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    L'Islamophobie existe.

    Pourquoi le mot est-il tabou ?

    Par eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     


       Le racisme est une abomination. Pour moi, il n'y a qu'une race, humaine. A partir de là, tout doit ensuite se conjuguer dans une nécessaire diversité.


     

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        Je suis frappée d'entendre les Dirigeants et les médias français parler "d'antisémitisme, de racisme, de xénophobie". Pourquoi l'antisémitisme toujours en premier ? Ce racisme-là est-il supérieur aux autres pour être cité en premier ? Ne vaudrait-il pas mieux évoquer d'abord le racisme, terme générique englobant toutes les formes de racisme ? Puis décliner les différentes facettes du rejet de l'autre... mais sans oublier l'Islamophobie. Voilà un mot qui existe, qui est lourd de sens surtout avec une actualité braquant tous les projecteurs sur les Islamistes avec à la clé un amalgame entre eux et les Musulmans. Quand cette réalité quotidienne sera-t-elle évoquée alors que justement, aujourd'hui, le racisme le plus répandu et le plus outrancier est celui qui concerne les Musulmans, surtout à l'heure de la montée du FN désormais très lié (via Louis Aliot) à Tel-Aviv dont il épouse l'orientation en faveur du choc de civilisations ?


        Dans une émission d'"On n'est pas couchés", Aymeric Caron affirme que "les actes islamophobes augmentent bien plus que les actes antisémites". Et au montage, France 2 l'a censuré, comme si la vérité devait être masquée !


         Pour moi, il est profondément injuste que seul l'Antisémitisme doive aujourd'hui monopoliser toute l'attention, alors que par exemple l'Islamophobie est une réalité ancrée en France au point d'ailleurs d'entraîner toujours plus d'actes racistes.


          Au nom de la Justice, et pour préserver la paix sociale, il importe de réparer d'urgence cette anomalie.


           eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     

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    La France des néo-conservateurs bellicistes

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    Les liaisons dangereuses de Paris

    Par eva R-sistons (Chantal Dupille)

     

     

    La France patrie des Droits de l'Homme. La France terre d'accueil. La France rayonne dans le monde...

     

    La France ne rayonne plus dans le monde. Son image s'est dégradée. Elle est parfois ridiculisée. A l'étranger, on se gausse même de Laurent Fabius, appelé le "Ministre des Affaires Etrangères d'Israël" ! Comment en est-on arrivé là ? Quels choix fait Paris, désormais ?

     

    La sagesse populaire dit : "Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es". Et quels sont les amis préférés de la France, aujourd'hui ? A qui rend-elle visite ? A la courageuse Cristina Kirchner, à Maduro soutenu par les plus pauvres, à Moralès aimé des Boliviens, au sage Poutine plébiscité par son peuple, à Assad qui se bat vaillamment contre le terrorisme ? Que nenni !

     

    Le tapis rouge, la France des Hollande-Fabius (et BHL) le déroule devant les pires adversaires de la paix, de la démocratie, des droits de l'homme et de la femme ; elle le déroule devant les alliés des néo-fascistes en Ukraine, devant un Avigdor Lieberman rêvant d'un Hiroshima pour détruire l'Iran, devant les obscurantistes et les fanatiques champions du soutien au terrorisme qui se trouvent à Doha, à Ryiad ou en Turquie,  et sa dernière visite est pour Harper qui roule pour des régimes violant le Droit international, comme à Tel-Aviv, à Washington ou à Kiev...

     

    Dès qu'il est entré en fonction, Nicolas Sarkozy a nettoyé le Quai d'Orsay de ses éléments gaulliens pourtant estimés dans le monde entier. Hollande, aujourd'hui, poursuit l'action de son prédécesseur... Et son bellicisme vis-à-vis de la Russie constitue une menace majeure.

     

    Pour la paix, pour l'honneur de la France et la sécurité des Français, il est urgent de changer de politique étrangère...

     

    Eva R-sistons (chantal dupille)


     

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    On peut aussi lire :


     

    Il n'y a pas d'armée islamique ou de groupe terroriste Al Qaïda (Renseignement)

     

    La lente agonie des Palestiniens est un scandale qui doit vite cesser !

     

    L'ingérence trouble de la France en Afrique et ses effets terribles (comme en Algérie..)


    Top secret – Manoeuvres et exercices militaires franco-saoudiens très « discrets » en Savoie

     

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    Eric Denécé est le remarquable Directeur du Centre français de Recherche sur le Renseignement et de sa société de conseil en Risk Management. Ecoutez-le quand il parle dans les médias ! Il dénonce le rôle trouble de la politique étrangère actuelle de Paris et les mensonges volontairement répandus comme celui de l'utilisation par l'armée d'Assad d' "armes chimiques". Pour M. Denécé, grand spécialiste du Renseignement, si elle veut lutter efficacement contre le terrorisme, la France doit collaborer avec le Gouvernement syrien - par exemple. La vérité commence à apparaître ! Ainsi, le journaliste du Figaro Georges Malbrunot et celui de l'Express, Patrick Chesnot, ont écrit ensemble un livre "Les chemins de Damas" sur le rôle trouble de la France. EI, Al Qaïda... sont des mercenaires pour faire le sale boulot et conduire au choc de civilisations. Eva R-sistons

     

     

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    Poutine : "Pourquoi les Etats-Unis soutiennent-ils des néo-fascistes et des islamistes radicaux ?"

     

     

     

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    Le Gouvernement agira-t-il contre Elus et population ? (eva)

     

     

    Bras de fer entre Sénat et gouvernement sur la réforme territoriale

     

    31 oct. 2014, PAR Sylvain Henry

     

     

    La Haute Assemblée a voté une carte de 15 régions contre l'avis du gouvernement et de l'Assemblée nationale. Les députés devraient en seconde lecture revenir sur une carte à 13 régions. 



    Le Sénat a adopté dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 octobre une carte de 15 régions métropolitaines, rétablissant contre l'avis du gouvernement l'autonomie de l'Alsace, du Languedoc-Roussillon et de Midi-Pyrénées, alors que l'Assemblée nationale avait voté cet été une carte de 13 régions.


    A l'occasion de l'examen en seconde lecture du premier texte de la réforme territoriale, 175 sénateurs, principalement UMP, centristes, et RDSE (à majorité PRG), ont voté pour cette carte redessinée par leur commission spéciale, alors que 33 ont voté contre, dont les communistes. Les écologistes et l'ensemble du PS se sont abstenus.


    En revanche, le Sénat a refusé à une voix près le maintien d'une région Nord/Pas-de-Calais séparée, allant dans le sens du gouvernement et de l'Assemblée qui veulent la voir fusionner avec la Picardie. La carte votée par le Sénat sera à nouveau soumise à l'Assemblée nationale, qui pourrait bien revenir à sa version de 13 régions.


    "Nous avons besoin de clarté et (...) la carte votée à l'Assemblée a ce mérite", avait souligné le Premier ministre Manuel Valls dans une déclaration avant le début de l'examen du texte. "Je vous laisse en débattre. Mais 12 régions hexagonales, quel changement!" s'est-il exclamé. Ce chiffre ne prend en compte que les régions continentales, hors Corse et outremer.


    Les sénateurs ont rejeté en séance un amendement déposé par des élus UMP de Lorraine comme Gérard Longuet, mais aussi par François Baroin (Aube), qui visait à rétablir une grande région Alsace-Champagne Ardenne-Lorraine par 219 voix contre 117. La grande majorité de la droite et du centre a voté contre cet amendement déposé pourtant par des sénateurs UMP, tandis qu'à l'inverse, la plupart des socialistes ont voté pour.


    La taille d'une région "ne fait rien à l'affaire", a dit le chef des sénateurs UMP Bruno Retailleau pour défendre l'autonomie de l'Alsace. "Pourquoi contraindre les élus, à l'opposé de la volonté exprimée par référendum?", a-t-il demandé.

    "L'identité n'est pas contradictoire avec l'altérité", lui a répondu le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve pour défendre la fusion. Les sénateurs ont ensuite repoussé par 217 voix contre 123 des amendements voulant rétablir la fusion Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées prévue par l'Assemblée.


    Une future région Centre-Val de Loire


    "L'addition des forces favorisera le développement harmonieux des territoires et notamment économique en constituant un bloc de six millions d'habitants, et le douzième PIB européen, basé sur la complémentarité entre Toulouse et Montpellier et la Méditerranée", a plaidé Roland Courteau (Aude, PS).


    Pour Jean-Pierre Grand (Hérault, UMP), partisan de la fusion, "rien ne justifie que le Languedoc-Roussillon reste une région isolée au moment où les autres fusionnent". Mais il n'a pas été suivi par ses collègues UMP qui ont voté contre, ainsi que les centristes et à gauche les communistes et le RDSE (à majorité PRG). Seuls les socialistes et les écologistes ont voté pour.


    Le vote a été plus serré sur des amendements présentés par des sénateurs du Nord/Pas-de-Calais, tant socialistes que centristes, pour refuser la fusion entre leur région et la Picardie, votée par l'Assemblée et approuvée par la commission sénatoriale. Déçus par ce résultat alors que leur groupe s'était engagé à les soutenir, les sénateurs PS du Nord/Pas-de-Calais ont quitté la séance en signe de mécontentement.


    Le Sénat a validé l'ensemble des propositions de sa commission, notamment d'appeler la région Centre la région Centre-Val de Loire. Il a autorisé deux départements à fusionner à condition d'obtenir une majorité des trois cinquièmes des suffrages exprimés dans chaque assemblée départementale, et assoupli les conditions de changement de région pour un département, le droit d'option.


    Enfin, le Sénat a approuvé la date des élections départementales proposées par le gouvernement, les 22 et 29 mars 2015. Le gouvernement doit présenter au Sénat avant la fin de l'année un deuxième texte sur la réforme territoriale, portant cette fois sur les compétences. En juillet, le Sénat, alors à gauche, avait rendu copie blanche en première lecture. Il était passé à droite lors de son renouvellement par moitié fin septembre.

     

    http://www.acteurspublics.com/2014/10/31/bras-de-fer-entre-senat-et-gouvernement-sur-la-reforme-territoriale

     

     

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    Colère des Français : attention, danger !
    Le Point.fr - Publié le 20/10/2013 à 14:42

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    Faut-il craindre le pire dans les mois à venir ? C'est en tout cas l'exaspération grandissante des Français qui ressort de la dernière note confidentielle rédigée par le ministère de l'Intérieur à partir des rapports transmis par les préfets. Publiée le 27 septembre, cette note a été jugée suffisamment préoccupante pour être communiquée aux principaux dirigeants de la majorité.


    Il en ressort un mécontentement croissant des Français, sur fond d'aigreurs accumulées. Le premier point du rapport souligne ainsi le "sentiment d'abandon" ressenti par le monde rural, qui s'inquiète du redécoupage cantonal. Selon les préfets, ce dernier fait l'objet de "débats enflammés dans les exécutifs locaux", où l'on redoute les "conséquences d'un tel redécoupage sur le maillage territorial des services publics et l'éligibilité à certaines subventions ou projets d'équipement".

    "Matraquage fiscal" et délinquance

    "L'hégémonie des métropoles", que le gouvernement serait en train d'organiser via la loi Lebranchu, est également de plus en plus pointée du doigt (..)


     

    http://www.lepoint.fr/societe/colere-des-francais-attention-danger-20-10-2013-1745937_23.php

     

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    mercredi 29 octobre 2014

    Bilan économique et social de François Hollande à mi-mandat (billet invité)

     

    Billet invité de l’œil de Brutus. 


    Nul besoin d’ergoter pendant des lustres sur le bilan de François Hollande en termes de résultats économiques : ceux-ci sont à la mesure d’un chômage qui crève tous les plafonds et d’une croissance qui reste désespérément atone à tel point que les défauts d’investissements d’aujourd’hui commencent par mettre gravement en péril la France de demain[i]. Mais, contrairement aux mensonges du gouvernement sur le sujet ce bilan n’est pas un simple effet de cycle économique ou la simple résultante d’une situation catastrophique laissée par la majorité précédente. Il est aussi indubitablement lié aux mesures prises par François Hollande et sa clique : une thérapie de choc néolibérale qui ferait se pâmer d’envie une Margaret Thatcher en goguette ou un Chicago boys friedmanien en mal de reconnaissance. Car lorsqu’en période de récession, l’on massacre à ce point l’économique et le social, il ne faut guère s’attendre à ce que ménages et entreprises (celles tenues par de véritables entrepreneurs, non les vampires multinationaux) retrouvent le goût de l’initiative, de la dépense et de l’investissement, éléments pourtant indispensables à la création d’emplois. Et lorsque l’on met une telle morgue, une telle arrogance et un tel acharnement à détruire les structures économico-sociales[ii] d’un peuple, il ne faut pas s’étonner, qu’un jour ou l’autre, il vous le fasse payer.

    Petit recueil (non exhaustif) donc, des mesures économico-sociales prise par la « gauche de droite » la plus décomplexée que la France ait jamais connue[iii] :

    -      

    Depuis le 1er juillet 2012, le SMIC net (compte-tenu des cotisations) a connu une baisse de 1,5% en parité de pouvoir d’achats.


    -       De par la loi de « sécurisation de l’emploi » (bel usage de novlangue) du 14 juin 2013 :
    o   Les employeurs peuvent augmenter le temps de travail tout en gelant ou même en diminuant les salaires (sauf ceux inférieurs au SMIC) ;
    o   Les employeurs peuvent recourir à des plans sociaux express, considérés comme exécutables au bout de trois semaines sauf véto de l’administration ;

    -       Plutôt que de revoir les principes de financement de remboursement des soins par la sécurité sociale, M. Hollande a préféré imposer aux salariés la généralisation de l’assurance maladie complémentaire. Un beau cadeau aux assureurs privés, Axa en tête.

    -       Grâce à la réforme des retraites initiées par M. Hollande (dans la droite ligne de celle de M. Sarkozy), la durée de cotisation pour bénéficier d’une retraite à taux plein s’allonge d’un trimestre tous les ans jusqu’en 2020. Pour « compenser », le gouvernement devait instaurer un « compte pénibilité » qu’il a finalement retiré sous pression du Medef.

    -       Les pensions de retraites supérieures à 1200€ ne seront plus revalorisées.

    -       Les cotisations retraites ont été augmentées de 0,15 point chacun pour les employeurs et salariés en 2014, puis de 0,30 point par an jusqu’en 2017.

    -       Après avoir annulé la « TVA sociale » de Nicolas Sarkozy, le gouvernement a finalement fait passer le taux normal 19,6 à 20%, le taux intermédiaire de 7 à 10 % et le taux réduit (pour les produits de première nécessité) qui devait baisser est finalement resté à 5,5%.

    -       La fameuse taxe à 75% pour les très hauts revenus après de multiples atermoiements a finalement définitivement été enterrée par Manuel Valls pour 2015.

    -       Les barèmes de l’impôt sur le revenu ont été gelés (par rapport à l’inflation), ce qui a entrainé une imposition beaucoup plus importante des faibles revenus.

    -       La demi-part accordée pour l’impôt sur le revenu pour les personnes vivant seules et ayant élevé un ou plusieurs enfants a été supprimée, faisant notamment exploser l’imposition de nombreuses femmes seules à faibles revenus.

    -       Par le crédit d’impôt sur la compétitivité et l’emploi (CICE), M. Holland accorde 40Mds€ d’allégements fiscaux aux entreprises, sans exiger aucune contrepartie, sachant qu’il est fortement probable que ces allègements profiteront massivement aux multinationales (et peu ou pas aux PME) qui créent peu d’emplois en France.

    -       La « réforme » bancaire initiée par le gouvernement ne devrait finalement toucher que 1% des activités bancaires (!).

    -       François Hollande avait promis la fin de la RGPP (révision générale des politiques publiques) de Nicolas Sarkozy, prévoyant, entre autres, le non-remplacement d’un départ sur deux de fonctionnaire à la retraite. C’était pour mieux la remplacer par la MAP (modernisation de l’action publique), qui en est sa quasi-jumelle.

    -       Le point d’indice des fonctionnaires continuera à être gelé jusqu’en 2017, soit une perte annuelle de pouvoir d’achat d’un minimum de 0,5% par an.

    Et enfin, tout récemment, le gouvernement Valls a décidé de diviser par le deux la durée maximale du congé parental et par trois la prime de naissance à partir du 2e enfant, tout en projetant de mettre les allocations familiales sous conditions de ressources.
    De « gauche », vraiment ?


    [i] Sur le sujet, lire Une rentrée difficile…,  Jacques Sapir, russeurope, 13-août-14 ; Perspectives, Jacques Sapir, russeurope, 19-août-14 ; L’échec de Hollande, Jacques Sapir, russeurope, 10-juil-14 ; L’Euro-Cauchemar, Jacques Sapir, russeurope, 16-mai-14.
    [ii] Sans même parler du lamentable bilan diplomatique, fait d’un atlantisme va-t-en-guerre manichéen, simpliste et à courte vue, au point qu’on va finir par prendre Nicolas Sarkozy pour un dangereux gaullo-mitterrandien.
    [iii] La quasi-totalité des mesures données ci-après sont détaillées dans l’édition de septembre du Monde diplomatique

    Bilan économique et social de François Hollande à mi-mandat

    On peut lire aussi :

    Un déplacement de Hollande en province coûte 41 000 euros et mobilise plus de 200 policiers et gendarmes + lien

     

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