-
-
Par eva R-sistons le 22 Mai 2014 à 02:52
;
Démonter les arguments des eurobéats
Posted: 20 May 2014 10:55 PM PDT
Dans la dernière ligne droite des élections européennes, les partisans de l’UE jouent le tout pour le tout et essaient de convaincre les électeurs de ne pas envoyer valser cette mauvaise Europe qui les torture et refuse de les écouter. Petit florilège et décryptage des arguments les plus courants.
.L’Europe, c’est la paix : voici sans doute l’argument le plus tarte à la crème. Si on ne peut pas ignorer que les pays membres de l’UE ne se sont pas faits la guerre depuis 1945, on peut mettre au défi quiconque de démontrer que tel n’aurait pas été le cas s’il n’y avait pas eu la CEE ou l’UE. De nombreuses autres raisons expliquent la paix : l’arme nucléaire, la guerre froide, le dégoût suscité par les deux précédents conflits. Et cela ne signifie pas non plus qu’il faille construire l’Europe de la manière dont elle est construite depuis 30 ans. Il existe de nombreuses autres façons de le faire….L’Union, c’est la force : c’est l’argument massu choisi par le centriste Jean-Louis Borloo. Même s’il y a une part de vérité, à savoir que les alliances peuvent donner de la force, cet argument reste bien léger. D’abord, il y a des unions qui affaiblissent. Il suffit de voir la croissance de la zone euro depuis la mise en place de la monnaie unique pour s’en rendre compte… Car le problème de cette UE, c’est justement qu’il s’agit d’une union uniformisatrice et néolibérale. La taille unique ne convient pas à des pays aussi différents. Et le dogme de la libre-circulation des biens, des capitaux et des personnes pénalise des pays européens au modèle social avancé. Enfin, l’union, ce n’est pas forcément l’UE. On peut la concevoir de manière souple et à la carte, comme le plan B défendu par Debout la Républlique. On peut travailler avec les peuples européens sans sacrifier ce qui nous distinguent et en refusant le néolibéralisme..
Les euro-sceptiques / anti-européens : pour les UE-béats, toutes les personnes qui osent critiquer l’UE sont tout de suite qualifiées d’hostiles à l’Europe. Par-delà le fait qu’il est difficile d’être hostile à une réalité géographique, les eurosceptiques ne sont pas forcément hostiles à toute idée de construction européenne. Si certains le sont, une majorité reste favorable à une coopération avec les autres pays européens, mais une coopération radicalement différente de l’UE, une coopération qui respecte la volonté démocratique des peuples, une coopération qui refuserait la mise en place d’une bureaucratie qui dicte les politiques à mener dans les pays européens, une coopération basée sur des projets concrets visant à construire les Airbus du 21èmesiècle, dans la lutte contre le cancer, les énergies propres ou les substituts des hydrocarbures. Ce sont les euro-béats qui détruisent l’idée européenne avec leur monstre.
.Si l’Europe ne marche pas, c’est à cause des égoïsmes nationaux : voici l’argument traditionnel des fédéralistes qui admettent que la situation n’est pas très bonne, et qui retournent la responsabilité des problèmes sur les nations. Si cela est habile, cela est très contestable. Après tout, l’UE a été enrichi de nombreux traités et règles qui devaient justement bien la faire fonctionner. A quoi servait le traité de Lisbonne sinon ? Et depuis, nous avons eu droit à tout un arsenal austéritaire, avec le six pack, le two pack et le TSCG. Les nations ont beaucoup cédé. Alors certes, cela n’est pas trop le cas sur le budget, mais en quoi mettre en place un budget commun règlerait les problèmes. Si on prend à Paul pour donner à Pierre, l’un en profitera, mais l’autre y perdra. Il s’agit d’un jeu à somme nulle..Si l’Europe ne marche pas, c’est parce qu’on est pas allé assez loin : c’est encore un argument classique des eurobéats, qui renverse le problème dans leur intérêt. Mais il reste très contestable. En effet, plus l’intégration européenne avance, plus les pays européens vont mal. Il semble donc au contraire que c’est parce que nous allons de plus en plus loin que nous allons de plus en plus mal, comme le montre notamment les chiffres de croissance ou du chômage de la zone euro. En outre, on se demande bien sur quelles preuves reposent un tel argument. En quoi confier plus de pouvoir à l’UE aurait permis d’éviter la crise espagnole par exemple ? Pour eux, ce pays était un modèle en 2007..Les euro-sceptiques sont des passéistes : c’est l’argument ultime, mais bidon, de la modernité, qui reflète souvent un manque criant d’arguments chez ceux qui l’utilisent. Mais cet argument est doublement ridicule. D’abord, plus de 160 pays dans le monde ne voient pas l’utilité de se doter d’une structure comparable à l’UE. En outre, l’idée d’une Europe fédérale et intégrée commence à dater (Victor Hugo en parlait au 19ème siècle). On pourrait donc dire que c’est l’UE elle-même qui est une idée passéiste et qu’il faut regarder vers l’avenir pour construire une Europe qui fonctionne..Notre seule solution dans la mondialisation : il s’agit sans doute de l’argument le plus fort des partisans de l’UE, largement utilisé lors du référendum sur le traité de Maastricht. Face aux Chinois, aux Indiens, ou aux Etats-Unis, l’Europe serait notre seul moyen de se défendre. Mais ce raisonnement a une double faiblesse. D’abord, des pays bien moins riches que la France parviennent à dompter la mondialisation et à se protéger, y compris par des mesures protectionnistes fortes, comme la Corée du Sud, ou l’Argentine. Et la Malaisie, en 1998, a mis en place un contrôle des changes, dont le FMI reconnaît, avec retard, qu’il s’agissait de la bonne option, alors qu’il recommandait l’inverse à l’époque. Mais en plus, ce n’est pas parce qu’il y a la mondialisation qu’il faut construire l’Europe à la manière de l’UE, bien au contraire. L’UE n’est pas la seule voie possible pour la construction européenne, mais une voie (défectueuse) parmi d’autres..http://www.gaullistelibre.com/2014/05/demonter-les-arguments-des-eurobeats.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+gaullistelibre+%28Blog+gaulliste+libre%29
Scandale.L'UPR est le Parti qui progresse le plus, et TOUT est fait pour le masquer
Appel d'eva R-sistons
où est la vraie résistance aujourd'hui ?
Le Système me dégoûte,
je n'ai plus envie de voter
pour des partis bidons, interchangeables,
qui tous promettent le changement
sans jamais rien changer
dans le sens que nous voulons,
nous citoyens et citoyennes.
Comment le pourraient-ils, d'ailleurs,
avec Bruxelles ? Impossible !
Il faut sortir de cette UE abominable !
Cette UE a été créée par les Américains
pour servir seulement leurs intérêts.
Ne nous couchons pas devant eux !
Et ne laissons plus l'OTAN,
le bras armé des Etats-Unis,
décider pour nous de la paix
et surtout de la guerre
même au risque d'une nouvelle
guerre mondiale, cette fois nucléaire,
contre un "ennemi" artificiellement créé,
la Russie que le Général de Gaulle
voulait unie à l'Europe
pour l'Histoire, la culture, l'économie,
pour la paix, pour un monde multipolaire !
Je ne suis membre d'aucun Parti.
Mais cette fois, je vais voter.
Pour le Parti créé afin de rassembler
quelles que soient origines ou appartenances,
ceux qui ne veulent plus subir cette UE
comme je l'ai écrit ici en 2009,
"tremplin du Nouvel Ordre Mondial" !
Je pense aussi que l'UPR,
que les médias font tout pour censurer,
est aujourd'hui le vrai Parti de la résistance,
résistance à cette UE monstrueuse,
et plus généralement, au Système
qui broie Nation, Etat, libertés, territoire,
industrie, agriculture paysanne, emplois,
médias, acquis sociaux, services publics,
Droit du Travail, patrimoine, avenir...
et nous tous, juste pour ne jamais
arriver à satisfaire la soif insatiable
d'une Oligarchie arrgante, cupide, inhumaine !
Alors oui, résistons au monde intolérable
qu'on nous prépare ! Tous ensemble !
Pour notre avenir,
l'avenir de nos enfants,
l'avenir de la France !
Eva R-sistons à l'intolérable
"L'UPR est le parti qui reprend la Résistance !"
Claude Roddier, astrophysicienne,
fille d'un responsable de maquis en 40 :
https://www.youtube.com/watch?v=FYnD_5DQlTE&feature=youtu.be
"L'UPR : c'est le parti qui reprend la Résistance !".
Ces mots prononcés par une personnalitéde la Résistance varoise
sonnent comme un nouvel appel du 18 juin.
La situation de la France de 2014est comparable à celle de 1944.
Le peuple a été trahi par ses représentants
qui ont accepté l'asservissement à une puissance étrangère.
La France comme l'ensemble des nations européennes,
se retrouve sous la domination d'une oligarchie
animée par une volonté impériale.
La stratégie est la même qu'avec les Indiens d'Amérique,puis avec les Etats d'Amérique du Nord :
la signature de traités qui seront imposés
aux peuples colonisés
sans être jamais respectés par leurs instigateurs.
En France, nous avons eu les traités de Rome,puis de Maastricht puis de Lisbonne et demain le "TAFTA".
Assez de collaboration, assez de soumission !
La solution c'est de briser l'engrenage en exigeant,sans ambiguïté, la dénonciation de ces traités infâmes.
L'article 50 du traité de Lisbonne le permet.
Exigeons sa mise en application sans délai.
Tel le but de l'Union Populaire Républicaine... son seul but.
Plus d'infos www.upr.fr
Pour en savoir plus sur Mme RODDIER, c'est là :
http://rene.merle.charles.antonin.ove.....
votre commentaire -
Par eva R-sistons le 19 Mai 2014 à 09:13
..
.
Le FN est un Parti mis en avant par le Système mondialiste dans ses médias. Donc il est DANS CE Système, "sa roue de secours". Le SEUL VRAI Opposant à l'UE qui détruit la Nation, l'industrie, l'emploi, les services publics, le social, etc., est l'UPR Parti sérieux et rassembleur, lui.
eva R-sistons
François Asselineau dévoile le Front National - Vidéo ...
www.dailymotion.com/video/xhaysd_francois-asseline...1 mars 2011Asselineau lève le voile sur le FN ainsi que sur les autres partis et personnages de la scène politique française ....
votre commentaire -
Par eva R-sistons le 19 Mai 2014 à 08:27.
,Le Commandement des États-Unis pour l'Afrique (en anglais United States Africa Command ou AFRICOM) est un commandement unifié pour l'Afrique.Voir aussi :Boko Haram,jeunes nigérianes: Une opération géopolitique,un 11 septembre africain
L'Afrique martyrisée et la Francisraël, par eva R-sistons
votre commentaire -
Par eva R-sistons le 25 Avril 2014 à 19:46
7 mythes sur la Russie de Poutine : l’URSS 2.0
10:23 23/04/2014Par Alexandre Latsa, La Voix de la Russie – RIA Novosti
Sur le même sujet
Les mythes sur la Russie de Poutine : un regard critique d’Alexandre Latsa, écrivain et analyste français, et de Pierre Gentillet, président des Jeunes de la Droite Populaire afin de permettre aux lecteurs de se faire une idée un peu plus objective sur la Russie d’aujourd’hui.
***
Le président russe Vladimir Poutine, qu’une commentatrice talentueuse a récemment qualifié de « volcan de givre », vient de jouer un drôle de tour à la communauté internationale en agrandissant le territoire de la Russie vers l’ouest et l’Europe.
Pourtant cette réunification des territoires russes n’est pas si inattendue qu’il peut paraitre et s’inscrit dans une logique politique et stratégique tout aussi méconnue que ne l’est la situation réelle en Russie, pays victime de préjugés et de mythes apparus au cours des dernières années au sein de la majorité des médias occidentaux.
Par souci de vérité et volonté de réinformation nous avons choisi de porter un regard critique sur ces mythes afin de permettre aux lecteurs de se faire une idée un peu plus objective sur la Russie d’aujourd’hui.
Mythe n°1 : La Russie ce pays qui a annexé la Crimée de force
A tel point que la population s'est prononcée à plus de 96% en faveur du rattachement à la Russie avec une participation de 83%. En réalité si l'on fait un peu d'histoire on s'aperçoit que la Crimée est devenue définitivement une province Russe dès 1774 grâce à Catherine II. C'est en 1954 que l’Ukrainien va rattacher administrativement à la république soviétique Ukrainienne la péninsule de Crimée.
En somme la Crimée ne reste véritablement Ukrainienne que de 1991 à 2014 soit à peine 23 ans. Contrairement à certaines idées reçues le Kremlin n’avait pas manigancé ce rattachement de la Crimée. La Russie avait en effet depuis déjà quelques années lancé une politique de rapatriement des russes vivant en Crimée et souhaitant rentrer sur le territoire russe. L'argument de velléité impériale est donc totalement hors de propos. La Russie a simplement saisi l’occasion historique qu'elle n'attendait pas de pouvoir réunifier son territoire en y rattachant la Crimée qui est un territoire russe sur le plan ethnique, linguistique, culturel et historique. Un rattachement vécu en Russie comme les allemands de l’ouest ont vécu le rattachement avec l’Allemagne de l’est en 1991.
Mythe n°2 : La Russie, ce pays ou Vladimir Poutine est élu via des élections truquées
Depuis 13 ans celui-ci remporte en réalité haut la main et au premier tour toutes les échéances électorales présidentielles ou il se présente obtenant 52,52% des voix en 2000, 71,22% en 2004 et 63,6 % en 2013.
Seule la dernière élection de 2013 a été critiquée par des ONG américaines qui prétendent que celui-ci n’aurait dû obtenir que 55% au premier tour et non 63%!
Le parti dominant, Russie-Unie a lui obtenu 37% en 2003, 64,1% en 2007 et 49,3% en 2011. En réalité les soupçons de « fraude électorales en Russie » sont nés des élections législatives de fin 2011 qui ont été entachées d’irrégularités administratives réelles. Pour autant nombre d’études ont démontré que ces fraudes locales et identifiés n’auraient pu influer sur les scores finaux puisque ne comptant pas (selon les analyses sérieuses a ce sujet) pour plus de 3 à 5% des bulletins dans le pire des scénarios.
Il faut noter que ces fraudes ne concernent du reste pas que le parti du pouvoir mais également tous les partis politiques participant aux élections notamment ceux d’opposition.
Mythe n°3 : La Russie, ce pays qui a orchestré un Génocide en Tchétchénie
La Russie est toujours présentée comme le pays dont le pouvoir aurait orchestré un véritable génocide en Tchétchénie. La réalité n’est évidemment pas aussi simple.
En 1994, une prise de pouvoir par la force et des élections entrainent la proclamation de l’indépendance de la Tchétchénie. Craignant que la vague sécessionniste ne s’étende le pouvoir russe décide d’intervenir pour mater ce coup d’état militaire intérieur. Cette guerre régionale durera 2 ans et fera plus de 100.000 morts jusqu’au cessez le feu d’août 1996 qui laisse à la Tchétchénie un statut d’autonomie régionale mais pas d’indépendance.
Peu à peu la rébellion va s’islamiser avec la présence croissante de combattants djihadistes étrangers (Wahhabites) souhaitant l’instauration d’un califat islamique pancaucasien. En 1999 la guerre reprend lorsque des attentats terroristes frappent Moscou mais aussi car des groupes armés mènent de nombreuses incursions dans les régions voisines du Caucase pour y attaquer les forces de l’ordre et kidnapper des civils dont certains seront décapités.
La guerre verra la victoire de l’armée russe dont la réaction musclée a sans doute néanmoins évité que ne se constitue dans cette région un authentique Djihadistan qui aurait été déstabilisateur pour toute la région. Il est également difficile d’appréhender les évènements de cette époque dans cette région sans les mettre en relief au cœur de la bataille stratégique que ne se livrent l’Amérique et la Russie pour le contrôle des ressources énergétiques régionales et notamment de la Caspienne.
Mythe n°4 : La Russie, ce pays ou le pouvoir tue les journalistes
La Russie est souvent décrite comme le pays dans lequel on assassinerait les journalistes puisque 300 journalistes ont été tués en Russie post-soviétique soit l’équivalent d’un journaliste par mois.
Pourtant si l’on prend en compte les journalistes tués de façon avérée dans l’exercice de leurs fonctions ou à cause de leur activité de journaliste le chiffre tombe à 56 selon le CPJ dont 28 entre 1992 et 2000 soit avant que Vladimir Poutine n’arrive au pouvoir.
Depuis l'accession au pouvoir de Vladimir Poutine, 26 journalistes ont été tués de façon avérée dans l’exercice de leurs fonctions ou à cause de leur activité de journaliste. La tendance longue semble elle à la normalisation puisque 13 ont été tués entre 2000 et 2005, 9 entre 2000 et 2010 et 4 entre 2010 et 2014.
Il faut noter que parmi ces 26 journalistes 12 ont été tués dans le Caucase russe, 3 à Rostov sur le Don et 2 dans la ville de Togliatti, soit dans des zones relativement « mafieuses » et donc à haut risque.
Mythe n°5 : La Russie, ce pays où l’on ne fait pas d’enfants
La Russie est souvent présentée comme un pays avec une démographie déclinante et donc voué à disparaitre. Fort mal en point durant les années qui ont suivi l’effondrement de l’Union Soviétique la démographie russe s’est redressé sous les années Poutine surpassant les scénarios démographiques les plus optimistes.
De 1992 à 2000 le nombre de naissances s’est effondré et le nombre de décès a augmenté entrainant une baisse naturelle de population de 6.830.423 habitants soit une baisse moyenne annuelle de 758.935 habitants. Cette diminution fut cependant compensée par l’immigration retour vers la Russie des russes ethniques habitant dans les républiques soviétiques.
A titre d’exemple pour la seule année 1999 avec 1.214.689 naissances et 2.144.316 décès la population a baissé de 929.627 habitants. Le taux de fécondité est durant cette période passé de 1,89 enfants / femme en 1991 à 1,17 enfants / femme en 1999.
A partir de 2001 le nombre de naissances s’est mis à remonter et dès 2005 le nombre de décès à diminuer. Année après année, l’amélioration des conditions de vie associée à une forte propagande d’Etat défendant la famille et incitant à faire des enfants ont eu des résultats plus qu’inattendus. Le nombre de naissances ne cesse d’augmenter et l’année 2012 a même vu une hausse naturelle de population avec 1.901.182 naissances et 1.878.269 décès, le taux de fécondité atteignant 1,73 enfants / femme soit plus que dans l’UE.
Mythe n°6 : La Russie, ce pays qui ne profite qu'aux riches
On renvoie souvent l'idée fausse que la richesse en Russie ne profiterait qu'à des élites financières, militaires et aux fameux oligarques. Il s'agit de remettre un peu de vérité en apportant quelques éléments de ré-information.
Tout d'abord, le revenu annuel moyen des russes est passé de 1.322 euros en 2000 (arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine) à 7.988 euros en 2013. Le taux de pauvreté quant à lui a littéralement fondu passant de plus de 35% en 1999 à près de 13% en 2012, soit l’équivalent de la moyenne française, pendant que le taux de chômage n’est lui que de 5,5%
Dans le même temps le pays a connu l’apparition d’une très importante classe moyenne qui représente selon les critères de définition de 25 à 40% du pays. Ces résultats économiques ne sont pas dus qu’à la rente énergétique (qui ne représente que 20% de la création de richesses et 50% des recettes du budget fédéral) mais aussi à une relativement saine gestion économique ayant permis des taux de croissance positifs sur 12 des 13 dernières années.
Mythe n°7 : La Russie, ce pays ou Vladimir Poutine serait détesté
Tellement détesté que le dernier sondage sur sa cote de popularité dépasse les 80% d'opinions favorables. Plus sérieusement il s'agit maintenant de sortir de l'image du despote tsariste aux relents staliniens pour constater que l'immense majorité du pays soutient le président russe.
Le parti présidentiel Russie Unie est le premier parti du pays depuis 15 ans, les élections présidentielles ont toujours été remportées par une très large majorité des suffrages dès le premier tour et les récents évènements ont vu l'ensemble du peuple Russe très largement favorable à l'action de Vladimir Poutine en Crimée.
Cette adhésion populaire se couple sans difficulté à l'exercice d'un pouvoir fort, seul capable de maintenir l'unité et l'importance de la Russie dans le jeu des grandes puissances du monde.
Malgré avoir pris les rênes d’un pays au bord du gouffre et traversé deux guerres (en 2000 et 2008) ainsi qu’une crise économique (en 2009) la cote de popularité du président russe sur les 13 dernières années n’est jamais descendue au-dessous des 60%.
Les mouvements de contestation de 2011 n’ont finalement jamais réuni plus de 80.000 personnes dans tout la Russie (en réalité surtout Moscou et dans une moindre mesure Saint Petersburg) ce qui correspondrait, toute proportion égale, à 30.000 personnes en France.
Loin de l'image du despote tsariste aux relents staliniens trop souvent véhiculée il faut accepter de comprendre que l'immense majorité du pays soutient le président russe et que cette tendance devrait s’accentuer à l’avenir puisque des JO de Sotchi (que la Russie a organisé et remporté) à la Crimée le seuil de popularité du président russe atteint désormais les 80%, preuve que les attentes des russes de voir leur pays redevenir une grande puissance sont réelles.
Sa gouvernance réformatrice (modernisation économique du pays) et conservatrice (sur le plan des valeurs) mais aussi relativement verticale et autoritaire semble parfaitement conforme aux attentes du peuple russe et permet d’atténuer l’apparition de potentielles tendances d’inerties territoriales voir séparatistes, tendances inévitables sur un aussi grand et vaste territoire.
Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.http://fr.ria.ru/discussion/20140423/201039644.html
.
Quelques échos de Russie
pour compenser le parti-pris
anti-Russe de nos médias
de désinformation :
Journal hebdomadaire – 21 avril 2014 - ProRussia.tv ...
www.prorussia.tv/Journal-hebdomadaire-21-avril-201...Il y a 4 joursBienvenue pour cette nouvelle édition du journal télévisé de ProRussia.tv. Ce rendez-vous hebdomadaire en ...
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique