel je fournissais sourire, vêtements, nourriture ou même de quoi lire.

     

    Mais ma plus belle expérience, que j'ai même une fois partagée avec mes enfants pour leur plus grande joie (j'habitais alors Strasbourg), c'était de confectionner des paquets cadeaux avec aussi bien chaussettes chaudes que friandises ou oranges, et de les porter le soir de Noël à tous ceux qui souffrent de voir les autres faire bombance, ou de voir les vitrines pleines sans jamais rien pour eux. Oui ceux que le monde ne veut pas voir cachent leur misère encore un peu plus les soirs de fête (1)... car ils ont mal, très mal. 

     

    Autour de la cathédrale de Strasbourg, quand les cloches sonnent à toute volée, les clochards, les miséreux, les abandonnés se recroquevillent derrière une porte, dans un coin, dans un recoin, dans une fente moins inhospitalière, plus protégée du froid... et ils essaient de dormir le plus vite possible. Alors réveillez-les pour leur offrir un paquet cadeau plein de bonnes choses, et vous aurez une joie que vous n'oublierez jamais ! Quoi, on ne les oublie pas, ils existent ? La fête sera partagée, avec d'un côté les larmes de reconnaissance, et de l'autre une joie indescriptible qu'aucune bombance, avec caviar et champagne, ne pourra donner. Essayez, sortez de votre cocon, improvisez le partage, et alors ce sera le plus beau Noël de votre vie ! Alors oui, tous, toutes, allez-y comme moi, même en famille, pour troquer l'esprit de compétition contre celui de partage, réellement fraternel...

     

    Fraternel ? Au fait, n'est-ce pas là la fraternité réellement républicaine, en actes ?

     

    Chantal Dupille dite eva R-sistons

     

    (1) On trouve des chaussettes, des écharpes, des vêtements chauds etc à 1€ dans les vide-greniers, ou dans des Organismes de bienfaisance

     

     

    Voici un extrait de mon autobiographie

    "Arlequine" (ma Cour des Miracles).

     

     

     

    Ce soir, je sers la soupe aux clochards. Comme tous les bénévoles. Comme tous ceux que la misère ne laisse pas indifférents.

    Il est dix-sept heures. Les uns debout, les mains dans les poches, les autres assis, le dos rivé au mur, les sans-domicile de la capitale attendent l'ouverture du centre d'accueil La Mie de Pain, situé 54 rue de Bobillot ; la queue ne cesse de s'allonger. Bientôt les portes blindées1vont engloutir la horde des traîne patins et des ventres creux.

    On assiste à de mystérieux conciliabules :

    T'as pas une vieille paire de chaussette en rab, par hasard ? J'ai des tickets de métro, ça te servira pour pioncer au chaud dans la journée.

    Non. Tout ce que je peux te donner, c'est un vieux mouchoir que j'ai trouvé hier sur le trottoir.

    T'as pas des mégots, au moins ?

    Ça, oui. Tiens. Envoie les tickets.

    La porte s'ouvre, laisse passer le gardien, un ancien clochard.

    Entrez. Pas tous ensemble.

    Poussez pas, derrière. Y a du roulis, ce soir !

    Toi, là-bas, tu rêves ou quoi ? Tu penses tout de même pas qu'on va t'héberger avec ton clebs ? Ici, c'est pas un chenil. Bon vent ! Et toi, le Marseillais, tu as de l'embonpoint, ce soir. Montre voir.

    Je montre rien du tout.

    Montre voir, que je te dis, ou je te fous dehors. Tiens, qu'est-ce que je sens ? Ah ça, par exemple ! C'est ta nouvelle cachette ? L'autre jour, une bouteille dans chaque jambe de pantalon, aujourd'hui tu remets ça avec ta sacrée ficelle ! Tu crois donc qu'une bedaine comme la tienne, ça se remarque pas ? Donne tes bouteilles de vin, je te les rendrai plus tard. C'est le règlement ! Après, vous vous les lancez à la tête. Avance. Toi, laisse ta poussette à l'entrée ; tu la récupéreras demain. Et puis, cesse de te gratter comme ça !

    La longue cohorte des pauvres diables pénètre dans le réfectoire. Il y en a de tous les âges, de toutes les nationalités. Certains sont correctement vêtus, d'autres respirent la misère.

    Bonjour, Chantal. Ça fait plaisir de te revoir, toi et ton sourire !

    Un clochard débonnaire me serre la main. Il m'a reconnue.

    Bonjour Monsieur2. Comment allez-vous ?

    Je donne une cuiller et une gamelle bien chaude à la main qui se tend. Un petit salut discret, et le clochard s'éloigne.

    Tiens, il y a de la soupe au poulet, ce soir !

    Pourquoi vous dites ça ? Nous n'avons que de la soupe de légumes à vous proposer.

    Je le dis parce que mon voisin porte un imper mastic. Vous ne savez donc pas qu'on envoie des agents en civil

    à la Mie de Pain ?

    Je l'ignorais.

    Le défilé de la misère continue, morne et lent. Chaque soir de l'hiver, quatre cents à huit cents personnes trouvent à la Mie de Pain de la soupe à volonté ainsi qu'un gîte chauffé où, sans avoir à révéler le secret de leur infortune, ils peuvent dormir.

    J'ai apporté une boite de conserves, dit un vagabond filiforme. Est-ce qu'on peut me l'ouvrir ? Tiens, mais voilà le mort...

    Le mort ?

    Oui, répond un clochard barbu et chevelu comme un patriarche. Je suis un mort qui se porte bien. Tu veux voir mon extrait de décès, mignonne ? Je l'ai eu grâce à un copain. Légalement, je suis mort. Comme ça, j'ai la paix.

    Le silence retombe. La misère est la même pour tous. Que confier à son voisin qu'il ne sache déjà ?

    Encore un peu de soupe, Monsieur ? Il y a pas mal de rab, ce soir.

    Soudain, un homme décharné pénètre dans le réfectoire ; ceux qui viennent quêter un deuxième bol de potage s'écartent afin de lui livrer passage ; l'entraide et la solidarité ne sont pas un vain mot dans la cloche. Le nouvel arrivant semble hors de lui ; il hurle sa colère avec des gestes de pantin désarticulé :

    Je viens de Clairvaux, j'ai dix-huit années de tôle derrière moi pour le meurtre de ma femme qui m'a plaqué ; c'est cher payé. On m'a fait cadeau de deux ans pour bonne conduite, c'est tout. La prison, vous savez ce que c'est ? Un univers terrible. On vous fout avec des pédés. J'ai connu Bontemps avant de passer trois mois dans une cave noire avec pour seuls aliments de l'eau et du pain. A la sortie, on m'a interdit de séjour. A l'Agence Nationale pour l'Emploi, on nous catalogue comme sans domicile. Je croyais avoir payé ma dette en sortant de prison ; je découvre aujourd'hui qu'on m'a condamné à vie ! Alors, demain je vais commettre un acte désespéré pour signaler mon cas. N'importe quoi. Un cambriolage avec effraction ou assassiner un type. Je passerai devant un tribunal et je pourrai attirer l'attention sur les libérés de prison qui, comme moi, ne trouvent pas de travail.

    Cinq cents paires d'yeux las fixent l'homme qui clame sa détresse au milieu du réfectoire. Que peut-on faire ? Je m'assieds à côté de lui pour tenter d'apaiser sa juste colère.

    Commettre un crime ne résoudra rien, Monsieur. Le temps travaille pour vous et bientôt, j'espère, la loi adoucira votre sort. En attendant, pourquoi ne pas faire comme William Borst, un ancien clochard réinséré après avoir apposé sous les essuie-glaces des véhicules en stationnement une centaine de S.O.S. dans lesquels il narrait sa vie tragique et sollicitait un emploi ?

    C'est curieux, jamais personne ne m'a parlé comme vous.

    Un jeune homme se met à pleurer. Alors le libéré de prison, oubliant sa propre colère, serre dans ses bras son voisin de table et lui murmure :

    Non, mon frère, pas ça ! Je croyais être le plus malheureux et je m'aperçois que ce n'est pas vrai. Tu as la jeunesse pour toi, au moins. Tu as la vie devant toi. Sèche tes larmes. Raconte-nous ton histoire et calme-toi. On va essayer de t'aider.

    Il existe chez les plus déshérités une perméabilité à la souffrance, une générosité que l'on trouve rarement ailleurs. En toutes circonstances, les enfants de l'adversité se sentent solidaires les uns des autres. Non seulement ils partagent leurs derniers sous avec un frère de misère, mais les poches les plus trouées ont des ressources inespérées lorsqu'on organise une collecte pour le colis d'un ami en prison ou quand il s'agit de fleurir la tombe de celui qui a eu la chance d'échapper au bistouri des carabins ou à la fosse commune.

    Je voudrais échanger d'autres mots avec le libéré de prison et son voisin ; je voudrais que jamais ne cesse un dialogue dont les deux hommes ont tant besoin pour reprendre un peu espoir. Mais déjà la porte du dortoir aspire leur commune solitude.

    Là-haut, trois cents hamacs répartis sur deux rangées sont mis à la disposition des sans-logis ; ceux qui ne peuvent y trouver place couchent par terre. Les premiers arrivés choisissent les hamacs du haut3, au risque de se rompre le cou s'ils ont trop bu. En guise de traversin, les hébergés utilisent des journaux, la musette ou des souliers. La promiscuité révèle l'incommensurable détresse des exclus de la société : les odeurs de vin mal cuvé se combinent avec la sueur rance et les haleines chargées ; toutes les cinq minutes, un pensionnaire se lève afin de satisfaire un besoin pressant, quand il ne se soulage pas sous lui ; au milieu d'un concert de gargouillements, de rots, de toux en cascade, de râles, de ronflements, de soupirs sonores, de soliloques, d'imprécations et d'injures, bienheureux celui qui trouve un sommeil réparateur ! Seuls les plus endurcis parviennent à s'endormir vers minuit. Les autres restent aux prises avec les effluves et les rumeurs innombrables, pour ne pas dire avec les poux, les puces, les punaises.

    Pendant ce temps, un clochard repose paisiblement à l'entrée de la Mie de Pain ; il a choisi de coucher dans une poubelle de chaufferie qu'il a soigneusement recouverte de bouts de carton. Ce clochard solitaire et presque heureux, c'est Marcel, un ancien professeur de Lettres qui, chaque soir avant de s'endormir, lit Homère, confortablement installé sur son trône de scories.

    Bien que la ville ne soit pas encore sortie de sa torpeur, les hôtes de la Mie de Pain, abrutis de fatigue et de misère, se répandent un peu partout. Mais, invisible et pourtant peut-être plus réelle que jamais, l'armée des va-nu-pieds se terre le jour, ne laissant apercevoir, ça et là, sur un banc, devant un pan de mur lézardé, à l'entrée d'une station de métro ou aux abords d'un marché, que des isolés, des francs-tireurs, véritables fantômes attardés chez les vivants et bientôt balayés par le flot populaire ou la mort.

     

    1Ainsi, les retardataires ou ceux qui sont en état d'ébriété ne risquent plus de défoncer la porte d'un coup de pied.

    2Rien ne réjouit autant un sans-domicile que de se voir appelé Monsieur, comme n'importe quel individu. Ce mal-aimé de la société, en dépit de la superbe indifférence qu'il affiche volontiers, souffre de se sentir rejeté, misérable, solitaire ; il aspire à retrouver sa dignité d'homme. Mon vouvoiement est de respect.

    3Il paraît que l'air y est meilleur.

     

    .

    Et pourquoi à Noël ne pas offrir un animal de compagnie, celui qui saura jour après jour, fidèlement, combler de joies ? Et il vous fera faire de l'exercice bon pour la santé. Vous travaillez et vous avez peur qu'il aboie ? Alors prenez un chat, ou mettez à votre compagnon un collier anti-aboiements, qui libère de la citronnelle.
    Je republie un article sorti sur ce site (chantal)
    .
    .Mercredi 27 juin 2012

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    A l'instant, je viens de voir un reportage qui m'a fendu le coeur : Avec la crise, davantage d'abandons ! C'est intolérable ! Alors, je republie ce texte... Chantal

     

     

     

    http://classes-presse-2011.ac-rennes.fr/spip.php?article1437

    Histoire_de_CHIEN__de_Frenchky












































     
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    http://bernache.canalblog.com/archives/2008/08/18/10270893.html

    Un Parson russel terrier

      Le sosie de mon précédent chien 

      (Ce sont mes préférés...)


    http://www.spa.asso.fr/

     

    ..

    Le cauchemar américain !

    Un nonagénaire arrêté pour avoir distribué de la nourriture à des sans-abris


    5/11/14 - 00h23
    Capture d'écran. © KHON.

    vidéo

     

    L'homme risque une peine de 60 jours de prison et une amende de 500 dollars.

    La consternation. Arnold Abbott, un nonagénaire volontaire dans une association d'aide aux démunis, a été arrêté à Fort Lauderdale (Floride) dimanche pour avoir préparé et servi des repas à un groupe de sans-abris.

    Accompagné de deux autres volontaires, le vieil homme est accusé d'avoir violé un décret local de la ville interdisant la distribution de nourriture aux sans abris sur les places publiques. "L'un des policiers s'est approché et m'a demandé de lâcher l'assiette, comme si je portais une arme", a déclaré Abbott au journal local KHON.

    En réponse à cette arrestation, le maire de la ville, Jack Seiler, se retranche derrière sa promesse de punir ce genre de comportement. "Nous appliquons la loi ici à Fort Lauderdale", a-t-il répondu avec laconisme. En 1999, le nonagénaire avait déjà été poursuivi pour un délit identique. Il avait gagné son procès  contre la ville.

    "Je vais devoir une fois encore me rendre au tribunal pour me défendre face à une ville que j'aime. (Ces gens) n'ont rien, n'ont même pas un toit où s'abriter. Ils sont plus pauvres que pauvres". Homme de foi et de conviction, Abbott a déclaré vouloir poursuivre son action, se préparant à la possibilité d'être une fois encore arrêté.


    7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2111400/2014/11/05/Un-nonagenaire-arrete-pour-avoir-distribue-de-la-nourriture-a-des-sans-abris.dhtml

     

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    Une bande de clowns déguisés en " socialistes",

    responsable de nombreuse et brutales agressions

    à l'encontre des supports de la république .

     

    par Jean LEVY

     

     

    Depuis plus de deux ans, un certain nombre d'individus, agissant en bande organisée, portant masques et travestis, sème le désordre sur l'ensemble du territoire.

     

    Ils s'en prennent, en priorité,  aux supports de l'Etat social, mis en place pierre à pierre, tout au long du dernier siècle, par le peuple rassemblé : la Sécurité sociale, les allocations familiales, le système de retraites, le code du Travail, les conventions collectives, les rémunérations garanties, tout y passe, tout est brisé.

     

    Ces agressions violentes contre les personnes jusque là sécurisées, se sont multipliées au détriment d'une masse considérable de salariés, ainsi privés de leur emploi, en difficulté de se soigner, pressurés par la productivité.

    On mesure l'ampleur du phénomène et ses dramatiques retombées.

     

    Mais, dira-t-on, "Que fait la police ?"  

     

    Pourquoi ne met-on pas un terme aux exactions de ces criminels, puisqu'ils sont, nous dit-on, démasqués ?

    Pas si simple, car cette délinquance, n'agit pas au grand jour. Elle frappe camouflée.

    En effet, les derniers rapports du ministère de l'Intérieur précisent que les individus en question se sont travestis en "socialistes", portant le masque de nos dirigeants.

     

    Certains clowns opèrent même avec le visage de François Hollande et de Manuel Vals, et d'autres ministres, de députés locaux, de dirigeants syndicaux.


     

    Souvent une rose à la main, ils défendent, le verbe haut, la veuve et l'orphelin. 

    Comment, dans ces conditions, sévir contre de si bons citoyens ?

    La police ne peut guère discerner le bon grain de l'ivraie.

    Et nos malfaiteurs poursuivent leurs forfaits en toute impunité.

    Le Président fustige les fauteurs de désordre. Il dénonce à la télé ce mal qui envahit la société, mal dont il est, dit-il, "son seul ennemi".

    Pourtant, rien n'y fait. Les agressions se multiplient comme une épidémie.

    Un jour, le cadre de nos institutions est fracassé, les départements jetés comme les municipalités. Le lendemain, ce sont les pharmaciens, les notaires qui sont visés. 

     

    Certes, l'enquête progresse.

    Le réseau aurait des racines hors de nos frontières. Dans les milieux bien informés, on cite Bruxelles comme le centre de ses néfastes activités. Là se situerait le noyau dirigeant du gang costumé. On parle aussi de Strasbourg où s'assemblerait les filiales de ce crime organisé.

    Mais comment agir avec Schengen ?

    Comment sévir à l'étranger ?

    Des voix s'élèvent chez nous pour lever le voile et ôter les masques, hors des bals costumés, et les clowns  aux cirques cantonnés.

    Les gredins seraient ainsi démasqués et châtiés.

    De l'angoisse, la France serait délivrée et les Français libérés.

     

    Et le socialisme, le vrai, aurait droit de cité


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    Source :

    François Asselineau : "L'extrême droite c'est le gouvernement actuel" donc fasciste !


    Sur ce site, on peut lire

    l'abracadabrante histoire des drones

    au-dessus des centrales nucléaires françaises

     

    Drones : La stratégie du choc ? Halloween ?: hypothèse inquiétante d'un expert en énergie nucléaire

     

     

    Quelques mn extraordinaires

    pour comprendre les événements ! (eva)

     

     

     


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