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    Nicolas Sarkozy l'homme des coups de force

    par eva R-sistons

     

     

    Alerte !

     

    Nicolas Sarkozy, souvenez-vous, est l'homme qui a imposé le Traité de Lisbonne contre la volonté des Français et des Européens. Ce n'est pas un démocrate, c'est un autocrate - qui aime par-dessus tout le pouvoir, l'argent, les honneurs. Et il ne supporte pas l'idée d'être battu aux Elections, d'autant qu'il traîne derrière lui d'innombrables casseroles et qu'il se retrouvera alors devant la Justice pour plusieurs affaires (Bettencourt, Karachi, guerres illégitimes etc etc) puisqu'il ne jouira plus de l'immunité parlementaire.

     

    Par conséquent, il fera tout pour conserver le pouvoir.

     

    L'Affaire Merah a été montée de toutes pièces pour détourner l'attention des vrais problèmes, économiques et sociaux, et pour réorienter les débats dans un sens sécuritaire - domaine de prédilection de Nicolas Sarkozy qui instrumentalise les peurs. En même temps, cet événement présenté par le Président comme "le 11 septembre français", pas moins, était destiné à drainer la colère sociale des citoyens vers des boucs-émissaires - musulmans - pour la désamorcer, tout en préparant l'opinion au choc de civilisations souhaité par Israël. 

     

    On parle déjà d'Elections truquées avec le vote électronique dans certaines villes et des résultats électoraux produits par une société américaine §

     

    Par ailleurs, on peut craindre aussi, la veille du 2e tour - à un moment où il n'est plus possible d'intervenir, de "désamorcer" l'imposture - un fait divers sanglant qui suscitera dans l'opinion (particulièrement dans la France "profonde") un sentiment de peur, d'effroi, et le désir de sécurité avec un homme se disant "fort". Le résultat des élections serait complètement faussé et plus tard les Français n'auraient plus que leurs larmes pour regretter leur geste impulsif, irraisonné, irrationnel.

     

    Merci de relayer cet article, afin que la population ne se laisse pas manipuler le moment venu.

     

    Eva R-sistons

     

     

    §  

    Présidentielles françaises 2012: le choix du peuple? (MàJ à 10h00) 

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     Individu dangereux pour la République


    (cliquer sur le lien)

     



     

    Pour rappel de ses méfaits, ces articles du blog :

     


    Sarkozy, le mensonge permanent

    Sarkozy vu de l'étranger

    Virer sarkozy en 2012 - Témoignage d'un officier de gendarmerie

    Sarkozy, champion de la dette

    Sarkozy, le bonimenteur

    LOPSI 2, toujours plus loin vers le fascisme

    Déficit public: Sarkozy va couler la France, comme Bush a coulé les Etats-Unis

    Misère et opulence dans le Sarkoland

    « Sarkozy, vampire des médias »

    Des lobbies au coeur de la République

    Quand la police devient une menace pour n'importe quel citoyen

    Garde à vue abusive

    LOPSI 2, suite d'HADOPI pour renforcer le flicage de l'internaute

    Un jeune homme perd un oeil après un tir de flashball

    Pétition pour l'interdiction totale du flashball et du taser

    Des policiers au dessus des lois - Rapport Amnesty 2009

    Libertés publiques: le rapport accablant de la Commission Nationale de Déontologie de la Sécurité

    Violences policières: le diagnostic accablant d'Amnesty

    Big Brother Award 2009

    Vers un web français à la chinoise, avec Big Brother en prime

    Comment le Roi et sa cour profitent de votre argent

    Sarkozy fait exploser le déficit public

    HADOPI, loi liberticide anticonstitutionnelle

    Emprisonné après avoir réçu une plaisanterie par SMS

    23.04.2012
    Sarkozy vu de l'étranger


     

     

    Depuis l'arrivée au pouvoir de Sarkozy, les médias français sont sous une chape de plomb. Mais les journalistes étrangers sont hors de portée des pressions que subissent leurs confrères français. C'est donc eux qui peuvent le mieux nous parler Sarkozy, de sa personnalité, et de la façon dont il gouverne depuis 5 ans. Ils nous disent aussi comment Sarkozy est perçu dans le monde, notamment par les autres dirigeants occidentaux qui avaient pourtant placé beaucoup d'espoirs en lui, ayant comme les Français cru aux promesses et aux beaux discours de notre autocrate bonimenteur...

    Dans ce documentaire, Nicolas Sarkozy se prend un coup de massue sur la tête par minute. Immature, brouillon, agité, inconstant, arrogant, mal élevé, pas à la hauteur de sa fonction, raisonnant de manière simpliste, préférant les slogans à l'analyse approfondie, et faisant le contraire de ce qu'il dit, telles sont les critiques qui reviennent le plus souvent de la part des journalistes américains, britanniques, allemands, italiens, espagnols, belges, suisses, africains, russes ou chinois qui sont interviewés. Telle est aussi la façon dont Nicolas Sarkozy est perçu par les chefs d'état étrangers comme Angela Merkel, Tony Blair, ou Barack Obama auprès desquels il ridiculise la France depuis 5 ans.

    Ce documentaire de William Karel a été diffusé en décembre 2011 sur Arte, chaine franco-allemande dont le président n'est pas nommé par Sarkozy, contrairement aux autres chaines publiques.

    voir le film

     

     

    23.04.2012
    Le bilan de Sarkozy

     

    Cliquer sur chaque image

     



    Alors que les élections approchent, il est temps de se remémorer le bilan de Sarkozy. Voici un rappel très complet des faits marquants de ses 5 ans passés à l'Elysée...

    voir le site

     

     

    Voir aussi :

     

    Sarkozy, le mensonge permanent

     

     

     

    Et toujours à propos de Sarkozy, voici une analyse extrêmement lucide du personnage avant son élection en 2007 par le journaliste Edwy Plennel... Ce qu'il disait s'est entièrement vérifié depuis.

     

     

    ..

    cliquer sur le lien

     

     

    http://blog.syti.net/

     

     

    Voir aussi :

     

    Amnesty International épingle la France de Sarkozy pour discrimination contre les Musulmans

     

     

     


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    Et même le clan Chirac le lâche (sauf Bernadette) !

     

     

    La désintégration du sarkozysme

     

     

    Sondages en chute libre, dynamique cassée, presse internationale déchainée, soutiens de droite qui basculent pour Hollande : à quatre jours du premier tour, il y a le feu à la maison Sarkozy. Et ce soir l’affaire du Crillon décuple l’effet Fouquet’s. Nous sommes en train d’assister à ce que j’appelle la « désintégration du sarkozysme ».

     

    (La Une de l’édition européenne du magazine américain Time, le 2 avril)

     

    Que Jean-Jacques Aillagon, ancien ministre de la Culture de Jacques Chirac, ait appelé à voter Hollande était, dès le mois dernier, un signe de mauvais augure pour Nicolas Sarkozy. Mais c’était encore un cas isolé, singulier.


    Depuis, les ministres d’ouverture sont devenus des ministres de fermeture : en appelant à voter Hollande, Martin Hirsch et Fadela Amara, referment la page du sarkozysme. Corinne Lepage fait de même. Et voici que deux villepinistes pur jus, ses anciens ministres Azouz Begag et Brigitte Girardin appellent, eux-aussi, à voter Hollande. Quant à Jacques Chirac, Le Parisien nous a décrit minutieusement ce matin le basculement presque complet de la famille – du « clan » Chirac – en faveur de Hollande. C’est rare dans la Vème République une telle curée de la droite « mainstream » pour le candidat de droite « mainstream ».


    Au-delà des petites vengeances, des aigreurs, ou des ambitions, l’important est ailleurs. A Bordeaux récemment, à Avignon, à Marseille, à Caen, à Rennes, à Quimper, j’ai pu mesurer à l’occasion de débats et de rencontres, l’aversion et la détestation – pour ne pas dire la haine – qui monte à l’égard de Nicolas Sarkozy. A Bordeaux, par exemple, attablé avec la droite « juppéiste » la plus caricaturale – celle des dentistes et des notaires, provinciale et bourgeoise, catholique, balzacienne et normée – j’ai été frappé par la détestation de Sarkozy et de sa femme, Carla Bruni. Ce n’est pas la gauche qui est en train de sortir de force Sarkozy de la scène politique française, c’est la droite ! Ailleurs, j’ai vu la colère des paysans du Sud de la France contre Sarkozy. J’ai entendu les colères extrêmes des enseignants contre le président sortant.


    Quant à la presse internationale, qui a plus de distance, elle tire à boulets rouges elle aussi sur le candidat sortant : The Economist, le Time, le Financial Times etc. sont d’une cruauté venimeuse pour Nicolas Sarkozy. D’où le titre du magazine américain Time, dans son édition européenne : « Adieu ? »


    Sarkozy : « En cas d’échec, je serai le seul responsable »


    En fin de compte, ce n’est pas seulement une politique qui est condamnée, pas la droite qui va être battue, c’est un homme, une personnalité qui est en train de faire l’unanimité contre lui. Les raisons ? Ce sont des symboles, peu nombreux, mais qui sont si forts et si présents, qu’ils annulent tout autre comportement rationnel des électeurs : le Fouquet’s ; le yacht de Bolloré ; l’Epad de son fils Jean ; le salaire personnel augmenté de 170 % ; l’affaire  Mitterrand ; le « Cass’ toi pov con » ; la hiérarchie des civilisations de Claude Guéant ; l’affaire Woerth-Bettencourt ; la nuit à Disneyland avec Carla fin 2007 et la fameuse formule de sa grande conférence de presse de rentrée, en janvier 2008 : « Avec Carla c’est du sérieux » ; la montre Patek Philippe à 55.000 euros etc.


    Et puis, ce soir, on a appris l’affaire du Crillon, qui est en train de décupler l’affaire du Fouquet’s, et refermer la boucle : c’est le Canard Enchaîné de demain matin qui révèle ce « lunch » de millionnaires dans le grand palace parisien de la place de la Concorde, pour un fundraising en faveur de Sarkozy. Ironie de l’histoire : le déjeuner a eu lieu dans les salons Marie Antoinette ! L’affaire du « collier » a emporté Marie Antoinette et Louis XVI : l’affaire du Crillon (après l’Epad et la Patek) va-t-elle emporter Sarkozy ? Ce soir, dans son grand discours du meeting de Lille, toujours est-il que François Hollande, qui connait mieux que personne la puissance de l’antisarkozysme, a raillé un quinquennat qui a commencé au Fouquet’s et qui se termine au Crillon


    A l’échelle des grands sujets du quinquennat, et même à l’aune des finances publiques, ces faits sont bien sûr des épiphénomènes ; mais comme symboles, ils sont déterminants. Si Nicolas Sarkozy perd la présidentielle, il le devra d’abord à ces symboles calamiteux. A trop avoir joué avec l’argent, avec les affaires, avec les femmes, avec le feu, il a brûlé ses vaisseaux.


    Dans une interview à l’Express cette semaine, Nicolas Sarkozy précise : « En cas d’échec, je serai le seul responsable« . On ne peut pas mieux dire.


    La désintégration du sarkozysme


    Qu’est-ce que le sarkozysme ? Que restera-t-il, s’il est défait le 6 mai, dans l’histoire de la droite ? Que deviendra-t-il dans les manuels d’histoire ? Une énergie inaboutie ? Une agitation un peu vaine ? Un volontarisme sans sens de la réforme ? Un bonapartisme ?

    En réalité, je fais l’hypothèse qu’il ne restera rien du sarkozysme après le 6 mai. Même la droite aura du mal à se réapproprier la figure et le bilan, la technique politicienne et le sens médiatique. Pas davantage l’homme. Si Sarkozy est battu, la parenthèse sera refermée et nul n’aura une grande envie de la rouvrir.


    Et c’est ainsi que de désistements d’anciens ministres en sondage en chute libre, de dynamique cassée en vengeances de Chirac et Villepin, nous sommes en train d’assister à ce que j’appellerais « la désintégration du sarkozysme ». Ce n’est encore que le début.


     

    SOURCES : Le Parisien ; L’Express ; Sur Villepin ; Magazine Time, 2 avril. Sur l’affaire du Crillon : voir Le Canard Enchaîné de demain,

     

    http://blogs.lexpress.fr/sarkozysme-culturel/2012/04/18/la-desintegration-du-sarkozysme/

     

     

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    Ex-directeur de la DST : Sarkozy est responsable du chaos en Libye et au Mali  16/04/2012

    Ex-directeur de la DST : Sarkozy est responsable du chaos en Libye et au Mali


    L’ancien directeur de la Direction de la surveillance du territoire (DST), un service de renseignements du ministère de l'Intérieur, Yves Bonnet, a accusé le président Nicolas Sarkozy d’être responsable « du chaos en Libye, au Mali », soulignant que " le manque de confiance entre l'Algérie et la France a aggravé la situation dans la région de la côte de l'Afrique ".

    Dans une interview accordée au quotidien algérien alAkhbar, Bonnet a jugé que "l’Afrique fait l’objet de perturbations sécuritaires de plus en plus dangereuses en raison du chaos provoqué en Libye, et dont les parties responsables sont bien connues à savoir l'OTAN et la France. Or, ces derniers n’ont pas tenu compte de quelque chose de grave, celui de réfléchir sur les résultats d’une intervention dans les affaires d'un Etat quel que soit la nature de son régime".

    Il a souligné qu’ "en politique, il est impératif de s'assurer que le règlement que nous cherchons dans une quelconque situation esera de loin meilleur que la situation elle-même, autrement dit dans le cas de la Libye, je pense que la situation d’avant était bien meilleure que celle d’aujourd'hui."

    Directeur du DST entre 1982 et 1985, Yves Bonnet connaît bien la Libye et les Libyens, c’est pour cela il affirme que "la Libye était un pays bien géré et a réalisé des progrès sociaux importants, voire que les Libyens étaient parmi les peuples les plus riches du Maghreb et maîtrisaient l’art de bien traiter avec autrui, sans compter qu’ils baignaient dans la paix et la sécurité, et donc la situation qui leur a été imposée est tout à fait différente de ce qu’elle était auparavant".

    Et de poursuivre :"qu’au cours de sa visite l’an dernier à Benghazi et à Tripoli, durant laquelle il était accompagné par les membres d’un centre qui s’intéresse aux questions sécuritaires, nous avons exprimé de sérieuses préoccupations envers l'extrémisme islamique croissant et mis en garde contre la fragmentation de l'Etat ".

    Yves Bonnet a accusé "le gouvernement du président Nicolas Sarkozy et l'OTAN d’avoir entraîné la Libye dans un chaos et une perturbation sans précédent ", soulignant que "ces deux parties savaient parfaitement la taille des conflits tribaux là-bas et ses conséquences dans le cas où le pays sortait de sa stabilité".

    Pour ce qui est du Mali, l’ancien DST a mis en garde contre la présence d’Al-Qaïda en Lybie: "Nul doute que certaines parties en Libye sont contrôlées par Al-Qaïda, or cette dernière a implanté un homme dans une région vitale, ce qui est dangereux non seulement pour la Libye, mais pour tous les pays dans la région" !

    Interrogé sur la nécessité d’une intervention militaire étrangère au Mali pour résoudre la crise, Bonnet n’a pas exclu cette option mais ne l’a point encouragée en raison de la gravité de ses conséquences, surtout que « les pays dans la région du Sahel sont confrontées à des situations de plus en plus difficiles, et que cette région est une zone de confluence des civilisations, ainsi la civilisation bédouine et celle des nomades autochtone n'ont pas réussi à trouver un état d'harmonie ».

    Enfin, l’ex-DST a mis en garde contre une marginalisation du rôle de l’Algérie : « La plus grande erreur qu’a commis la France, c’est qu’elle a oublié que Algérie est aussi un Etat du désert du Sud, et donc un partenaire incontournable ».

    "On peut trouver des solutions aux problèmes de la région sous influence française, en créant une entente ou un accord entre l'Algérie et la France, sans que cela n’évolue en un problème plus complexe, surtout si les deux pays n’ont pas confiance l’un dans l’autre. Malheureusement, la France n’a pas confiance en Algérie, et non l’Algérie", a ajouté Yves Bonnet .

    http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=59859&cid=21&fromval=1&frid=21&seccatid=61&s1=1 http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=59859&cid=21&fromval=1&frid=21&seccatid=61&s1=1

     

    http://www.alterinfo.net/notes/Ex-directeur-de-la-DST-Sarkozy-est-responsable-du-chaos-en-Libye-et-au-Mali_b4099517.html

     

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    Sarkonocchio encore plus menteur que Pinocchio

    Et le mensonge, il connait ça, le petit Nicolas…(rediffusion appropriée)

    http://www.cpolitic.com/cblog/2009/02/12/video-sarkozy-et-la-recherche-pinocchio-dementi-point-par-point/

     

     

    Nicolas Sarkozy

    un grand, un très grand bonimenteur

    par eva R-sistons

     

     

    Nicolas Sarkozy a convié tous ses fidèles Place de la Concorde.

     

    Cette fois, pas de discours sur la Sécurité : Pour gagner les voix du Front National, N. Sarkozy avait ces derniers temps emprunté les mêmes idées, les mêmes mots (mais on préfère l'original à la copie) - et il avait fait mettre en scène un attentat contre des Militaires - des Musulmans au service de la France - et contre un père et ses enfants - Juifs -. C'était l'Affaire Merah, du nom de ce jeune agent de la DGSE en Afghanistan, au Pakistan etc, et avec un passeport homologué par Israël. Et tout cela pour quoi ? Pour stagner dans les sondages, finalement.

     

    Il faut donc changer de tactique. La plume du discours, c'est toujours Guaino. Mais cette fois pour convaincre ceux qui parlent d'identité, de patriotisme, et qui ont la nostalgique de l'indépendance nationale tout en se méfiant de la mondialisation financière qui tue la Nation, l'emploi, les PME... - pour convaincre ces électeurs-là, il faut autre chose.

     

    Et cette fois, Celui - Nicolas Sarkozy - qui exécute les diktats de Bruxelles, en particulier ceux de Mme Merckel, mais aussi ceux de Londres (Empire financier), de Washington (avec son bras armé l'OTAN), et de Tel-Aviv (via son correspondant en France, le CRIF), celui-là, donc, doit revêtir les habits de l'homme qui défend la Nation française contre les empiètement de l'Etranger. En osant même invoquer le Gl de Gaulle dont il détruit peu à peu  toutes les valeurs !

     

    Comment nous convaincre ? En mentant. En disant ce que les Electeurs attendent. Les mots remplacent les actes. Plus de promesses, mais des mots incantatoires. La magie pure !

     

    Et cette fois, Celui - Nicolas Sarkozy - qui exécute scrupuleusement les diktats de la Finance, du Cartel bancaire dont il est le représentant en France, au détriment de la Nation, des PME,  de l'Emploi, de notre modèle social, des services publics, de la retraite - de nous tous par conséquent, tout en invoquant le changement de société -, celui-là, donc, annonce qu'il imposera une contribution, une taxe financière - sans dire qu'elle sera symbolique - et il ose même parler de réorientation de la politique pour que la Finance pèse moins sur les ménages. Il revêt, là, les habits du réformateur que les Français appellent de leurs voeux, en imaginant contre toute vraisemblance un capitalisme d'entreprise se substituant au capitalisme financier. Alors que les entreprises, sous sa Présidence, disparaissent les unes après les autres ! Comme les réserves d'or et les bijoux de notre pays - le patrimoine de la France est offert aux fonds de pension américains et au Qatar. Même chose pour la BCE, la Banque Centrale Européenne : Sarkozy veut organiser... un débat, un simple débat - pour en tirer quoi ? Alors qu'il a imposé, par la force, la Constitution européenne et ses carcans aux Français qui n'en voulaient pas ! Quelle imposture !

     

    Comment nous convaincre ? En mentant. En disant ce que les Electeurs attendent. Les mots remplacent les actes. Plus de promesses, finalement, mais des mots incantatoires. La magie pure !

     

    Et cette fois, Celui - Nicolas Sarkozy - qui détruit peu à peu l'école Républicaine (ouverte à tous gratuitement dès le plus jeune âge, et formant l'élève à la réflexion notamment avec des matières développant l'esprit critique) et qui limite l'apprentissage de la philosophie, de l'Histoire, de la géographie, celui-là, donc, annonce une école appartenant aux familles. Il revêt, là, les habits du Républicain que les Français chérissent.  

     

    Comment nous convaincre ? En mentant. En disant ce que les Electeurs attendent. Les mots remplacent les actes. Plus de promesses, finalement, mais des mots incantatoires.

     

    Et tout le reste à l'avenant. Sachant qu'on ne croit plus ses promesses, sachant que les Français attendent enfin un langage de vérité, sachant que Victor Hugo comme le Gl de Gaulle et la Révolution française sont toujours chers au coeur des Français, eh bien il se présente en champion de la vérité, il martèle les valeurs françaises,  celles-là même que sa politique piétine quotidiennement notamment pour américaniser notre pays, et puis il flatte les instincts de la France profonde, et puis il dit tout ce que l'on a envie d'entendre (en sachant qu'il ne fera rien de ce qu'il dit), et puis il ment il ment il ment....

     

    En écoutant Nicolas Sarkozy, j'ai su que nous avions sur notre écran le plus grand bonimenteur de France. Il a même promis de réformer l'Europe dans le sens que nous souhaitons, lui qui nous l'a imposée contre notre gré, en scellant dans le marbre de nouvelles dispositions encore plus contraignantes et douloureuses pour les Européens...

     

    Bonimenteur ?  Ce n'est pas un éloge. Bien au contraire !

     

    Surtout si l'on sait qu'en coulisses, Celui qui ne veut pas lâcher le pouvoir (et qui est prêt à passer en force) prépare sans doute une élection contre nature. En truquant les résultats ? C'est la seule vraie question qu'il faut poser maintenant.

     

    Eva R-sistons

     

    Sarkodecouvresonbilan


     


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    Note d'eva : J'avais prévenu mes Lecteurs de sos-crise voici plusieurs jours. Hier, sur France2, M. Mélenchon a lui aussi dénoncé l'attentat financier en préparation.

     

     

    Un attentat financier

    by Patrick Le Hyaric

     

    La main invisible du marché n’existe pas. Il n’y a que des décideurs politiques qui la manœuvrent tel un pistolet contre la tempe des peuples. En voici une nouvelle preuve. Le pouvoir sarkozyste et l’autorité des marchés financiers créent, à partir de lundi matin, une nouvelle arme de… spéculation de masse sur… la dette française.

    On peine à le croire tant la machinerie au service de la finance est énorme. Elle répond du nom d’« Eurex ». Elle est l’équivalent d’une bourse de la banque Deustche Börse, basée à Francfort, à quelques pas du siège de la Banque centrale européenne. Elle est directement connectée à deux banques anglo-saxonnes Barclays Capital et Morgan Stanley. Celles-là même qui mettent les Grecs à genou. Voilà le mécanisme par lequel va être organisé le pillage des richesses de la France.

    Non seulement les institutions européennes et les gouvernements font payer la crise et la dette qu’ils ont crées aux peuples, sous forme de réduction des services utiles, du recul de l’âge de la retraite, de réduction des prestations sociales, avec la tentative de privatiser la sécurité sociale à terme, mais voici que la dette elle-même est pour eux partie intégrante du marché capitaliste et destinée à rapporter beaucoup d’argent aux ogres de la finance.

    Parce que la France constitue le deuxième « marché » de la dette après l’Allemagne, les banksters, comme les vautours décident de la piller toujours plus. Chaque jour, dix milliards de notre dette seront ainsi jetés dans le feu de la spéculation. Les banques et fond financiers y gagneront chaque soir des centaines de millions d’euros payés par les travailleurs et les retraités victimes des hausses de TVA, des réductions de services publics, de la baisse du niveau des pensions de retraite pour rembourser… les intérêts de la dette qui grossiront sans cesse.

    L’attentat financier qu’organisent M. Sarkozy et l’autorité des marchés financiers à quelques jours de l’élection présidentielle doit être dénoncé. La gauche devra avoir le courage et la force d’interdire tous les mécanismes de spéculation.

    Refuser que la finance impose ses diktats demande des actes clairs : l'instauration d'une taxe sur les transactions financières, la réalisation d'un audit citoyen de la dette, la remise à la Nation de la propriété des principales banques, le changement des missions de la Banque centrale européenne.

    Il s'agit de contrer la spéculation grâce à un nouveau crédit public favorable à l’emploi, aux salaires, à la réindustrialisation, aux petites et moyennes entreprises, aux collectivités territoriales et pour une mutation écologique. Pour ce faire, la gauche pourra s'appuyer sur la mobilisation des citoyens telle qu'elle se sera exprimée dans les urnes dés le 22 avril et aussi dans le référendum à organiser sur le projet de nouveau traité européen. (..)

    Plus que jamais portons haut le beau drapeau de « l’humain d’abord », contre les ravages de la loi de l’argent. Le pouvoir de droite, suppôt des puissances d’argent qui, en ce moment même, conspirent contre les intérêts économiques et sociaux fondamentaux de la Nation, devra répondre de ses actes

     


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