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    La société française au bord de l'insurrection, par François Asselineau


    La société française au bord de l'insurrection, par François Asselineau  
    IRIB-C’est un “scoop” dont le gouvernement se serait sans doute bien passé :

    le quotidien Le Figarodu 13 novembre rend compte du dernier rapport de synthèse adressé daté du 25 octobre dernier adressé par le secrétariat général du ministère de l’Intérieur aux plus hautes autorités de l’État à partir des notes de synthèse établies par les 101 Préfets sur la situation de la France.

    Ce document est stupéfiant à deux égards :


    - d’une part, par la gravité de la situation décrite : on y voit la société française en pleine déliquescence et dans une situation qu’il n’est pas exagéré de juger pré-insurrectionnelle. C’est ce que tout un chacun ressent d’ailleurs autour de soi et que je perçois, avec une acuité toute particulière, en m’entretenant avec le public, de plus en plus nombreux, qui vient à mes conférences à travers la France.


    - d’autre part, par l’état de rébellion sourde qui commence à se faire jour dans toute la haute administration française et dont témoigne ce document.
    La tradition veut en effet que les préfets, sans cacher la réalité des situations, pèsent et soupèsent néanmoins chaque mot avant de transmettre des rapports désagréables à leur ministre. Car celui-ci est aussi leur patron et dispose de leur évolution de carrière…


    Or, les termes utilisés dans ce rapport sont franchement très surprenants pour quiconque est habitué au langage prudent et feutré des préfets. Cela témoigne non seulement de la gravité de la situation, mais aussi de l’exaspération qui monte dans les rangs de la haute fonction publique : ce sont par dizaines que les notes de synthèse préfectorales tirent vigoureusement la sonnette d’alarme. Les préfets, en somme, en ont marre eux aussi.


    Du reste, c’est sans doute cette exaspération qui est à l’origine de la “fuite” de ce document confidentiel dans la presse.


    Il serait intéressant de savoir qui a organisé la fuite, dans la mesure où ce document a normalement une diffusion extrêmement limitée aux cercles du pouvoir. Au sein même du gouvernement, ou parmi les directeurs de cabinet des ministres, y aurait-il des responsables qui en auraient aussi assez ?


    Quoi qu’il en soit, les événements ne cessent de confirmer l’aggravation continuelle de la situation, selon un scénario que je n’ai pas cessé d’annoncer depuis que j’avais remis un rapport réellement prémonitoire de 110 pages à Nicolas Sarkozy, à l’époque ministre des finances, donc mon ministre de tutelle, le 18 juin 2004.

     

    Le plus grave, c’est que rien ne permet d’espérer une embellie durable et que la course à l’abîme va se poursuivre, tant que la France restera dans l’UE et dans l’euro.

     

    http://french.irib.ir/info/international/item/292869-la-soci%C3%A9t%C3%A9-fran%C3%A7aise-au-bord-de-l-insurrection,-par-fran%C3%A7ois-asselineau


    François ASSELINEAU

     

     

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    Espionnage : l'UE est-elle une colonie américaine ?

    JEAN-PAUL POUGALA


    Shakespeare n'avait-il pas raison lorsqu'il écrivait que "l’histoire, n’est rien d'autre qu’une fable pleine de bruit et de fureur que raconte un idiot (appelé historien), une fable qui au fond, ne signifie rien, ne nous apprend rien du tout" ?


    Dans 30-50 ans, l'idiot nous racontera-t-il qu'en 2011 le Prix Nobel de la Paix 2009 Barack Obama a détruit le pays le plus prospère d'Afrique, appelé Libye et l'a transformé en un No-Man's Land, un vrai terreau des terroristes islamistes de tout bord, après avoir tué son président bâtisseur, Kadhafi? Bien sûr que non. L'idiot nous racontera, avec toutes les références crédibles à l'appui, que le très gentil président américain avait abattu un méchant loup Kadhafi qui voulait tuer tout son peuple après l'avoir traumatisé pendant 42 ans et que c'est grâce à l'intelligence et à l'intervention salutaire du président américain que ce pays avait été transformé de l'enfer qu'il était en paradis sur terre, en pays démocratique.

     

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    L' Iran millénaire =

     

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    La Presse

    Qui a peur de l’Iran ?

     

    Les intentions nucléaires iraniennes font les manchettes de journaux depuis quelques mois. On soupçonne la république islamique de vouloir produire des armes de destruction massive. Le président Bush a menacé l’Iran de mesures militaires. Le Conseil de sécurité est saisi de la question nucléaire iranienne comme il était, il y a trois ans, la scène des débats sur les armes de destruction massive qu’aurait possédées l’Irak.


    Rappelons que c’est sous le régime du Shah et avec le concours des États-Unis, plus précisément de Henry Kissinger, que commence le programme nucléaire iranien en 1975. La révolution islamique suspend le programme mais le renouvelle quelques années plus tard car l’idéologie ne change guère les impératifs géostratégiques. Plusieurs de ses voisins possèdent des armes nucléaires : la Russie, la Chine, l’Inde et le Pakistan. Il faudrait y ajouter Israël, seul État du Moyen-Orient stockant des armes nucléaires. À la différence de l’Iran, Israël ne s’est jamais joint au Traité de non-prolifération et n’est assujetti à aucun contrôle international. C’est également Israël qui a connu une expansion territoriale et se trouve au centre d’un conflit chronique.

     

    L’Iran, malgré sa rhétorique révolutionnaire et incendiaire, n’a attaqué aucun pays mais a subi une agression massive de l’Irak de Saddam Hussein qui jouissait alors du concours des États-Unis.


    L’on peut comprendre ceux qui croient que l’Iran fait face à des menaces plutôt réelles. Le danger le plus redoutable vient de l’Est, notamment des troupes des États-Unis, installées en Irak suite à une invasion perpétrée à partir de faux prétextes semblables à ceux invoqués actuellement contre l’Iran. L’armement des États-Unis leur permet de mettre à exécution leurs menaces. Peu de pays ont les moyens conventionnels de résister. Les responsables iraniens ont observé que l’Irak et l’Afghanistan, pays non nucléaires, ont été l’objet d’attaques américaines. En revanche, les États-Unis sont entrées en pourparlers avec la Corée du Nord, qui possède un certain armement nucléaire. La leçon est claire : pour se mettre à l’abri d’une attaque américaine, il vaut mieux avoir les moyens de dissuasion. Il ne serait guère surprenant si l’Iran voulait fabriquer des armes nucléaires.


    Deux poids, deux mesures


    Grâce aux menaces que lui adresse Washington, Téhéran symbolise l’abîme qui s’ouvre de plus en plus entre les pays non-alignés, d’un côté, et les pays occidentaux, de l’autre. Les pays du tiers-monde tendent à admirer l’Iran qui tient tête aux pressions américaines qu’ils jugent injustes. Ils notent que l’Iran- que l’on soupçonne de vouloir se doter d’armes nucléaires d’ici quelques années- attire des foudres tandis qu’Israël- qui possède déjà un arsenal nucléaire- reste à l’abri de toute critique occidentale.

    L’Iran n’est pas moins démocratique que le Pakistan ou la Chine qui possèdent des armes nucléaires. L’Union soviétique, difficilement un exemple de démocratie, a manié ses armes nucléaires avec prudence et responsabilité pendant des décennies. L’attaque des États-Unis contre l’Irak, les abus commis durant l’occupation de ce pays ainsi que la manière cavalière dont son gouvernement actuel traite le droit international suggèrent que le lien entre la démocratie et la retenue dans les affaires internationales reste à prouver.


    Les États-Unis ont plusieurs objectifs dans la région, comme le rappelle une récente publication qui déplore l’influence du lobby israélien sur la politique américaine au Moyen-Orient et présente Israël comme le bénéficiaire principal des actions des États-Unis. Cette publication, qui provoque un débat intense, demande de recentrer la politique de Washington, en prenant compte de tous ces intérêts, parfois contradictoires. On comprend alors mieux l’adoucissement des déclarations que font les responsables américains à l’égard de l’Iran. Ils commencent à reconnaître que les rapports avec l’Iran sont plus complexes que ne laissent entendre les concepts simplistes comme " l’État voyou " ou " l’empire du Mal ".


    Avec nos remerciements à

     

    • Yakov RabkinYakov Rabkin

      Yakov M. Rabkin est professeur titulaire au département d’histoire de l’Université de Montréal, membre du Centre canadien d’études allemandes et européennes.

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    La France se prépare à intervenir en Centrafrique


    420 hommes sont sur place et des troupes ont discrètement été pré-positionnées dans différents pays de la région en vue d’une intervention. Jean-Yves Le Drian a proposé plusieurs formats d'intervention au président de la République qui mobilisent entre 700 et 1400 hommes. 

    Cette note a été publiée le mercredi, 20 novembre 2013
    Pour lire la note entièrement, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :


    http://globe.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/11/20/exclusif-la-france-se-prepare-a-intervenir-en-centrafrique-513573.html

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    Bombe israélienne :

    Quand De Gaulle a dit non à Ben Gourion


    EXCLUSIF. Voici, pour la première fois, le compte-rendu de la discussion historique entre les deux présidents au sujet de l’armement nucléaire d’Israël. 
    http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20131117.OBS5777/bombe-israelienne-quand-de-gaulle-a-dit-non-a-ben-gourion.html   


    Cette note a été publiée le dimanche, 17 novembre 2013
    Pour lire la note entièrement, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :
    http://globe.blogs.nouvelobs.com/archive/2013/11/21/bombe-israelienne-quand-de-gaulle-a-dit-non-a-ben-gourion-513571.html

     

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      http://angely.over-blog.com/article-24692972.html

    Verdun

     

     

    Mon dossier


    Introduction par Chantal Dupille (eva R-sistons)

     

     

     

    Les Poilus, dossier. Pas de commémoration de toutes les guerres ensemble !


    (Cliquer sur le lien ci-dessus)

     


    Affiche du film d'Emile Buhot Verdun tel que le Poilu l'a vécu (1927)

     

     


     

     

     

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    La colère contagieuse des Bretons


    http://www.letemps.ch/Page/Uuid/226…


    FRANCE mardi 12 novembre 2013

    Catherine Dubouloz


    Manifestation des Bonnets rouges à Quimper. Malgré la suspension de l’écotaxe, la colère bretonne ne s’apaise pas.

     

    En Bretagne, le mouvement de révolte ne faiblit pas. Il commence à s’étendre à la France. Les annonces de plans sociaux chez les volaillers ou dans les abattoirs font fondre les emplois. Frappé par la crise de l’agroalimentaire, le Finistère concentre les problèmes. Ailleurs, la situation économique est plus favorable.


    La colère bretonne ne s’apaise pas, elle commence même à déborder de la péninsule. Six nouveaux radars, ces symboles de l’Etat prédateur, ont été incendiés samedi dans les Côtes d’Armor, ainsi qu’en Ille-et-Vilaine. En tout, 44 installations ont été vandalisées depuis début novembre. Samedi toujours, à Montauban-de-Bretagne et à Jugon-les-Lacs, de nouvelles manifestations se sont déroulées près des portiques écotaxe, emblèmes de cet impôt honni. Cinq structures ont déjà été détruites ou démontées. Désormais, au pied des montants, les forces de l’ordre veillent.


    Malgré la suspension de l’écotaxe, les Bretons ne désarment pas : ils exigent l’abandon du nouvel impôt. Après la manifestation des Bonnets rouges, qui a rassemblé entre 10 000 et 30 000 personnes à Quimper le 2 novembre, un nouveau rassemblement est agendé le 30 novembre. En attendant, d’autres surprises sont prévues. Depuis quelques jours, la révolte se propage : des actions ont été menées à Paris, près de Marseille et de Lyon, dans le Gard, l’Isère et en Charente. Elles expriment pêle-mêle le ras-le-bol fiscal, la grogne contre la politique du gouvernement, le ressentiment envers l’Etat central, l’écœurement envers la situation économique qui continue à se dégrader, le tout amplifié selon des difficultés propres à chaque région.


    « L’écotaxe n’est pas la cause des fermetures d’usines. Mais elle est révélatrice d’un mode opératoire de l’administration centrale qui ne connaît pas le terrain, la diversité des territoires et choisit des solutions trop complexes », assène Malo Bouëssel du Bourg, directeur de Produire en Bretagne, un réseau de 315 entreprises qui représentent 100 000 salariés. En Bretagne d’où est partie la fronde, l’écotaxe est unanimement considérée comme « la goutte d’eau qui a fait déborder le vase ». « Sa mise en service arrive au plus mauvais moment de l’histoire économique de la région, alors que les plans sociaux se multiplient, que des centaines d’emplois sont supprimées et que des pans de l’économie tombent », explique Christian Troadec, le maire divers gauche de Carhaix. Cofondateur du festival des Vieilles Charrues, le Paléo breton, il est l’un des leaders du mouvement des Bonnets rouges. Son téléphone n’arrête pas de sonner, sa messagerie déborde, il s’arrête pourtant quelques instants au bord de la route de Poullaouen, où des salariés de la société norvégienne Marine Harvest ont installé un barrage filtrant. Des pneus brûlent, dégageant une fumée noire, les voitures passent au compte-gouttes. Les employés protestent contre la fermeture prochaine du site, spécialisé dans la préparation et l’expédition de saumon fumé. Près de 400 personnes, employés fixes et intérimaires, risquent de perdre leur job dans une région qui en compte peu.


    Marine Harvest, le volailler Tilly-Sabco à Guerlesquin, les abattoirs Gad de Lampaul-Guimiliau, d’autres entreprises encore : les annonces de fermetures de site et autres mauvaises nouvelles se multiplient, surtout dans le Finistère, à l’extrême-ouest de la péninsule, « le bout du monde » en breton. « C’est comme une gangrène », lance Séverine, employée à Marine Harvest. « Tout tombe comme dans un jeu de quilles », renchérit sa collègue Marie-Pierre, qui travaille depuis 30 ans sur le site de Poullaouen et n’arrive pas « à se projeter ailleurs ». « Beaucoup de couples travaillent ici, des gens sont venus s’installer dans la région pour y faire leur vie, ils se sont acheté une maison, se sont endettés, que vont-ils devenir ? »


    Dans le cas breton, derrière le refus de l’écotaxe et l’overdose fiscale, c’est surtout la crise de l’agroalimentaire et de l’agriculture qui met les nerfs à vif, ceux des salariés, des patrons, des agriculteurs, des éleveurs et d’autres professions. « Bien sûr que j’étais à la manifestation de Quimper ! On est tous dans le même bateau, liés les uns aux autres. Quand un abattoir ferme, par exemple, toute la filière est touchée, jusqu’aux chauffeurs de camion qui livreront moins et aux petits commerçants qui auront moins de clients », s’enflamme Jean-Hervé Caugant, dont le bonnet rouge est posé sur la rampe d’escalier, au centre de la salle de séjour de sa maison. Vice-président de la Chambre d’agriculture du Finistère, cet éleveur est à la tête d’une exploitation bio de 200 hectares, tout près de Dinéault : 100 vaches y produisent 700 000 litres de lait par an, dans un paysage idyllique de champs et de bocages.


    Spécialisée dans l’élevage souvent intensif de volailles, de porcs, de vaches laitières et dans la production de légumes, la Bretagne est la première région de France pour l’agroalimentaire. Entre 70 000 et 80 000 personnes travaillent dans ce secteur, soit 40% de l’emploi salarié industriel. Mais le modèle breton paraît à bout de souffle, et le Finistère souffre tout particulièrement.


    Les causes en sont multiples, selon Jean-Louis Peyraud, directeur de recherche à l’INRA, l’Institut national de la recherche agronomique : dans l’élevage, l’augmentation du prix des céréales a fait augmenter les coûts de production ; les consommateurs recherchent des aliments à bas coût ; la grande distribution fait peser une très forte pression sur les prix. En Bretagne, deux éléments s’ajoutent à cela : « La filière aviaire s’est développée sur les restitutions mises en place par l’Union européenne pour soutenir les exportations. On savait depuis des années que ces subventions allaient cesser, mais il y a eu un manque d’anticipation de la part des acteurs. »


    Yves Morvan, ancien professeur d’économie à l’Université de Rennes, pointe également « un problème d’orientation stratégique des productions mises en place dans les années 1960 sans beaucoup de transformations et peu de valeur ajoutée, soumises à de fortes concurrences de prix sur les marchés mondiaux ». Des pays comme l’Allemagne ou les Pays-Bas sont plus compétitifs dans la filière porcine, et peuvent bénéficier d’une main-d’œuvre étrangère moins chère. Pour le poulet, c’est le Brésil qui est devenu le concurrent maudit.


    « Le système prend l’eau de tous les côtés, il est temps de franchir un cap et de faire autre chose », affirme Jean-Louis Peyraud. Pour s’en sortir, pas de solution unique : « Dans certains cas, des restructurations de l’appareil de production seront nécessaires, avec des fusions ou des mariages pour s’agrandir. Dans d’autres, il faut imaginer des réorientations de production vers des produits qui entrent dans la concurrence par la qualité », estime Yves Morvan.


    Mais l’idée de viser le haut de gamme ne séduit pas Jean-Hervé Caugant : « Arrêtons de rêver ! Le poulet de Loué, les circuits courts, le bio restent des marchés marginaux. Comment nourrit-on les autres personnes et comment fait-on vivre les éleveurs ? Pour moi, il faut parvenir à produire du bon, sûr et pas cher ici. » « Est-ce qu’il ne faut pas aussi démarrer autre chose, réinventer des marchés, par exemple autour de la filière laitière ? » s’interroge Jean-Louis Peyraud. A Carhaix, des Chinois viennent d’investir dans une usine qui fabriquera du lait en poudre. Le rêve d’un nouvel or blanc pour la Bretagne.

     

    http://mai68.org/spip/spip.php?article6235


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    Art. 35 - Union Européenne, l'escroquerie

    http://www.youtube.com/watch?v=WTnvUY_-_g0

     

     


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