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    La réforme du territoire : Son vrai but est

    de tuer la nation française

    pour en faire une euro-région,

    en vue du Nouvel Ordre Mondial

     

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    Réforme territoriale : la tribune de

    François Hollande en intégralité

     

    Publié le 02.06.2014, 21h56 |

    ILLUSTRATION. Le président François Hollande annonce ses arbitrages concernant la réforme territoriale, dans une tribune à paraître ce mardi dans la presse quotidienne régionale. | 

    Zoom


    «Réformer les territoires pour réformer la France»

     
    «Depuis deux siècles, la République a cherché à concilier l’unité de l’Etat, avec l’exercice le plus libre possible de la locale.

    Mais il a fallu attendre les grandes lois de décentralisation de 1982 sous la Présidence de , pour élargir les responsabilités des communes et des départements, et faire des régions des collectivités locales à part entière.

    Puis sous la présidence de Jacques Chirac, la République décentralisée a été consacrée dans la Constitution. C’était aussi une façon de reconnaître que nos territoires et les élus qui les représentent, ont incontestablement contribué depuis trente ans à la modernisation du pays et à l’amélioration de la vie quotidienne des Français.

    Le temps est venu de donner une forme nouvelle à cette ambition. Parce que notre organisation territoriale a vieilli et que les strates se sont accumulées. Parce que les moyens de communication, les mutations économiques, les modes de vie ont effacé les limites administratives. Parce que nous devons répondre aux inquiétudes des citoyens qui vivent à l’écart des centres les plus dynamiques et qui redoutent d’être délaissés par l’Etat en milieu rural comme dans les quartiers populaires.

    Le temps est donc venu de simplifier et clarifier pour que chacun sache qui décide, qui finance et à partir de quelles ressources. Le temps est venu d’offrir une meilleure qualité de service et de moins solliciter le contribuable tout en assurant la solidarité financière entre collectivités selon leur niveau de richesse.

    La réforme que j’ai demandée au Premier ministre et au Gouvernement de mettre en œuvre, en y associant toutes les familles politiques, est majeure. Il s’agit de transformer pour plusieurs décennies l’architecture territoriale de la République.

    Au plus près des habitants, la commune est l’institution à laquelle chaque Français est le plus attaché. C’est dans ce cadre que se pratiquent chaque jour la solidarité et la citoyenneté. Elle doit demeurer « une petite République dans la grande ». La spécificité de notre pays c’est de compter 36700 communes.

    L’ensemble du territoire national est aujourd’hui couvert par des intercommunalités. Mais elles sont de taille différente et avec des moyens trop faibles pour porter des projets.

    Ce processus d’intégration doit se poursuivre et s’amplifier. C’est le sens de la réforme proposée. Les intercommunalités changeront d’échelle. Chacune d’entre elles devra regrouper au moins 20 000 habitants à partir du 1er janvier 2017, contre 5000 aujourd’hui. Des adaptations seront prévues pour les zones de montagne et les territoires faiblement peuplés.

    L’intercommunalité deviendra donc, dans le respect de l’identité communale, la structure de proximité et d’efficacité de l’action locale. Il faudra en tenir compte pour lui donner le moment venu toute sa légitimité démocratique. Comme il en a été décidé pour les 13 métropoles et le Grand Paris qui ont été créés par la loi du 27 janvier 2014.

    Les régions, quant à elles, se sont imposées comme des acteurs majeurs de l’aménagement du territoire. Mais elles sont à l’étroit dans des espaces qui sont hérités de découpages administratifs remontant au milieu des années soixante. Leurs ressources ne correspondent plus à leurs compétences, qui elles-mêmes ne sont plus adaptées au développement de l’économie locale.

    Pour les renforcer, je propose donc de ramener leur nombre de 22 à 14. Elles seront ainsi de taille européenne et capables de bâtir des stratégies territoriales. Une carte a été définie. Elle prend en compte les volontés de coopération qui ont été déjà engagées par les élus, dont je veux saluer le sens de l'intérêt général. Elle sera soumise au débat parlementaire. Mais il faut aller vite car il ne nous est pas permis de tergiverser sur un sujet aussi important pour l’avenir du pays.

    (Au détriment de la proximité, note d'eva) Demain, ces grandes régions auront davantage de responsabilités. Elles seront la seule collectivité compétente pour soutenir les entreprises et porter les politiques de formation et d’emploi, pour intervenir en matière de transports, des trains régionaux aux bus en passant par les routes, les aéroports et les ports. Elles géreront les lycées et les collèges. Elles auront en charge l’aménagement et les grandes infrastructures.

    Pour remplir leur rôle, elles disposeront de moyens financiers propres et dynamiques. Et elles seront gérées par des assemblées de taille raisonnable. Ce qui veut dire moins d’élus.

    Dans ce nouveau contexte, le conseil général devra à terme disparaître. La création de grandes régions, et le renforcement des intercommunalités absorberont une large part de ses attributions. Mais cette décision doit être mise en œuvre de façon progressive car le conseil général joue un rôle essentiel dans la solidarité de proximité et la gestion des prestations aux personnes les plus fragiles. Et il ne peut être question de remettre en cause ces politiques. Pas davantage les personnels dévoués qui continueront à les mettre en œuvre. Du temps est nécessaire et de la souplesse est indispensable. Une large initiative sera laissée aux élus pour assurer cette transition. Certaines métropoles pourront reprendre les attributions des conseils généraux et toutes les expérimentations seront encouragées et facilitées.

    L’objectif doit être une révision constitutionnelle prévoyant la suppression du conseil général en 2020. Je veux croire qu'une majorité politique nette se dessinera en faveur de ce projet et que s’y associeront les élus qui, dans l'opposition aujourd’hui, souhaitent eux aussi l’aboutissement de cette réforme. D’ici là, les élections pour le conseil départemental seront fixées le même jour que celles pour les futures grandes régions à l’automne 2015. Avec le mode de scrutin qui a été voté par la loi du 17 mai 2013.

    Le département en tant que cadre d’action publique restera une circonscription de référence essentielle pour l'Etat, autour des préfets et de l’administration déconcentrée avec les missions qui sont attendues de lui : garantir le respect de la loi et protéger les citoyens en leur permettant d’avoir accès aux services publics où qu’ils se trouvent. Mais il devra renoncer à exercer les compétences reconnues aux collectivités.

    Cette grande réforme s’inscrit dans la volonté de moderniser notre pays et de le rendre plus fort. Elle est tournée vers les citoyens car il s’agit de simplifier notre vie publique, de rendre plus efficace nos collectivités et de limiter le recours à l’impôt. Elle repose sur les valeurs qui doivent nous rassembler : le souci constant de la démocratie, de la solidarité et de l’efficacité. Et c’est pourquoi j’appelle tous les citoyens et, en particulier, tous les élus locaux qui par leur engagement quotidien font vivre les institutions de la République, à s’associer à sa réussite.»


    François Hollande

    LeParisien.fr

     

    http://www.leparisien.fr/politique/reforme-territoriale-la-tribune-de-francois-hollande-en-integralite-02-06-2014-3891649.php

     

     

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    Tweets :

     

     

     · Regroupement des communes OBLIGATOIRES à partir de 2017 ! Hollande supprime donc EFFECTIVEMENT les communes !

     

     Hollande réalise le rêve libéral en remplaçant la base de la souveraineté Nation/Départements/Commune par Europe/Régions/Intercommunalités


     Sauvons nos départements. Aucune économie n'est du reste à attendre de méga-régions qui briseront le tissu géographique national.


    Le seul avantage c'est pour les lobbyistes, entreprises qui auront moins de gens à voir pour orienter décisions, remporter marchés


     

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    Le mépris des dirigeants est insupportable ! Les Alsaciens ne voulaient pas la fusion des Bas et Haut Rhin, on n'en tient pas compte et on les marie de FORCE avec la Lorraine !

     

    Réforme du  Territoire : On nous ment. Il ne s'agit pas tant d'économies (au profit de la Finance) que de tuer la France en tant que Nation.

     

    Là où on parle de SUPER régions, d'économies, il faut en réalité tuer les identités au profit du monde uniforme du NWO.

     

    Je suis attristée. On charcute la France, on la dénature, on la détruit, et les gens se résignent, ne réagissent pas. C'est très grave !


    La réforme de la Région tuera de nouveaux emplois... Employés autoroutes, etc, tout saute. Que restera-t-il ? Des mécontents ? Des indignés qu'on réprimera violemment avec des Valls ?

     

    Notons d'ailleurs que les routes nationales vont à leur tour devenir payantes !

     

    Effrayant ! Le PIRE ennemi de la France, c'est EELV modelé par le sayan Cohn-Bendit. Il voit la France comme une Région européenne, et non plus comme un pays !


    Basta les affaires Merah sans fin, montées de toutes pièces ! On ne parle plus que d'elles, pour victimiser les Juifs et susciter l'islamophobie !

     

    L'Oligarchie si sioniste, travaille à dresser les gens contre les Musulmans : Pour détourner la colère sociale et faire désirer le choc de civilisations.


    Pendant que l'UE prépare les pires mesures ou qu'Hollande-Valls détruisent la France éternelle, on débat sur les victimes juives et les djihadistes !


    Les gens ne savent pas qu'ils font le jeu du Système : En plaignant toujours les seuls Juifs, en ciblant toujours les seuls Musulmans, en votant FN pour sortir d'UE (alors qu'il y reste): Ils sont bernés !


    C'est pourquoi sur mes blogs j'alerte sans cesse, "on DETRUIT la France". Le mot n'est pas trop fort ! C'est le Nouvel Ordre Mondial !

     

    Ce qui est terrible, c'est que les meRdias collabos du Système devenu fou présentent la réforme du territoire comme super, engendrant plein d'économies.. faux, archi faux !

     

    C'est effrayant ! Avec la Réforme du territoire, on aura : Fin de la Nation française, fin des départements, fin de certaines Régions, fin des communes et de l'identité. Mais on aura des Mégapoles et des déserts !

     

    Ouvrons les yeux ! Ce que veulent les sots à EELV, c'est ce qui va arriver ! La France ne sera plus un pays, mais une région européenne !

     

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    Hollande veut faire disparaitre la République

     

     

     

    HollandeHollande, c’est Houdini ! Après avoir cherché à faire disparaitre la Gauche, le voilà qui, dans une interview à la presse quotidienne régionale à paraître mardi 3 juin, entend supprimer 101 départements et plus de 36.700 communes ! Mais tout n’est qu’illusion car le Président rejette par avance un possible échec sur les citoyens et les élus de la République qui ne voudraient pas s’y plier. Où quand un Président délégitimé veut enterrer la République pour mieux ressusciter.


    La succession des cachotteries d’alcôves aura donc pris fin lundi 2 juin après le cirque d’une ultime réunion à l’Elysée entre François Hollande, Manuel Valls son Premier ministre de combat, Marylise Lebranchu la ministre potiche de la Fonction publique et de la décentralisation, et André Vallini, le secrétaire d’état à la réforme territoriale, fossoyeur de l’indivisibilité de la République. Rien n’y fut bien sûr décidée mais il fallait donner le sentiment d’une réunion au sommet au moment même où la PQR recevait la tribune présidentielle qui dévoilait ce que l’on savait déjà : ce seront donc 14 « super régions » qui seront proposées au débat parlementaire. 14 régions qui visent surtout à mettre en adéquation le réceptacle politique avec les contenus du pacte de responsabilité pour lequel, coïncidence -ou non- des dates, François Hollande a reçu en fin d’après-midi les encouragements de la Commission européenne pour le mener à terme. 14 régions qui sont un paravent commode pour masquer la suppression programmée des départements, la vacuité promise pour les communes, et l’émergence d’intercommunalités comme autant de strates technocratiques déconnectées des citoyens en guise de substitution.


    François Hollande propose donc une carte de 14 régions : « Demain, ces grandes régions auront davantage de responsabilités. Elles seront la seule collectivité compétente pour soutenir les entreprises et porter les politiques de formation et d’emploi, pour intervenir en matière de transports, des trains régionaux aux bus en passant par les routes, les aéroports et les ports. Elles géreront les lycées et les collèges. Elles auront en charge l’aménagement et les grandes infrastructures. Pour remplir leur rôle, elles disposeront de moyens financiers propres et dynamiques. Et elles seront gérées par des assemblées de taille raisonnable. Ce qui veut dire moins d’élus. ». Voilà donc les régions lancées dans le grand bain de la compétitivité et de la mise en concurrence à l’échelle européenne, la première des compétences qui leur est fixée étant d’ordre économique, celle-ci étant aussitôt complétée par l’emploi et la formation pour mieux promouvoir une vision adéquationniste du territoire en rupture avec l’émancipation comme projet humain quel que soit le lieu de vie. Petits états dans le grand, le président octroie pour ce faire aux régions l’ensemble des compétences en matière de transports et d’aménagement. Et comme de bien entendu des « moyens financiers propres et dynamiques ». Bref, et malgré le flou artistique savamment entretenu, les prémisses de l’autonomie et la certitude de la compétition intra-nationale vers le moins disant-fiscal et social. Demain, l’Irlande française s’appellera Normandie ou Picardie-Champagne-Ardennes (d’ailleurs pour les noms, on repassera…).


    Mais François Hollande en profite surtout pour avancer concrètement sur la suppression des départements. Exsangues de compétences avec celles nouvellement attribuées aux régions, les départements ont même vocation à disparaitre formellement : « Dans ce nouveau contexte, le conseil général devra à terme disparaître. La création de grandes régions, et le renforcement des intercommunalités absorberont une large part de ses attributions ». Eradiqués par François Hollande, le nom seul de département devrait rester pour maintenir une structure administrative : « Le département en tant que cadre d’action publique restera une circonscription de référence essentielle pour l’Etat, autour des préfets et de l’administration déconcentrée avec les missions qui sont attendues de lui : garantir le respect de la loi et protéger les citoyens en leur permettant d’avoir accès aux services publics où qu’ils se trouvent. Mais il  devra renoncer à exercer les compétences reconnues aux collectivités». Par jeu d’ombre et de lumière, il est donc immédiatement révélé que les seules compétences du Départements qui sont pas citées pour être transférées sont celles qui vont être le plus directement menacées malgré les dénégations présidentielles : celles relevant du champ social, notamment le RSA, l’aide aux personnes handicapées et âgées, la protection de l’enfance, la prévention sanitaire… Ces sujets ne sont sans doute pas suffisamment centraux pour que François Hollande juge utile d’y apporter une réponse précise, préférant laisser libre court à une République à la carte : « Certaines métropoles pourront reprendre les attributions des conseils généraux et toutes les expérimentations seront encouragées et facilitées ». Après la main invisible du marché, Hollande invente la poigne d’acier des expérimentations, tout en dessinant au passage l’estampe souhaitée : la suppression à marche forcée des conseils généraux sur les 13 aires métropolitaines nouvellement créées.


    Car en termes de calendrier, François Hollande est en passe de tomber dans le piège qu’il a lui-même tendu. Là où le Président parlait encore le 6 mai d’accélérer sur le calendrier annoncé par Manuel Valls quelques jours plus tôt lors de son discours de politique générale (suppression des départements en 2021), retour pour éviter le pire à la case départ du fait des difficultés constitutionnelles que la bande d’amateurs qui squatte l’Elysée avait négligé de prendre en considération : « L’objectif doit être une révision constitutionnelle prévoyant la suppression du conseil général en 2020 ». Car de majorité, François Hollande n’en a pas sur le sujet. A moins de finaliser les ponts avec le centre dont il a déjà jeté les bases. Mais après tout, peu importe pour François Hollande, l’après 2017 est un autre jour où la convergence de vue avec la Droite fait que, si ce n’est toi, c’est donc ton frère qui reprendra le travail déjà engagé…la répartition des postes entre amis étant déjà programmé puisque le Président a confirmé la tenue d’élections départementales à l’automne 2015 « avec le mode de scrutin qui a été voté par la loi du 17 mai 2013 », c’est-à-dire celui d’absurdes binômes paritaires sur de nouveaux cantons découpés sur mesure pour préserver l’équilibre des forces entre les tenants du système.


    Après avoir dépouillé la Nation de sa souveraineté en la transférant à Bruxelles comme en atteste l’honteux épisode des recommandations budgétaires aujourd’hui, après avoir brisé l’unité et l’indivisibilité de la République en gommant les départements de la carte de France, François Hollande s’attaque désormais aux communes. Le chant du merle flatteur ne doit pas nous tromper. Parce que les communes sont l’échelon premier où s’exerce la citoyenneté, elles doivent pour François Hollande être détruites. Et parce qu’il ne peut pas les faire disparaitre, il entend en faire des coquilles vides et transférer leurs attributions aux intercommunalités : « L’ensemble du territoire national est aujourd’hui couvert par des intercommunalités. Mais elles sont de taille différente et avec des moyens trop faibles pour porter des  projets. Ce processus d’intégration doit se poursuivre et s’amplifier.  C’est le sens de la réforme proposée. Les intercommunalités changeront d’échelle. Chacune d’entre elles devra regrouper au moins 20 000 habitants à partir du 1er janvier 2017, contre 5000  aujourd’hui.  […] L’intercommunalité deviendra donc, dans le respect de l’identité communale, la structure de proximité et d’efficacité de l’action locale ». On ne saurait être plus clair.


    Une tribune de la sorte vaut aussi par ses absences. Les services publics bien sûr, habillés comme des généralités pour lesquels il conviendrait uniquement d’en garantir l’accès, loin de la vision dynamique qu’il conviendrait d’avoir pour promouvoir l’égalité et étendre le champ du bien commun. Les agents territoriaux aussi. Quel mépris affiché aussi ostensiblement par le silence de François Hollande envers les 1,8 millions d’agents de la fonction publique territoriale qui vont connaitre le plus grand plan social qu’ait connu notre pays. Imaginons un peu : entre 15 et 20 % d’entre eux sont des contractuels. François Hollande s’apprête à taillader dans cette fonction publique à coups de non renouvellements de contrats et de non-remplacement de personnels partant en retraite. Où l’on revient inéluctablement sur le racornissement du service public et l’accroissement gigantesque des inégalités qui va s’opérer.


    François Hollande fait littéralement œuvre contre-révolutionnaire. Là où le peuple s’était doté d’une structure basée sur l’exercice de sa souveraineté en faisant émerger le triptyque Nation/Départements/Communes, François Hollande réalise le vieux rêve libéral en lui substituant le trident Europe/Régions/Intercommunalités dont le peuple est évincé en tant que corps politique mais affirmé en tant qu’individus économiques. Il s’agit donc là d’une agression sans précédent contre les bases mêmes du cadre républicain. En la matière, il est d’usage de dire que le contenant définit le contenu. C’est pourtant en définissant d’abord le contenu de sa politique que François Hollande a commencé comme en atteste le pacte de responsabilité. Mais sa mise en œuvre ne peut passer que par la mise en adéquation du cadre institutionnel avec le dogme de la compétitivité. Tel est le fil d’Ariane du quinquennat hollandais.


    François Hollande est délégitimé et pourtant il tente un coup de force. La moindre des choses serait que le peuple soit consulté par référendum. A défaut, il serait lui légitime à défendre son droit à pouvoir choisir à chaque niveau la nature de sa représentation et le champ d’exercice de celle-ci. C’est devant les préfectures et sous-préfectures qu’il devrait commencer chaque semaine à l’exprimer. Des jacqueries sont nées pour moins que ça. Des révolutions aussi.

     

    http://cocq.wordpress.com/2014/06/02/hollande-le-boucher-de-la-republique/


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    Pour Christian Favier "Manuel Valls signe l’arrêt de mort de la décentralisation"

    Par Christian Favier, le 09 avril 2014

     

    Pour Christian Favier

     

    Christian Favier, sénateur et président du conseil général du Val de Marne a réagi aux annonces de Manuel Valls à propos des collectivités locales et plus particulièrement à la suppression des conseils généraux :


    "Je viens d’entendre le premier Ministre, Manuel Valls, prononcer son discours de politique générale.

    J’ai été particulièrement surpris, d’entendre dans la bouche du premier ministre une charge d’une rare violence contre les collectivités locales, la décentralisation et la démocratie de proximité.

    S’il fallait rassurer Bruxelles et Berlin quant à la volonté du pouvoir actuel de poursuivre et d’accélérer les réformes engagées par Nicolas Sarkozy, et bien c’est fait, et de la manière la plus brutale.

    Après avoir repris la mauvaise scie Sarkozyste du « millefeuille » territorial, Manuel Valls a annoncé la diminution des dotations aux collectivités locales de 10 milliards d’euros, la suppression de la clause de compétence générale pour les départements et les régions, la rationalisation de la carte de l’intercommunalité, le regroupement forcé des régions et pour finir, la suppression de tous les départements en 2021…

    C’est l’arrêt de mort de la décentralisation.

    Obnubilé par les attentes du patronat et des marchés financiers, le premier ministre s’en prend à la démocratie locale et aux services publics de proximité.

    C’est totalement inacceptable.

    A nos concitoyens qui lors des élections municipales viennent d’exprimer clairement leur attente de proximité, de réactivité, d’efficacité et de protection, le pouvoir sans aucune concertation répond étranglement financier, éloignement, technocratisation et recentralisation.

    Il annonce la tenue d’un grand débat sur l’avenir des départements, mais déclare immédiatement que ceux-ci devront avoir disparu en 2021… quel sens peut avoir un tel débat quand la conclusion est ainsi déjà tranchée ?

    Je mesure parfaitement le coup de communication qui sous-tend une telle annonce. Je regrette profondément qu’un premier ministre qui se dit de gauche, puisse effacer d’un trait de plume trente ans de décentralisation qui ont profondément modifié notre pays, en contribuant à le moderniser, à y développer des solidarités nouvelles, à y entretenir des dynamiques territoriales.

    Dans ce discours, pas un mot, pas un seul, sur l’action des collectivités locales, de leurs agents, de leurs services publics pour répondre au quotidien aux attentes et aux difficultés de nos concitoyens.

    Et demain, ce que nous faisons, qui le fera ?

    Quand les départements ne seront plus là, qui assurera le RSA, l’APA la PCH, l’entretien des routes, des collèges, le financement des transports, du logement, des crèches, l’aide au sport, à la culture, aux loisirs, le développement durable, le développement économique pour l’emploi … ? Qu’adviendra-t-il des personnels départementaux ?

    C’est bien un très mauvais coup pour les français qui vient d’être annoncé : ce que Sarkozy et Balladur rêvaient de faire, Hollande et Valls tiennent à le réaliser.

    Une attaque d’une telle ampleur implique une mobilisation sans précédent.

    J’appelle donc toutes celles et tous ceux, habitants, élus, acteurs de la vie économique, sociale et associative, agents territoriaux qui ne se résignent pas à la mort programmée des collectivités locales à empêcher par tous les moyens la mise en œuvre de ces projets dangereux pour notre pays, dangereux pour la démocratie, dangereux pour la cohésion sociale et territoriale, dangereux pour la vie quotidienne de tous les français.


    Et pour finir, un tel projet ne pourra être légitime sans que peuple ait pu se prononcer par voie de référendum."

    Christian Favier, Sénateur,
    Président du Conseil général du Val-de-Marne
    http://www.pcf.fr/sujets/1666?page=1

     

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    Pour ses deux ans, François Hollande a bien la République pour cible


    L-Etat-impose-la-rigueur-aux-collectivites-locales_article_main

    Article édité par par francoiscocqsur son blog

    Invité de RMC-BFM ce 6 mai 2014, François Hollande a poursuivi son acharnement contre les piliers républicains. Le Président a en effet annoncé l’explosion sous deux ans du cadre institutionnel en demandant la mise en place « du nouveau découpage [des départements et des régions] pour les prochaines élections ». Après le pacte de responsabilité, voilà son complément nécessaire pour imposer au peuple l’austérité : le démembrement des lieux d’expression de la souveraineté populaire.

    François Hollande avait dès le 14 janvier 2014 annoncé sa volonté de fusionner des régions.Quelques jours après, Jean-Marc Ayrault évoquait la suppression des départements sur les aires métropolitaines nouvellement créées et notamment la suppression des départements de petite couronne francilienne. A peine installé, Manuel Valls proposait dans son discours de politique générale outre la fusion de régions pour en obtenir une douzaine, la suppression des départements en 2021. Voilà donc que François Hollande annonce aujourd’hui vouloir « aller vite sur les réformes de notre territoire » et livre qu’il a « demandé au gouvernement de Manuel Valls d’accélérer le rythme de la réforme ».

    Dès lors, un nouveau calendrier a surgi des déclarations présidentielles.François Hollande entend qu’il y ait ce « nouveau découpage pour les prochaines élections » qu’il envisage donc de faire glisser de 2015 à 2016. Et les régions ne sont pas les seules visées, le Président affirmant tout de go : « Les conseils généraux ont vécu, il n’y a plus de temps à perdre ».

    Après la débâcle des municipales et avant celle des européennes, voilà un an de répit pour les élu-e-s de la majorité avant de se confronter au peuple dans les urnes.L’aumône présidentielle ne saurait cependant suffire à faire oublier le mouvement de ciseaux exécuté par François Hollande qui ramène la France au temps de l’Ancien régime en supprimant les départements et qui dans le même mouvement constitue des supers régions technocratiques à seule vocation économique.

    Sur ce remodelage complet du cadre institutionnel et républicain mis en place sous la Révolution française avec les départements afin que s’exprime de manière concrète la souveraineté populaire, les françaises et les français ne pourront pas même s’exprimer.Là où ils auraient dû donner leur avis, François Hollande étouffe leur parole. Hors de question pour le Président de faire un référendum, ce que le pourtant le Général De Gaulle lui-même avait fait. Hollande redessine la carte de France sans modification constitutionnelle ni consultation populaire. D’un trait de plume en somme. François Hollande est décidément plus Louis XVI que de Gaulle.

    Mais l’annonce du report des élections départementales et régionales interdit aussi au peuple de donner son avis en amont.Il ne pourra y avoir en 2015 de vote sanctionnant le projet Hollande-Valls et les électrices et les électeurs n’auront plus en 2016 qu’à remplir les hémicycles préalablement définis ailleurs. Voilà donc que prend tout son sens le projet de loi de décentralisation qui sera présenté le 14 mai en Conseil des ministres et qui annonce la fusion et le redécoupage de régions de manière autoritaire si les régions ne proposent pas un projet par elles-mêmes. Les rats de ministère vont s’en donner à cœur joie !

    La réforme institutionnelle est depuis le début la face cachée du pacte de responsabilité.En accélérant et en approfondissant le contenu par sa politique de l’offre à travers le pacte de responsabilité, François Hollande avait besoin d’accélérer le démantèlement du contenant pour pouvoir imposer ce « retournement » au peuple. Car de « retournement » il est effectivement question. L’organisation du territoire n’est plus pensée pour articuler la souveraineté populaire et exprimer l’intérêt général mais bien pour inscrire la France dans la compétition économique. Là où François Hollande prononçait ce 6 mai sur RMC-BFM ces mots affreux pour justifier son pacte de responsabilité « devant la dégradation de la compétitivité de l’entreprise France », il aurait pu avoir les mêmes pour expliciter pourquoi il a bien la République pour cible.


    IMAGE : http://www.la-croix.com/var/bayard/storage/images/lacroix/actualite/economie/economie/l-etat-impose-la-rigueur-aux-collectivites-locales-_ep_-2012-10-03-860551/27675685-1-fre-FR/L-Etat-impose-la-rigueur-aux-collectivites-locales_article_main.jpg

     

    http://www.fdgloiretouraine.com/articles-au-fil-de-l-eau-analyses-politiques/pour-ses-deux-ans-francois-hollande-a-bien-la-republique-pour-cible,a4248962.html

     

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      elunet.org

    SUPPRESSION DES DEPARTEMENTS : LA REPUBLIQUE DEMEMBREE

    Par le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

    Le 2 juin 2014.


    Lors de son discours de politique générale, le Premier ministre Manuel Valls a annoncé son intention de supprimer les Départements [1]. Il montre ainsi pleinement sur ce sujet, comme sur de nombreux autres, sa proximité avec l’UMP [2]. Sous couvert de rationaliser le « millefeuille » administratif français, créé à dessein par les gouvernements socio-libéraux, il s’agit en fait de procéder à une véritable révolution de notre paysage institutionnel avec des intentions moins avouables, par déconstruction des structures administratives et politiques issues de la Révolution française. En 2013, La réforme territoriale, testée en Alsace et soumise à référendum a été rejetée par un NON massif des Alsaciens. Le gouvernement va donc tenter de se passer de l’avis des citoyens et voudra imposera aux forceps cette réforme.


    S’inscrivant dans la continuité des lois successives de décentralisation depuis 1982 (loi Defferre), de la loi de réforme des Collectivités territoriales de 2010 imposée par Nicolas Sarkozy, et celle toute récente du gouvernement Ayrault créant les Métropoles, ce texte vise en fait à préparer la disparition de la France en tant qu’Etat-nation et en tant que République. Cette intention n’est pas cachée. Ainsi Jean-Paul Huchon, président socialiste de la région Ile-de-France, a clairement exprimé la pensée profonde du PS [3] : « Si une collectivité devait disparaître, à long terme ce serait évidemment le département. Non parce qu’il gère la proximité (au contraire) mais parce qu’il est devenu, en fait, le refuge du jacobinisme. C’est là que s’installent les services de l’Etat pour se développer. » Avant d’ajouter : « Il m’est très facile d’imaginer une cosmogonie institutionnelle dans laquelle il y aurait l’Europe, directement branchée sur les régions, et les régions sur des communes regroupées par l’intercommunalité. » La suite de la logique est révélée par Emmanuelle Cosse (EELV) : le but de l’Europe est de faire disparaître les Etats-nations [4].


    La reconfiguration du territoire français sur la base des Régions et des Métropoles vise ainsi directement à préparer la disparition de la France et à ouvrir la voie à une Europe des Régions. Dans cette perspective, la disparition des Départements est nécessaire car ils constituent une organisation politique qui ne cadre pas avec le projet de l’Union européenne, celui d’un « empire euro-atlantique » sous tutelle des firmes multinationales Nord-Américaines [5].


    Le but ultime de la construction européenne est ainsi mis au grand jour : la fin des Etats-nations. Avec ceux-ci disparaîtront la souveraineté populaire et la démocratie, qui ne sont pas concevables hors de leur cadre, mais aussi le droit du travail, de l’environnement, la Sécurité sociale, les services publics... Bref, tous les acquis du programme du Conseil national de la Résistance sont menacés. Sommés d’être aujourd’hui toujours plus compétitifs que les voisins, les travailleurs français seront demain encore davantage mis en concurrence renforcée entre eux, par le jeu de la compétition entre Euro-Régions.


    Cette nouvelle réforme d’organisation administrative et politique, commandée par Bruxelles avec le consentement et la bienveillance des gouvernants et de la majorité des parlementaires français, répond en tous points aux exigences réaffirmées de rendement du capital et du grand patronat. Elle organise les conditions administratives et politiques de l’installation et du développement des nouvelles normes marchandes imposées par les traités commerciaux, tout particulièrement les traités commerciaux bilatéraux déjà passés avec le Canada, et celui en cours de négociation avec les Etats-Unis d’Amérique.


    Face à cette menace d’une immense gravité, le M’PEP réaffirme son attachement au triptyque républicain Commune/Département/Etat et se prononce en faveur de la suppression des régions.

     

    Il appelle tous nos concitoyens à s’opposer à cet assassinat silencieux de la démocratie et à refuser tout pouvoir réglementaire accordé aux régions envisagé par le gouvernement [6]. Une telle éventualité mettrait fin à l’égalité des citoyens devant la loi ainsi qu’à l’unité et à l’indivisibilité de la République. La sortie de l’Union européenne et de l’euro est aujourd’hui plus que jamais une nécessité impérieuse pour tous ceux qui sont attachés à notre modèle démocratique. Cette sortie doit nécessairement s’accompagner d’une refondation en profondeur de la République, réaffirmant l’autorité et la légitimité du pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple.

     

    Notes

    [1] http://www.lemonde.fr/politique/art...

    [2] http://www.lefigaro.fr/politique/20...

    [3] http://www.politis.fr/Le-molletisme-se-porte-bien-Voyez,9879.html

    [4] http://www.youtube.com/watch?v=l5QSWdRttGM

    [5] http://canempechepasnicolas.over-bl...

    [6] http://www.lagazettedescommunes.com/telechargements/PDL-decentralisation-Lebranchu2.pdf

     

    http://www.m-pep.org/spip.php?article3802

     

     

    .

    EELV (Europe Ecologie les Verts)

    est tombé sur la tête !

     

     

     


     

     

    .

    La France va officiellement disparaître selon François Hollande.(déclaration du 14 janvier 2014)

     

     

    Le démantèlement des Etats



     


     

    ....
    ...

    Colonel Régis Chamagne:

    l'Europe des régions,

    décryptage

    .
    .
    .
    "Quand le peuple ne vote pas selon les injonctions du système,
    on supprime le peuple!"

    François ASSELINEAU, Union Populaire Républicaine
    .



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    Ce soir j'ai le cœur lourd... Israël c'est aussi ça... Du racisme et de l'humiliation à l'état pur!

     

     

    Permalien de l'image intégrée.

    International

     

    Palestine-double-standard.jpg


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    Le Nouvel Ordre Mondial

    dans les discours de Nicolas Sarkozy,

    2 mn, 23

    (vidéos ici, cliquer sur l'image ou sur le lien)

     

     

     

    Comprendre

    le Nouvel Ordre Mondial


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    « Nouvel Ordre Mondial » (N.O.M) ou « New World Order » (N.W.O) : une expression que certains connaissent bien, et que d’autres entendent pour la première fois. La plupart des gens seraient bien en peine de dire précisément à quoi elle fait référence. C’est là le premier problème lorsque l’on traite de ce sujet épineux. Le Nouvel Ordre Mondial désigne plusieurs choses à la fois, et peut être compris de différentes manières. L’un des objectifs de ce site est de regrouper l’ensemble de ces définitions et de les clarifier. Mais avant d’aller plus loin et de définir le plus précisément possible ce projet et ses multiples caractéristiques, voici ce qui peut en être dit de façon succincte.

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    A quoi devrait ressembler le Nouvel Ordre Mondial ?


    Le Nouvel Ordre mondial se caractérise avant tout par l’idée d’unicité. Tous les éléments qui le constitueront devront être uniques et s’imposer à l’échelle mondiale donc à l’ensemble de l’humanité. Le projet du Nouvel Ordre Mondial est celui d’un monde au sein duquel tous les être humains – indépendamment de leurs nationalités, cultures langues, religions, etc. – partageront des valeurs, un quotidien et une réalité en tous points identiques. En bref, il s’agit d’un projet de standardisation des valeurs et modes de vies à l’échelle mondiale, le tout sous l’égide d’un pouvoir centralisé, présenté comme le meilleur garant de la paix et de la sécurité sur Terre. Concrètement, si demain ce nouvel ordre s’imposait à l’ensemble de la planète, qu’est-ce que cela donnerait ?


    Gouvernement mondial


    Les Etats-nations disparaîtraient pour se fondre dans de grands blocs continentaux qui eux-mêmes seraient soumis au pouvoir centralisé d’un gouvernement mondial. Calqués sur le modèle de l’Union européenne, ces blocs (nord-américain, asiatique, moyen-oriental, sud-américain, etc.) disposeraient de leurs propres institutions politiques, et dicteraient leurs décisions à l’ensemble des populations vivant en leur sein. Ce gouvernement mondial, présenté comme le résultat d’une « hyper-démocratie » serait en fait sous le contrôle d’une oligarchie financière internationalisée.


    gvnt mondial

     

    Oligarchie


    Les véritables décideurs ne seraient pas des hommes ou des femmes politiques au sens classique du terme. La direction du gouvernement mondial reviendrait à une super-élite mondialisée. Cette oligarchie -principalement composée de dynasties de financiers, banquiers ou industriels- se retrouverait seule au sommet de la pyramide sociale. Les hommes politiques et autres figures publiques (intellectuels, journalistes de renom, etc.) ne seraient plus que les porte-paroles d’une caste élitiste ne souhaitant pas apparaître sur le devant de la scène. Ainsi, le véritable pouvoir serait centralisé dans les mains des quelques rares personnes qui en auraient les moyens (ploutocratie). Pour les tenants du Nouvel Ordre Mondial, le véritable pouvoir devrait reposer sur la puissance financière et industrielle et serait avant tout économique.

    Synthèse socialisme/capitalisme

    Suivant le modèle « thèse, antithèse, synthèse », le système socio-économique imposé à l’ensemble de la planète serait de nature hybride puisqu’il serait la synthèse du socialisme (thèse) et du capitalisme (antithèse). Officiellement, ce modèle de société réunirait les meilleurs aspects propres à ces deux systèmes. Il est cependant bien plus probable que ce « nouvel ordre » repose sur leurs aspects les plus liberticides et les plus inégalitaires.


    Le « socialisme » envisagé se caractériserait par un étatisme fort régissant une société mondiale. Toutes les lois, règles et normes de vie seraient édictées et imposées à l’ensemble de l’humanité par des organes technocratiques mondiaux centralisant tous les pouvoirs. L’ensemble de leurs « compétences » s’étendrait à tous les domaines (alimentation, santé, agriculture, commerce, vie familiale, etc.). Ce socialisme-là ne serait en aucun cas le promoteur d’une justice sociale et encore moins le garant d’une quelconque égalité entre les individus. Ce pseudo socialisme pour la masse, aura en fait les pires aspects du communisme.

    Le « capitalisme » quant à lui, serait totalement financiarisé : le crédit bancaire, créé ex-nihilo, constituerait la principale source de financement. C’est déjà le cas actuellement. Des oligopoles se partageraient chacun les grands secteurs stratégiques de l’activité économique mondiale. La compétition économique s’en trouverait ainsi totalement déloyale, pour ne pas dire impossible : d’un côté, les multinationales posséderaient un accès illimité à la finance et de l’autre, les entreprises locales ne pourraient en aucun cas en bénéficier. Ce « capitalisme » serait donc tout sauf libéral, dans la mesure où seuls les plus riches et plus puissants seraient « libres » d’entreprendre. Une situation monopolistique inédite sera atteinte : une poignée d’élus posséderont l’ensemble des moyens de production du monde entier entre leurs mains. Se seront eux les véritables décideurs et non les officiels gouvernants (marionnettes) :


    oligopole

     

     

    Organisation sociale


    Une société à deux vitesses, composée principalement de deux classes sociales. Tout en haut de la pyramide sociale : la classe supérieure dirigeante -l’oligarchie. En bas, presque tous les autres. Réduits à une servitude moderne, leur seule liberté serait celle de consommer. Dans un premier temps, les classes moyennes seraient réduites à la portion congrue. Dans l’idéal mondialiste, elle serait même amenée à totalement disparaître, laissant ainsi la place à une « authentique » société à deux vitesses. Cette organisation sociale n’est pas sans rappeler celle de la féodalité médiévale, avec un petit nombre de suzerains ayant tout pouvoir sur un très grand nombre de vassaux.

     

    Nature du régime


    Présenté comme une « hyper démocratie » (dixit Jacques Attali véritable VRP du N.O.M France), le gouvernement mondial serait en réalité une « hyper dictature » : les décisions prises « au sommet » et appliquées par une bureaucratie omniprésente s’imposeraient à « la base », qui n’aurait évidemment pas son mot à dire. D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement lorsque la base est composée de plusieurs milliards d’individus ?

    Voyez déjà ce qu’il se passe dans la zone Euro : les décisions sont prises par les bureaucrates de Bruxelles sous la pression des différents Lobbys, sans consultation du peuple et souvent en opposition totale avec leurs intérêts.

    S’il venait à voir le jour, ce gouvernement mondial disposerait d’une armée mondiale, qui, n’ayant aucun ennemi « conventionnel » à combattre (d’autres Etats), aurait pour unique fonction de mater les opposants au Nouvel Ordre Mondial. Cette dictature quoique impitoyable envers son opposition (les esprits libres, intellectuels, philosophes et religieux présentés au mieux comme des illuminés au pire comme des terroristes) sera douce pour la masse leur faisant aimer leur propre servitude ! Société de spectacles & loisirs, centré sur la jouissance immédiate des sens au détriment de toute réflexion. L’individualisme sera exacerbée en un mode de vie de plus en plus virtuel, constamment abreuvé d’informations aussi inutiles que mensongères ayant pour conséquence un abrutissement et un abêtissement total des masses.


    Dans ces conditions, il deviendra extrêmement difficile pour le quidam moyen de s’élever de ce carcan « idéologique » sans être stigmatisé, le contrôle social étant essentiellement basé sur le conformisme :


    slave

     

    Société de surveillance


    Cette société pourrait bien être la plus surveillée de l’histoire de l’humanité. Bénéficiant de tous les moyens technologiques les plus modernes, la surveillance s’étendra à toutes les sphères de l’existence (téléphonie, internet, surveillance satellite, bancaire, cartes de transport, multiplication des caméras, etc.). Il sera quasiment impossible de ne pas être répertorié, fiché, et de mener une quelconque action sans que le « système » n’en soit immédiatement informé. Un niveau de contrôle semblable à celui décrit par George Orwell dans son roman 1984. La disparition progressive de la vie privée pourrait rapidement conduire chacun à adopter une attitude « orthodoxe », renforçant par la même la nature dictatoriale et uniformisatrice de ce modèle de société.

    camera

     

    Monnaie(s)


    Dans l’esprit des mondialistes, les monnaies nationales sont vouées à disparaître. D’abord au profit de monnaies continentales – comme ce fut le cas en Europe avec l’Euro- (puis avec l’« Amero » ou « Dollar nord américain », etc.). A plus long terme, une monnaie mondiale -très probablement dématérialisée – devrait voir le jour et remplacer toutes les autres. Les paiements s’effectueraient électroniquement, via par exemple une puce sous-cutanée ; la fameuse puce RFID :


    puce rfid

     

    La valeur de cette monnaie (créée ex nihilo) sera très probablement régulée par une banque centrale mondiale, elle-même contrôlée par l’oligarchie financière à la tête du gouvernement mondial.

     

    Culture et spiritualité


    Le projet du Nouvel Ordre Mondial consiste avant tout en une standardisation des modes de vies, des traditions et du rapport à l’existence. Dans ce nouvel « ordre », plus de Français, d’Américains, de Chinois, de Sénégalais ou d’Indiens.

    religion mondiale

     

    Plus de Chrétiens, de Musulmans ou de Bouddhistes… mais plutôt une nouvelle religion mondiale tentant de faire la synthèse de toutes le dénominations connues au profit d’une caste dirigeante imbus aux idées babéliennes.

    L’homme, quelque soit sa culture, sa couleur de peau, sa nationalité, sa langue, et ses traditions, serait partout le même, calqué sur un modèle unique. S’il venait à s’imposer, cet ordre sera celui d’une uniformisation de l’humanité, d’un gommage progressif des différences culturelles et des richesses propres à chaque peuple, chaque nation. La « religion » du Nouvel Ordre Mondial consisterait principalement en un culte de l’humain, en tant qu’être de matière, et non d’esprit. L’appel aux instincts les plus primaires, réduisant l’Homme à l’état d’animal producteur et consommateur, pourrait à terme, devenir la norme morale, quasi-religieuse, du projet mondialiste :


    « Notre action doit tendre à unifier le monde du point de vue de l’intelligence et de l’esprit. Quant à l’Eglise catholique, elle devra être peu à peu purgée de ses doctrines intransigeantes et particulières, et ne conservera que les expressions basiques de la religion qui puissent être partagées avec une vaste fraternité religieuse et culturelle qui devra inclure tous les cultes et toutes les civilisations » Julian Huxley, mondialiste, 1er Président de l’UNESCO – Paris le 20 novembre 1946

     

    En résumé…


    « Nouvel Ordre Mondial » est le nom de la dictature planétaire qui tente de s’imposer à l’humanité dans son ensemble. Si tel était le cas, cette « hyper dictature » – officiellement une « hyper démocratie » – pourrait bien être l’une des plus terribles et des plus efficaces que l’humanité n’ait jamais connu. Centralisant absolument tous les pouvoirs (politique, militaire, monétaire), le gouvernement mondial aura pour mission d’assurer la suprématie et la pérennité de l’oligarchie financière et industrielle se trouvant à sa tête. N’ayant à faire face à aucun concurrent étatique « classique », ce pouvoir unique aura pour seuls adversaires les hommes et les femmes libres qui refuseront de se soumettre au nouvel ordre dont il sera le garant.

     

    Comment un tel projet pourrait-il se réaliser ?


    Bien évidemment, la mise en place d’un tel projet ne saurait se faire d’elle-même, tant il est certain que l’ensemble des peuples s’y opposera naturellement. C’est pourquoi, le Nouvel Ordre Mondial ne pourra être mis en place qu’à la suite de très graves crises, et sera présenté comme la solution la plus évidente, la plus logique et surtout la plus souhaitable aux terribles problèmes qu’aura connu l’humanité. Chaque aspect du Nouvel Ordre Mondial sera présenté comme une réponse à une crise particulière. Qu’il s’agisse d’attentats terroristes de grande ampleur, d’une crise financière sans précédent, de l’apparition d’une terrible épidémie, ou pire, d’un conflit armé international, la solution de secours sera invariablement présentée comme suit : « La crise est mondiale, elle requiert une réponse mondiale ». Les structures de la gouvernance mondiale s’imposeront ainsi en réponse à de graves crises, au besoin provoqué afin de maintenir artificiellement un état de tension perpétuel légitimant l’adoption de mesures liberticides.

     

    En bref, la sécurité sera promise à l’ensemble de la planète… en l’échange d’un peu de liberté.


    Si nombre de structures de gouvernance mondiale existent déjà (Banque mondiale, Organisation Mondiale de la Santé, Organisation Mondiale du Commerce, etc.), elles sont perçues comme plutôt bénéfiques et agissant en faveur des intérêts de l’humanité. Or dans bien des cas, il n’en est rien, puisqu’elles agissent en faveur d’intérêts économiques et financiers spécifiques. Quoi qu’il en soit, des organismes agissant à échelle mondiale existent bel et bien et leurs directives s’imposent le plus souvent aux Etats souverains. Si le pouvoir dont disposent ces organisations mondiales venait à être centralisé, cela constituerait de facto la création d’une gouvernance mondiale. A bien y regarder, ce Nouvel Ordre Mondial n’est pas si utopique ni si lointain que ça.

    Et de la théorie à la pratique il n’y a qu’un pas qui pourrait bien être franchi très bientôt.


    Enfin, le projet sera présenté comme la conséquence inéluctable d’un processus historique de raccourcissement des distances et de disparition des frontières. Processus aujourd’hui connu sous l’appellation galvaudée de « mondialisation ».

    Théorie pessimiste et irrationnelle ? Description lucide du monde de demain ?

    Le tableau que nous dressons est incroyablement sombre et pourrait même sembler irrationnel, voire paranoïaque à certains lecteurs. Pourtant, la quasi totalité des dirigeants politiques, tout bords confondus, l’appelle de leurs vœux ! Tout ce qui est avancé ici est aisément vérifiable et les sources variées ne manquent pas, pour celui ou celle qui s’en donne la peine…


    Cette structure pyramidale existe depuis bien longtemps mais de manière occulte. Ce qui est nouveau, c’est qu’ aujourd’hui elle tente de s’imposer de manière officielle, en plein jour. Si possible en emportant l’adhésion du peuple, sinon graduellement, comme elle l’a toujours fait, en utilisant la méthode : problème-réaction-solution.


    Cette grande dictature mondiale pourrait très bien devenir notre réalité de demain si nous n’y prêtons pas attention et si nous, citoyens, ne nous organisons pas pour résister à ce projet en voie de réalisation. Ayons conscience que ce projet est ennemi et destructeur des nations, familles, individus, identités, libertés.


    Le Nouvel Ordre Mondial est un projet qui, tout en étant de plus en plus prégnant dans nos vies (augmentation des lois liberticides, mortifères et iniques…) n’en demeure pas moins discret, sans pour autant être totalement secret. Et même pour les individus animés d’une saine curiosité, il demeure très difficile de connaître exactement l’étendue du programme ainsi que les modalités de sa réalisation. Toutefois, à force de recherches, de recoupages, d’un travail de rationalisation, et en prenant connaissance des acteurs et des institutions au sein desquelles ils œuvrent, un projet apparaît clairement. Avec le temps, nous y verrons plus clair.


    Mais est-ce une bonne nouvelle ? Chaque jour, semaine, mois qui passe, nous rapproche de l’avènement de ce gouvernement mondial, liberticide et uniformisateur. A défaut de savoir exactement ce qu’est le Nouvel Ordre Mondial et sous quelle forme il se manifestera, il est fondamental de prendre conscience du danger qu’il représente.

     

    http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/comprendre-le-nouvel-ordre-mondial-134782


     

    Commentaire

     

    Tout ce que vous décrivez est déjà en cours et à un stade très avancé. Le lavage des cerveaux par les médias est opérationnel depuis plus de 30 ans. Les intellectuels sont achetés ou écartés. Le pistage et la surveillance sont répandus dans presque tous les supports (Carte bancaire, téléphone, GPS, automobile etc.…) et des lois liberticides se mettent chaque jour en place sous prétextes et couvert de sécurité nationale face à des attentats qu’ils ont eux-mêmes mis sur pieds. Les dirigeants mondiaux (tenant des richesses) ont déjà déclaré une guerre sans merci aux populations. Cependant vouloir détruire les religions serait une erreur majeure qu’ils ne feront certainement pas. Ils préfèreront les monter les unes contre les autres afin qu’elles se détruisent connement entre elles. D’ailleurs, cela aussi a commencé. Quand à l’homme il n’est plus considéré comme un être humain mais comme un consommateur et une matière première. La mise en place de cette dictature sera une réussite car l’opposition sera nulle et comme les hommes sont devenus tellement individualistes et si enclins à servir que de peur de ne pas servir, ils se vendront, comme aujourd’hui, les uns aux autres. Une dictature n’existe que parce que l’on y consent. Concernant la solution pour empêcher cette ignominie, je ne pense pas qu’elle puisse être d’origine humaine. Cependant je crois qu’une résistance s’organisera et qu’une prolifération des terroristes est inéluctable. D’ici là, notre éco système ayant atteint son point de déséquilibre limite va se dérégler de façon exponentielle et un déclenchement de catastrophes planétaires va tomber sur l’humanité dans sa globalité. Conclusion, les ordures qui pensent que l’argent qu’ils ont amassé en appauvrissant et faisant crever leurs frères humains va les protéger vont très vite déchanter.

     

    Nord-Sud-appetits-cap53c7-001a9-300x281.jpg

     

    Complément :

     

    (...)

    La fin de la souveraineté nationale
    • La planification et la gestion étatisées des territoires pour toutes les ressources, les écosystèmes, les déserts, forêts, montagnes, océans et l'eau douce; l'agriculture; le développement rural; la biotechnologie; et l'assurance d'une "équité" (esclavage équitable)
    • L'État "définit le rôle" des entreprises et des ressources financières
    • Abolition de la propriété privée (ce n'est pas "durable")
    • "Restructuration" de l'unité familiale
    • Des enfants élevés par l'État
    • On dit aux gens quel sera leur travail
    • Restrictions majeures des déplacements
    • Création de "zones de peuplement humain"
    • Repeuplement de masse car les gens sont forcés de laisser vacantes les terres où ils vivaient auparavant
    • Éducation abrutissante (réalisée)
    • Dépopulation mondiale massive à la poursuite des éléments ci-dessus

     

    Cet horrible programme est coordonné par les Nations-Unies, fer de lance d'une dictature mondiale, via un réseau non-gouvernemental appelé autrefois le Conseil International d'Initiatives d'Environnement Locales [en anglais ICLEI, International Council of Local Environmental Initiatives] et aujourd'hui connu comme Gouvernements Locaux pour la Durabilité, bien que le nom abrégé ICLEI soit toujours en usage. Les Nations-Unies ouvrent maintenant des "ambassades" autour du monde nommées "Maisons des Nations-Unies" sous couvert d'accroître la sensibilisation des activités des Nations-Unies, mais non les activités que les gens ont vraiment besoin de connaître. Ils en ont ouvert une à Hunter Square, à Édimbourg, en Écosse, par exemple.


    Les Gouvernements Locaux pour la Durabilité (ICLEI) et d'autres organisations introduisent le programme dans chaque village, ville, cité et région et il commence déjà à s'étendre autour du monde. L'infrastructure d'organisation de l'Agenda 21 est déjà fantastique et implique des agences du gouvernement, des organisations non-gouvernementales (ONG), des think-tanks, des sociétés, des fondations, des opérations "de formation" (contrôle de l'esprit) et des "initiatives" qui ont bâti l'infrastructure de ce qu'ils appellent la société "post-industrielle, post-démocratique" alors que la foule continue ses activités quotidiennes, inconsciente de la prison qui se construit autour d'elle d'heure en heure.


    Harvey Ruvin, vice-président de l'ICLEI, était interrogé sur la manière dont l'Agenda 21 affecterait les libertés en rapport avec la Constitution américaine et la Déclaration des Droits, la propriété privée et la liberté d'expression. Il a répondu : "Le collectif doit prendre le pas sur les droits individuels". L'arrogance de ces gens est époustouflante. Le réseau extraordinaire qui soutient l'ICLEI et l'Agenda 21 incluent diverses institutions. Celles-ci et de nombreuses autres travaillent au même but – l'Agenda 21 et la mise en esclavage total des humains autour du monde, bien que la plupart de ceux qui sont impliqués n'auront aucunement l'idée qu'ils construisent une prison mondiale pour eux et leurs familles.


    Une autre de ces organisations de premier plan est le Conseil des Entreprises Mondiales pour le Développement Durable qui inclut la monstrueuse société Monsanto. La destruction de terres agricoles, la contamination des pays avec des toxines et le remplacement d'aliments corrects par des organismes génétiquement modifiés mortels et destructeurs de sol, telle est la contribution de Monsanto pour la "durabilité". L'Agenda 21 est en fonction dans plus de 600 villes, cités et comtés des US et s'étend de jour en jour. (...)

     

    http://bistrobarblog.over-blog.com/article-l-agenda-21-vous-connaissez-123701300.html

     

     

    Ma petite introduction :

    Mon Appel à dire non à l'intolérable :

     

    Aux Militaires, aux Policiers, aux Gendarmes - R-sistons vidéo 25

     

    33:00
    .


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