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    Nicolas Sarkozy, l'homme qui déteste la France ...

    et qui aime tant les guerres au point de préparer

    activement celle contre l' Iran

    qui  dégénèra en guerre mondiale !

    Voilà des vérités à relayer ..

     

     

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    http://blogs.mediapart.fr/blog/giulietta/010112/en-ce-1er-janvier-2012-mon-voeu-le-plus-cher-pour-nicolas-sarkozy-qu-il-d

     

     

    Un texte en plusieurs parties

     

    - Le décalage entre les paroles - et les actes.

      Les mots, et les maux !

    - Une campagne électorale indigne de la France

    - Rassembler, ou diviser ?

    - Place du Trocadéro. Tout un symbole !

    - Le nouveau modèle social est la destruction de notre modèle social

    - Sarkozy, l'homme du Nouvel Ordre Mondial

     

     

    Les mots de Guaino,

    et les maux de Sarkozy

      Par eva R-sistons

     

     

     

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    Que penser du discours de N. Sarkozy au Trocadéo ?

     

    C'est un discours purement électoraliste, ratissant large, et dénué de toute sincérité. La puissance du verbe - signée Guaino - n'a d'égale que la fourberie de celui qui parle. Sarkozy va à la pêche aux voix qui lui font défaut. Il prend un shaker et il met ce qu'attendent les électeurs du FN, d'un côté, et de l'autre, ce qu'espèrent les électeurs de M. Bayrou. Il secoue bien la potion magique. Au final, il y a un fatras indigeste ! Car à trop mélanger les contraires, on perd sur tous les tableaux. Même avec des mots édulcorés pour ne pas effrayer l'autre bord !

     

    En permanence, N. Sarkozy se réfère à de Gaulle. Mais la seule chose de gaullien, c'est le souffle : Car le discours de N. Sarkozy a été écrit par une belle plume, celle de Guaino, gaulliste dévoyé. Sa spécialité, c'est de jouer brillamment avec les mots, de leur faire dire ce qui plaît aux Français. Même si ces mots ne reposent sur rien ! Et même s'ils osent se réclamer de valeurs ou de personnalités aux antipodes de ce que nous avons vu pendant cinq ans : Par exemple, entendre Sarkozy évoquer la Résistance, la Révolution, Moulin, Blum, Jaurès... est une insulte à l'Histoire de France !  La vérité sarkozienne est toute autre : Dans la collaboration avec l'Etranger et avec le Grand Capital, donc contre la France et contre les Français !

     

    Donc, récupérer le Gl de Gaulle en se référant à lui sans cesse. Mais le Gl de Gaulle, c'est le rejet du monde de l'argent, de la soumission de la France aux puissances financières, et c'est le souci d'une France indépendante, disant non à l'OTAN et à l'hégémonie américaine. Nicolas Sarkozy, c'est la glorification de l'argent, des nouveaux riches, de la réussite à tous prix,  et de l'Amérique vouant un culte au dieu dollar et va-t-en guerres permanentes ! 

     

    Nicolas Sarkozy défend "l'héritage", celui des Bettencourt et autres milliardaires qui ne cessent de recevoir des cadeaux fiscaux et toutes sortes d'avantages, tandis que les salaires n'augmentent pas et que le pouvoir d'achat des Français tend à diminue. Le travail, d'ailleurs, ne cesse de se précariser ! Et le SMIG d'être bloqué... "Non à l'Union Européenne des consommateurs", proclame Sarkozy. Comprenez, non à l'UE du pouvoir d'achat ! Oui à l'UE de la Finance... Or, voici que le candidat de l'UMP, ébranlé par les revendications des électeurs du FN,  propose soudain de "protéger le capitalisme d'entreprise" plutôt que celui de la Finance. Va-t-il faire demain ce qu'il n'a surtout pas fait pendant ses cinq années à la tête de la France ? Qui croira cela ?

     

    Nicolas Sarkozy se proclame "l'héritier des congés payés" - mais il ne cesse de rogner sur les congés, le repos des travailleurs, les fêtes chômées travaillées, les congés amputés, le travail le dimanche... -, il se proclame "l'héritier du droit de grève et de la liberté syndicale" - mais il ne cesse de s'en prendre aux Syndicats et de restreindre le droit de grève, il rêve d'ailleurs de le contourner en attendant de le détruire ! -, il se proclame "le protecteur de la SS", mais il ne cesse de promouvoir la médecine à 2 vitesses et de dérembourser les soins... et le pire est devant nous, puisque déjà ceux qui ont de l'hypertension vont progressivement voir leurs médicaments non remboursés ! Pour commencer...

     

    L'Occupant de l'Elysée prétend protéger les "vrais" travailleurs, mais c'est sous sa présidence que le coût du travail a baissé - au détriment des salariés pressurés, licenciés, délocalisés, dégraissés... - et que le pouvoir d'achat n'a jamais autant baissé ! Et ce n'est pas fini s'il est réélu, dès demain, avec la TVA anti "délocalisations", comprenez : "anti-sociale". Et il ose accuser les Syndicats de mentir aux Français ?  Au fait, qui ne cesse de faciliter les procédures de licenciement des travailleurs, si ce n'est le candidat de l'UMP ? Les Français vont-ils, avec lui, être sinistrés comme leurs territoires sont toujours plus livrés à l'abandon ? Dit autrement, les plus nantis seront-ils les seuls à être favorisés, encore et toujours, comme les villes les plus riches, et les communes les plus pauvres seront-elles toujours plus délaissées comme l'ensemble des citoyens ? 


     

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    Quel nouveau modèle social ?

     

    Et quel est ce nouveau modèle social proposé aux Français ? Il fait la part très belle à la "souplesse" du travail, comprenez : "la flexibilité", ce mot effroyable qui signifie la disparition de la vie de famille (un emploi dans une ville, et dans une autre pour le conjoint) et des projets d'achat de logement, etc. Les travailleurs doivent-ils sacrifier leur vie personnelle et leur avenir aux profits des entreprises ? En réalité, le VRAI nouveau modèle social - se substituant à l'ancien, protecteur -  détruit notre Droit du Travail. Et par ex, les licenciements seront facilités, les travailleurs seront moins indemnisés, et ils devront mieux se plier aux exigences de leurs employeurs. C'est cela, le progrès ? Des travailleurs toujours plus au service des entrepreneurs et des actionnaires, même au prix de leur vie personnelle, familiale ? Avant de voter, je vous en supplie, réfléchissez à ce qu'il y a DERRIERE les mots employés pour nous éblouir ! Au fait, Sarkozy n'a-t-il pas été au pouvoir pendant cinq ans ? Le modèle social qu'il a mis en place aurait-il donc tant échoué qu'il faille déjà le changer ?

     

    La seule vérité - non étayée, évidemment, car elle ferait fuir nombre d'électeurs - est que N. Sarkozy réduira en effet le coût du travail : "Le coût du travail ne sera plus tabou, il sera allégé". A-t-on bien compris ce que cela veut dire réellement ? Comme pour les Grecs, nos voisins européens, cela signifiera-t-il que les "vrais" travailleurs seront bientôt payés 450 euros par mois ? C'est cela que nous voulons réellement ?

     

    N. Sarkozy s'auto-proclame le candidat du travail: Faut-il rappeler qu'avec lui, jamais autant d'emplois industriels n'ont disparu (il a bradé une partie du secteur industriel français, par amour de la France ???? Même chose pour l'or et le patrimoine de notre pays), il supprime peu à peu les emplois de fonctionnaires, il liquide nos paysans, et j'en passe. Et il ose se prétendre le candidat du travail, du "vrai" travail ? Il n'est en effet que l'homme du vrai chômage, de plus en plus mal indemnisé d'ailleurs !

     

    Et qu'appelle-t-il "vrai travail" ? Celui qui prospère tant avec lui, intermittent, précaire, sous payé, mal protégé, flexible... ? Il est bien mal placé pour parler du "vrai travail", lui qui le piétine quotidiennement en laissant nos emplois fuir à l'étranger, en laissant les conditions de travail et de rémunération se dégrader, en accordant toujours plus d'heures de travail à ceux qui en ont au lieu d'en donner à ceux qui n'en ont pas, ou encore en bradant l'Agence pour l'Emploi,  pour en faire un instrument inefficace... Osons le dire : Avec lui, tout, absolument tout, est imposture !

     

    Autre "mot qui ne doit pas être tabou", mais surtout pas, c'est celui de patrimoine. Là, on peut lui faire confiance ! Le sien a augmenté de 30 % en 5 ans, en pleine crise, et celui des Bettencourt et Co, n'en parlons pas ! Car ne l'oublions jamais, il est, et il RESTERA, le Président des plus riches. Vous en êtes ? Tant mieux ! Sinon, attendez-vous à bien pire lors de la 2e présidence...  si une fois réélu, le bonhomme ne change pas la Constitution pour être Président plus longtemps et même à vie - à moins qu'il n'impose aux Français ses rejetons qu'il a déjà tant promu, au point de scandaliser la Presse étrangère. Mais cela, en France, est totalement passé sous silence...

     

    Et ce "nouveau" modèle social - au fait, qui paie tous les spécialistes chargés de nous berner ? - prévoit de ne pas empêcher ceux qui veulent travailler de travailler. Evidemment. Sauf que cela signifie l'atteinte au droit de grève, puisque tout sera fait pour permettre d'éviter les grèves.  Quant au "refus du partage du travail", cela veut dire qu'on pourra continuer la défiscalisation des heures supplémentaires diminuant le coût du travail - et augmentant le nombre de chômeurs puisque certains pourront travailler beaucoup plus, au détriment de ceux qui n'en finissent pas de chercher un travail. Les 35 heures ont permis la création de nombrex emplois, et c'est sous Lionel Jospin (PS) qu'il y a eu un million de chômeurs en moins. N. Sarkozy, lui, a fait l'inverse en 5 ans : Un million de chômeurs en plus ! Et il dénigre les socialistes ? Ajoutons d'ailleurs que celui qui se proclame l'homme des frontières, désormais, les a largement ouvertes aux étrangers, à la demande du MEDEF, pour diminuer le coût du travail. Qu'en pensent les électeurs du FN soucieux de la préférene nationale ? Et à l'intention de ces électeurs, j'ajouterai que les chiffres de la délinquance sont moins bons que le Gouvernement ne l'annonce : La violence à l'encontre des personnes, par ex, n'a cessé d'augmenter.

     

    Et c'est cela, la "civilisation, le modèle et l'humanisme européens protecteurs" prônés par N. Sarkozy ? Une civilisation où "les retraités ne seront pas à la charge de leurs enfants et ne mendieront pas" (!), et qui "pourront même aider leurs enfants, tant mieux" ? Quel aveu de civilisation ! Quel brillant avenir pour nos enfants ! Comme en Espagne, seront-ils obligés de dépendre de la retraite de leurs parents ? Et comment N. Sarkozy peut-il oser s'adresser aux retraités alors qu'il va peu à peu tout faire pour qu'il n'y en ait plus : En déremboursant les médicaments contre l'hypertension, en reculant toujours plus l'âge de la retraite - car cela va aller en s'accentuant -, en laissant les conditions de travail se dégrader, etc etc ?

     

    Nicolas Sarkozy annonce au Trocadéro qu'il "a pris les décisions qui s'imposent, qu'il a fait ce qu'il fallait, sinon nous serions comme en Espagne !". Vraiment ? Quel bilan ? Un million de chômeurs de plus, tandis que les moyens consacrés à la lutte contre le chômage n'ont cessé de baisser, et que les mesures du Président ont favorisé le chômage (Par ex, la défiscalisation des heures supplémentaires). Ou encore la dette publique qui a explosé (600 milliards de plus !) !

     

    Concernant l'école, N Sarkozy promet qu'elle sera "plus attentive aux fragilités de chacun". Comment ? En reculant sans cesse l'âge de la scolarité (pour diminuer les coûts, là aussi), et en faisant sortir les jeunes de l'enseignement plus tôt ? De qui se moque-t-on ? Et que va devenir l'Ecole de la République alors que les heures consacrées à l'enseignement de l'Histoire et de la géographie ne vont cesser de baisser ?  Est-ce ainsi que l'on va développer la culture et l'esprit critique ? Nos enfants vont-ils être comme les petits Américains qui ne connaissent que la géographie de leur pays et qui ne savent même pas où se trouvent des vlles comme Rome ou Madrid ?

     

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    Sarkozy candidat : le Président des riches met son masque de zorro et devient le défenseur du peuple !

     

    Président du rassemblement, ou de la division ?

     

    Nicolas Sarkozy ose se présenter en rassembleur des Français, alors qu'il est de notoriété publique le Président des clivages, au point, le 1er mai, d'organiser une "contre-manifestation", et cela dans un climat particulièrement malsain ! Il ne cesse de dresser les Français les uns contre les autres, les travailleurs contre les chômeurs, les employés du privé contre les fonctionnaires, les non-grévistes contre les grévistes, les Français de souche contre ceux qui ne le sont pas, et il oppose le drapeau rouge au drapeau tricolore (alors qu'il comporte 1/3 de rouge, et pour cause), etc etc... Dernier exemple aujourd'hui même : En classant les syndicalistes et ceux qui ont défilé derrière eux parmi les ennemis des travailleurs, "ils ont défilé contre le travail, ils l'ont abîmé !" La mauvaise foi, la caricature, vont jusque là ! Et que dire des attaques d'une violence inouïe contre les socialistes et ceux qui vont voter pour eux (+ de 50 % des Electeurs selon les sondages), en les dépeignant comme des gens "jaloux et haineux" ? Et il ajoute, sans rire : "La haine de soi, des autres, je laisse ces sentiments aux autres !" A-t-il perdu la tête ? C'est lui qu'il décrit, complexé, frustré, envieux, haineux, clivant, pervers ! Quel transfert insensé ! Sans doute les psy pourront-ils écrire de nouveaux ouvrages à son sujet ! Et c'est cet homme qui prépare activement avec ses amis sans scrupules la guerre contre l'Iran qui va dégénérer en conflagration planétaire ! Je ne suis pas la seule à penser que sa personnalité psychotique, tourmentée, y trouve une certaine jouissance... d'autant qu'au fond de lui, il déteste les Français, qu'il ne comprend pas plus que notre pays (Histoire, culture, traditions, modèle social, laïcité..), lui l'inconditionnel de l'Amérique de Bush !

     

    Et parce qu'il prétend "unir les Français" autour de lui, voici le candidat Sarkozy qui se proclame Républicain, authentique républicain... Sait-il même ce que cela signifie ? Liberté ? Les Médias doivent se soumettre ou se démettre ! Egalité ? Il ne cesse de promouvoir les Tapie, les parvenus, les riches - ou l'école de l'excellence ! Fraternité ? En osant aujourd'hui même fustiger les syndicalistes qui se battent pour que les salariés soient entendus ? Et en ne cessant de dresser les uns contre les autres, ceux qui réussissent contre les autres - assistés ou pas -, les vrais travailleurs contre les faux, etc.  De qui se moque-t-il ? Et le croira-t-on aussi lorsqu'il déclare "redonner la parole au peuple" ? Alors que ceux qui défilent pour un travail décent sont dénigrés, ridiculisés, rabaissés ?

     

    "Nous n'avons pas d'adversaires", déclare sans rire l'heureux Président. Vraiment ? Alors pourquoi ne peut-il aller en banlieue, pourquoi ne peut-il aller nulle part en France sans des mesures de protection outrancières et terriblement coûteuses ? Pourquoi ne peut-il rencontrer les Français sans craindre pour sa vie ou seulement en se protégeant de toutes les manifestations contre lui, de parents, d'enseignants, d'avocats, d'infirmières, etc, etc ? Chacun de ses déplacements coûte une fortune au contribuable, car il faut à tous prix empêcher les Français de l'approcher, tant est forte leur détestation. Gare au préfet qui ne réussira pas à isoler complètement des Français ce Président "sans adversaires" ! 

     

    Et voici que Celui qui déclarait avant d'être Président, comme sa femme Carla d'ailleurs, qu'il n'aimait pas la France, se découvre avant le 2e tour un amour fou pour notre pays : "Je me battrai pour gagner, car j'aime trop la France !" Et Carla au Trocadéro, quelle indécence, met en valeur "'amour de la France" de son mari au micro d'un journaliste. Qui gobera ces sornettes ? Et que penser de la promesse du candidat Sarkozy de "ne pas laisser la France renoncer à son identité", alors qu'il la soumet ou la brade à Bruxelles, à Francfort, à Londres, à Washington, à Tel-Aviv ? Va-t-il soudain effectuer un virage à 90° pour faire demain le contraire de ce qu'il a fait hier en France ? Et peut-on croire le plus communautariste des Présidents, à l'américaine (au point encore dans son discours de citer 2 fois Dreyfus et de rappeler les origines chrétiennes de la France), qu'il incarne la laïcité à la Française ? La belle imposture !  "On ne veut pas de communautarisme, de tribus, de communauté.  Et nous voulons garder notre cinéma, notre culture, notre langue", etc... Vraiment ? Même l'Armée, notre Armée française, avec Sarkozy, doit se mettre à l'Anglais : "The French Army informs you…". Et on le croirait, lui qui n'a de cesse d'américaniser la France, de citer en exemple les Etats-Unis, d'imiter ce pays ? On le croirait, lui qui n'a eu de cesse de rentrer la France dans l'OTAN, le bras armé de l'Amérique impériale, impérialiste, va-t-en guerres ? Où est notre identité si elle est fondue à l'extérieur ? Nicolas Dupont-Aignan ne s'y est pas trompé en plaidant pour une "France libre", son slogan de campagne. Oui, la France a besoin d'être libérée du joug de l'Etranger ! Qui le dira, au 2e tour ?

     

     

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    La France faible (Sarkozy) et la France forte (Asselineau) par eva R-sistons


     

    La modernité française... du Nouvel Ordre Mondial !

     

    Presque en conclusion, Nicolas Sarkozy appelle à "s'adapter au monde qui change". Vers le monde d'aujourd'hui ? Vers toujours plus d'individualisme, d'égoïsme, de compétition, de concurrence, de marchandisation, d'affrontement, de brutalité, de libéralisme, de virtuel, de déshumanisation, de rapacité, de domination, de prédation, de désinformation, de dérégulations, de guerres, et j'en passe ?  Erreur ! Nous ne voulons pas de ce monde-là ! Et nous ne voulons pas du Nouvel Ordre Mondial promu avec tant d'ardeur par N. Sarkozy, nous ne voulons pas de cette abominable modernité, de cette criminelle modernité !

     

    Falsifications scandaleuses ! Le défilé des travailleurs, avec leurs syndicats, ravalé à un "défilé sous un drapeau de la colère, de la haine, du sang" § , alors qu'ils défendaient l'emploi, le Droit du Travail et des salaires décents ! Et oser dire, par ex, que "les syndicats ont appauvri les travailleurs", frise l'indécence totale ! Jusqu'où ira le "Président des Français" pour salir ses opposants, ses adversaires - tout en prétendant qu'il n'a pas d'adversaires - et pour falsifier la réalité ? La fin - le pouvoir coûte que coûte surtout alors que la Justice l'attend s'il perd son immunité parlementaire - ne justifie pas tous les moyens, même les plus indignes de Celui qui devrait, à la tête de la France, représenter TOUS les Français et montrer l'exemple !

     

    Le Trocadéro, d'ailleurs, quel symbole !  Celui de la France des riches, celui de la France de Neuilly et de l'Avenue Foch. C'est le même moule. Et ce choix rappelle les trois premiers actes de Nicolas Sarkozy, qu'il ne faut pas oublier :

     

    - La fête au Fouquet's

    - L'augmentation de son salaire de 170 %, en pleine crise

    - Le bouclier fiscal pour accorder des cadeaux coûteux aux plus riches.

     

    Oui, quel symbole, là aussi ! Et il va devenir, aujourd'hui, avant le 2e tour, soudain, "le Président du peuple" ? Quel imposteur !

     

    Jacques Chirac avait à la face du monde défendu la France de la dignité. Aujourd'hui, Gérard Longuet, le Ministre de l'attaque de pays souverains (pardon, de la Défense), un ancien du groupuscule de sinistre mémoire Occident, et un homme connu pour ses multiples casseroles, M. Longuet, donc, pour faire gagner son camp aux Elections, se rapproche du FN et de Minute le journal de l'Extrême-Droite. En se prétendant patriote, alors que le monde de l'Argent qu'il défend, n'a pas de patrie !

     

    Nicolas Sarkozy parle de nivellement par le bas, en quelque sorte. Oui, mais c'est avec des Sarkozy et des Longuet que la France est abaissée ! Elle ne peut pas tomber plus bas. Le choix du Trocadéro ne la relève pas, au contraire ; Car ce choix ne représente que la France d'en Haut, de l'Argent, de l'arrogance, du mépris - de l'Oligarchie. J'ai passé mes 25 premières années dans ces quartiers (Trocadéro, Neuilly, Avenue Foch..), je les connais, je le dis solennellement : La France, ce n'est pas ça. "Ca", c'est une bulle coupée du monde, des réalités, des souffrances de la France profonde, réelle, qui a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts. "Ca", c'est un vernis qu'il vaut mieux ne pas gratter. Comme les mots de M. Sarkozy, qui sont un joli vernis posé sur une réalité bien sombre, le choix de sacrifier le peuple français à une minorité de privilégiés.

     

    Une campagne indigne

     

    La campagne de M. Sarkozy a été hideuse, indigne de notre pays : Comme sa personne, elle fait honte à la France. Le monde entier nous observe, et ne reconnaît plus notre pays prostitué. La France de Jaurès, de Victor Hugo, de 1789, des Droits de l'Homme, de de Gaulle, et même de Chirac - il votera d'ailleurs pour F. Hollande -, ce n'est pas ça . Lisez la presse étrangère !

     

    M. Sarkozy est hargneux. Il ne veut pas perdre - trop de casseroles, d'ailleurs, le conduisant directement devant des Tribunaux pour répondre de ses actes une fois l'immunité de la Fonction présidentielle levée -, il ne supporte pas de perdre. Il est prêt à tout pour garder le pouvoir ! Où est la démocratie "irréprochable", l'alternance, si l'UMP garde indéfiniment le pouvoir ? Certes, il ne s'agit pas d'une vraie alternance. Mais même cette alternance-là, on nous la refuserait ? Et on a tenté de nous la refuser.

     

    - Pas de débats de fonds. De faux débats, sur des sujets mineurs, éphémères, et souvent indignes de la France.

    - La diversion avec des événements fabriqués de toutes pièces. L'Affaire Merah, par exemple, un attentat sous faux drapeau, qui ramène à la longue ignoble tradition du terrorisme d'Etat.

    - La diversion encore, avec la diabolisation d'une partie de la population. Et la défense d'une autre. On est en plein communautarisme ! Où est la République ? Où est la laïcité ? Jusqu'où allons-nous perdre notre âme pour le plat de lentilles du Pouvoir ?

    - Des arguments sales, des mensonges ("la Gauche va régulariser tous les sans papiers", Tariq Ramadan qui soi-disant "soutient Hollande", etc) , du dénigrement et des calomnies insupportables ("le PS c'est l'amertume, la haine...").

    - N. Sarkozy va jusqu'à rependre les arguments et les souhaits des uns et des autres pour l'emporter, c'est tout simplement lamentable ! Nous savions, avec le Traité de Lisbonne imposé aux Français contre leur volonté, qu'il était l'homme des coups de force. Jusqu'où cela ira-t-il ?

    - Il reste 5 jours. Comment seront-ils utilisés pour faire gagner à tous prix Sarkozy ? Quel fait divers de dernière minute pour faire basculer l'opinion en sa faveur ? Quel mensonge, quelle mise en scène, quelle nouvelle bassesse ?

     

    Ce que je retiens du Trocadéro, en tous cas, c'est qu'on peut jongler avec les mots, leur faire tout dire même le contraire de la réalité. Les mots de Sarkozy sonnent creux, faux. Ils sont clivants. Ils cherchent à faire peur, ou à faire miroiter. Ce n'est pas sérieux, c'est vil. Le goût du pouvoir n'autorise pas tout. Il y a des limites !

     

    Nicolas Sarkozy cherche à ratisser large. Il a choisi le décor imposant du Trocadéro, mais la Tour Eiffel n'est pas le clocher de nos villages. C'est l'arrogance d'un monument, ce n'est pas la vraie France. Tout est artificiel. Triste fin de campagne ! Et le pire nous attend peut-être d'ici dimanche... Avec un personnage comme Sarkozy, il faut s'attendre à tout - surtout au pire. Saurons-nous nous en souvenir au moment du vote ?

     

    Nous devons nous remémorer ce qui a été fait. Il y a un bilan-Sarkozy, et il est désastreux pour la France et pour les Français. Les mots que nous avons entendus au Trocadéro masquent les maux que nous a imposés Sarkozy contre notre gré pendant 5 ans - même une retraite de plus en plus tardive, car le mouvement est seulement amorcé.

     

    Modèle social français, ou américain, ou du NOM ?

     

    L'avenir avec Sarkozy ne nous est pas révélé. Il est à peine esquissé - entre les lignes. Par exemple, le travail doit être "plus souple".  Et le nouveau modèle social français, n'est que la mort du modèle social (Droit du Travail,  Services publics, Ecole républicaine, S.S., protections sociales..) auquel nous sommes tous attachés, et que le monde nous enviait.

     

    La vérité qui nous est cachée, c'est que la France d'hier, celle pour laquelle tant de nos aïeux se sont battus au point de donner leur sang pour que nous vivions mieux (ce sang que Sarkozy l'Américain a insulté dans son discours ignoble du Trocadéro), est appelée à disparaître avec Sarkozy. Nous allons vivre dans une jungle, comme aux Etats-Unis, où les plus forts piétineront les plus faibles pour "réussir", où les Tapie vont prospérer sur les décombres de la classe moyenne et des classes populaires, où l'opulence de quelques-uns tranchera avec la misère du plus grand nombre. 

     

    Le nouveau modèle de Sarkozy qui n'aime pas la France est le modèle américain qui vire au cauchemar pour de plus en plus de citoyens : Pas de travail, pas de soins, pas de toit, des retraités qui doivent travailler jusqu'à la mort, et la violence des exclus à chaque coin de rue.   

     

    Pire encore : Il ne faut pas oublier que par-dessus le modèle américain du parvenu Sarkozy, il y a la mise en place - pas à pas, pour que nous l'acceptions, c'est l'histoire de la cuisson progressive de la grenouille jusqu'à ce qu'elle soit complètement brûlée - du Nouvel Ordre Mondial, encore plus terrible que le cauchemar américain. Car Nicolas Sarkozy est d'abord et avant tout, et avec gourmandise, l'homme de la future "nouvelle gouvernance mondiale" impitoyable. Et comme il nous a imposé le Traité de Lisbonne, il nous l'imposera - peut-être après une guerre mondiale qu'il nous imposera aussi car en vérité, puisqu'il n'aime pas la France, peu lui importera de la sacrifier aux intérêts de ses Maîtres de Londres, de Washington, de Tel-Aviv - et il saura où se protéger, lui, des retombées. Plus près de nous, N. Sarkozy est l'homme de la France qui en Europe, s'incline devant Bruxelles et se couche devant l'Allemagne. Oui, nous sommes aux antipodes de la "France forte" !

     

    Personnalité maladive, imprévisible, fluctuante, névroses multiples, politique au service des Puissances de l'argent et des guerres impériales, et par-dessus tout soumise aux décisions de la Nouvelle Gouvernance Mondiale qui se construit peu à peu sur les décombres de l'humanité manipulée, aveuglée et rackettée. Voilà le "vrai" tableau !

     

    Les mots de Guaino sont magnifiques, mais derrière eux, il y a tout ce que Sarkozy nous cache - tant de maux esquissés déjà dans les faits, et qui si par malheur il est réélu, ne cesseront de se multiplier et de s'approfondir.

     

    Plus les mots sont beaux, plus les maux seront grands. Et Sarkozy est le meilleur des communicants.

     

    Le danger est d'autant plus grand...

     

    L'heure du vote doit être celui du choix. Un seul, hélas, s'impose. Contre Sarkozy, clairement contre lui ! Pour l'envoyer à la place qui doit être la sienne : Devant la Justice !

     

    Eva R-sistons

     

    NB : Les Bilderberg, l'Oligarchie qui décide pour l'humanité et en particulier pour notre pays, a déjà prévu ceux qui devront achever le travail de soumission de notre pays et la destruction de son modèle.

     

    Ils se nomment Jean-François Copé, à Droite, et Manuel Valls, à gauche. Et pour ce dernier, voyons comment ce faux homme de gauche, depuis peu en France (25 ans ?), nous est peu à peu imposé, fonction après fonction, afin qu'il nous devienne familier et sympathique. Les Français commencent à le plébisciter. 

     

    Jusqu'où accepterons-nous d'être manipulés, abusés ?

     

    NB 2 : Mystère ! Qu'a voulu dire Luc Chatel ? "Je vous promets une GRANDE surprise pour le 2e tour". Encore un sale coup, "un fait divers" de dernière mn (on parle par ex d'un faux attentat sur la personne de Sarkozy lui-même, auquel il échapperait bien entendu) ? Le trucage des élections ? Ou des sondages manipulés ? Avec lui, tout est possible. Surtout le pire ! Soyons en alerte !

     

     

    § Honneur à nos ancêtres qui ont donné leur sang pour que leurs enfants vivent mieux, pour les congés payés, la SS, etc !

     

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    À la suite de nombreuses demandes de militants et d’internautes, vous trouverez ci-joint le verbatim du débat qui avait opposé Ségolène Royal à Nicolas Sarkozy le 2 mai 2007. Mais pour commencer, voici pour mémoire quelques promesses faites par Nicolas Sarkozy au cours de ce débat. Promesses sévèrement démenties par son bilan : qu’on en juge :


     



    Je redonnerais « à la vie politique sa dignité » (Note d'eva : La Presse étrangère ne cesse de ridiculiser la France de Sarkozy)

    « On ne peut plus faire de la politique comme avant. Moi, j’essaierai, si les Français me font confiance, d’être un Président de la République qui s’engagera sur des résultats (…). Je voudrais être un Président de la République qui prend ses responsabilités. Je ne m’abriterai pas derrière des tabous, des excuses ou des paravents (…). Je prendrai des engagements, je tiendrai parole et je demanderai à être jugé là-dessus »

    « Je voudrais aussi une République irréprochable. Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire une République où les nominations seront le fait de la compétence et non pas de la connivence »

    « L’énergie que l’on met à durer, on ne la met pas à faire »

    « Je me suis engagé sur le plein emploi. J’ai dit aux Français qu’au bout de 5 ans, on sera à 5% » (de chômage)

    Retraites : « Jusqu’en 2020, on n’a pas de souci majeur à avoir quant au financement de nos retraites. Je garantirai l’application des lois Fillon (…). J’augmenterai de 25% les petites retraites »
    « Madame, pardon de vous le dire, vous faites une erreur. Le financement des retraites est équilibré jusqu’à l’horizon 2020 »
    « Comme je garde les lois Fillon, je n’ai pas besoin d’une recette supplémentaire »

    Logement : « Mon ambition serait de faire de la France un pays de propriétaires »

    « Les logements sociaux, c’est important mais, pour moi, il est plus important de permettre aux Français de devenir propriétaires de leur logement. Le but d’un jeune qui commence dans la vie, ce n’est pas d’avoir une HLM mais d’être propriétaire de son logement. Il faut avoir de l’ambition, Mme Royal : c’est de faire de la France une France de propriétaires »

    Handicap et scolarisation : « Je veux m’engager sur des résultats, sur du concret. Je veux dire à toutes les familles ayant rencontre le drame du handicap que je ferai une place à chacun de leurs enfants dans les écoles, que je donnerai les moyens aux écoles pour les accueillir. La preuve de ma bonne foi, ce sera le droit opposable et la capacité d’aller devant un tribunal pour faire valoir ses droits (…). C’est peut-être même ce qui fait la différence entre la vieille politique et la politique moderne »

    « La question du développement de l’Afrique est une question majeure que je traiterai dans le cadre de l’Union de la Méditerranée »…

    « Sur la santé, il faut créer un 5ème risque, celui de la dépendance (…). Il faut poser la question du remboursement des prothèses dentaires et du remboursement des lunettes car ce ne sont pas des luxes »

    Le compliment à Ségolène Royal : « Ce n’est pas d’hier, et Mme Royal le sait bien, que je respecte son talent et sa compétence. J’avais eu l’occasion de le dire, ce qui m’avait valu des problèmes avec certains de mes amis. On n’est pas là où elle est par hasard. Le système républicain est fait de telle façon qu’il faut développer de grandes qualités pour être le représentant et le candidat de sa propre formation. J’ai du respect pour le parcours qui a été celui de Mme Royal. Nous avons des différences d’appréciation, de points de vue, mais durant cette campagne, nous avons donné l’image d’une démocratie apaisée, en même temps renouvelée »

    Conclusion du débat : « Cela fait trop longtemps que la politique est impuissante. Je souhaite que la politique soit de retour, la vraie politique, le débat. On s’engage, on fait des promesses et on les tient (…). Je veux résoudre la crise morale française. La crise morale française porte un nom : c’est la crise du travail. Je veux que ce beau mot de travailleur, que l’on n’emploie plus, soit respecté et considéré. Je veux porter la question du pouvoir d’achat. Je veux protéger les Français face aux délocalisations »

    « Tout ce que j’ai dit, je le ferai. Je tiendrai scrupuleusement ma promesse et ma parole. Je ne me suis pas engagé à la légère dans cette campagne présidentielle. C’est un choix de vie, c’est un don de soi, c’est une véritable ascèse (…). Si les Français me font confiance, je ne les d écevrai pas, je ne les trahirai pas, je ne leur mentirai pas »

     

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    Comme l’ont dit plusieurs éditorialistes ce fut un débat de fond (durée du temps de travail, retraites, fiscalité, nucléaire civil, Union européenne et international, …), de haut niveau même s’il fut résumé médiatiquement à quelque extraits.

    Les commentaires de presse écrite jugent que le débat était très équilibré et de grande qualité. Certains d’entre eux ont par ailleurs jugé que Nicolas Sarkozy avait sous estimé la pugnacité de Ségolène Royal. Selon Christophe Barbier, il y a eu "deux gagnants" : "les deux candidats n'ont pas montré les travers qu'on leur prête, à savoir un manque de sérénité pour Nicolas Sarkozy et une méconnaissance des dossiers pour Ségolène Royal". Jean-Marie Colombani déclare lui que : "le face-à-face n'a pas été de nature à renverser à lui seul le cours de la campagne".

    La Médiascopie du soir même, de Denis Muzet, donne quant à elle vainqueur Ségolène Royal. En effet, l'enregistrement des réactions spontanées des téléspectateurs tout au long du débat montre une adhésion plus forte de ces derniers aux propos de la candidate socialiste.

    La presse écrite du lendemain, également équilibrée et sans trancher clairement, a néanmoins noté un "calme excessif" du candidat UMP face à la candidate socialiste "sûre d'elle" et "combattive".

    Mais très vite, les médias télés et radios ont largement repris l'enquête Opinion Way pour Le Figaro selon lequel Ségolène Royal aurait perdu le débat.

    Ce sondage commandé par la droite a déclenché la colère des co-directeurs de campagne de Mme Royal, Jean-Louis Bianco et François

     

    PJ : Verbatim du débat présidentiel 2 Mai 2007

     

     

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    On peut lire aussi, utilement :

     

     

     

    Lettre citoyenne au Président Sarkozy qui ment et qui trompe les Français

    (tous ses mensonges)

     

    100 raisons de ne pas voter Nicolas Sarkozy (entre autres)

     

    Les dépenses faramineuses de Sarkozy et de l'Elysée en images

     

    Sarkozy, le mensonge permanent

     

    Sarkozy fait exploser le déficit public

     

     

     

     

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     Individu dangereux pour la République

     

    (cliquer sur le lien)

     

     

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    Surtout, avec Nicolas Sarkozy,

    et cela il se garde bien de le dire :

     

    Ce sera la guerre !

     

    Car il prépare activement

    avec Israël et les Etats-Unis,

    la guerre contre l'Iran

    qui avec l'intervention de la Russie et la Chine,

    finira par évoluer en guerre mondiale.

    La France de Nicolas Sarkozy sera particulièrement

    exposée aux représailles,

    du fait de son rôle particulier,

    à la pointe de la guerre.

    Et notre pays est truffé de centrales nucléaires...

     

    Au moment du vote,

    je vous demande solennellement de ne pas l'oublier !

    Nicolas Sarkozy est belliqueux et imprévisible !

    Une dizaine de psy ont écrit un livre

    sur son état mental,

    livres tous censurés !

     

    Notre pays sera en danger !

    Nicolas Sarkozy n'est pas l'homme de la France,

    il a reconnu il y a plusieurs années, d'ailleurs,

    qu'il n'aimait pas la France !

    Sa compagne Carla Bruni avait dit la même chose !

    Sarkozy est Sarkozy l'Américain !

     

    Note d'eva R-sistons

     


    NS-l-Americain.jpg

     

     

    Sarkozy, un cow-boy américain

    pour détruire la France éternelle,

    par eva R-sistons

     

    Sarkozy l'Américain, portrait - Finance (fraudes, escrocs) contre citoyens

     

     


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    C'est l'Union Européenne qui décide !

     

    Au programme, l'austérité pour tous

     

    (sauf pour les banquiers, note d'eva)

     

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    Parutions à voir aussi :

     


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    Notre temps

    n° 472, avril 2009, pages 74 et 75

    http://www.famidac.fr/article2264.html

     

    2003 : Des petites communes favorisent l’accueil familial

     

    18 novembre 2003 - France 3, Région Sud > actus > SUD actus - Mauroux (Lot), article repris sur le site agevillage.com :

    De toutes petites communes choisissent de privilégier l’accueil familial pour leurs ressortissants très âgés

    Trop petites pour pouvoir prétendre à une maison de retraite, certaines communes rurales organisent elles-mêmes l’accueil familial des personnes âgées, formule intermédiaire entre l’aide à domicile et les établissements spécialisés. Guy Delbès, le maire de Mauroux, petit village lotois de 420 habitants, a été le plus fervent promoteur des "Jardins des Aînés", un hébergement de proximité, ouvert le 1er novembre 2003, où deux familles d’accueil accueillent chacune, dans deux maisons mitoyennes, jusqu’à trois personnes âgées.


    La famille loue le 1er étage tandis que les personnes âgées disposent chacune d’une chambre avec sanitaires au rez-de-chaussée, ainsi que d’une salle commune. Ce sont elles qui rémunèrent l’hôtesse, à hauteur d’environ 750 euros par mois et par pensionnaire, soit beaucoup moins que dans une maison de retraite.


    S’inspirant d’expériences similaires, la mairie a décidé en 1999, avec le concours d’une société HLM et du conseil général, d’acquérir un terrain et de faire construire une résidence qu’elle gèrerait elle-même.


    Tous originaires du coin, Raymond, Martou, Marie et Yolande en sont les premiers locataires. "Je suis venu ici parce que je suis tout seul. En plus, j’avais des escaliers chez moi et je n’y vois pas clair", explique Raymond, 88 ans. De l’autre côté de la table, Léa, 6 ans, feuillette "Le Livre de la Jungle", tandis que sa sœur Emma, 3 ans, gesticule bruyamment. "Elles viennent nous distraire", s’amuse Martou. "Ca apporte autant aux enfants qu’à eux", assure Véronique Alberto, la mère des deux fillettes, recrutée par la mairie pour assister les pensionnaires, assurer leurs repas, ainsi que l’entretien du linge et du logement.


    "Ils vont chercher les enfants à l’école, les gosses leur disent papy : ils n’en ont jamais tant vu !", s’amuse Guy Delbès. Outre le mélange des générations, les "Jardins des Aînés" présentent l’atout d’associer deux familles d’accueil, leur permettant de se relayer quand l’une d’elles part en congé et d’alléger ainsi leur tâche. Garante du projet


    Pour Etienne Frommelt, président de l’association Famidac, il est "souhaitable que les mairies favorisent l’accueil familial". Lorsqu’on place en maison de retraite une personne encore relativement "valide et éveillée", on voit son état décliner dans les 15 jours, alors que plongée dans le bain familial, elle est stimulée et sa santé maintenue, estime-t-il.


    "Dans un département âgé comme le Lot, les structures existantes ne suffisent pas à répondre à la demande et une telle solution nous soulage", renchérit le directeur de la maison de retraite de Puy-L’Evêque, à une dizaine de kilomètres de Mauroux. Pour Joël Palma, "cette formule s’adresse à des personnes qui ne sont pas trop dépendantes, mais elle permet de maintenir la personne âgée dans son cadre de vie habituel tout en lui offrant le confort social et sanitaire".


    Pour le conseil général, il s’agit d’"encadrer" l’accueil familial, parfois terni par des histoires de maltraitance. Selon le secrétariat d’État aux personnes âgées, qui "aimerait voir se développer l’accueil familial", quelque 9.000 familles accueillent aujourd’hui 12.000 personnes âgées ou handicapées.


    La différence, dit-on au conseil général, c’est qu’ici "la mairie est garante du projet" : c’est elle qui gère le dispositif et recrute les familles, s’assurant de l’expérience gérontologique et des qualités humaines de l’hôtesse. C’est aussi elle qui prend le risque d’être poursuivie en cas de difficultés entre l’accueillant et l’accueilli, fait toutefois remarquer M. Frommelt.


    Dorothée MOISAN (AFP)



     

    NB : Cette journaliste a schématisé mes propos (voir ci-dessous)... Comme elle me parlait de communes employant des accueillants, je lui ai répondu qu’il est préférable rester dans le cadre de la loi :

    • la municipalité loue des logements aux accueillants
    • ces accueillants sont salariés de leurs accueillis et contrôlés par le Conseil Général.

    A défaut de pouvoir se doter de leurs propres maisons de retraite, certaines municipalités envisagent de développer l’accueil familial en se lançant dans des projets immobiliers adaptés à cette activité. Rien n’empêche des promoteurs immobilier de leur proposer des réalisations "clés en main".


    Mais l’intervention d’un tiers pour le recrutement et la formation d’accueillants familiaux comme pour le placement d’accueillis ne me semble pas souhaitable : ce tiers pourrait être considéré comme "employeur de fait" des accueillants, pénalement responsable de tous les aléas des accueils. Et la commune est liée, pour plusieurs décennies, par des engagements difficiles à renégocier. A mon avis, il vaut mieux rester dans des relations "normales" :

     

    • la commune pilote le projet immobilier (qui peut être réalisé par une société HLM ou tout autre constructeur), puis propose ces logements à des accueillants ou futurs accueillants
    • le Conseil Général agréé les accueillants familiaux, les forme, contrôle leur activité et assure le suivi médico-social des accueillis
    • les accueillants restent libres du choix des personnes à accueillir et responsables de leurs actes. Ils versent un loyer fixe, quels que soient les aléas de leur activité.
    • en cas de problème, ces logements peuvent être loués à des locataires "ordinaires", non accueillants...

    Étienne Frommelt

    Autre article sur cette initiative : "Ici, c’est un lieu de rires, d’échanges et d’amour" - MAXI n° 940

     

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    http://www.famidac.fr/article2330.html





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