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    François Hollande:

    51,66%

     

    _120122-hollande-drapeau.jpg
    http://www.wikistrike.com/article-fran-ois-hollande-elu-president-104681999.html
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    Un gouvernement social-démocrate modéré
    propre à rassurer les Marchés

     

    François Hollande entre à l'Elysée

    alors que la France entre en stagnation.


     

    Il hérite d'une situation catastrophique :

     

    Endettement augmenté  de 600 milliards d'euros

     

    Explosion du chômage

     

    Déficit commercial en hausse, etc.


     

    Le bilan de Nicolas Sarkozy résumé en 15 chiffres par le Parti socialiste.

     

     

    Première mesure

    du Gouvernement PS :

    Le salaire des membres du gouvernement

    baissera de 30 %

     

    (à comparer à la première mesure
    de Nicolas Sarkozy : + 172 %  pour lui )
    .

     

    Salaire de Sarkozy
    politique.net
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    Jean-Marc Ayrault: portrait du nouveau Premier ministre

     

    C’est officiel: François Hollande a choisi Jean-Marc Ayrault pour occuper la fonction de Premier ministre. Un homme peu connu du grand public, qui exerce des fonctions électorales depuis presque 40 ans et avec lequel le président de la République a développé une belle complicité, sans doute indispensable vu le travail qui les attend...


    Finalement, François Hollande a préféré Jean-Marc Ayrault à Martine Aubry pour endosser le rôle de Premier ministre. Ce n’est pas véritablement une surprise: le député-maire de Nantes était favori face à une première secrétaire du PS avec laquelle le passif est trop lourd pour espérer former un tandem solide. S’installer à Matignon est une sorte de consécration pour Jean-Marc Ayrault, comme la récompense d'un parcours exemplaire réalisé dans une relative discrétion.



    Le tout nouveau Premier ministre est né en 1950 à Maulévrier dans le Maine-et-Loire d’un père ouvrier agricole et d’une mère couturière. Au terme d’études sans vague, il décroche un Capes d’allemand, une langue qu’il enseignera jusqu’en 1986. Il prend vite goût à la politique puisque il milite très jeune au sein du Mouvement Rural de la Jeunesse Chrétienne puis entre au Parti socialiste en 1972. Il est élu conseiller général en 1976, maire de Saint-Herblain en 1977, député de Loire-Atlantique en 1986 puis maire de Nantes en 1989, deux mandats qu’il occupe depuis sans interruption.

    Son action à la tête de la ville de Nantes est reconnue, son travail de parlementaire aussi puisqu’en 1997, Lionel Jospin, alors Premier ministre, en fait son président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale, tandis qu’il place François Hollande à la tête du PS. C’est à cette époque que le nouveau président de la République et son désormais Premier ministre ont appris à travailler ensemble et s’apprécier. Pendant dix ans, tous les deux avaient pris pour habitude de déjeuner ensemble tous les mardis pour accorder leurs violons et faire le point sur les sujets chauds du moment.
    Au Palais Bourbon, son sérieux et ses qualités unanimement reconnues en font un ténor socialiste incontournable que personne ne parviendra à déloger, pas même Arnaud Montebourg. Selon Dominique Raimbourg, lui aussi député de Loire-Atlantique, Jean-Marc Ayrault «est rassembleur et respectueux des uns et des autres. Il sait éviter les clashs, le choc des égos». Ses détracteurs lui reprochent une image trop lisse, une certaine forme de timidité, mais aussi une absence totale de fantaisie. En même temps, est-ce que l'on attend d’un chef de gouvernement?

    François Hollande l’aurait choisi pour toutes ces qualités, mais aussi parce qu’il n’appartient à aucun courant, à aucune chapelle, et que détail ultime, Jean-Marc Ayrault a annoncé son soutien au candidat Hollande dès l’été 2011 alors que ses camarades penchaient pour Martine Aubry. Sa connaissance de l’allemand et de la culture du pays de Goethe pourraient également être un plus, à l’heure où le tandem franco-allemand a besoin de rester solide pour faire face à la crise en Europe.

    Avec sa femme Brigitte, elle aussi originaire de Maulévrier, qu’il a rencontrée sur les bancs de la fac de Nantes et qu’il a épousée en 1971, Jean-Marc Ayrault a eu deux filles. Nommé officiellement par François Hollande, les choses sérieuses commencent pour le nouveau Premier ministre.

    Un choix qui couronne un parcours sans faute

    http://www.gala.fr/l_actu/c_est_officiel/jean-marc_ayrault_portrait_du_nouveau_premier_ministre_262035
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    En fin de campagne, François Hollande avait confié qu'il serait amené à faire "des choix de raison" et non de coeur. (Photomontage/Sipa)

    http://tempsreel.nouvelobs.com/election-presidentielle-2012/20120516.OBS5721/la-composition-du-gouvernement-de-jean-marc-ayrault.html

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    Laurent Fabius : Affaires étrangères 

    Manuel Valls : Intérieur

    Vincent Peillon : Education nationale

    Chritiane Taubira : Justice, garde des sceaux

    Pierre Moscovici : Economie, Finances, commerce extérieur

    Jean-Yves Le Drian : Défense

    Marisol Touraine : Affaires sociales, Santé

    Arnaud Montebourg : Redressement productif

    Marylise Lebranchu : Réforme de l'Etat, décentralisation et de la fonction publique

    Frédéric Cuviller : Transport et Economie

    Michel Sapin : Travail, Emploi et dialogue social

    Stéphane Le Foll : Agriculture

    Geneviève Fioraso : Enseignement supérieur et Recherche

    Aurélie Filippetti : Culture et Communication

    Nicole Bricq : Ecologie

    Cécile Duflot : Egalité des territoires et du Logement 

    Victorin Lurel : Outremer

    Valérie Fourneyron : Sports

    Najat Vallaud-Belkacem : Droits des femmes et porte-parole du gouvernement

    Jérôme Cahuzac : ministre délégué au Budget 

    Pascal Canfin : ministre délégué au Développement

    Alain Vidalies : ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement

    George Pau-Langevin : ministre déléguée à la réussite éducative

    Sylvia Pinel : ministre déléguée chargée de l'Artisanat, du Commerce et du Tourisme

    Michèle Delaunay : ministre déléguée chargée des Personnes âgées et de la dépendance

    Marie-Arlette Carlotti : ministre déléguée chargée des Personnes handicapées

    Dominique Bertinotti : ministre déléguée chargée de la Famille

    François Lamy : ministre délégué chargé de la ville

    Delphine Batho : ministre déléguée auprès de la Garde des Sceaux

    Benoît Hamon : ministre délégué chargé de l'Economie sociale et solidaire

    Bernard Cazeneuve : ministre délégué chargé des Affaires européennes

    Fleur Pellerin : ministre déléguée chargée des PME, de l'Innovation et de l'Economie numérique

    Yamina Benguigui : ministre déléguée chargée des Français de l'étranger

    Kader Arif : ministre délégué chargé des Anciens combattants

     

     

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    Dr Didier MOULINIER Bordeaux Cauderan par Didier Moulinier

    Appel au secours du Docteur Didier Moulinier de Bordeaux Caudéran pour la défense d'une médecine alternative dans le domaine de la cancérologie et la liberté du choix thérapeutique dans l'intérêt des malades . Pour l'application de traitements plus individualisés en médecine.

     

     

     


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  • argent-fini-economies.gif

    centerblog.net

     

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    Reçu ce mail qui résume bien la situation actuelle (eva) :


     

    Afin d'avoir la conscience tranquille, je lance un cri d'alarme, adressé à tous mes lecteurs qui ont encore des Livret A (En Euro).

    Il faut évacuer les lieux et surtout ne pas attendre que TF1 proclame la fin de l'Euro (officiellement).

    En gros, il faut anticiper.

    Le compte à rebours à commencé, il faut agir vite et bien.

    L'or et l'argent peuvent encore stagner quelques mois, mais bientôt ce seront les dernières valeurs de confiance (Par défaut). Et le cuivre !

    Assurance vie, Argent liquide, Livret A, Plan épargne logement.... C'est terminé !




    Si la Grèce saute, tout le reste suivra inévitablement.

    Alors pour la dernière fois, il faut sauver votre peau et vos économies.

     

     

    Grèce: le compte à rebours a commencé

    Par AFP | AFP –  il y a 3 heures

     

    Le compte à rebours a commencé samedi pour une Grèce très divisée sur l'austérité, si elle veut éviter de nouvelles élections qui pourraient conduire à une sortie du pays de la zone euro, voire à sa banqueroute, faute d'avoir su former un gouvernement de coalition.

     

    suite ici :

     

    http://fr.finance.yahoo.com/actualites/gr%C3%A8ce-compte-%C3%A0-rebours-commenc%C3%A9-102843428--finance.html

     

     

    Grèce : et si la fin de l’euro avait commencé ?

     

    ..

     

    Voir aussi :

     

    Alerte économique : 4 raisons de penser que l'Europe est sous l'eau

    Gold-up pose 5 questions vitales au nouveau Président

    Merkel/Hollande : ce n’est certainement pas pour la vie !

    La trame de l’Euro

    L’Allemagne menace les Grecs du bâton

    Vive inquiétude pour les banques espagnoles

    Par Menthalo – La Fin de la route

     

     

     

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  • Présidentielles françaises

    Le bon, la dette et… les truands !

    Charlotte GEHIN


    Que retenir de cette campagne sinon un silence commun sur la Dette. Chut ! Pas un mot sur les conséquences, en France, de la crise financière européenne. Et pourtant, concernant cette affaire, ce ne sont pas les questions qui manquent.


    Quelle voie sera forcée d’emprunter le président et son gouvernement ? The economist, journal quasi officiel de la City, tout au long de la campagne, a martelé la même antienne : « Au lendemain du 6 Mai, le vainqueur, quel qu’il soit, devra s’attaquer brutalement aux déficits », attaque qui débouchera sur un « choc pour les français ».


    La soupe à la rigueur


    Difficile donc de satisfaire un électorat qui a soif de réformes sociales et qui a voté non à la montée du chômage en considérant comme principal coupable Nicolas Sarkozy.


     C’est pourtant bien d’un programme imposé à tous les pays appartenant à la zone euro dont il s’agit aussi pour la France et la recette est connue : Flexibilité du marché du travail, les « famous CDI », contrats uniques(1), démantèlement de l’assurance maladie, de l’assurance chômage, des retraites, des allocations familiales.


     Vrai ou faux ? Pour ceux qui en douteraient encore, la réponse réside en un mot : la Dette publique. Grande absente des débats électoraux, alors qu’elle était au faîte de l’actualité juste après le « nécessaire » renflouement des banques(2) ou de la réforme des retraites, la dette publique est pourtant le levier qui fera basculer les autorités politiques vers la rigueur ou non. « Pour plusieurs pays, le nœud coulant de la dette publique s’est serré et ils sont pris à la gorge par les marchés financiers » dénoncent Damien Millet et Eric Toussaint.


    Les victimes font grise mine


    Sous-couverts du remboursement de leurs créances, envers les organismes privés(3) que les citoyens renflouent chaque jour par le biais des hausses d’impôts et des coupes sociales, le FMI et la Banque Centrale Européenne imposent une gouvernance guidée par la rigueur à tous les membres de l’Europe. « Il n’y a pas de compromis possible » arguait Jacques Sapir(4) sur France Inter. Les premières victimes des plans d’austérité l’ont déjà bien compris. Grèce, Portugal, Irlande…. Ou on arrête de payer la dette, ou on enterre le pays sous la vague de la compression libérale. Dimitris Christoulas(5) portait le deuil de cette triste réalité quand il a appuyé sur la gâchette de son arme. Il criait « pas de dette à mes enfants » et laissait la trace des conséquences bien concrètes des plans de rigueur « Le gouvernement d’occupation a littéralement anéanti tous mes moyens de subsistance, qui consistaient en une retraite digne, pour laquelle j’ai cotisé pendant 35 ans. ». La Grèce, ce pays aujourd’hui incapable de gouverner.

     

    En Espagne, déjà, le slogan de l’audit pour la dette est clair « No debemos, no pagamos ! ». En France, ce ne sont pas les 27 milliards d’euros d’économie imposés à l’Espagne qui vont retentir dans le quotidien des citoyens, mais les 80 milliards d’euros intégrés dans le plan du TSCG(6) à son égard. Ce n’est pas non plus un protocole concernant la croissance(7) ajoutée au Traité qui libérera François Hollande des recommandations de la Troika(8). Surtout quand le remboursement du service de la dette dévore 65% des ressources de l’Etat.

     

    Quelle issue ?

     

    La France de François Hollande, « le bon », peut-elle ouvrir ses portes aux émissaires de la Troika « les truands » ? C’est ce que stipulent les forces européennes armées d’un nouveau traité et d’un programme clé en main. Le TSCG porte en lui les germes de la catastrophe : il rend obligatoire le paiement de la dette.

     

    L’alternative est donc claire : ou le paiement de la dette est assuré et la protection sociale est disloquée, les besoins sociaux et les services publics sacrifiés(9), ou il y a arrêt du paiement de la dette et droit du travail, droits sociaux et services publics sont préservés. Qui pour porter ces exigences ? Quel front du refus ?


    Charlotte Géhin.

    Vice -présidente du CADTM France.

    http://www.cadtm.org/


    (1) Projet de forme unique du contrat du travail qui allégerait notamment les exigences juridiques de licenciement à l’égard de l’entreprise. Projet déjà mis en place en Italie, en Espagne…


    (2) La Banque centrale européenne (BCE), financée par les pays membres, accorde des prêts des aux banques, elles-mêmes détentrices des créances des Etats. Rien qu’en Décembre 2011, 523 banques ont emprunté à la BCE près de 500 milliards d’euros pour 3 ans à un taux voisin de 1% lorsqu’elles prêtent aux Etats à des taux variant de 7% pour l’Espagne, jusqu’à 18% pour la Grèce…


    (3) Les investisseurs institutionnels : banques, fonds de pension, compagnies d’assurance et autres organismes de placements collectifs.


    (4) Economiste à l’école des Hautes Etudes. Il dirige depuis 1996 le Centre d’études des modes d’industrialisation (CEMI-EHESS). Emission Là-Bas si j’y suis, « Les financiers au coin du feu ».


    (5) Le 4 Avril 2012, Dimitris Christoulas, pharmacien retraité de 77 ans, s’est suicidé à Syntagma, place principale d’Athènes.


     (6) Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance. Il inscrit dans la Constitution des pays la « Règles d’Or », donc un déficit proche de 0 qui oblige à l’austérité, il donne le pouvoir aux autorités européennes non démocratiquement élues, il inclut des clauses de sanctions en cas de déficits. Il prévoit des projets de réforme pour chacun des pays membres et l’envoi d’émissaires pour assurer son bon fonctionnement.


    (7) François Hollande a annoncé la renégociation du TSCG. Il la fera avaliser auprès du Conseil Européen. Un compromis entre Hollande et Merkel fait part d’une annexe ajoutée au Traité concernant la croissance.


    (8) FMI, Banque Centrale Européenne, Commission Européenne.


    (9) Le chantier est déjà en œuvre : RGPP, flexibilité du marché du travail, durée légale, retraites… La révision générale des politiques publiques entamée en 2007consiste en une restructuration des missions et actions de l’État, avec de la mise en œuvre de réformes structurelles (non-remplacement de postes de départ à la retraite etc.). Les mesures de défiscalisation des heures supplémentaires prises par le gouvernement de François Fillon en 2007 avantagent le patronat français.


    URL de cet article 16668
    http://www.legrandsoir.info/le-bon-la-dette-et-les-truands.html

    Note d'eva :
    Les états européens ne sont plus libres, les budgets sont contrôlés, déterminés par Bruxelles.
    Nous avons des modèles, l'Islande et l'Argentine qui s'en sont sortis en refusant les exigences préjudiciables aux intérêts du pays.
    Osons refuser, osons sortir de ce cercle vicieux,  ou apprêtons-nous au pire
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    Comment nous sommes passés de Hippocrate à Rockefeller…


    Comment nous sommes passés de “mieux vaut prévenir que guérir”, à “mieux vaut soigner que guérir”


    L’arnaque de la médecine moderne (vidéo)

    by realinfos

     

     

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